Blog de Paul Jorion

20 réponses à “LES PETITES JOIES TOUTES SIMPLES : TOUJOURS PLUS HAUT !”

1. 

   rahane

   14 juillet 2012 16h31

   http://www.dailymotion.com/video/xcsc1w_moon-solo-dance-yang-liping_creation?search_algo=1

   1. 

      Stéphane

      14 juillet 2012 19h52

      merci pour cette danse magnifique… plus rustique, en répétition, lorsque les danseurs de l’opéra de Pékin s’essayent aux nouvelles danses européennes.
      http://www.youtube.com/watch?v=58N-uBuj5gk

   2. 

      Stéphane

      15 juillet 2012 11h49

      Quand le japon nous taquine. Takane company (little swan)
      http://www.youtube.com/watch?feature=endscreen&NR=1&v=y8g2_2wiI-E

2. 

   gael

   14 juillet 2012 16h35

   ravel+bejart+guillem je n’avais jamais entendu : vraiment excellent , une grande claque , merci

   1. 

      Juber

      14 juillet 2012 17h33

      Et puis Sylvie Guillerm a quelques gentils arguments que Jorge Donn ,même quelques années plus tard, (1980-1981 :le film « Les uns et les autres ») n’avaient pas, lui !

      :p

      (Non…C’était pas au niveau de la danse…) 🙂

3. 

   Un naïf

   14 juillet 2012 16h43

   Les joies simples du 14 juillet, mais pas assez haut visiblement… 😉

   1. 

      Juber

      14 juillet 2012 17h46

      Mais depuis ils sont redevenus sérieux…Ils ont pour nom Mario Draghi, Christine Lagarde, Jean Claude Juncker, etc, etc….On les reconnait bien là dans leurs oeuvres et leurs pompes….Si,si…

   2. 

      Marcel Séjour

      14 juillet 2012 20h09

      sick

4. 

   Claude L

   14 juillet 2012 16h57

   Même si Ravel lui même considérait le Boléro comme assez simpliste au point d’être contrarié par son succès, le trio Ravel+Bejart+Guillem comme dit gael, me parait diablement sophistiqué. Derrière les petites joies simples peuvent se cacher une grosse émotion.

   1. 

      vigneron

      15 juillet 2012 13h05

      « Je souhaite vivement qu’il n’y ait pas de malentendu au sujet de cette œuvre. Elle représente une expérience dans une direction très spéciale et limitée, et il ne faut pas penser qu’elle cherche à atteindre plus ou autre chose qu’elle n’atteint vraiment. Avant la première exécution, j’avais fait paraître un avertissement disant que j’avais écrit une pièce qui durait dix-sept minutes et consistant entièrement en un tissu orchestral sans musique – en un long crescendo très progressif. Il n’y a pas de contraste et pratiquement pas d’invention à l’exception du plan et du mode d’exécution. Les thèmes sont dans l’ensemble impersonnels – des mélodies populaires de type arabo-espagnol habituel. Et (quoiqu’on ait pu prétendre le contraire) l’écriture orchestrale est simple et directe tout du long, sans la moindre tentative de virtuosité. […] C’est peut-être en raison de ces singularités que pas un seul compositeur n’aime le Boléro – et de leur point de vue ils ont tout à fait raison. J’ai fait exactement ce que je voulais faire, et pour les auditeurs c’est à prendre ou à laisser. »

5. 

   Patrick

   14 juillet 2012 18h11

   Bonjour,
   J’écoute Stevie Wonder depuis près de 50 ans, il a rythmé ma vie.
   Il ne se produit plus beaucoup en public, ce concert dans un club allemand en 1974 est de grande qualité.
   Un enregistrement plus complet de cette prestation ici:
   http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=sPFB-z2ezXk

6. 

   Kerjean

   14 juillet 2012 19h07

   He ben dis donc….

   On en apprend des choses chez Jorion….

   Cette Sylvie Guillem est ……pétrifiante.

   Merci aussi pour ça Paul.

   On est toujours un peu moins con en ressortant d’ici.

7. 

   octobre

   14 juillet 2012 21h20

   Plutôt que de fabriquer de la merde en usine ou au bureau.
   L’homme peut aborder la vie sereinement .
   Ludwig van Beethoven – Moonlight Sonata – 3rd Movement for electric guitar.

   1. 

      demobilier

      15 juillet 2012 8h16

      Une version de Valentina Lisitsa au piano. Une merveille…

      http://www.youtube.com/watch?v=zucBfXpCA6s

      1. 

         Stéphane

         15 juillet 2012 10h56

         merci bien pour les deux version beethoven

         Dansons maintenant : Le sacre – Stravinsky

         http://www.youtube.com/watch?v=dKysuqBrB8A

   2. 

      roma

      15 juillet 2012 12h12

      Tati=salchichas para todos

      Ron Geesin: UPRIGHT

8. 

   rahane

   15 juillet 2012 2h57

   http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Psych%C3%A9.jpg

9. 

   Renou

   16 juillet 2012 4h51

   Béjart c’est encore le cadre.
   Ravel ravisseur.

   1. 

      Stéphane

      16 juillet 2012 9h58

      Ben Béjart paraît dans le cadre aujourd’hui… mais à ses débuts, c’était un coup de tonnerre, d’ailleurs la France s’est bien gardée de lui réserver une petite place. Sa liberté par rapport au rythme, aucun danseurs n’étaient sur le même tempo c’était incroyable à l’époque. Cadre ou pas cadre serait-il un effet d’optique ?
      Le sacre est infernal à danser en terme de rythme, il fallait sortir du cadre les danseurs en tout cas : pas triste l’aventure.
      Pina ? Elle avait une drôle de manière de conduire ses danseurs ne l’oublions pas. C’était du « management » tout à fait particulier : s’il faut cela pour sortir du cadre il n’y aura pas beaucoup de volontaires

      1. 

         Renou

         17 juillet 2012 20h32

         « …s’il faut cela pour sortir du cadre il n’y aura pas beaucoup de volontaires »
         Rassure-toi, il y en aura toujours très peu.