Quand je suis allé m’asseoir sur le podium l’autre jour à Blankenberghe, j’ai senti le rideau d’air glacial qui s’écoulait du plafond sur mes épaules.
J’ai appelé un organisateur. Je lui ai dit : « Je ne peux pas rester assis là dans ces conditions ! ». Il est parti s’enquérir. Il est revenu et m’a dit : « On ne peut rien faire ! »
Je ne suis pas parti, je n’ai pas voulu faire de scandale : je n’ai pas voulu décevoir ceux qui étaient déjà assis là pour m’écouter mais je savais que le risque était grand que ma décision n’empêche d’autres de m’entendre dans les jours qui suivraient. Ce sont ceux qui voulaient venir ce soir à La Louvière qui ne m’entendront pas. Je leur présente toutes mes excuses. Croyez bien que si je pouvais, je viendrais, la seule chose raisonnable pour moi aujourd’hui est cependant de dormir, si vous pouviez me voir vous en conviendriez aisément.
Reprogrammation : le mercredi 20 novembre.
Tant qu’il ne se propage pas ça va. Ah on me signale que c’est déjà le cas …