Un compte-rendu par Christian Coméliau. Un court extrait.
Ce qui précède et ce qui suit, dans le magazine.
*Godot est mort !*
NOUS FAISONS PARTI DU PAYSAGE et nous agissons sur lui pour le modeler ou le déformer (le paysan comme l’ouvrier…
@Khanard Thom : « L’opposition entre une singularité créée comme un défaut d’une structure propagative ambiante, ou une singularité qui est…
Comme un regret … après une candidature( à l’investiture démocrate) sabotée de l’intérieur.. … » Aux Etats-Unis, la gauche tente de…
C’est beau !
@Alex, Je suis d’accord avec vous. L’élection de Trump à ce stade avant la Troisième Guerre mondiale… Je suis curieuse…
@BasicRabbit en autopsy Cet énoncé parfaitement descriptif pour la lumière est cependant curieux car il n’est pas causal mais empreint…
Le niveau a déjà depuis longtemps dépassé celui de la crise des missiles de Cuba en octobre 1962 !!! A…
En général le test le plus fiable pour détecter un ivrogne est qu’il repousse des mains le mur de gauche…
Peut-être l’ai-je déjà écrit ici mais un ami disait que ce n’est pas le peintre qui choisi le paysage mais…
Rectif : Le skieur progressiste (et non progressif)
Allemagne Aristote BCE Bourse Brexit capitalisme ChatGPT Chine Confinement Coronavirus Covid-19 dette dette publique Donald Trump Emmanuel Macron Espagne Etats-Unis Europe extinction du genre humain FMI France Grands Modèles de Langage Grèce intelligence artificielle interdiction des paris sur les fluctuations de prix Italie Japon Joe Biden John Maynard Keynes Karl Marx pandémie Portugal psychanalyse robotisation Royaume-Uni Russie réchauffement climatique Réfugiés spéculation Thomas Piketty Ukraine ultralibéralisme Vladimir Poutine zone euro « Le dernier qui s'en va éteint la lumière »
6 réponses à “LA QUINZAINE LITTÉRAIRE, « Misère de la pensée économique : quelle synthèse nouvelle ? », 1 – 15 décembre”
[…] Blog de Paul Jorion » LA QUINZAINE LITTÉRAIRE, « Misère de la pensée économique : quelle synt…. […]
à noter : à la FNAC Forum des Halles,la plus grande (pour les livres) à Paris, votre livre est parmi les meilleures ventes en livres « économie »… et oui ça fait plaisir…
Par ailleurs on trouve facilement la Survie de l’espèce dans les grandes librairies en région parisienne.
Bonjour,
il me semble que la faillite de LTCM remonte a 1998 et la remise du « Prix Nobel d’economie » a Scholes et Merton a eu lieu en 1997.
Je pense que l’auteur du compte-rendu confond plusieurs faillites…
Bien a vous,
P.
Oui : erreurs de dates en effet.
Tiens, Ronald Coase cause un peu comme Jorion. Il reste quand même à côté de la plaque et ne se rend pas du tout compte de ce que cela implique que de réintroduire l’homme dans l’affaire (c’est-à-dire la politique), mais bon on va pas trop demander à un pseudo-prix Nobel d’économie.
http://hbr.org/2012/12/saving-economics-from-the-economists/ar/1
Concernant le prix nobel d’économie, qui n’a d’ailleurs pas été reconnu comme une science dès le début de l’existence du prix nobel d’économie.
Il y a un prix nobel d’économie qui a été décerner pour la diminution (importante) de la durée et les des allocations chômage comme facteur de développement économique, c’est dire si la suppression (même sous forme d’assurance) de revenus pour les citoyens au chômage et qui ont travaillé, sont récompensés.
C’est la tendance économique de faire plus pour la finance, car cet argent que ne toucheront pas les allocataires du chômage ira quelquepart, et au pire on conclut par une volonté de réinvestir l’argent dans l’entreprise ou d’épargner pour sa trésorerie, toute cette dynamique capitaliste qui concentre les richesses, et qui même se retrouve dans les récompenses économiques.
Une poursuite des inégalités sous un discours de victimisation de certains intérêts, sans se soucier de la conséquence de ses diminutions sur les peuples et sur la nouvelle direction de ses sommes d’argents qui vont aller vers d’autres comptes bancaires.