Merci à tous ceux qui sont intervenus dans la discussion, je vais réfléchir à comment en tirer les leçons. Je vous tiens au courant.
Il s’agit d’un thème que j’ai déjà souvent développé ici au vu de divers sondages d’opinion : les opinions défendues sur Le blog de PJ ne sont pas minoritaires mais majoritaires, et massivement majoritaires.
Plus de 8 Français sur 10 considèrent que la politique économique que conduira le nouveau gouvernement ne sera ni claire, ni efficace, ni juste, selon un sondage de l’institut 0doxa à paraître aujourd’hui mercredi dans Le Parisien/Aujourd’hui en France » (AFP).
Voilà les 80% dont je parle en titre. Jusqu’ici, ce qui les rassemble, c’est un rejet. Le rejet de quoi ? Le rejet de ce que j’appelle « la religion féroce incarnée à Bruxelles par la Troïka ».
Maintenant, il va falloir définir une plate-forme commune sur une base positive et là, cela va devenir tout de suite plus compliqué parce que dès que j’ai commencé à réfléchir à cela dimanche, j’avais à faire aussitôt à des gens aussi sympathiques les uns que les autres mais dont les uns sont pro-nucléaire civil et les autres sont contre (et moi personnellement, vous le savez, je suis contre). Mais il faut voir s’il n’y a pas moyen quand même de se mettre d’accord sur quelque chose.
On ne peut donc pas être trop ambitieux, on ne peut pas espérer rassembler sur la même plate-forme 80% d’une population. Soyons réaliste alors : visons les 2/3 de ces 80%. Ce ne sera déjà pas mal. Ça fait 53% de la population, ce qui ne serait pas mal du tout comme soutien pour une plate-forme commune. 😀
Nous sommes contre une religion féroce, et nous sommes pour le contraire, mais « le contraire », il nous faut dire maintenant exactement ce que nous entendons par là.
Alors, on y va ! J’ai déjà proposé des choses dans ce sens-là, que je vais aller rechercher dans mes cartons !
La discussion est ouverte ici pour La plate-forme des 80%. Dites-le à vos amis ! Ça a commencé !
235 réponses à “LA PLATE-FORME DES 80%”
Par exemple , pourquoi cette course à la guerre par certains !
Pour ne pas passer devant des tribunaux de justice.
Pour permettre la chasse aux scientifiques, intellectuels, homme de savoirs genant pour les pouvoirs comme apres 1914 et 1939 etc..Ce qu ont fait les divers dictateurs.
Aujord hui la difference, les problemes sont tellement énorme qu’aucun dictat ne pourra se mettre en place de par le fait que ce n est pas viable, que cela ne resout rien et que c est autodestructeur.
Pourquoi ces dires .
Parce que nous somems bien dans une dicature financiére et qu elle ne pourra absolument pas résoudre le probléme qui est la source de son existence propre.Demander aux financiers d arreter c est mettre fin à leur fonction d être et sait pourtant ce qu il faudra faire.Car ilsont responsable dene pasavoir écouté des conseils avisés d imminent économiste comme Mr Paul Jorion par exemple et beaucoup d autre.Pour la qualité de son blog comme d autre auquel je pense.
Une solution un peu basique, mais probablement efficace : chaque année, on exécute les 666 personnes les plus riches du monde. Ça devrait aider à faire ruisseler la richesse. On fait ça une fois, puis on regarde l’évolution des indices Gini, et éventuellement on recommence l’année suivante.
C’est vrai que c’est un peu barbare, mais les morts indirectes dues à la répartition inégales de la richesse devraient baisser en quantité bien supérieure. Ce n’est donc pas aussi immoral qu’il le paraît à première vue. Je ne plaisante donc qu’à moitié.
Du reste, j’ai l’impression d’avoir déjà lu cette idée quelque part (si ça se trouve, quelque part sur ce blog).
« Executer » non.Aucune violence n’est une solution hormis pour se défendre.
Prendre le trop percu et les laisser dans la décense pour les plus « sympathique ». et comprehensif, tout confisquer aux autres qui n’avaient cure de la vie d’autres personnes.
Cordialement
L’autre moitié est bien sûr d’accord avec vous.
Sauf erreur 666 c’est le chiffre de l’antéchrist dans l’Apocalypse ? Ça me va !!
Peut être une nouvelle du K de Buzzati lue dans l’ enfance ? Ce n’ y sont pas encore les plus riches mais les plus puissants du monde que la providence fait disparaitre les uns après les autres . Sauf De Gaulle , pour le punir de sa vanité . Et ainsi tous renoncent à dominer les peuples .
Exact ! « La leçon de 1980 » : « Il se trouvait des hommes heureux de mourir du moment que leur mort révélait leur prééminence sur le genre humain. Mais avec une amère désillusion, de Gaulle se retrouva minuit passé en excellente santé.[..] Peut-être le Père éternel, en faisant semblant de l’ignorer, voulait-il lui donner une leçon d’humilité ? [..] Seul de Gaulle continua à être mystérieusement épargné. »
Pas la providence, donc, mais le Père éternel, j’imagine que c’est vachement important théologiquement (han han).
Il faudra peut être bien aller chercher des alliances étrangères pour arriver à 53 % capable de chatouiller les moustaches de l’économie financière .
Et synchroniser les horloges électorales ou de manifestations .
C est ce que font les grecs espagnols et italiens et portugais en ce moment.
C’est encore un peu maigrichon pour affoler la FED .
Je rejoins aussi Vigneron pour penser que la bataille ne peut pas se gagner que de front et à la loyale , et que des électrons libres un peu perspicaces et virulents seront nécessaires .
Cependant il existe du bien et du mal en toute institution.
philospam, vous comptez pourrir tous les threads avec vos avalanches de sophismes new age moisis plus insipides qu’un sommaire de psychologies magazine encore longtemps ?
