Avant-hier vendredi à l’heure du déjeuner, nous nous efforcions, Annie Le Brun et moi, de percer le mystère de la beauté (il y a déjà foule en effet à s’efforcer de percer celui du football 😉 ), lorsque l’idée s’est imposée à moi que Sade nous aiguille sur la bonne voie si l’on se demande d’où vient la cruauté, quand il nous dit, comme Annie nous l’a rappelé avec Sade. Attaquer le soleil, qu’« Il n’est point d’homme qui ne veuille être despote quand il bande ».
Le transport amoureux est une affaire inquiétante : quand l’orgasme vient l’interrompre dans ses débordements en le faisant dérailler, n’est-ce pas providentiellement juste avant que le drame n’éclate ? Le soupçon nous effleure qu’il s’agit avec tout ça d’une histoire qui pourrait sinon très mal se terminer.
Quand, sur la voie de la cruauté, l’orgasme n’intervient pas à point nommé, le genre humain bascule du plus sublime à ses propres yeux au plus abominable dans les faits même.
@Pascal (suite) Mon intérêt pour la renormalisation est venu de la lecture d’un début d’article d’Alain Connes*, où le « moi »…