Billet invité. Ce billet sera exceptionnellement ouvert aux commentaires pendant 24 heures, durant toute la journée du lundi 28 avril.
Ceci est un témoignage. Un appel d’air. Voyez-y une photographie. Une confession. Pas une analyse du moment. Un besoin de dégueuler l’horreur de notre Système. C’est le nôtre, quoi qu’on en pense. Pardonnez-moi, tous. J’attends que jeunes et vieux prennent leurs responsabilités et donc leurs armes.
Car voilà plusieurs mois que l’angoisse m’étreint comme jamais. Je n’en dors plus. La semaine prochaine, je serai contraint à la cavalerie bancaire, par ma banque. 4.000 euros. Et je travaille ! Classe moyenne basse, mais divorcé et célibataire, et un enfant. Je me cherche un second emploi ! Je ne vous dis pas tout car j’essaie de mettre du beurre dans les épinards… Et les rappels d’impayés et les immondes menaces d’interdits bancaires, et les prélèvements pour énormes frais de gestion me disent que c’en est trop. C’est horrible de vous écrire ceci, pour mon amour-propre, même si j’en ai peu.
De toutes façons, je ne suis pas adapté à cette société malade. Je ne l’ai jamais été.
« Mon emploi » m’enseigne que les plus malhonnêtes sont les plus riches.
À 34 ans, je vais devoir m’endetter pour… payer une dette – un découvert – auprès de « ma » banque. Je sens que je vais encore ajouter une chaîne à mon cou, et cela fait des mois que je fuis ce moment fatidique. Pourquoi ? Parce que je pense à ma fille. Parce que je me dis que cela ne pourra pas durer plus longtemps. Mais je ne sais pas du tout comment sera ma situation dans deux ans.
Inutile de parler de cela à ma sœur, ni à mon père, qui sont toute ma famille.
Ma sœur et son mari gagnent 4 ou 5 fois mon « traitement ». Classe aisée.
Mes parents, d’humbles ouvriers, ont connu 10 ans de chômage et de maladies dans les années 90. Dix ans d’insécurité alimentaire et locative, et de porte-monnaies troués entretenus par des crédits « revolving ». Ils avaient alors mon âge. Ma sœur a fui cet enfer dès que possible et moi aussi, même longtemps après la mort de ma mère, et en 2009, il a encore fallu sauver de cela mon père. Mes maigres économies – 1.000 euros ! – y sont passées ! Mon père n’a comme seul héritage à nous transmettre que des dettes… et l’amertume d’une vie de parents gâchée royalement.
Malheureusement, mon divorce – sans aucun crédit autre qu’un découvert fatidique – va me coûter cher. J’ai « à tout prix » cherché à ne pas revivre ce que mes parents m’ont fait vivre et c’est comme un immense échec que je me vois revivre cela, que je me vois faire revivre cela à mon enfant… Quelle humiliation… Quelle mort dans l’âme. Vivement le Lotto, le PMU (qu’est-ce que ma mère a pu dépenser comme argent là-dedans – autant d’espoir d’y gagner qu’elle en avait dans Dieu ou l’Horoscope – tant de désillusions perdues dans l’alcool quotidien), vivement que je vende à mon tour mon « Indignez-vous ! » à moi ! Je crois que le nombre de fois où j’ai rêvé de mettre fin à mes jours dépasse de très loin celui où j’ai voulu vivre ma vie.
Aussi j’ai décidé de témoigner ici, auprès de ces lecteurs que je connais à peine, des inconnus (sauf ceux qui fréquentent Le Vicomte !) qui comme moi luttent pour leur survie, ou ceux qui ont « bonne fortune ». Comme j’aimerais être de « bonne fortune » ! Je ne l’ai jamais été. Mais comme j’aimerais aussi n’avoir jamais eu à me confronter à ce monde qui n’est pas le mien !
Car plus le temps passe, plus je me dis que cette « merde infernale » dans laquelle nous pataugeons hébétés, anesthésiés par le confort, eh bien, cela n’est qu’une existence d’esclave de la dette et de la consommation. Et je me dis que si nous regagnions notre indépendance, notre autonomie, nos savoir-faire, nous serions de nouveau libres – nous flanquerions donc enfin pour cela aux cachots ou au bagne les « responsables ». Pour cela, il nous faudrait « couper le membre pourri » et « sauter la barrière » comme je l’ai déjà expliqué auparavant. Cependant, l’avenir est plus que noir à l’horizon. En nous tous vivent encore les horreurs du Bois du Cazier. « On croit mourir pour la patrie ; on meurt pour des industriels » a dit Anatole France…
Ma réflexion, en ce moment, travaille justement de larges horizons philosophiques, politiques, cosmologiques. Et en vérité, pour qui cherche, après de nombreuses années de recherche, en l’extérieur de soi, apprendra qu’il ne faut rien chercher, car tout est en soi. Qu’est-ce que cela veut dire ? Cela semble simple mais ne l’est pas « en Vérité » (et celle-ci est cruelle). Cela veut dire que nous avons besoin de peu pour « Vivre la Vie » (et non Réaliser une Existence). Les moines bouddhistes définissent ainsi leurs « nécessités » primordiales : un bol pour la nourriture ; deux ou trois robes ; un toit ; les remèdes s’ils sont malades. Pour nous laïcs, nous pourrions ajouter : par exemple de quoi faire nos outils afin de devenir indépendants et autonomes. Pour aller plus loin, nous pourrions envisager qu’une communauté humaine n’est pas nécessaire, mais cette position est très extrême. « C’est la Qualité » qui définira le Monde selon Robert Pirsig dans son Traité du Monde et de l’Entretien des Motocyclettes.