@Rototo
Je suis en attente de vos reflexions et de vos dires pour savoir si vous savez de quoi vous parler.
Aucun sophisme, new age vous y etes déjà le prochain iphone fera l holographie renseignez vous !
Quand à la psychologie je pense que vous n y connaissez rien au vu de vos remarques.
Mais personnellement rassurez vous rien ne me blesse au contraire vous ravivez ma flamme.
Si des vérités vous dérange d autre blog comme cosmopolitan vous iront probablement mieux.
Cordialement.
@Rototo
Vous savez il existe plusieurs maniére de dire les choses sympathiquement.
les hommes en blanc sonnent à votre porte, il faut y aller maintenant, votre chambre capitonnée est prête
La religion féroce est celle des politiciens, ploutocrates, oligarques, aristocrates d’un autre genre.
Nous voulons le contraire : donc plus de colossales masses d’argent dans un petit nombre de mains mais l’inverse, idem pour le pouvoir et la prise de décisions.
Une nouvelle aristocratie de l’argent, par François Hollande
C est exact.Trés bonne analyse.
53 % ?
Il est indispensable de se déterminer en premier lieu contre ou en faveur de la compétition.
Si le principe d’une inévitable et souhaitable compétition (des individus et des groupes) est admis, intégré et revendiqué, alors peu importe la variation de son intensité ici ou là, il n’y aura pas de survie de l’espèce.
Car c’est ce principe même, brandi comme un étendard par ceux qui en captent les illusoires bénéfices, qui nous détourne de notre aspiration à (sur)vivre.
Nous faisons pourtant l’expérience quotidienne des immenses avantages de l’absence de compétition déclarée. Généralisons cette expérience ! Exigeons la fin des combats !
Bonjour
Je vais peut-être surprendre, mais j’aimerais bien savoir qui, parmi tout ces adeptes informatiques du « fier passé », a connaissance de Toynbee (« the story of History ») et de Rizzolatti (« Les neurones miroirs »)?
À lire, J’ai le sentiment diffus d’assister à une expérience in vivo, lancée par un Mestre P. Jorion, … de NEUROPHYSIOLOGIE expérimentale???
Christian
Est-ce bien raisonnable que de s’en prendre à Bruxelles ou à la Troïka ou à d’autres, parce que les 53% et même les 80% de la population s’exprimant, pensent qu’il faut consommer encore davantage alors que notre écosystème se rapproche de plus en plus vite de l’extinction à cause de la surcharge à laquelle nous le soumettons ?
Cela semblerait bien plus logique de donner la priorité à l’effort d’investissement pour la survie, en ralentissant la consommation immédiate afin de consacrer l’économie ainsi réalisée, à la préparation du futur. Il faut faire un choix entre un haut niveau de jouissance immédiate et l’investissement pour le futur.
Il faut bien le reconnaître, le niveau de vie moyen, représenté par la consommation moyenne d’énergie par habitant, a notablement augmenté depuis l’après dernière guerre, notamment en France, même dans les classes les plus pauvres.
Avec une consommation moyenne d’énergie (l’énergie constituant l’aliment de la vie) bien moindre qu’aujourd’hui, et alors que la population européenne était encore soumise aux tickets de rationnement, la vie était encore possible à la fin des années 40 et le début des années 50. Il me semble que cette marge offre la possibilité de consacrer moins à alimenter le présent pour mieux assurer l’alimentation du futur en investissant pour ce faire.
Grâce à beaucoup d’efforts, cela a permis la reconstruction de ce que la guerre avait détruit et avait ouvert la voie aux 30 glorieuses ainsi qu’à 70 ans de vie globalement plus confortable que celle d’avant 40.
Hélas trop de personnes au détour des années 70, ont été victimes de discours 68ards tenus par de jeunes gens n’ayant aucune expérience de la vie, poussés par des idéologues souvent issus de milieux bourgeois (y compris de gauche, n’ayant pas eu à connaître les duretés de l’existence). Les slogans du type « jouissons sans entrave » (pas uniquement sur le plan sexuel) couplés à « il est interdit d’interdire » ont cassé, en France, le processus de marche vers le progrès dès lors qu’on a cessé, bien plus que dans le passé, de tenir compte des besoins des générations futures.
On a fini par perdre de vue qu’il n’est pas possible de dépenser très longtemps plus de richesse que ce qu’on s’emploie à extraire de son environnement, surtout pour un pays comme ceux d’Europe du Sud, notamment la France, qui ne disposent pas de réserves d’énergie (l’aliment de la vie) leur permettant de vivre en travaillant moins que dans les pays qui en sont mieux pourvus et qui consomment leur précieux capital non renouvelable.
C’est pourquoi une politique de l’offre, visant à privilégier la production sur la consommation, me semble bien préférable au regard des générations futures qu’une politique de la demande qui ne ferait que rendre plus difficile le retour à un équilibre et précipiterait notre collectivité vers un effondrement accéléré.
http://www.pauljorion.com/blog/2014/08/26/vertige-philosophique-risque-existentiel-pour-lespece-intelligence-artificielle-et-nouvelle-regle-dor-par-cedric-chevalier/
J’ai bien conscience que ce que j’exprime ne va pas dans le sens du billet. Mais je pense que cela devrait être possible, à ceux qui ne voient pas les choses comme moi, d’apporter la preuve de mon erreur par une démonstration ou des démonstrations bien étayées.
C est exact.
Cependant c est la troika et Bruxelles qui ont entamé depuis des lustres des politiques de resuction du cout du travail; beneficié les plus aisé dans leurs marges, entamer des politiques illusionniste sur la croissance et la competitivité et qui ont fait la sourde oreille à tout niveau sur les conseils avisés de beaucoup.Naturellement tout le monde n est pas à mettre dans le même panier mais tout le monde a suivi et la politique actuelle de l UE est desastreuse.Quand un employé ne fait pas bien son travail que lui arrive t il ?
