Si cela vous amuse de me voir dans un combat rapproché avec Mathieu Laine, auteur du Dictionnaire du libéralisme…
@konrad, Pascal, Khanard et les amis de PJ ”Mango est là. Rentrons à la maison, vite vite » 😂
*Godot est mort !*
Si cela vous amuse de me voir dans un combat rapproché avec Mathieu Laine, auteur du Dictionnaire du libéralisme…
@konrad, Pascal, Khanard et les amis de PJ ”Mango est là. Rentrons à la maison, vite vite » 😂
C’est pas bien de se moquer ! Mango nous montre qu’elle perception on peut avoir de la gauche quand on…
@Mango vous dites : « mais certains le sont pour des positions politiques plus ou moins arbitraires … » je réponds :…
Bien vu…^!^… pour le meilleur (parfois) et pour le pire (… bien trop souvent ! )
Merci Mango pour vos réflexions et analyses pertinentes. Nous sommes nombreux au centre à partager vos propos et nous nous…
Elle est trop longue. Mais j’avoue que je me suis aussi posé la question…
dingue ! les robots du futur garderont sûrement le meilleur des deux techniques. la mécanique pour autoriser la main à…
OpenAI o3 est-elle une IAG (ou AGI) ? Il semble que tous les spécialistes ne soient pas d’accord, tel François…
AGI et ses magouilles c’est l’adolescence de l’humanité. Parents: accrochez vous. Ça va secouer.
P.S Je ne critique pas du tout @PJ, si vous ressentez comme dans le sens critique avec mon commentaire précédent,…
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71 réponses à “LCP, L’autre séance : Le monde malade du capitalisme”
J’ai écouté ce débat. La personne qui se trouvait à votre gauche était particulièrement de mauvaise foi, suffisante, pérorante. Vous continuez Paul de dire la vérité…
Bravo,
Continuez
Étendre la sphère du nous.
Incitation à la paix …. bravo!
il manque d’accepter ce fait
que lorsque un individu fait le libre-choix d’afficher par des accessoires vestimentaires ou autres de ses propres convictions particulières qu’elles soient religieuses ou politiques
cette libre-volonté d’exhiber, de faire montre, de porter sur soi, d’exposer à tt un chacun de ses propres convictions religieuses ou politiques
c’est bien aussi pour que tt le monde en sache
Humour on : Paul, je compatis , c’est dur dur d’être Belge…
Humour off : Le danger existe bel et bien, d’une radicalisation des positions que ce soit en Belgique, en France et partout en Europe.
La xénophobie s’amplifie depuis la crise et les médias ne font rien pour enrayer le processus engendré par la misère économique et sociale. Bien au contraire,, il n’y a qu’à regarder ce qui se passe dans les médias français.
Peut-on y trouver une forme de « machiavélisme » ? L’histoire s’écrit au fil des jours et nous donnera sa version très bientôt.
Je pense donc je suis, nous sommes donc nous existons !!!
Il a parfaitement raison. L’éthique journalistique à la DH s’arrête aux portes de l’Islam, comme j’ai pu le constater sous la plume d’un de leurs journalistes qui pour faire référence à des troubles sur la voie publique (parfaitement répréhensibles) n’a pas hésité à parler « d’énergumènes » !
C’est plus un journal, c’est le café du commerce.
Et à ceux qui seraient tentés de se foutre de sa gueule à cause des erreurs d’expression ou du côté « alarmiste » de sa vidéo, je rajoute qu’il a été malheureusement visionnaire, puisque pas plus tard qu’une semaine après l’histoire de niqab qu’il évoque, un extrémiste a poignardé deux policiers dans le métro bruxellois en « représailles » du traitement infligé aux musulmans en Belgique. L’escalade et la surenchère sont déjà là.