« L’Existence » est une notion, une « valeur » inculquée par la société moderniste. Elle est une notion construite et insufflée par les penseurs de la « République » car elle est nécessaire pour combler le fait que nous ne vivons pas. Elle l’est car elle est synonyme de consommation. Nous survivons donc, comme esclaves. Majoritairement, nous ne vivons pas « notre histoire personnelle » comme le dit Paolo Coelho. Pire, nous parachevons notre dépendance quand nous devenons dépendants du RSA, CMU, etc. tombant sur l’avant-dernière marche de la « société ». Ensuite c’est SDF – j’ai très peur de le devenir même si je souhaite de ne plus rien posséder pour ne plus être possédé.
Si nous ne consommions pas, nous ne serions pas dépendants du Système et celui-ci s’écroulerait – vouloir l’indépendance est l’unique espoir « pacifique ». Nous rependrions alors notre Liberté. Nous mettrions aux cachots et aux bagnes les personnes qui doivent y être. Nous regagnerions notre Dignité en exploitant de nouveau, non autrui, non l’inconnu du palier voisin, mais cet autre inconnu, également volé par le Système marchand : cet enfant qui dort en nous.
Voilà, je vais m’endetter, je vais donner des sous, de l’électronique, je vais emprunter à X pour donner à Y : X va créer magiquement une ligne électronique qu’il va envoyer à Y qui va faire de même. Mais ce sera une chaîne nouvelle pour moi. Cela n’a aucun sens. C’est comme cette photo circulant sur Internet : un cheval attaché à une chaise de jardin en PVC et qui patiente. Le cheval n’a pas idée qu’il peut s’enfuir : non, il est attaché et cela suffit pour son maître. Cela nous suffit non ?
Lundi, après une semaine de congés payés, je vais donc retourner faire ce métier que tout le monde fuit, être payé une misère, je vais remplir une existence gracieusement offerte par mes supérieurs et je ne vivrai pas une vie riche et lumineuse : la mienne. Je ne donnerai à ma fille que cela : l’horizon d’une existence attachée, au mieux, à la dette de la banque et à la chaise de jardin du « travail ». Et je ferai ma demande de crédit pour rembourser une horrible dette. C’est inacceptable de réduire la vie humaine à une dette non ? Pourtant, trois jours de dépenses militaires mondiales suffiraient chaque année à éradiquer la faim dans le monde, et donc, « chaque enfant qui meurt est un assassinat » comme dit Jean Ziegler.
Réveillez-vous : osez, levez-vous, rien n’a plus de poids désormais. Relisez Bellegarigue, et tant d’autres. Nos enfants méritent que nous ayons du courage. L’indépendance est notre espoir.
Je dédie ce billet à ma fille, qui débute sa Vie, et à Annie Le Brun, qui a déjà su comment justifier pleinement la sienne.
196 réponses à “LA DETTE !, par AncestraL”
Je suis dans une situation similaire ça fait longtemps que je me pose la question:
C’est quand que ça pète ???
Et on est pas les plus mal lotis, je pense aux Grec, Irlandais, Portugais, Espagnol, Et tous les pays de « l’est » pour ne parler que de l’Europe. Et ça pète pas .
Je suis là, bouche ouverte, que dire ? Dire que nous vous soutenons moralement. Dire qu’effectivement, la Réponse est en nous. Dire que l’on vous aime. Dire …Je ne sais plus. Courage jeune homme. Le vie vaut le coup, surtout quand on a un enfant. On va finir par s’en sortir de cette putain de dette. Il existe en France la Commission de surendettement, grâce à Mme Véronique Neiertz (il convient de s’en souvenir et de lui rendre hommage). J’y ai eu recours deux fois dans ma vie. J’assume encore une pénitence de cinq ans pour défaut total. J’en étais à votre constant quand j’ai décidé de m’adresser à Elle.
Je vous réaffirme ma compassion et ma fraternité. Écrivez moi si vous le souhaitez.
Difficile de réagir à ce « riche » billet qui nous rappelle que nous serons tous aspirés dans cette spirale infernale, si d’aucun ne l’a encore réalisé, faute de réaction forte et rapide.
Nous sommes là réellement confrontés à ce que nous allons léguer à nos successeurs, enfants, petits enfants….
A votre fille je souhaite le meilleur « Ancestral », en premier lieu que son père puisse lui témoigner son amour très longtemps et lui communiquer un optimisme suscité par une réaction générale digne de l’humanité.
Bonsoir cher inconnu,
Votre missive m’à touchée, surtout que cela semble une petite somme 4000 euros, mais lorsque l’on a peux voire très peux il est vraie que c’est imposible. Surtout ne broyez pas de noir svp, cette phrase qui m’à bouleversée et si joliment écrite car le désespoir peut faire que l’on écrive avec les sentiments aux bouts de vos doigts ..sur le clavier. VIVEZ, vous êtes jeune on peut changer de vie, voire de pais pour voire si il y a des opportunités alleur.
Je suis españole et vit en Espagne , ici le salaire minimum est de 675 euros, la vie est aussi chère que chez vous, la nourriture, la baguette, le lait …tout est le même prix que chez vous et parfois plus cher. Nous sommes ici aux PAYS de Chorizos..(on l’emploi pour dire voleur..) , les gens sont exploites et ils sont dans un état profond de fatalisme, de conformisme. Ne soyez pas fataliste, pas conformiste , vous savez ici il y a des cas a faire hurler…ici on paye tout, quand vous avez un enfant gravement malade c’est le salaire entier qui y passe il n’y a aucune aide.Pas d’allocation, pas de chômage maximum 18 mois. Vous me direz, cela e fait des belles jambes! il y a pire mais c’est ce que je vis qui me meurtri a petit feu.Ma mère , femme célibataire ..très mal vue ici dans les années soixante, femme courageuse est partie dans votre beau pays pour travailler..delà mon français et flamand, anglais, et autre..c’est à la Belgique que je le dois. Car l’enseignement est gratuit chez vous, ici les gens payent toutes les années les livres scolaires pour chaque enfant , pour le primaire c’est entre 250 a 300 euros par enfant.En secondaire c’est plus cher..et c’est l’enseignement public.