Cordialement
Du vrai.Mais pourquoi écrire « la troïka ET Bruxelles »?En effet,la « Troïka »,c’est,par définition
habituelle:le triptyque FMI,BCE,et Commission de Bruxelles.Toute forme de « philo » exclut que
l’on ajoute « Bruxelles » à la « Troïka »,car,sinon ,ce serait compter deux fois « Bruxelles ».Non?(je
suppose en effet que par « Bruxelles »,vous voulez désigner la Commission de Bruxelles.)
@ philosespiritam 27 août 2014 à 14:32
Merci de vous êtes donné la peine de contre argumenter. Il est dommage que votre justificatif, présente de sérieux points faibles, de sorte qu’il ne peut convaincre.
La politique ou le processus de réduction des coûts n’ont pas été mis en route par les organisations que vous citez puisqu’ils sont vieux comme le monde. Notamment depuis que l’homme a imaginé, fabriqué et utilisé des outils et autres moyens de production de richesse lui permettant de réduire sa dépense d’énergie pour vivre, accroissant ainsi son rendement au travail. C’est arrivé lorsque l’homme s’est lancé dans des investissements engendrant globalement, pour un même service rendu, une moindre dépense d’énergie, donc un moindre coût du travail. (Revoyez vos cours de physique, l’énergie et le travail s’expriment dans les mêmes unités).
Certains peuples se sont lancés dans ce processus avant d’autres, ce qui les a amenés à évoluer et à se développer plus vite que d’autres.
Il finit par en être pénalisé dans sa vie immédiate ou plus tard (salaire moindre, voire-même licenciement). Tout comme un élève qui ne travaille pas bien en classe, le paiera plus tard en étant, généralement, contraint d’accepter des travaux plus pénibles et moins gratifiants que ceux confiés aux anciens bons élèves.
Cordialement.
@ JduCac(40) #l’ami du NYSE.
Je constate que depuis environ 3 ans vous avez fait des progrès pour vivre dans notre temps.
Il vous reste à abandonner complètement votre fond de dolorisme pour que vos propositions,
toujours les mêmes, deviennent acceptables.
En clair ça n’a aucun sens de dire à de pauvre gens – qui en bavent, ici et maintenant, qu’ils vont en baver encore plus pour que leurs enfants vivent dans un hypothétique monde meilleur.
Il vous faut rendre l’effort d’investissement joyeux et positif.
Il vous reste donc à franchir le pas: l’argent nécessaire doit être pris massivement dans les poches de vos copains du CAC. Sans cette forme de socialisme – baisser massivement le rendement actuel du capital – vos propositions ne sont que diversion.
Fixons un chiffre : un revenu du capital, par ménage, qui dépasserait 10 fois le SMIC doit finir dans les caisses de l’Etat. Il s’agit d’une spoliation revendiquée au nom de l’ intérêt collectif. Mais le mieux serait de faire en sorte que le retour sur investissement ne puisse être beaucoup supérieur à celui de l’industrie lourde, quand elle existait soit 2 à 3%. Tous chiffres supérieurs à 15% et ils sont légion sont obscènes. Il est nécessaire de faire comprendre à ces gens-là que leur richesse n’existerait pas sans les infrastructures publiques de toute nature accumulées par des siècles d’efforts collectifs et, surtout, sans un pauvre peuple raclé -par eux- jusqu’à la trame.
Juste retour, donc.
Y êtes-vous prêt ?
N.B.: Vous noterez que j’exclus les revenus du travail. Il est parfaitement acceptable que le détenteur de brevets ou un industriel créatif, dirigeant son entreprise, atteignent des salaires confortables. Les primes et autres avantages permis par la possession d’actions reviennent au traitement commun vu plus haut.
Par ailleurs, les 30 glorieuses se caractérisaient par un Crédit administré par l’Etat,
-et un contrôle des changes quand c’était nécessaire-, une bourse anémique et une « spéculation » tenue en lisière. Le « plan » existait et l’inspection du Trésor n’était pas un tremplin vers un pantouflage doré…
Daniel, est-il encore nécessaire de te rappeler comment elles ont fini tes « glorieuses » ?
@Francisco
Ce que vous appelez la NEUROPHYSIOLOGIE expérimentale ou en fait l’empathie.Que Mr Paul Jorion fasse ce test, fort possible et tout à son honneur.C est bénefique à tous.
Quand à l ’empathie elle est inné chez certain, et se développe chez d autre.Elle est juste dormante chez la majorité, pourquoi ? car nous avons été formaté par un schéma de pensée reproductible par nos génes, transmission generationnelle, par nos formatages deshumanisées sous pretexte de serieux dans les tâches.Le serieux est necessaire mais doit être accompagné de capacité d humour.Trop serieux et trop formatté bloque l accés à l humanisme temporairement car l individu confronté à un stress permanant bloquant l empathie se tourne vers la violence inconsciemment.
L empathie n est tout simplement qu’une autre reprsentation et moyen communicatif de l’amour qui peut se traduire sous plusieurs forme, il existe plusieurs facons d aimer.
Nos sociétés ont atrophié ce ressenti pour la domination.L empathie ne permet pas la domination de soi et des autres, voila pourquoi beaucoup s evertuent à l eteindre.
L empathie fait de nous des humains, un manque d empathie quel que soit le niveau, est un stade en dessous de l animal , le gorille, le singe, le lion, les baleines, les dauphins ont cette capacité que même certainsd entre nous n arrivent à avoir.Qui est le plus humain finalement?
Ce n’est pas le neurone ou une substance chimique ou le cerveau ou autre corps physique qui produit l empathie c est votre vous intérieur.
