Retranscription de Le temps qu’il fait le 25 mars 2016. Merci à Marianne Oppitz !
Bonjour, chambre d’hôtel à Paris, le vendredi 25 mars. Pourquoi Paris ? Pourquoi chambre d’hôtel ? Vous le savez si vous venez d’écouter France Inter : j’étais l’invité de Patrick Cohen dans son 7/9.
Exercice un peu difficile, je dirais : il faut essayer de placer quelques idées clef quand même, alors que les questions sont assez parcellaires, parce qu’il y en a qui sont posées par les invités. On a essayé, un peu, de me remettre dans le cadre du commentateur financier et économique, alors que moi j’essaie de parler de ce nouveau livre qui s’appelle Le dernier qui s’en va éteint la lumière.
Ceux qui m’ont écouté – je reçois quelques mails approbateurs – me disent que je suis quand même arrivé à faire passer mon message. J’ai beaucoup apprécié la rubrique de Morel qui m’a fait un petit clin d’œil très gentil…
Le chroniqueur est démuni, le Billet de François Morel
… et un autre commentateur qui m’a pris à part : il avait voulu d’abord avoir une conversation avec moi avant qu’on entre dans le studio, ce qui est très gentil, et après il m’a dit : « On n’a pas parlé des solutions ! ». Je lui dis : « Non, c’est vrai ». Il dit : « Il y en a une ». Je lui dis : « Ah ! bon, c’est quoi ? » – « Eh bien, un gouvernement mondial avec Paul Jorion à sa tête ! » Alors, voilà [clin d’oeil] une proposition au moins positive ! Donc, exercice difficile dans le cadre de cette émission là, dans la manière dont c’est fait : c’est très parcellaire.
Autre expérience, et celle-là, vous pourrez l’écouter le lundi de Pâques : lundi qui vient. C’est l’émission de Frédéric Taddeï, sur Europe 1. Cela s’appelle le Social Club d’Europe 1. J’y ai été invité avec d’autres auteurs, il y en avait trois autres et il y a un chanteur aussi : Mickey 3D.
Les autres auteurs sont Mathieu Lindon, auteur d’un livre sur des choses dont il ne se souvient plus. Un autre auteur qui me pardonnera d’avoir oublié son nom [Jean-Michel Espitallier] mais il parle des rond-point. Et puis, trois BD sur des explorateurs. Et là, j’ai bénéficié, vous l’entendrez, d’un Frédéric Taddeï qui est toujours très aimable à mon égard, et très enthousiaste. Vous l’entendrez : très enthousiaste sur le livre. Alors là, cela fait plaisir à un auteur qu’on parle de son livre de manière aussi positive.
Voilà, je ne vais pas faire cela très très long parce que les conditions sont acrobatiques et puis il faut que je me prépare à rentrer chez moi pour le week-end de Pâques. Je n’ai pas eu beaucoup l’occasion de parler de l’actualité, je peux quand même en dire un mot : je vois que là on tweete du côté de France Inter ce que j’ai pu dire sur la Belgique et sur la manière dont la Belgique aborde la question des attentats. On m’a posé des questions, en tant que Belge, là-dessus et je vois qu’on y attache de l’importance. Et cela m’a fait plaisir aussi d’avoir pu être interrogé à ce sujet là et d’avoir pu dire quelque chose, comme j’ai pu le faire sur France Bleu Armorique il y a quelques jours. Si vous n’avez pas pu écouter ça, le podcast est toujours disponible et vous pouvez l’écouter.
Voilà, on fait très court aujourd’hui, comme je vous l’ai dit. Au revoir.
C’était Jacques Chirac !!! 😉