Il est vrai que cela doit un jour cesser, qu’il faut changer de modèle de société . Ils s’en richissent sur le dos du peuple souverain…palabre qui a complètement perdue son sens.
Je vous souhaite du courage et des jours meilleurs..et je suis certaine que cela se produira.
Bonsoir depuis Madrid.
Ma situation est différente car je suis sur la dernière marche de la société: celle des SDF et des parias.
Je n’ai ni travail, ni allocations, ni chomage, je ne dépend de rien, ni de personnes. La nature m’as heureusement empéchée d’avoir des enfants, cependant cela fait maintenant 10 ans que je me demande une chose: Pourquoi?
Notre existence est modelée a mon sens, actuellement, comme celles des insectes: un individu est soit utile a l’ensemble de la pyramide sociétale, soit il est inutile donc éliminés, mais l’humain a une nette tendance a réutiliser les éliminés comme épouvantails pour les autres membres de la communauté.
Pourtant, je me demande pourquoi? Pourquoi payons nous notre existence?
Nous ne demandons pas a venir au monde, nous ne demandons qu’a vivre sereinement et pleinement, librement, hors nous sommes dès l’enfance enchainés a une machine infernale, une sorte de Borne d’arcade folle dans laquelle je dois invariablement mettre des pieces pour avoir droit a la vie, a mon droit d’exister, mais pire encore a laquelle on m’interdit de me détacher pour vivre. Car la machine s’est emballée, elle a lançé ses prises et fils electriques partout a travers le globe, forgeant des lois qui interdisent que je puisse avoir mon autonomie.
Finir a la rue? j’y suis deja tombée, j’y suis depuis 10 ans, hebergée par un ami, et mon existence n’est effective que parce que mon nom existe sur une boite au lettre, rien de plus.
Mon ami me dit preferer le suicide a la rue…tandis que je lui oppose un certain optimiste combattif: celui qui dit que non, l’existence n’as pas à se retrouver enchainer, qu’on peut nous battre, nous menacer, nous enfermer, mais qu’au final, des chemins existent….ce qui manque, c’est la volonté, le courage mais également la peur.
J’ai peur comme tout un chacun, cependant je me dit que la vie n’as pas a être une vie servile, enchainée a cette borne d’arcade folle, cependant, que faire quand les milliards de joueurs, eux continuent a y croire, par peur, par soutien a la machine en espérant la voir recracher quelque pieces? Ce n’est pas que l’on est seul, c’est aussi que même sur la dernière marche sociétale, on veux vous faire payer le prix de votre existence, même si vous êtes un paria…
Phillip K.Dick n’avait pas tort avec Ubik, en disant que tout etait payant: le droit a l’existence l’est aussi…ce qui est injuste. Rien n’explose possiblement parce que les gens de la classe moyenne trouve encore un certain confort, ils ne sont pas encore comme moi, sur la dernière marche, de ce fait, ils continuent encore de soutenir la machine, mais jusqu’a quand?…oui, jusqu’a quand vont ils continuer a enrouler les fils de la borne qui pourtant les etrangles et les fait ressembler de plus en plus a une serie de pendu macabre se baladant dans les rues?
J’attends, j’ecrit mon livre, je reflechis…et je me dit qu’il faudra bien a un moment eteindre cette borne d’arcade vorace…le problème n’est pas seulement quand, mais également comment….
A.D
un monde absurde qui ne possède aucun sens, c’est la théorie de Schopenhauer.
Quand l’esperance disparait qu’il ne reste que le sourire,la derision,le bonheur suggere,ne pas flechir pour ses enfants,leurs cacher notre desesperance,alors qu’elle transpire a travers les pores de la peau.Travailler?c’est vital,mais aussi moral,mais refuser un systeme qui gangrene toute esperance,il faut alors se battre,se convaincre et prouver que la vie ne se resume pas a un confort materiel,difficile apres des annees de boulot,dodo,metro,encore plus difficile quand on n’a pas que soit a penser,mais surtout ne pas commettre d’erreurs qui pourrait etre fatal pour une vie de famille,j’ai 49 balais et j’en suis la,par mauvaise gestion?meme pas,simplement par des choix impulsifs pensant assurer un meilleur confort social a mes proches.Mon travail jusqu’a present je l’aimais,me rendait heureux,m’empeche de me poser des questions,tout a bascule en meme temps,je suis passe d’un milieu sociable a un milieu de competitivite absolue,ou aucune faiblesse ne peut etre tolere,ajoute a ca le vol manifeste de ma banque qui a pille mon compte qui, trop a decouvert c’est vue afflige frais diverses,rejets,frais pour impayes,forcage,meme de bonne fois on te laisse aucune chance,la finance n’a pas d’ethique,n’est que fric,alors retourner travailler?La ou j’etais,non,mais comment faire a moins de creer son propre emploi?je ne vais pas relire bellagarique,je ne l’ai jamais lu,mais je prendrai le temps de le decouvrir,la folie humaine ne s’eradique pas mais ce combat,merci.
Non, la dette n’est pas forcément un dû, mais un de ces mythes miteux du vieux monde auxquels il faut tordre le cou.
Certes, Yéti !