Pour développer son empathie, pour ceux dont ce n est pas inné, il faut commencer par combattre ses peurs, puis apprendre la notion de responsabilité en s occupant d animal ou de plante puis plus tard à la disparition de celui ci ou celle ci connaitre le sentiment de perte de quelque chose à laquelle on a pris soin, le ressenti et la douleur de la disparition de ceux ou ce que l on aime produit l ouverture de l esprit.Ensuite vient l essai ne serait ce que d aller vers un mode de pensée différent du sien même le plus mauvais pour le comprendre non pour l accepter, ce qui est déjà un grand parcours apprendre a voir plusieurs façon de voir d imaginer le monde et de comprendre à un stade plus élevée ce qui est le plus mauvais ou le meilleur dans les moindre détail sans action juste représentation et savoir ou se situe le mieux pour tous.Après c’est plus complexe et hors de portée. car cela demande une grande maitrise de soi.et une grande connaissance et un calme intérieur profond et infini.Et au delà existe encore d autre possibilité ….etc .etc comme des poupées russes.
Cordialement.
J’espère ne pas passer pour un dictateur, mais voici comment je m’y prendrais :
Objectifs : s’attaquer, dans l’urgence, aux désordres écologiques et sociaux:
– Réduction drastique des consommations d’énergie, et pollutions diverses,
– Amélioration drastique de la répartition des richesses,
Ceci passe par la suspension de la compétition économique, à l’origine de ces désordres, et remplacée par la coopération.
Définition d’un plan d’urgence mis en œuvre par une autorité compétente, ayant tous pouvoirs.
Cette autorité sera composée de personnalités sélectionnées, selon un protocole à définir, pour leurs compétences avérées dans les domaines écologiques, sociaux, humains…, et leur esprit critique du système actuel.
Ceci dit, je crois que les changements se feront dans la catastrophe, lorsque un ouragan aura dévasté les états unis tout entier.
@ Dominique Gagnot
Si le peuple vous élit et que vous respectez les droits de l’homme, vous n’êtes pas un tyran.
Mais comment une autorité ayant tout pouvoir n’en abuserait-elle pas ?
Si on a inventé la séparation des pouvoirs, ce n’est pas pour faire joli mais parce que le pouvoir va vers l’abus comme les fleuves à la mer.
Ok, mais nous ne sommes pas en « temps normal », ou effectivement il faut séparation des pouvoirs.
La situation devient si grave que nous devons nous considérer en guerre.
Et s’il faut attendre des décisions de justice (sur des années, et avec échec probable!) pour réquisitionner, ou arrêter tel ou tel processus gravissime, ça risque de ne pas le faire.
Ce qui me fait le plus rager est que la situation écologique actuelle a été prévue il y a déjà 40ans (voir les archives du monde diplomatique, ou même de Sciences et Vie, par des personnalités ignorées de toutes les formes de pouvoirs.
Idem pour la situation sociale. Il serait peut être temps d’admettre que notre système de gouvernement est complètement inadapté.
Le réchauffement climatique s’en fout un peu de nos institutions…
@Noblejoué
Entierement d accord.
@D. Gagnot:
Que nous soyons en guerre (contre qui ?) ou pas, il n’existe pas de compromis possible avec la démocracie. Quel que soit l’urgence d’une situation, nous ne pouvons pas nous affranchir des droits de l’homme. Tout simplement parce que sinon nous ne valons pas mieux que ceux que nous combattons.
C’est précisément ce qui a échappé (volontairement ou non) aux faucons US lors des guerres du golfe.
Des gentils qui se définissent comme tels et qui au nom de leurs gentils principes commettent les pires atrocités, les poubelles de l’histoire en sont pleine. Tout système qui fait un tant soit peu fi de la DUDH est irrecevable.
C’est toute la difficulté et la noblesse de la démarche entreprise ici : sortir de la mouise sans renoncer à ces principes.
Les « gentils » riches sont clairement en guerre contre les pauvres et l’écosystème.
Sinon comment expliquer les colossales inégalités, et l’état de la planète?
Pour ce qui est de la « démocratie », ou sont donc représentés les sans voix?
Résumons : il faut à la plateforme
– un VOLET INSTITUTIONNEL, anticipant sur la VIe république, par exemple limitant les mandats en nombre en durée et les étages mais où surtout la justification des choix (votes, projets) soit clairement énoncée (charge de travail absorbée par les assistants libérés par la réduction du nombre des mandats
– un VOLET SOCIAL, cherchant à tisser le revenu minimum et la répartition du travail, avec une ressource à chercher du côté des revenus du capital ou de l’automation.
– un VOLET ECONOMIQUE, permettant de filtrer parmi les mouvements de capitaux ceux qui montrent « patte blanche » (« patriotique » au sens de l’emploi européen ?)
– un VOLET ENERGETIQUE; car chacun sent bien que c’est là le tournant à préparer.
On peut alors tenter de répondre à deux types de questions:
Faut-il que ces quatre « pieds de la table » soient de même importance ? S’agissant de court à moyen terme, peut-être pas.
Ne faut-il pas, pour faire converger cette plateforme, que chacun qui y « adhère à 80% » s’engage à soutenir les quatre volets dans les proportions qui auront été agréées, c’est-à-dire qu’il passe par-dessus sa sensibilité propre à l’un ou l’autre des volets. Ou tout autre mécanisme permettant de démultiplier l’impact, en faisant confiance à la cohésion du tout pour que l’on ne soit pour ainsi dire jamais en complet porte-à-faux avec un des quatre volets.
Autrement dit, il faut déléguer par de la solidarité d’idée (et du renoncement quelque part) ce qu’on espère largement regagner en force de changement.
Et pourquoi ne rédigerions-nous pas une nouvelle Constitution ?
@ Ancestral
Bonne idée.
Alors là un vrai équilibre des pouvoirs.
Des droits plus étendus à définir sur la plateforme.
Et c’est peut-être un peu tôt, pour parler marketting…
Mais il faut aussi dessiner le projet commun que nous posons sur ces pieds, dire où nous allons simplement.
