XLIIIème Journées nationales de la psychiatrie privée : « Emprises. Quand ça pense pour moi ! », à Strasbourg le 4 octobre 2014

Merci à la personne qui a présenté hier mon exposé, et qui ne m’en a pas (trop) voulu que je parle d’emprises sans évoquer les « algorithmes ».

Merci à mes voisins de table au dîner en soirée à l’Auberge Pont Saint-Martin, qui ont, tous ensemble avec moi, discuté du sens de la vie, ainsi que de celui de la mort à la pêche en mer, tel qu’évoqué en particulier ce dernier par Roger Vercel dans La caravane de Pâques (1948).

Merci à Georges-Arthur Goldschmidt de m’avoir fait comprendre hier soir par une seule phrase terrible et secrète comment il est possible d’être amoureux de la race humaine après avoir pourtant traversé les pires épreuves de son fait.

Et merci aux trois psychiatres avec qui j’ai discuté ce matin au petit déjeuner du Glass-Steagall Act, de la spéculation et des produits dérivés synthétiques, et que j’ai dû interrompre pour aller prendre le train qui me ramenait vers Bruxelles.

Tout cela vous fait compter pour rien les huit heures de train qui rendent ces conversations possibles.

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