L’un de vous me demande de remettre ceci en tête de gondole. C’est fait ! C’est quelque chose que j’ai dit il y a cinq jours, dans mon plus récent Le temps qu’il fait, le 4 novembre.
… Le match est extrêmement tendu. Cela a été le cas depuis le début de la campagne. Les camps ont crié victoire, surtout celui de Madame Clinton à de nombreuses reprises. Les écarts n’ont jamais été suffisamment significatifs pour pouvoir affirmer d’une telle manière que la victoire serait assurée pour Madame Clinton. En ce moment, au niveau national, l’agrégation des sondages donne une avance à Madame Clinton de 1,2 %. C’est très très peu et surtout dans le système américain. Vous savez que les choses peuvent s’équilibrer très fort d’état en état : les systèmes de vote, les systèmes de représentation sont très différents d’un endroit à un autre. Et une fois de plus, comme dans le match qui avait opposé Monsieur Al Gore à Monsieur Georges Bush, il semble que ce soit la Floride qui ait un poids décisif, qui aura un poids décisif mardi. Là aussi, les derniers sondages ne nous donnent un écart que de 1,2 % en faveur de Madame Clinton.
Vous l’avez peut-être vu, le « New York Times » fait des calculs d’une autre manière. Il nous donne, toujours ce matin, un avantage de 86 % pour Madame Clinton contre Monsieur Trump. Le calcul a l’air très très compliqué. Je n’essayerai pas de vous convaincre que cette méthode est excellente, je ne la comprends pas suffisamment. De même, par ailleurs, il y a un robot qui considère, qui ne s’est pas trompé au cours des récentes élections et qui lui, annonce une victoire de Monsieur Trump.
» Le comportement violent, agressif et dangereux de Poutine – non seulement envers l’Ukraine mais aussi envers l’Occident et l’ordre…