Billet invité.
Depuis Kharkiv où il s’est réfugié, le président Iakounevitch a dénoncé à la télévision un « coup d’État » et annoncé qu’il n’avait l’intention ni de démissionner ni de quitter le pays, tandis que les responsables des régions russophiles de l’est de l’Ukraine, dont c’est la principale ville, déclarent que « l’intégrité territoriale et la sécurité de l’Ukraine sont menacées » et mettent en doute la légitimité du Parlement. Une manifestation de 10.000 partisans du président s’est déroulée devant l’enceinte d’un congrès où participaient des hauts responsables de la Douma russe.
Les ministres allemand et français des affaires étrangères ont de leur côté appelé les deux parties à respecter les accords signés dans des communiqués séparés, dans une ultime tentative d’enrayer la dynamique d’un affrontement embrasant tout le pays.
En sommeil que d’un oeil, mais en quoi ce commentaire peut-il chercher à créer des polémiques ou des conflits ou,…