CTETE TROHIÈE TINET-ELLE DOUBET ?

Dsérodre

Edit (Julien Alexandre) : ce texte est évidemment un « mème internet » et aucune étude de la sorte n’a jamais été menée à Cambridge. L’auteur de ce texte, par ailleurs décliné dans de nombreuses autres langues avec plus ou moins de succès, s’est attaché à respecter un certain nombre de règles de typographie (espacement des lettres, type de police, les mots de base comme « une », « de », « la », « et » sont inchangés), avec un choix de mots relativement simples, tout en limitant les interversions à des permutations de lettres deux à deux, préservant ainsi l’enchaînement consonantique. Cet exemple ne marche que parce qu’il a été soigneusement « monté » pour fonctionner, et il n’est pas possible de généraliser, l’exercice étant rapidement confronté à des limites de lisibilité dès lors qu’on s’affranchit des règles précitées.

Pour ceux qui voudraient aller plus loin, voici une étude publiée en 2008 dans la revue Les actes de lecture.

Pour les autres, la conclusion s’impose : ce n’est pas demain la veille que vous pourrez vous passer de l’orthographe au nom d’une « étude de Cambridge » !

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  1. Mes yeux étaient las, bien plus que là, juste après l’apostrophe : la catastrophe.

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