Parce que c’est bien à cela que les 80 % vont adhérer, et pas à des réformes sectorielles qui n’en sont que la déclinaison. En Bolivie, c’est « Buen Vivir » (pas mal, non ?) et chez nous, il faudra aussi trouver deux ou trois mots simples qui posent l’histoire.
Liberté
Egalité
Fraternité étendue au vivant .
Mais j’ai beau me répéter je suis encore très loin des 53 % du seul blog !
Voilà qui met un peu d’ordre dans l’élaboration d’une « plateforme ».Une observation cependant.
J’ajouterais un volet « Ecologie »,car le volet « Energie » ne me semble pas recouvrir le « volet »
Ecologie dans toute son étendue.Je suggère ainsi « volet Ecologie,DONT ENERGIE ».
Voilà qui met un peu d’ordre dans les suggestions à avancer.Mais le volet « Energie » est-il assez
large pour intégrer l’Ecologie.en un sens plus étendu me semble-t-il que le seul volet énergie?
Il me semble qu’il faudrait distinguer 2 plateformes
Pour la cible, nous serons assez vite d’accord : plus de spéculation ni de paradis fiscaux, moins d’inégalité, que chacun puisse élever sa famille dignement, que tout le monde respecte l’environnement même les grosses boites multinationales etc… en gros, ce que disent les miss une fois élue : je veux contribuer à ce qu’il n’y ait plus de guerre, que les enfants aillent tous à l’école, et vaincre le cancer etc (au choix). Notre lettre au père Noël
C’est la trajectoire qui me parait bien plus difficile, surtout qu’il faut y aller vite… Est-ce que ça passe par un parti ? français ou européen ? ou de l’entrisme dans les partis existants ?
Faut-il descendre dans la rue ? renoncer à toute violence ? faire de la désobéissance civique ? le combat des occupants de NDDL est-il un modèle ? En faudrait-il des dizaines ?
Là, c’est bien plus difficile…
Simple tout est basé sur le travail et la consommation, une seule mécanique des deux s arrête le systéme se grippe, il est déjà en phase de grippage par essoufflement.Ce sont les seuls mécanique qui vont bientôt s’eteindre.
Je dirais une consultation populaire quand au type de representation que le peuple souhaite.Les individus reconnaiteront celui qui sera veridique dans ces propos apres 40 de mansonges et d illusion.
C’est bien optimiste. Depuis la constitution de 1958, l’élection présidentielle est un concours de démagogie : celui qui ment le mieux a gagné. C’est Hollande cette fois, la dernière fois c’était Sarkozy. La consultation populaire, depuis qu’elle existe ne sert qu’à habiller d’une apparence de démocratie un ensemble de mécanisme qui est tout sauf démocratique. Combien d’ouvriers à l’assemblée nationale ? Combien même de non fonctionnaires par rapport aux fonctionnaires ? La représentation nationale comme aux USA (ou les millionnaires sont légion parmi les membre du congrès) n’a jamais si mal porté son nom. Elle ne représente que la fraction de la nation qui vit du système, soit par accointance avec le système financier, soit directement par les mandats cumulés… Rappelons nous ce que disait Lamartine en 1848, trop confiant dans le suffrage universel : « on peut empoisonner un verre d’eau, on n’empoisonne pas un fleuve ».
L’élection de Napoléon Bonaparte (futur Napoléon III) dès le premier tour avec 75% des suffrages lui a prouvé qu’il avait tort… et aujourd’hui, on sait même empoisonner la mer, c’est fait… alors…
Oui Troncal et à propos de la Constit de 58, rappelons que 83% de connards avaient voté pour le oui porté par un zig étoilé qu’avait un nom de porte-avions solitaire, contre le non porté par un Mendès (et les cocos aussi certes).
Un grand moment de la Démocratie Française.
Même s’il existe un parti politique en accord avec les 80%, le système actuel de sélection des dirigeant a toutes les chances de l’écarter.
Il sera ignoré, dénigré, présenté de travers, par les gros médias (au service des intérêts du fric)
Bref, à part la rue ou l’ouragan…
Espérons seulement que quand ça se produira, Hollande soit encore là (il s’enfuira demander l’asile politique à Merkel) en ce qui nous concerne , plutôt que Lepen…
Encore une fois, ce que 80% des gens souhaite, c’est assez facile à établir … la question est de savoir comment, en partant du système actuel, on parvient à le tordre pour aller vers le système souhaité en évitant les effets pervers de l’action menée (qui pourrait par exemple renforcer le FN), ne pas mener le pays à la guerre civile ou même amener une vague de droite pure et dure aux élections, comme après mai 1968…
Absolument mais il faut entrer dans le caractère psychologique de la chose.Les personnes sont habitués à se tourner vers un intérêt.Hors il va falloir faire comprendre aux individus que l urgence est là et qu on ne peut fonctionner avec l égoïsme.La vérité doit être dite sur l urgence les gens auront peur mais accepteront car au fond ils le savent et le voient deja.L avenir est psycho social.On a fait de la psychologie pour influencer le consommateur maintenant il faut l ôter de cette influence.
Oui, mais pour cela, les entreprises ont de gros moyens. La pub coûte très cher… On peut modifier les comportements, (voir le petit bouquin de Joule et Beauvois, la soumission librement consentie). Mais il faut des moyens étatiques pour modifier l’état de l’opinion…
Pour rendre une relance par la demande, la plus pertinente à mes yeux, plus efficace, il faudrait, si possible, donner des crédits d’impôts ou sorte de chéques payés par l’Etat aux plus pauvres pour consommer dans des entreprises françaises, ou majoritairement françaises, ou européenes. Dans ce dernier cas, proposer cette idée aux partenaires européens pour favoriser ceux qui feraient de même pour nous.
Il faudrait aussi créer un protectionnisme européen.
On crée une solidarité par des frontières et des projets communs.
Ceci m’en semble une amorce.
Oui à la plateforme !
