Suite au reproche que j’adressais aux syndicats, dans ma vidéo de vendredi, d’avoir rejeté la proposition faite par le gouvernement Fillon II, de bonus accordés aux salariés au prorata des dividendes accordés aux actionnaires, « ne reconnaissant pas », dans mes termes, « une mesure socialiste quand ils en voient une », j’ai reçu trois mails contestant – parfois durement – mon interprétation. Tous trois justifient le refus des syndicats par le peu de résultat in fine sur quoi déboucha la mesure législative qui fut finalement prise.
Nous avons lu ici, à quelques-uns, les arguments qui me sont opposés.
Notre conclusion est qu’il s’agit dans chacune de ces trois argumentations, d’une justification après coup par la direction des syndicats de la situation qui a résulté du refus par elles d’accepter le cadeau (justifié) qui était fait aux salariés. Comme il s’agit dans ces analyses d’un constat a posteriori d’une situation résultant du rejet initial par les syndicats de ce cadeau, ces directions ont beau jeu ensuite d’affirmer que celui-ci était sans intérêt, alors que c’est essentiellement leur attitude de refus qui l’a rendu tel in fine.
@BasicRabbit en autopsy Il y a un demi-siècle il était plus rapide d’apprendre à parler (/écrire) le langage des ordi,…