Rien ne se crée, rien ne se perd.
Ce que nous en avons retenu – Bob Dyan :
La transposition patriotique irlandaise des années 1950 – The Dubliners :
La mélodie traditionnelle dont l’origine se perd dans la nuit des temps, « The Merry Month of May » – Jo Stafford :
Même beaucoup blücher !