La plateforme doit consacrer la suprématie du politique sur l’économique. Par politique, j’entends ce qui crée du liant, i.e les interdépendances sociales.
Elle doit consacrer le principe de finitude : en premier lieu la finitude écologique. Les ressources étant finies, il doit y avoir des limites à tous les excès, en particulier les excès de richesse et de pouvoir. Toute constitution politique devra acter sa date limite de validité.
La plateforme doit également appeler aux boycott des élections régionales de 2015 et présidentielles de 2017.
J’ai une autre proposition à soumettre :
L’action des représentants nationaux (président de la République, premier ministre, ses ministres, parlementaires) devront être soumis à un audit populaire et complet dès la fin de leur mandat.
SI des manquements devaient être signalés, le représentant devra être traduit devant une cour populaire. Si ces manquements ont lieu du fait d’interventions à l’étranger, il sera extradé à la CPI.
Économiquement :
– nouveau système monétaire international qui vise à enrayer tout mouvement spéculatif, toute bulle financière (et donc de dette) et qui soutient un développement raisonné et durable
– euro monnaie commune
– suppression des paradis fiscaux et lutte contre le blanchiment d’argent
– audit afin de consolider au mieux les dettes : A détient 100 sur B qui détient 100 sur C qui détient 100 sur A –> 0
– taxation de l’héritage, première source des inégalités
-taxe mondiale sur le commerce d’armes
une refonte de l UE avec un parti et un conseil basés sur le social et l investissement d avenir et les écosystèmes.Un avenir pour les enfants de tous.Avec des scientifiques , des militaires , des medecins , des ingénieurs et des politiciens médiateurs polytechniciens.Des personnes qui maitrisent aussi bien la theorie que pratique sans rejeter les anciens politiques mais dédiés a d autre domaines.Il ne s agit pas d exclure qui que ce soit.
Bonjour. Comment tenter de réunir une majorité susceptible d’initier un changement significatif dans la conduite des affaires publiques? Prioritairement à mon avis, en évitant les sujets clivant tant que le pays n’aura pas retrouvé sa pleine indépendance de décision et de destin. L’urgence est donc à mon sens de sortir de l’Euro et de cette Europe quelles qu’en soient les modalités, sans s’appesantir sur ce qui divise les citoyens, ou bien les oppose, ou bien encore les isole sur leur quant à soi (nucléaire, immigration, droits sociétaux, etc…). En dehors d’une brutale crise éruptive pulvérisant l’Union européenne (qui n’est pas à exclure), forger une évidence populaire anti oligarchique pour contrer nos modernes féodaux, cela aurait du sens et pourrait permettre de bâtir une bonne base de consensus (nationalisation des banques, reconsidération de la dette et de la légitimité de la rembourser en fonction des cas, priorité à l’emploi et au développement économique sous une forme nouvelle à force teneur écologique, prise en compte de la paupérisation rampante du pays, réflexion sur le partage du travail, ses nouvelles conditions…). De récents sondages relatifs au pouvoir des médias d’influencer le jugement des citoyens éclairent un peu l’horizon: la propagande ne décide pas de tout quand la crise frappe à la porte. Certes, une majorité « politique » doit se reconnaître en un parti, un mouvement ou une personne, du moins sur les critères actuels. Sujet délicat face à l’émiettement du panorama politique, et au succès « au pochoir » du FN qui prospérerait sur l’abstention plus que sur la progression de son influence (si j’en crois experts et pas experts qui disent en gros la même chose). Une majorité d’idées et de refus sans traduction démocratiquement organisée, cela sent bon l’anarchisme et pue la tragédie. Mais peut donner naissance à une représentation adaptée aux nouvelles exigences, avec des hommes nouveaux, des dynamiques inattendues et la disparition des vieilles lunes de l’alternance et des « ambitions raisonnables ». Car penser un vrai changement ne peut pas se faire à partir d’un constat actuel et d’analyse empêtrée dans la réalité d’aujourd’hui, si bien mise en scène par les « politologues ». Donc du mouvement, des idées, mais à cadrer dans l’urgence première de se libérer des liens les plus lourds (l’Europe, la dette etc…) A ce point du raisonnement se pose la question « big one »: à qui faire confiance? Il faut à mon sens faire la pari de l’optimisme sans idéalisme (si possible), faire confiance aux gens, au « peuple », et à l’exigence égalitaire qui l’habite (Lire Emmanuel Todd). Difficile? Hors de portée? Mais quel choix, hors celui de la résignation, nous reste-t-il? Pour user d’une métaphore détestable, quand le bateau brûle, autant se jeter à l’eau et apprendre à nager. Que le capitaine coule, son linceul et ceux de ses affidés n’en seront pas pour autant moins dorés. Grand bien leur fasse… Tant que le bras séculier de l’Etat ne les rattrapera pas. Cette rentrée 2014 est vraiment chouette. Cordialement.
Pucciarelli, c’est vrai que sortir de l’UE au moins c’est pas du tout clivant, pas du tout du tout.
Faut réviser sa copie monsieur « l’archéomarxiste » revendiqué.
à @ philosespiritam
Je ne peux que souscrire à ce que vous écrivez … Même si vous allez plus loin que moi! Et même si ce que vous nommez « empathie » ressemble fort à un comportement inscrit dans ce que décrit Rizzollatti (et il n’est pas le premier à le démontrer).
Mais je ne peux que reprendre la phrase d’Einstein « You cannot solve current problems with current thinking. Current problems are the result of current thinking.” C’est en gros, d’ailleurs, ce que dit Toynbee dans le problème de la chute des clans, des sociétés et des civilisations.
D’où la forme de mon mail précédent sur le « fier passé » (emprunt à Game of Thrones »).