Bonsoir à toutes et à tous, bonsoir Julien et bonsoir Paul. Comme je suis mis au sevrage médiatique dans les raspes aveyronnaises et que je n’ai pas un accès fluide à l’Internet, quelqu’un pourrait-il m’éclairer sur cet enchaînement d’évènements qui défraient la chronique belge, si possible en collant le plus étroitement aux seuls faits ?
Quant à la vidéo… Je suis un peu gêné. Elle part d’une bonne intention et même d’un bon sentiment, mais, les cuirs mis à part (que nous importe en effet), certains tics d’expression me paraissent contre-productifs. Je passe vite sur l’attribut typique du jeune des banlieues à problèmes, la casquette de marque, un signe de reconnaissance très cliché mais terriblement métonymique dont le porteur n’a visiblement pas conscience qu’il signifie le contraire, aux yeux du citoyen lobotomisé ou du riverain des grands ensembles, de ce qu’il promeut. Pour en revenir aux tics, cette manière de parler des musulmans de Belgique du même ton qu’on parle des citoyens de Belgique, c’est de l’amalgame journalistique typique passé comme si de rien n’était dans le langage courant. Il n’y a que des citoyens belges, dont certains sont musulmans. Il serait plus exact de parler des citoyens musulmans de Belgique ou des Belges musulmans, mais parler des musulmans de Belgique, c’est faire régresser le pays au temps des guerres de religion, une époque où la notion de citoyenneté étendue était balbutiante et où l’esprit de faction, qui ne pense qu’à compter les siens en vue du prochain pogrom, distinguait les protestants de France, par exemple, et les catholiques de France. La religion ne saurait être un marqueur de citoyenneté, quelques oripeaux universalistes qu’elle revête. Et puis, du reste, à quoi reconnaît-on un musulman ? Je peux reconnaître à quelques signes évidents un intégriste juif, catholique ou musulman, mais un pratiquant ordinaire ou un crypto-intégriste, je suis bien en peine de le bertillonner. Et, pour achever de compliquer la tâche des journalistes, il se trouve que les codes vestimentaires s’interpénètrent. Voyez le succès du béret afghan (dont l’origine est macédonienne, cela dit en passant), attribut du méchant moudjahidine réhabilité par le gentil commandant Massoud. Même la casquette de marque n’est plus un critère fiable, c’est dire. Ces maladresses parasitent un message qui dénonce précisément les raccourcis et les jugements à vue. Un citoyen conscient de l’être ne peut pas cautionner que citoyenneté et religion soient traitées sur un pied d’égalité ; un citoyen bovin s’arrêtera à la casquette et n’y verra que la miniature portative d’une coupole de mosquée. Le pacte civique n’est pas mis en danger par le fait d’être musulman ou zoroastrien, mais par un type de pratique qui contrevient à telle ou telle loi.
@ BRL,
L’enchainement des événements est très facile à trouver. Regardez ce qu’en dit la presse belge (en évitant la DH).
Quant à la vidéo, je crois qu’il faut s’attacher surtout au fond du message plutôt qu’à l’apparence ou aux maladresses qui l’accompagnent. Un peu comme quand Cantona appelle à faire péter le système par un moyen maladroit et avec ses mots à lui : c’est le constat sous-jacent qui compte.
Paul ne dit pas autre chose dans son commentaire très sobre en préambule de la vidéo : élargir la sphère du nous. Ce jeune homme ne dit rien d’autre, il suffit de vouloir l’entendre.
Sensiblement la même chose, en chanson ce coup-ci.
J’ai vu ce débat, bien trop court à mon avis, où Paul Jorion n’a pas eu assez la parole pour mieux étayer ses arguments. Les deux défenseurs du capitalisme, le « vieux » – semblant outré et dépassé – comme le « jeune » – défenseur d’une doxa d’un autre temps, à la logomachie d’un représentant de commerce – m’ont paru à court d’arguments, sombrant sous les sarcasmes que provoquaient leurs discours invraisemblables venus d’un monde qui n’existe déjà plus.
Cette émission me fait penser à l’histoire de l’expérience sur la mouche par le polytechnicien « chercheur »; il doit être encore en train de chercher les raisons, ce Monsieur chercheur à l’institut.