Ah le terrible mot de CONSOMMATION!!!!!!! votre billet sur le blog de mr Jorion est entre de bonnes mains . Vous êtes encore « jeune » et votre lucidité, j’espère, va vous aider à résoudre votre problème financier et à changer votre mode de vie . Retraitée je suis confrontée à cette super-consommation que la publicité se fait un plaisir de relayer, je la trouve criminelle!!!!! oui il faut se retourner sur nous même et choisir chaque action au mieux , quand au travail cela fait des années que je pense qu’il n’y en aura pas pour tout le monde. Nous sommes allés trop vite en TOUT et arrêter une machine emballée c’est le plus difficile.Mais essayer de choisir sa vie même dans ses plus petits aspects est un début pour dire stop. Bon courage et donnez-nous de vos nouvelles. Merci Mr Jorion pour votre blog que je consulte tous les jours
OUi la seule façon que nous ayons de résister est notre acte d’achat ou plutôt de NON ACHAT, on peut expliquer ça à nos enfants. Travailler et consommer le moins possible, devenir végétarien, manger frugalement (bon pour la santé et anti-cancer), avoir des loisirs agréables mais gratuits, randonnées, lectures, et beaucoup d’autres façons de se distraire sans dépenser un centime ! Si on peut, jardiner…Bref tourner le dos à un système fou qui ne mène nulle part, on peut vivre aussi dans le partage, de maisons, de moyens de locomotion etc…Dans l’entre aide, amis, voisins, famille.
Ce sont peut-être les premiers pas vers une libération qui ne dépend finalement que de nous, à notre petit niveau. Si nous sommes de plus en plus à vivre de cette façon, c’est le système qui meurt. Car il ne vit que grâce à la CONSOMMATION !
Bonjour à tou-te-s,
Une contribution au-x partage-s … en rimes !
« CREER la simplicité volontaire »
La simplicité volontaire
Est une foule d’actes ordinaires
Qui font la chasse au superflu
Avant qu’il nous n’en reste plus !
C’est prendre conscience des limites
Des libertés qui nous excitent
Quand elles sont belles au naturel
Pour que la Vie soit éternelle.
C’est manger cru quand c’est vivant,
C’est respirer mieux dans le vent,
C’est habiter un logement frais
Qui limite d’autant les frais.
C’est se déplacer à vélo
C’est jouer au dé-méli-mélo
En activité principale
Car mieux comprendre devient régal.
Ça permet d’éclairer les autres
Sur le vrai message des apôtres
En reliant au masculin
Tout ce qui nous est féminin.
Ces actes si extraordinaires
Sont à la portée de notre ère
Qui veut faire de nous des mutants
Sans être pourtant déroutants
– parmi les autres qui comptent tant !-
Signature : luami
« Un médiateur d’ l’innovation
Qui allie raison et passion
Dans de bons moments dits d’enfance
Qui ré-inspirent notre existence ! »
@ luami
Bravo, bravissimo !
NON le sens de la vie n’est pas d’être COMPETITIF
Monsieur,
Vous ne demandez rien : y a t-il un moyen de vous aider ?
Bonjour Clémentine, je vous copie ce que j’ai mis plus bas :
« je ne demande rien. A vrai dire, cela ne m’a jamais traversé l’esprit en écrivant ce billet, qui est un témoignage.
Mes parents, et donc moi et ma soeur n’avons pour ainsi dire, connu que les aides sociales, et tous ces systèmes parallèles bienheureusement existants (Restos du Coeur, Secours Pop, etc).
Cela m’humiliait alors, comme mes proches. Et mes « camarades » m’ont quotidiennement brimés pendant mes années scolaires car j’étais pauvre. De l’humiliation, j’en ai bouffé jusqu’à la racine et je n’en peux plus. Et je vais encore devoir baisser mon froc devant une banque. Je REPRODUIS le schéma que j’ai toujours vu mais fui : celui de mes parents, et c’est insupportable.
Alors, demander de l’aide……. Je n’en demande pas, mais j’accepterai volontiers tout geste d’humanité en quelque sorte désintéressé : fraternel, amical, humain. Je laisse mon mail en contact.
Je ne sais pas quoi vous dire, juste un immense merci, même si naïvement, je ne pensais pas à « l’après écriture » de ce billet.
Bien amicalement, fraternellement, humainement,
AncestraL
Pour vous répondre car j’ai été touché par votre témoignage.
Il n’existe aucune réponse viable à notre systéme actuelle, sans vouloir assombrir les espoirs de chacun.
Le systéme a été pensé par certains pour ponctionner tout le monde et maintenir les peuples sous soumission des pouvoirs.La bonne nouvelle ? Oui il en existe une.C’est que ceux qui ont instauré ce systéme commencent déjà également à en subir les effets.
Malheureusement, il n existe pas d’autre solution que de casser ce systéme avec réparti verbale ou physique, car il a été établi pour que ne puisse pas le casser.
Or un systéme réflechi et pensé pour être indestructible et inalterable, ne peut avoir comme adversaire que la violence malheureusement.
Le but volontaire ou involontaire étant qu’un seul homme le plus riche détienent les rennes absolu du monde mais cela ne se fera pas.L’ecosysteme va tellement mal, que le plus riche heritera en finalité d une terre désertique.
Il existait d autre solutions pacifiques mais le systéme actuellement devient de plus en plus cruel et aura pour réponse un jour les violence et le chaos.Si l’on ne veut que les violences ne se fassent, il faut simplement que la majorité des personnes ne remboursent pas leur pret, ne paye pas leurs impots et n acceptent pas des metiers non remunerateur.Que voulez vous qu ils fassent, beaucoup trop de personnes sont aujourd hui endettes, les seuls qui ne le sont pas à certain niveaux sont ceux qui ont soit fait attention (en miorité) ou se sont enrichis sur les autres.
