Je fais partie de ces gens qui n’arrivent pas à écrire sans un fond musical. C’est pourquoi je fais tourner en boucle ma discothèque pendant mes heures de travail.
Parfois je tombe comme cela sur Gene Vincent alors que je peine sur un obscur « mécanisme psychologique » postulé par Keynes et je suis obligé de faire taire provisoirement ce brave garçon pour passer à quelque chose de plus approprié dans le contexte. Parfois, comme à l’instant, c’est la beauté de ce que j’entends qui m’oblige à m’arrêter un instant, pour écouter plutôt que d’écrire. J’ai voulu vous en faire profiter.
Le chevalier à la rose (1911) : Richard Strauss, sur un livret de Hugo von Hofmannsthal
C’est vrai qu’il faudra aussi compter avec cela : … » La dernière fois qu’elle s’était présentée, en 2016, Jill…