Billet invité.
De nouvelles révélations confirment l’utilisation de la géolocalisation par la NSA des cartes SIM des téléphones mobiles pour guider les drones destinés à tuer leur propriétaire présumé, notamment au Pakistan, en Afghanistan et au Yémen.
A l’origine de celles-ci, un ancien opérateur de drones a – sous couvert d’anonymat – confirmé à Glenn Greenwald et Jeremy Scahill, qui cosignent à cette occasion un article, que les frappes sont décidées sans que des vérifications soient effectuées sur leur détenteur effectif, avec pour conséquence que d’autres personnes que celles qui sont visées peuvent être tuées lorsque par exemple les téléphones ont été prêtés, ou bien que les cartes SIM ont été volontairement échangées pour brouiller les pistes. Son témoignage renforce les informations fournies par Edward Snowden et les révélations d’un autre opérateur de drones qui fait désormais ouvertement campagne contre cette utilisation.
Les deux journalistes ont à cette occasion lancé le premier d’une série de magazines numériques, baptisé The Intercept, dans le cadre du projet de site d’information FirstLook financé par Pierre Omidyar.
@Ilicitano Et pendant ce temps-là…on néglige totalement l’énergie que peuvent produire les êtres humains(« l’huile de bras », et d’imagination combinée à…