Mais rassurez vous le systéme commencent déjà à craquer.Au mieux il tiendra 5-10 ans même pas, au pire 1 an.Mais il va s autodetruire , seul ou accompagné, et de lui même ou par les autres.Les premiers a en subir les consequences sont les ultra riches.Pourquoi ? Car tous ceux qui leur sont subordonnees n auront plus d argent, et par starte successives, ca va les toucher.
Mias il faut bien comprendre que la plupart des possedants vereux feront tout pour que le systeme perdure quitte à ce que le monde entier n ait plus rien ou soit detruit.Il ne faut pas être naîf.Les gens de jeux d’argent ne cherchent pas le bien simplement les gains qu’elle qu en soit le prix.
Cordialement.
Déjà si on arrêtait de gaspiller, à commencer par la nourriture qui remplit nos poubelles (tout en ayant au passage bouché nos artères et intoxiqué nos corps), si on arrêtait d’acheter tout et n’importe quoi, dont on n’a absolument pas besoin, ce serait un bon début pour CASSER ce système…Remplacer le « j’en ai envie » par le « je n’en ai pas besoin », utiliser son cerveau au lieu de sa carte de crédit. L’industrie agroalimentaire détruit notre santé et derrière l’industrie pharmaceutique nous propose de la « réparer » (Ce qui n’est pas possible) sans parler du business gigantesque du tabac et de l’alcool et autres drogues. Ce business tourne à nos dépends. A nous d’y mettre le haut là non ?
Bonjour,
Permettez moi trois suggestions
Payez que les factures qui vous garantissent un toit sur la tête
Ne vous posez pas en victime, votre estime de soi vous remerciera
Vos parents vous ont transmis une patate chaude, ne la transmettez pas a votre fille
Enfin, je sais que le systeme ne vas pas vous aider, mais en vous lisant je sens que vous avez des ressources.
Alors courage
J’ai 73 ans, retraité donc et je vous dirais que la vie m’a appris que lorsque l’on est dans des situations délicates, difficiles, la manière de s’en sortir était » de sortir de son cadre de référence »
bon courage
Car à lire certains commentaires de personnes peu érudits.On ressent bien que nombre de possédants revent d ‘un monde assujetti tel le continent Africain.Or le continent n est pas assujettis comme beaucoup le croient, il existe beaucoup de revolte, rebellion, rapt de personnes travaillant pour les grandes firmes petroliféres.Si l’ensemble su continent africain ne reagit pas en masse pour lemoment c est qu il a le monde entier sur lui.
Les guerres civiles en Afrique sont latentes mais le jour ou cela explosera, cela va faire enormrment de degats.
Dans le monde entier, si l on ne fait rien, les guerres civiles seront legions et iront chercher les plus riches caches dans leur forteresse avec leur armées personnelles, drone, arme strategique etc .. mais cela ne servira à rien,Les peuples accablés et fatigues n en auront que cure des moyens employés pour les sevir, ils iront au suicide des masses contre leur bourreau quelque soitr les moyens.Un monde en décadence et en perdition,
C est pour cela qu a l heure actuelle, il faut commencer à acter dans le bons sens, convaincre, essayer de palier au plus urgent avec les moyens dont on dispose.Et si les pouvoirs n ecoutent pas malheureusement, la violence sera la seule réponse à leur autisme.Ils en seront les seuls responsables.Si vous regarder Israel et la Palestine, vous pouvez y voir ce qu il pourrait advenir du monde actuel dans 5 ans.Des riches ayant peur et des pauvres n ayant rien le tout se terminant au bout de 20-30 ans par la fin de l espece humaine ayant epuise toutes les ressources et ayant infertiliser entierment la terre ou memes les nouvelles technologies ne permettront plus de nouvelles pouces.L’urgence est là, et vouloir maintenir le systéme actuel est criminel que certains le fassent involontairement ou non.
Et personnellement, je ne puis opter pour l’autodestruction de notre monde.
La désespérance !
Voilà ce que notre société engendre. Elle promet la liberté (laquelle au fait ?), la jouissance de tout, la satisfaction instantanée de tous nos désirs, l’obtention sans effort, la disparition de la souffrance physique (mais en engendrant insidieusement une souffrance morale insondable).
Nous avons marché vers cet objectif comme un seul homme. Aujourd’hui encore, LA référence, c’est l’accroissement du PIB, toujours plus de consommation. Et tant pis si les individus sont broyés puisque l’objectif financier doit être atteint comme autrefois le plan, en URSS, était le but suprême quitte à ce que toute la population en souffre.
Le syndicat veut notre bien. Que réclame-t-il ? Plus de salaire pour plus de pouvoir d’achat. On y revient toujours à cette satanée consommation, seule raison d’exister de cette société.
L’homme s’est , paraît-il, libéré en se débarrassant de Dieu. Beau résultat.
Mais rassurons-nous, notre souffrance ne durera pas puisqu’un beau projet humaniste va nous être appliqué sous peu à travers l’euthanasie. Ainsi la Bête se débarrasse de ses déchets, produit final logique de tout acte de consommation.
si Dieu est mort, nous restons sous son influence.
cette notion de dettes est très culpabilisante, ne possédons-nous pas une dette infinie envers Dieu, fruit de notre désobéissance motivée par la pulsion de connaissance. La dette est un profond symbole de subordination, nous sommes dans la servitude volontaire pour reprendre le terme de La Boétie. D’ailleurs son discours est bien imagé par votre cheval docilement attaché à lui-même. Si cet animal prenait conscience de sa puissance, il briserait sa chaise et ses chaînes. Pour la plupart, on se contente de s’asseoir sur cette chaise musicale, repère sécurisant.