Quant à l’auteur du dico, professeur (Saigneur! Faites grâce.) dans je ne sais quel institut, il nous prépare des adorateurs du Veau d’or. Il a dû être formé par les mêmes (M. Friedman entre autres, au hasard?).
La liberté du renard dans le poulailler !
une image vaut mille mots, celle-ci résume tout. C’était bien envoyé ^^
La fameuse liberté d’entreprendre et de s’enrichir d’une manière éhontée s’accommode très bien du totalitarisme et d’ailleurs ne peut probablement vivre sans !
Le poulailler libre et le renard.
Cette imagerie très à propos mais datée, peut-être que ni le vieux renard érudit « libéral », ni le coach « libéral » en idéologie pour volailles en poulailler libre, ….
(« idéologie », c’est le coach lui même qui l’a dit, à tenter ainsi de contrer PJ comme par avance en susurrant toute la beauté de l’armure des idées, avec l’arrière pensée de l’enlisement du débat…)
… ni l’un ni l’autre, n’auraient pu répliquer d’une autre image aussi concise.
Peut-être avec l’oubli de la formule « un renard libre dans un poulailler libre »,
sans doute parce que la pertinence de la formule s’est un jour dégagée de l’obligation d’une réponse,
peut-être aussi si les images allaient et venaient du temps de la formule avec une si grande nouveauté et à un si grand rythme, surgissaient sans autres façons que de s’emmêler les unes aux autres,
alors elles n’avaient pas besoin d’ images appropriées à opposer pour une semblable mais utile contradiction.
Pas de contradiction possible, c’était Fun, merci PJ!
[…] Blog de Paul Jorion » LCP, L’autre séance : Le monde malade du capitalisme. […]
j’aime beaucoup les mouvements de tete/d’epaule de PJ quand l’espece d’automate pseudo-libertarien a ses cotés commence à débiter son discours, on sent très bien que Paul est en train de ruminer sur l’air de « lui il va pas me casser les **** longtemps avec ses poncifs, je vais le boulotter tout cru » ^^
Merci d’avoir rappelé aux intervenants autour de la table les trois facteurs fondamentaux qui mène à l’agonie du capitalisme, sagissant de la concentration, complexité et limites planétaires.
Ne serait-il pas plus oportun de commencer vos prestations par la description de ces trois facteurs, il me semble que vous gagneriez du temps.
A la question qu’on vous pose souvent par quoi remplacer le capitalisme, il me semble qu’il serait utile de leur dire qu’on n’en sait encore rien mais que beaucoup de gens et des associations de toutes sortes s’en occupent.
Continez à secouer les esprits, nous en avons besoin.
Hum…
L’effondrement est la meilleure des solutions, certes, mais à condition qu’il soit bien préparé.
A l’heure actuelle, on en est loin… Donc dire des choses comme celle là dans un débat si court, c’est être contre productif. C’est dommage que l’on ai éludé le fond du débat.
Le capitalisme n’est pas vertueux comme la nature n’est pas bonne ou mauvaise. La vertu est une qualité typiquement humaine. Ce sont les valeurs humaines qui sont en questions.
L’Humanité a déjà connu quelques explosions mystiques… Pourquoi ? Comment ? Et quand se produira la prochaine ?
@stouf
Aoutch. Gasp… Ouateux malheureux parallèle ! Va falloir revoir ses fondamentaux avant d’aller plus loin, sphère « mystique » comprise…
@DL50
Quels fondamentaux ? Ceux de l’ultra libéralisme ? Ceux du communisme ?
Mais je le répète, la vertu est une qualité humaine avant tout et non celle d’un système. Ce serait plut^t à toi de revoir tes fondamentaux, pas ceux de quelques livres théoriques controversables, mais ceux qui sont sensés être la base de ta moralité.
