Billet invité
Une fois retombé le brouhaha qui entourait hier le vote de la question de confiance, il suffit de faire le compte des voix restant à Manuel Valls pour comprendre que la grande politique des réformes libérales, c’est déjà fini : il nous distille déjà quantité de petites annonces social-démocrates sur les euros qui vont tomber dans les escarcelles des pauvres, ou qui vont cesser de sortir de leurs poches (suppression de la tranche inférieure de l’impôt) ; et d’heure en heure, il s’ingénie à vider la réforme territoriale de toute substance (17 voix de députés radicaux, cela se respecte).
Hypothèse à trois balles : la seule manière de durer jusqu’à la fin du quinquennat, c’est de conserver sa majorité parlementaire. Au-delà…, eh bien ce sera le déluge, mais Hollande préfère en laisser le plaisir à Sarkozy ou à Juppé.
@Mango vous dites : « mais certains le sont pour des positions politiques plus ou moins arbitraires … » je réponds :…