Bien que Fayard n’arrête pas de réimprimer, la rupture de stock réintervient chaque fois très rapidement. C’est, à sa manière, une excellente nouvelle ! C’est l’apparition – comme me le souhaitait un journaliste – d’un point de ralliement contre la religion féroce qui orchestre l’effondrement.
Ne vous découragez pas : les rotatives tournent !
P.S. Samedi dans le quotidien belge Le Soir, ma participation à un débat sur les Panama papers. Dimanche, mon entretien sur le livre avec Manuela Salvi de la Radio télévision Suisse.
Merci Émilie Dequenne, les Frères Dardenne, et Merci encore Paul Jorion… – Rosetta (ancienne analysante de PJ)