Nous avons devant nous des défis à relever parce que nous ne les avons pas solutionnés avant et donc ils sont gigantesques. Il y faut une mystique (sinon 80% des gens resteront dans leur narcissisme voulue biochimiquement et entretenu par la caste dirigeante). Il faut donc changer d’échelle et après les dieux de la terre (Ra, Isis, …) puis ceux de l’homme affranchi de la nature ( monothéisme, pensée grecque)… il faut donc se propulser au niveau de l’ensemble de la planète et regarder en face le réchauffement climatique, la surpopulation (en plus concentrée en milieu urbain), la disparition de l’énergie fossile carbonée, etc … Il nous faut donc un nouveau Moise avec des tables de la loi qui emportent l’adhésion (uniquement ici pour faire biblique, je ne suis pas adepte de cette façon de pensée). ET donc non il ne faut pas aller contre les lois de la physique (comme l’a écrit P. Jorion) mais bien contre celles de la biochimie et de la neurophysiologie du cerveau (pour le peu que l’on en connaisse actuellement, mais c’est édifiant si on veux bien prendre la peine de lire « les neurones miroirs »).
Et cerise sur le gateau, la majorité de l’espèce homo sapiens (80% donc), se fout complètement de ces défis et problèmes.
Et pour bien me faire comprendre sur un exemple débile juridique « Lagarde risque 15000 euros d’amende et 1 an de prison ». Or il existe un article du code pénal sur le mauvais traitement des êtres biologique domestiques (article 521-1) qui est sanctionné par « 2 ans de prison et 30000 euros d’amende ». Donc nos chiens empathiques valent bien mieux que nos politiques juristes, d’après la loi française, non?
Cordialement
Christian
la majorité de l’espèce homo sapiens ne sont pas desinteressés :
Il font juste soi confiance,
ou sont déçus et s occupe de leurs quotidien en attendant que cela s ecroule car ils savent que cela s ecroulera un jour ou l autre.
Des moîses, vous en avez plein la planéte et plein le blog sauf que la société regarde plutôt les judas pour l humour.De plus un individu dictant une régle est valable quand il existe l ignorance, aujourd hui les personnes ne sont pas ignorantes elles sont complices inconsciemment et indirectement.
Cordialement.
Le problème actuel est que l’homme est dans le déni au delà du déni, il s autosuggestionne, fait ses auto-croyances même si on lui prouve qu elles sont fausses, s auto conditionne et par contagion conditionne les autres etc…Les problèmes sont solubles et les solutions existent sauf que tout est gardé au secret.Par contre on vous créera de faux problèmes ou utilisés des vrais pour maintenir une domination et soumission voulue ou non.
Les énergies libres existent, les solutions pour l agriculture sans pesticides existent, les solutions pour que les aliments ne périssent jamais existent.Le problème c est que certains gardent ces connaissances pour eux comme le mode de consommation vous fait payer la connaissance et l apprentissage par diverses mécanismes mercantile de diffusion éparse et complémentaire des savoirs.En somme pour apprendre avant internet il fallait acheter tous les livres.
Ce n est pas un problème de croyance, mais un problème psychologique, et un problème d addition à l ‘argent comme disait reagan en 1982 : le taureau a été lâché : le veau d or en référence celui de wall street sur la place.Vous savez pourquoi.
Cordialement.
Le probléme ne sont pas les peuples.Mais les dirigeants.
Pour vous répondre sur un hypothétique messie, je répondrai que la majorité s attendrait à une belle jeune femme aux formes appreciables ou un bel homme de forte corpulence musclée avec un ipad pour table des lois.Vous voulez probablement parlé du projet Blue Bleam , pourquoi mais je ne pense pas que cela puisse marcher.
Pas besoin de mystique.Regardez juste le ciel et observez la planéte.Elle se modifie.
’Einstein « You cannot solve current problems with current thinking. Current problems are the result of current thinking.
C est entièrement vrai les solutions sont dans le surpassement de soi.
Le probléme était technique et technologique.
Le souci actuel est qu aucun systéme n’a prévu une réponse sociologique et humaine puisque le systéme est anti humain par définition.
Pour la loi, elle n est tout simplement pas bien construite.Car basé sur un rapport d equité materiel et non morale.la vrai morale.
Cordialement.
La trajectoire passe le VOLET INSTITUTIONNEL ci-dessus, qui rend les autres possibles. Le broyage partiel du cadre législatif fournit un moyen de contrôle et un répit dans l’assaut de sophismes de la novlangue politicienne.
@ Troncal
« La question est de savoir si « nous » avons plus de clairvoyance que nos élus pour pouvoir les « surveiller ». Je suis tout à fait démocrate, cela ne m’empêche pas de me méfier un peu du « peuple » »
C’est de l’homme, mortel, stupide, mimétique et lyncheur, qu’il faut se méfier.
Et donc il faut empêcher les gens de se nuire les uns aux autres.
L’équilibre des pouvoirs dans l’Etat est un frein l’instalation de la tyrannie et renforce le débat bon pour la démocratie.
L’équililbre entre Etat et marchés réduit les abus de l’un ou de l’autre.
Chaque idéologie est un frein et un stimulant pour perfectionner les autres.
Etc, etc…
Après le diable est dans les détails.
Et justement, il nous faut chercher des idées permettant des réformes :
– Solutions aux problèmes actuels.
– Non susceptibles de déboucher sur des abus.
– Rassembleuses ou du moins présentées de façon aussi consentuelles que possible.
Pouvons nous espérer vivre mieux avec un pétrole de plus en plus rare et de plus en plus cher a extraire? Pouvons nous réduire d’au moins 50 % nos énergie fossile de façon a moins subir l’inflation inéluctable de leurs prix? Trouver des réponses a ce problème majeur, résoudra une bonne partie des problèmes.
Depuis 1970 les découvertes de pétrole conventionnel ne cesse de baisser.
Nous somme capable d’extraire a peine plus de 40 % de la capacité d’un réservoir.