Sinon, une question, les spaghettis du Vicomte tiennent-ils leur promesse gustative ? 😉
Le bris de chaîne, lorsqu’il est convenu entre le débiteur et le créditeur, s’appelle le Jubilé.
En cette année papale, je prône un véritable Jubilé, grand, massif, rapide, immédiatement suivi de mesures destinées à éviter de retomber dans la marmite. C’est peut-être ce que Paul appelle « des recettes toutes faites » comme je l’ai entendu dire récemment.
Donnons les moyens aux politiques d’assumer un tel jubilé en leur offrant des solutions de soutien à cette mesure qui serait pour le moins révolutionnaire.
Bonjour Ancestral,
Merci d’abord pour votre audace. En lisant votre message personnel, le mot dignité clignote derrière chaque phrase et chaque détresse exposée. C’est elle qui semble vous taraudez. Vous et pire, le regard que vous supposez de votre petite sur vous et ses conséquences handicapantes que vous anticipez.
Dans un système où chaque structure concoure à l’euthanasie du surendetté et à la dépendance vitale du salarié, le surendettement est une maladie incurable et l’emploi un esclavage éternel. Il impose une lutte pour le prix de la vie où celui qui ne paie pas est indigne, celui qui profite de l’emploi et/ou du chômage (c’est finalement la même chose) est indigne.
A 34 ans, sur le marché de la vie, votre prix : 4000€. De l’indignité de vivre ainsi, passer à l’indignité à vivre tout court ne demanderait qu’une incitation par une augmentation de votre dette à l’aide d’un crédit. Crédit obtenu, bientôt viendra le mérite de vivre ? La dignité et le mérite seraient de se faire mourir puisque pestiféré, coupable de transgression voire de sacrilège (dans un tel système l’indignité est contagieuse et blasphématoire) ?
Mais bordel dignité et mérite sont ailleurs. Loin, très loin de l’adoubement de votre banquier ou de votre employeur ou de votre voisin et même de votre sœur. Très très très loin de cet inextricable supposé qui vous étouffe.
Quelques que puissent avoir été vos erreurs, quand la banque pompe légalement dans les finances publiques sans aucun risque donc impunément, quand l’entreprise estime ses employés en coûts et non comme des collaborateurs (parfois même à l’insu de son plein gré), ces deux là sont à l’unisson pour faire perdurer ce système sombrant résolument dans la décadence et la corruption puisque excluant toute réconciliation i.e. remise en cause par le vivant. Lui, le système tout puissant inanimé est indigne. Il est l’usurpateur. Pas vous.
Deux (encore) seuls évènements pour un humain sont irréversibles : la naissance et la mort.
Aucune autre situation n’est irréversible tant que nous ne l’avons pas qualifiée comme telle. Si elle l’est, c’est parce que nous fusionnons avec la situation. Nous devenons la situation. Et oui, alors, la situation aspirant toute notre énergie donc nous, nous nous condamnons à disparaître, mourir.
La vie n’est pas une convention. Elle est un état. Vivant ou mort c’est la seule alternative réelle que je connaisse, le seul « ou » qui s’impose par toute la force du « être vivant » ou « être mort ». Votre dette n’est pas un état. Elle est une convention. Votre dette n’est rien d’autre que quelques lignes sur un listing, inanimée. Elle n’est pas, ne peut pas être une alternative « avoir » ou « ne pas avoir » sans troisième voie possible. Elle n’est pas un état puisqu’elle n’existe que par convention historique, politique juridique économique sociale etc….. Elle implique, par ce qu’elle est (le résultat d’une organisation), un « et » puisque toute organisation est réversible.
En l’oubliant ce « et » vous validez les deux soi-disant irréversibles incurables sur lesquels sont fondés ce système mortifère et sur lequel oscillent ceux qui sont pris dans ses filets taraudés par la peur de sombrer : « ne pas être tout à fait vivant » , « ne pas être tout à fait mort ».
Ce que je lis : vous êtes jeune, vivant, aimant votre petite. L’insécurité pour votre petite viendra plus surement d’un manque d’amour, de rires, de sensibilité, de présence, de connaissances, de complicités, d’habitudes, d’attentions et de câlins que d’un manque de confort, même extrême. Personne ne peut ni vous les vendre, ni vous les acheter, ni les apprécier. Vous êtes le seul à connaître leurs valeurs.
Je vous accorde qu’essayer de comprendre une situation ne la change pas. Mais la façon de l’aborder, la perspective d’où l’observer peuvent tout simplement en modifier progressivement votre perception. Ce n’est pas tout. Mais je vous promets, ce n’est pas rien de sortir du couple infernal victime/coupable. C’est un début. Comme une sobriété volontaire avec ce qu’elle implique de …. bonheurs.
Chaleureusement.
« Mais je vous promets, ce n’est pas rien de sortir du couple infernal victime/coupable »
Oui, tout a du sens finalement…merci
Ne pas omettre ceci:
67 « bonsommes » (???) détiennent à eux seuls
l’équivalent des « richesses » (???) des 3 MILLIARDS et Demi d’Etres Humains les moins « riches( les plus démunis donc ! )
N.B : Ces « bons -hommes » étaient au nombre de 85 l’année précédente ….
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L’ignominie esclavagiste,le « mind control » , la sauvagerie de ce système tueur ne peut durer encore très longtemps…
les « bonshommes » cités, et bien des quantités d’autres -dont une majorité de polticiens -le savent parfaitement…et s’entre déchirent (lire les médias de tous bords)…
Des son côté ,le dirigeant de GSachs a déclaré il y a quelques mois:
« …en somme ,j’effectue le travail de Dieu.. » Eloquent non ?