Stout, non mon cher, vous n’y êtes pas. Ou plutôt si vous y êtes, mais bel et bien dans l’idéologie : en comparant abusivement système capitaliste et système naturel. Quant aux fondamentaux, cherchez un peu; sur ce blog par exemple.
@DL5, mon cher, vous n’y êtes pas non plus… Je n’ai jamais dit que le capitalisme était comme la nature. Mais afin d’ exiter votre intellect rebelle, je vais vous fournir quelques alternatives à la phrase incriminée….
Le capitalisme n’est pas vertueux comme:
– la crevette n’est pas philosophe.
– mon chien n’est pas pour le nucléaire
– ma soeur a du poil aux pattes.
Nulle doute que vous y trouverez quelque bâton pour me battre.
@ Stouf 11 juin 2012 à 09:00
Certes, mais le système, les organisations et lois adoptées pour vivre ensemble sur notre petite planète, notre petite zone économique, notre petit pays, sont bien l’œuvre des hommes.
Alors, pourquoi se défiler ? Ne faut-il pas que chacun, depuis le niveau individuel, jusqu’au plus haut niveau collectif retrousse ses manches, s’attelle à la tâche, cherche à comprendre, afin de mieux agir en tenant compte des seules lois contre lesquelles nous ne pouvons rien, celles qui régissent l’univers et parmi elles, celles de la biophysique?
Le système doit être vu comme un outil. On peut l’utiliser de manière vertueuse ou pas.
C’est le consommateur qui a le dernier mot. J’achète ou je n’achète pas. Seuls les critères pris en compte pour faire ce choix détermineront l’aspect vertueux de notre société.
Mais c’est vrai que limiter un débat pareil à quelques mots, c’est assez inefficace tout comme le « débat » de LCP qui se limite à la promotion de quelques livres.
Pour en revenir au débat de LCP, Paul Jorion s’érige contre l’ultra libéralisme mais suggère de laisser s’effondrer le système sans pouvoir répondre sur ce qui lui succèdera. Laissant ainsi à la « nature » le soin de faire le travail, ce qui me parait être une attitude ultra libérale…
Quand à la sphère mystique, entre les pédophiles, les intégristes, la mafia etc…, il est temps pour elle de se renouveler.
un combat de boxe, comme lors du débat récent en Grèce ? Qui prend le rôle du sage, du philosophe H ?
Oui, le petit chauve me rappelle un chef de vente dans l’alarme. Boniment.
Il faudrait dire à LCP et aussi à France Télévision d’abandonner le codec Flash pour le html5. Ils n’ont pas d’iPad ?
Tout à fait.
J’ai le même problème avec mon ipad…Je ne peux lire que les commentaires. Et dois m’imaginer le débat. C’est sympa l’imagination mais cela a tout de même des limites!!!
La sympathie (l’empathie ?) sous copyright ! Mon hamster est sûrement d’accord, lui aussi fait marcher la machine. Allez pédale mon gars le peloton n’est plus très loin LOL
Ipad ? Ha oui le merveilleux machin de chez Apple ??? Oui il faut absolument augmenter les ventes de ce machin, au moins un par terrien! ça fait six milliards de machin et plein de dividendes !!!
L’exagération, la malice, l’envie, l’incompréhension mais aussi la connaissance, la réflexion, la justice, l’honnêteté. La sympathie quoi !
i-liénation, vous disiez ?
Vouloir se passer d’in iPad ou technologie similaire, c’est comme refuser le vélo du temps son invention.
@beber> Utiliser un iPad plutôt qu’un netbook sous linux c’est un peu suivre la mode de chausser des pièges-à-loups en or plutôt que choisir des bottes en caoutchouc caca-d’oie.
@ ropib
L’avantage de la technologie type iPad , c’est l’utilisation du doigt pour autre chose que le curage de nez .
L’éffleurage à de l’avenir , que ça vous botte ou pas…
essayez Firefox . . . si l’Ipad est compatible . . .
