Un article du Monde en ligne :
« George W. Obama », titre le Huffington Post en une de son site Internet. « Le quatrième mandat de Bush », renchérit le site Internet Politico. Le président Barack Obama est raillé par la presse américaine, après les révélations du Guardian sur les saisies de relevés téléphoniques effectuées par les services de renseignement auprès de l’opérateur américain Verizon, et celles du Washington Post sur la manière dont la NSA et le FBI accèdent à des données sur les utilisateurs de neuf géants américains de l’Internet.
Le 16 mai 2009, ici-même, sur le blog : Bush III.
Un extrait :
Qu’est-ce qu’ils pensent aujourd’hui, Pete Seeger et Bruce Springsteen ? Je préfère ne pas le savoir, ça me ferait trop mal. Ils voient en Larry Summers une nouvelle version de Cheney, autre âme damnée sardonique sortie tout droit d’une bande dessinée, en Timothy Geithner, un double de Paulson, mais en pire puisque l’ancien Secrétaire au Trésor tenait au moins tête aux patrons de Wall Street, ils voient la torture passée aux pertes et profits de la Realpolitik, et Guantanamo remis sur les rails grâce à des tribunaux d’exception ripolinés de neuf.
On avait eu Néron. Beaucoup ont voté en croyant qu’ils auraient Marc-Aurèle (ah ! les livres d’Obama : tant de bons sentiments !). À la place, on a Vespasien : « L’argent n’a pas d’odeur ! ».
Obama = Bush III.
Suite et fin : L’évolution de l’IA peut prendre différentes approches, et chacune a ses propres avantages. Voici une analyse…