Dans un commentaire à mon billet Georges Miedzianagora (1930 – 2003), Jérôme Grynpas écrivait :
Anarchiste dans l’âme, il soutenait beaucoup de mouvements – se trompant rarement de cible – mais refusant avec constance toute affiliation. Signalons aussi qu’il fut le meneur le plus en vue du « mai 68 » à l’ULB. Ce qui mit fin à sa carrière universitaire. Curieux paradoxe, car il fut le seul des soixante-huitards de l’université à ne pas faire son trou académique grâce à ces événements. C’était un homme très érudit, doux, affable et doté … d’un mauvais caractère.
Sur cette photo prise en 1972 que m’envoie Vincent Kenis on voit votre serviteur sur le campus de l’Université Libre de Bruxelles portant un t-shirt à l’effigie de son ami Georges, en voie d’exclusion ou déjà exclu.
Pourquoi Paul Jorion, psychanalyste et anthropologue, se tourne-t-il de plus en plus vers l’intelligence artificielle ? En quel sens cette…