À propos du débat entre Sophie Wahnich et moi avant-hier soir au Lavoir moderne parisien à la Goutte d’Or, à l’initiative de La plateforme, François Corre m’envoie ceci.
François Béranger—A la Goutte d’Or d’Aristide Bruant.
En ce temps-là dans chaque famille
On blanchissait de mère en fille
Maintenant on blanchit encor
A la Goutt’ d’Or
Elle était encor’ demoiselle,
Grand-Maman, la belle Isabelle
Quand elle épousa l’grand Nestor,
A la Goutt’ d’Or
Et maman Pauline était sage
Le jour qu’elle se mit en ménage
Avec papa le p’tit Victor
A la Goutt’ d’Or
A cette époque-là toutes les fillettes
Les goss’lines, les gigolettes
S’mariaient avec leur trésor
A la Goutt’ d’Or
A’s s’contentaient l’jour de leur noce
D’un’ petit’ toilett’ pas féroce
Et d’un’ jeannette en similor
A la Goutt’ d’Or
Leur fallait pas un mari pâle
Mais un garçon d’lavoir… un mâle…
Bien râblé… même un peu butor
A la Goutt’ d’Or
Aujourd’hui faut à ces d’moiselles
Des machins avec des dentelles
Et des vrais bijoux en vrai or
A la Goutt’ d’Or
Leur faut des jeunes hommes en casquettes
Des rouquins qu’ont des rouflaquettes
Collés sur un’ tête d’hareng saur
A la Goutt’ d’Or
Et v’là pourquoi toutes les fillettes
Les goss’lines, les gigolettes
S’marient pus avec leur trésor
A la Goutt’ d’Or
Apparement l’IA (bien éduquée) cherche à fournir un argumentaire dans le cadre du prompt qui lui a été soumis et…