Je dirais à ces mécréants qui nous mènent aux hadés (Tous ne sont pas ,pas encore, contaminés par le culte du veau d’or ,grâce à Dieu sans doute ! ) :
allez aux diables !!!
Le Veau d ‘Or n’existe pas c ‘est une trés belle illusion (spéculation), la bétise, le déni et le mensonge par contre eux oui.
Cordialement
une récente étude à montrer que les 67 milliardaires les plus riches possédaient autant que 3,5 milliards d’êtres humains… la fortune de certains est supérieur aux pib des pays les moins avancés voire de plusieurs d’entre …. il serait intéressant de faire un historique de l’enrichissement et de l’augmentation du nombre des milliardaires et des millionnaire ces 20 ou 30 dernières années…on serait stupéfait sans doute de constater que leur nombre à augmenté avec le discours sur la « crise »… Jamais le monde n’a produit autant de richesses, jamais ces richesses n’ont été aussi inégalement réparties….jamais on a autant saloper le monde..c’est pas une crise économique que nous vivons c’est une crise du partage des richesse et une crise écologique!!!
Evidemment, nous vivions un monopoly en vivo, à terme 1 possedera le monde et ca se finira mal si les choses ne changent pas.
Cordialement
Les ultra riches sont eux même en compétition pour montrer leurs richesses et en voir le plus possible c est en cela que la compétiion fait pression sur tous le monde.
L’économie saine et réelle qui a stabilisé la vie sociétale durant une centaine d’année est morte.
La spéculation l’a emporté momentanement.Même si nous voulions revebir à une économie plus seine, nous ne pourrions atteindre une économie stable sans confisquer tous les avoirs des plus riches.Inevitable comme soultion.
sinon,c’est peut-être un bon signe si votre banque consent à faire rouler votre dette, elle garde confiance en vous, mais quelle valeur accorder à cette confiance ? Quelle valeur morale donner au remboursement d’une dette ? Le système pousse à l’endettement pour faire tourner la machine et la production, les valeurs ajoutées et la richesse créée se concentre sur le 1% animé par un instinct de prédation et de conservation, une survie luxueuse propre à leur écosystème qui finira balayé par les excès de leur égotisme.
Les personnes ne sont esclaves qui si elles le veulent bien.Voir Platon.
Le problème c’est que nous le sommes, non pas si nous le voulons, mais parce que les lois nous font esclaves: l’humain est le seul a faire payer son toit, sa nourriture, son eau. Ils ne limitent pas ses naissances afin de permettre a tous d’avoir le minima.
A l’heure actuelle, avoir un bout de terre, c’est deja un luxe, mais meme avec ce bout de terre, vous n’êtes pas libre d’y vivre comme vous le souhaitez, il suffit de voir tout les problèmes qu’on ceux qui souhaitent vivrent en habitats alternatifs (les vrais, pas les nantis qui en font de l’eco-tourisme).
Vous ne pouvez creer votre energie, vous devez invariablement passer par certains groupes, idem pour la nourriture: si vous cultivez certaines plantes, il y a risque que cela soit considérés comme du vols ou de la contrefaçon (cela dépend de l’espèce), je ne parlerais même pas de l’eau…denrée rare qui est actuellement hyper polluée et dont personnes ne fait attention. En Belgique, si vous aviez une source ou un puit, on vous le bouchait et on vous disait que vous deviez avoir accès a l’eau courante via la société des eaux wallones.
J’en passe et des meilleures….
Donc non, nous ne sommes nullement libre…nous sommes attachés, reliés a cette machine, cette société de consommation, parce qu’on ne nous laisses pas le choix….et ce y compris les parias du système (SDF, prisonniers, ect).
Que ferez-vous lorsque vous tomberez malade et serez obligé d’aller à l’hôpital ? Vous refuserez l’aide de la « machine » ?
Bonjour à tous.
La porte est « ouverte », j’imagine que chacun va en profiter pour exprimer sa solidarité.
Nous sommes tous dans le même bain, nous avons tous décortiqué les fondements de cette société inique.
Cela va nous faire du bien de parler d’une seule voix.
Merci donc à toi, inconnu en souffrance et à Mr Jorion de nous permettre cette chaleur « de conscience ».
En ce qui me concerne, je vais partager avec vous une image croisé sur le net.
Elle explique avec des mots simples que l’argent nous a mis en esclavage, alors que ce n’est qu’un outil qui devrait être à notre service.
Elle dit ceci : L’HUMAIN EST LA SEULE ESPECE QUI DOIT PAYER POUR VIVRE SUR LA PLANETE TERRE.
Quand nous aurons réglé ce « problème » et nous le réglerons, nous pourrons tous respirer plus librement en ce monde.
Bonne journée à tous.
BOnjour
Je sais je sors d’en prendre: 3 mois d’interdiction bancaire. Moi je crée mon entreprise et tout va bien avec la banque jusqu’au moment où il y a des problèmes. De tout ce que je lis ci-dessus je pose une question:
si nous sommes le cheval, si la chaise est en PVC qu’est-ce qui nous retient.
Moi j’ai trouvé des solutions en ne restant pas isolé. Raisonner sur le concept riches contre pauvres ne m’aident pas à agir. Au contraire cela me décourage donc ça ne m’intéresse pas. Il faut voter mais ce n’est pas une solution à ce genre de problème. Envoyer la chaise en pic ça veut dire quoi?
On ne peut critiquer et défaire un systéme si on en aime les bienfais que l on s’en procure et de ses protections qui rassurent.
Il faut étudier ce que ce systéme fait de bien l ameliorer et jeter ce qui est nefaste.
Il existe des gens biens et mauvais partout.Aussi il ne faut pas diaboliser tout le monde.
De toute facon quelqu un d interessé se voit aujourd hui tout de suite , la est au moins l’un des bienfaits de la crise; elle permet de tamiser le grain.
