Billet invité.
Lorsque je lis les niouzes des journaux mainstream, des fois je me gratte la tête ! Comme je fais le matin quand je me réveille mal : Prêts toxiques : Dexia condamnée à rembourser 3,4 millions d’euros à Angoulême
Heu … vu la somme à « rembourser », je trouve que cette nouvelle de l’AFP est hors norme !
Angoulême a de la chance, mais d’où peut venir l’argent ? tandis que la banque se retrouve démantibulée ?
Et si toutes les communes flouées se retrouvaient au guichet de Dexia, qui paiera ?
Je suis informaticien chevronné, alors j’ai de la chance. Je ne travaille pas dans la finance, je suis purement « système », free lance, en portage, je bosse pour N*** depuis 1 an. Je déambule dans le quartier de la Défense en journée. J’avais la même opportunité professionnelle chez Dexia à quelques immeubles de mon boulot : le même taff, codeur, en juillet 2013 !
Il y’a un an, je passais un entretien avec ma cravate chez Dexia, et là mon interlocuteur m’a parlé des « stratégies rationnelles de Dexia (sic) », puis N*** (over pétée de thunes) m’a vendu à 35 euros de plus par jour « on est dans la merde, venez ».
Du coup, je code de manière folklorique à 35-euros-de-plus-par-jour, et le midi je contemple le presque ancien immeuble de Dexia.
C’est quand même incroyable le « prix des choses », le « prix du code », parce qu’à la fin, je programme pour supprimer mes semblables, sans aucun scrupule.
Et les communes flouées par Dexia, accepteront-elles de payer les robots assureurs de N*** que nous coderons ?
À prêts toxiques, codeurs toxiques. Alors un bout de ma vie est horrible !
A+
@Hervey (« NOUS FAISONS PARTI DU PAYSAGE et nous agissons sur lui pour le modeler ou le déformer ») Je veux croire…