Pétrole et gaz de roche mère + sable bitumineux + pétrole conventionnel, n’on pas permis de faire baisser raisonnablement le coût du pétrole alors que nos économies tourne au ralenti depuis 2008.
Je vous invite a charger ce fichier (http://www.manicore.com/fichiers/Assemblee_nationale_DD_6_fev_2013.pdf)
élaboré par Jean-Marc Jancovici lors de son audition a l’assemblée, afin de mieux comprendre notre pétro-dépendance et que nos voix de secours sont bien mince aujourd’hui.
les gouvernements pensent en réduction de la dette.Ils ne veulent pas changer.
Cette dette ne peut pas et ne sera jamais remboursée.
La compétitivité est facteur d écroulement des économies car elle détermine la compression des personnels des cadres, des salaires, de toutes les entités pour une captation unique.
On ne peut pas résoudre des problèmes modernes avec des recettes du passé périmées.
Le problème vient de l idéologie de l UE, sa théorie et son coté structurelle, en pratique.
L UE comme elle est conçue est faite pour détruire l Europe de l intérieur.Modelé proposé par les Américains de l epoque.
Vous savez pourquoi cela ne marche pas et pourquoi tout ce qui sera tenté ne fonctionnera pas tant que l UE ne sera pas européenne ce sera déboire sur déboire jusqu a implosion comme en ex Yougoslavie.La les profits seront juteux pour ceux qui ont enclenche le processus.La mise en garde est faite.Ne pas changer ou modifier les regles reviendra a se battre contre des moulins.
Les gouvernements ne prennent pas conscience des problèmes et de la dégradation qui s accélere, sont ils prêt pour 70% chômage aux Etats unis et en Europe dans les prochaines années ? Le Mexique n est pas loin comme typologie et configuration de pouvoirs anarchiques et violences sous toutes les couches sociales.Inutile d attendre pour certain un conflit pour resoudre le probléme il n y en aura pas.
Cordialement.
Pour ma part, je pense que le nœud gordien est cette loi inique de 1973 dite « Pompidou-Rotschild-Gisgard » qui impose à l’état de se financer sur les marchés financier plutôt qu’auprès de sa banque centrale, le privant ainsi de son pouvoir de politique monétaire et l’assujettissant au volontés des puissances financières privées, dont le seul objet est leur intérêt propre. Plus question alors de faire des choix qui les contraindraient, c’est toujours la payeur qui commande !
Mais revoir les traités fondateurs de l’Europe et faire que la BCE rende compte aux états plutôt qu’aux instances de l’industrie financières et qu’elle puisse prêter directement aux états n’est pas une mince affaire…
Une erreur oui mais car la France avait peur du communisme Russe.
Entre les idées reçues de Job et celles de Lacroix-Riz il n’y a pas l’épaisseur d’une feuille de papier à cigarette OCB.
Si la BCE peut prêter aux Banques(de second rang),
mais pas aux Etats,qui peut-il ne pas trouver cela ABSURDE ?.Et cette absurdité de la loi
de 1973,est-ce si difficile de s’en débarrasser?L’Europe n’a pas vocation à être fondée sur
l’absurde!Les traités absurdes doivent à l’évidence être amendés!
@ Job
Vous avez raison de dire qu’il faut rectifier cette erreur.
Ils vont tenir les mêmes discours.Çà va être comique.
Et – résumons nous – le difficile exercice de lecture de ce blog vous aura TOUS CONVAINCUS qu’il faut un outil spécifique de DIALOGUE STRUCTURE « CONSTRUCTIF » qui puisse permettre ::
— de construire une arborescence de savoir opérationnel =
. problemes, hypothèse de solutions, critères, solutions à retenir, implémentations.. le bon vieux principe « SPRI »
. les arguments POUR et CONTRE
— de NAVIGUER et EXPLORER les ARGUMENTS, se POSITIONENR de MANIERE FINE (cad je suis pour cette soutien.. parce que.. ) et DEBATTRE entre les différentes positions…
La clé c’est une bonne structure logique à la base et des outils sympatoches.. (ma formation à la base = droit international, Informatique avancée, j’ose pas dire I.A (!) et édition technique.. j’ai été un spécialiste du SGML et bases de données éditoriales.. méthode de conception de produits « structurés et depuis j’ai un peu roulé ma bosse et appris a mieux maitriser la créativité.. et l’inventivité.)
Bon alors, voila… c’est mon dada, cela fait des années que j’y travaille, j’ai mis au point une solution qui a été testée en vrai sous forme d’une publication a succès à l’occasion du traité de maastricht. J’ai pu prendre le recul nécessaire et bien en comprendre les mécanismes fondamentaux. La version électronique a mis beaucoup de temps a être mise au point. J’attendais un contexte favorable, une belle occasion d’accompagner un mouvement dans le bon sens. j’ai suivi toutes les tentatives dans le genre. il leur a toujours manqué 2-3 ingrédients essentiels à mes yeux. (dernière mise en oeuvre catastrophique : le site NEWSRING ou comment Frederic Taddei s’est fait baladé par un CENSURE d’entrepreneur web aux dents longues et à l’intelligence visiblement.. moins longue!
Pour l’implémenter, il me faudra
1) un feed back favorable de quelques âmes dans lesquelles j’ai une certaine admiration intellectuelle-pragmatique.. qui est intéressé?
2) des sous.. peut être via le crowd funding?? avec un noyau issu de la planète « Jorion »?
Et niveau timing, je pourrait cet automne, me rendre disponible, quelques mois, le temps que les brevets de mon activité en cours de création soient bien validés… par le système! Sourires.
la fenetre est là.. du 1er octobre au 31 janvier ! Zou..
voila un appel lancé.. Amen!
un bon wiki avec un peu de moderation et un cadre structuré, ca ferai aussi le travail non?
il y a deja les articles, les fils de discussions, etc, pas besoin de reinventer la roue, mais par contre, réfléchir au contenu, ca c’est le plus dur 🙂