Cordialement.
Pour pouvoir critiquer et améliorer les choses , il faut acoir vécu le materialsme et la depossession, pour pouvoir donner la justesse de ses arguments et convaincre.
Une personne axé sur la possession ou une autre depossede ne peuvent être crédible ou peu écouté, il faut avoir vécu les deux pour être écouté et connaitre les deux monde, pauvres et riches.
Les riches ont le materialisme, les pauvres la spititualité, il suffit d unifier les deux et la solution nous l aurons pour un monde radieux et bénéfiques qui apportera les meilleurs pour tous et la protection pour chacun.Cela demandera un jour de savoir pardonner et punir avec justesse.
Coridalement.
Ce n’est pas de l’Utopie ou de lOptimisme.C est possible.Il suffit de le vouloir.
Ses bienfaits?
La société marchande n’est pas a l’origine de l’electricité ou encore de nombres d’autres inventions. Elles ont toujours été crée a la base pour aider les individus, du moins, c’etait le but.
La technologie a été devoyée de son objet premier….
Les systèmes sociaux ont été obtenus suite a la guerre mondiale, suite au fait que les plus riches avaient massivement collaborés avec l’Ennemi. Et ces mêmes collabos n’ont jamais été inquiétés, d’un revers de la main, ils furent blanchis. Depuis 45, cependant, ils ont tout fait pour reprendre ce qu’on leurs avaient arrachés, et a l’heure actuelle, c’est a la limite si le « bon peuple » ne va pas le lui rendre….on sais toujours ce que l’on gagne, mais rarement ce que l’on perd.
Citez moi des bienfaits de la société, pour lesquelles, vous ne payez pas? pour lesquels vous n’avez pas obligation de suivre tout une serie de surveillances parfois très intîme qui pourtant serais jugés hyper intrusive si on le faisait auprès des plus riches (d’ailleurs le seul projet en belgique qui a tenté le coups, a subit le syndrome du larbin: tout le monde trouvait cela choquant….donc d’un cotés, il est normal de surveiller une personne innocente dont le seul crime est sa pauvreté, de l’autre, c’est scandaleux de voir ce qu’une personne multimilliardaire va faire avec 1.2 milliards d’Euros donnés par le gouvernement?….il y a deux poids deux mesures)
Quand au bienfait de la crise: elle tamise le grain de l’ivraie? J’espère que c’est une blague.
Actuellement, les pays en crise ont acceptés le même conscenssus qu’au 19ème siecle: sacrifier une partie de sa population, avec l’aval des classes moyennes aisées encore non touchées…..on évacue du système ce qu’on considère comme le surplus de bouches a nourrir et devenue inutiles.
Ce que vous faites, c’est du sophisme….dire qu’il faut connâitre richesse et pauvreté pour en parler, c’est comme ne permettre de donner un avis, uniquement sur le sujet de la guerre que du point de vue des pacifistes, vs les hommes de guerre….hors vous oubliez un leger détails: les victimes..
A bon entendeur
Je compatis face à la détresse que vous exprimez aujourd’hui.
Ne connaissant pas les tenants et les aboutissants de votre situation, je ne me permettrai pas de m’exprimer de trop quant à votre cas personnel.
D’une façon plus générale, je crois beaucoup à la notion de résistance face à la religion dominante qu’est devenue la consommation dans nos sociétés.
Nous pouvons résister de façon défensive.
Quelques exemples:
– ne pas être abonné à une grande chaîne de télévision cryptée
– ne pas dépenser 100 € par mois en téléphone portable
– ne pas partir en vacances
– ne pas être propriétaire d’une voiture si l’on habite dans un grand centre urbain…
Nous pouvons résister de façon offensive.
Quelques exemples:
– se former pour acquérir de nouvelles compétences
– cultiver un jardin ouvrier, louer ou acquérir une parcelle de terrain non-constructible mais exploitable pour un jardin (terre végétale)
– pratiquer, autant que possible, la marche à pied ou le vélo
– être solidaires…
Ou toutes autres idées plus adaptées à la situation personnelle de chacun.
Mais, dans tous les cas, et tout le temps, résister!
Franck, je partage totalement votre point de vue : résister aux sollicitations permanentes de dépenser pour des futilités, des inutilités, voilà le fil rouge à suivre quotidiennement. Le bonheur ce n’est pas d’ avoir de l’argent ou des choses mais bien d’ être bien avec les autres dans l’échange et le partage.
AncestraL, vous êtes riche aujourd’hui, riche de tout ce que vous êtes et de toute ce que vous avez partagé avec nous. En vous ouvrant aux autres, je suis certaine que votre manque d’argent est devenu dérisoire et qu’il trouvera bien vite une solution. Nous sommes riches d’être ensemble et de pouvoir partager, de nous aimer les uns les autres.
Merci Chantal pour ce commentaire! 🙂
Sur les choses et la place que la publicité nous incite à leur donner dans notre vie, il y aurait beaucoup à dire. Il est bien connu, par exemple, que le plus court chemin pour un homme vers le coeur, ou le lit, ce n’est pas très clair, d’une femme passe par l’achat d’une voiture voyante qui ne vaudra plus rien au bout de six ans. De préférence à crédit, en passant par une inutile et coûteuse société de crédit à la consommation.
Les objets ne sont que des objets. ils nous encombrent bien souvent. Il faut les gérer. Autant de moins pour les authentiques relations humaines. Et je n’ai toujours pas rencontré celui qui les emmènera avec lui dans un autre monde…
Les solutions : Impression 3D alimentaire, materiel etc……energie libre …etc
c’est quoi ce délire ? C’est comme une fourmis de 18 mètres ?