On ne va quand même pas se retrouver à prôner le flash tout ça pour condamner Apple. Non, pronons l’ouverture et condamnons les deux.
« D’abord il s’est trompé sur le capitalisme et le libéralisme dans son ensemble puisque d’abord il parle des sans papiers: un vrai capitaliste et un vrai libéral d’abord ils considèrent qu’il y a une libre circulation des personnes et donc y aurait pas de problème de sans papiers si le capitalisme était à l’oeuvre » Donc là on a d’abord Mathieu qui enseigne à Sciences Popo et qui d’abord conceptualise à tire larigot !
Serait-il fondada mental ment moral de demander à cette toute petite minorité de demander pardon à l’ensemble de ses élèves et d’aller au coin ..Moi je le trouve méritant la récompense le garçon !
Oui bien sûr … donc le fait pour un sans-papiers de ne plus avoir besoin de papiers élimine totalement son état de réfugié fuyant la guerre ou la misère ?
Hé bé, si le capitalisme était à l’oeuvre, il n’y aurait plus de pays pauvres, mais des pays pas encore assez développés, et hop, plus de pays dit ‘pauvres’ !
Dommage que vous ne soyez pas invité sur BFM, les vrais bons débats sur LCP que peu de personnes regardent, c’est bien mais trop peu.
Mais vous dérangez trop, comme toutes les personnes qui disent la vérité.
Mon cher Paul, merci de défendre avec énergie la vérité face à l’hypocrisie .
Ce ne doit pas être évident tous les jours, mais peut être la tendance est -elle en train de s’inverser face à ces chantres de l’ultra-libéralisme.
J’aimerai bien voir Paul chez les rombières de Cdans l’air.
Jorion-Fiorentino, mieux qu’Aggler-Mugabi.
Jorion-Saint Etienne, plus saignant qu’Earn-Leonard.
Jorion-Dessertines, plus fondamental qu’Ali-Frasier.
Et le plus fun serait du catch à 4.
Jorion en équipe avec Lordon contre le reste du monde. Quel régal. Mais c’est pas Calvi qui aura les c… d’organiser ça.
….Sinon, comme à François, je vous refais le coup de » Maurice » ….
Quand je vous vois dans le bocal et que j’entends ce Mathieu ….Je ne peux m’empêcher de penser à ….ce môme qui bouffe tout les yaourts….. et qui accuse son poisson rouge, ……on vit une époque formidable !
http://www.youtube.com/watch?v=RTNJcN9dk5g
Et encore……Entre belges ( certains me comprendront)..Je me demandais qui était « 42 est la réponse » ( sur le site de LLB)….ça y est, j’ai trouvé ! …c’est Mathieu Laine 🙂
Tiens ce « brave » 42, je l ai deja bien asticoté , moi c’est « horreur liberale » !!
Il avait quand même pas tout à fait tort le libéral de service: l’Etat est coupable. Coupable d’avoir empêché la mort du système capitaliste en 2008 et coupable depuis lors de le maintenir en vie de manière artificielle.
Ce n’est pas tant l’État qui est coupable de maintenir en vie le système capitaliste que les très petits “chargés de clientèle” qui se font élire à la tête des États, avec la complicité des médias, pour l’absorber au profit de leurs riches donneurs d’ordre…
Tout à fait, t’as raison.
« Le tous pourris » , tous boulottent pour leurs riche donneurs d’ordre…est-il vraiment raisonnable ?
Les médias et les politiques pas encore tout a fait conscient que le système s’effondre ne font-ils pas uniquement ce qu’ils peuvent pour écoper le fond de la barque qui prend l’eau ???
Ou éviter à tous pris des émeutes , des soulèvements populaire ????
L’état n’est pas coupable du sauvetage des banques, mais il est coupable de ne pas les avoir nationalisées.
L’état est surtout coupable d’avoir fait des lois permettant aux banques de prendre des risques amenant à des faillites qui mettent les états dans des situations périlleuses.
Ce défaut des lois n’est pas imputable à une ou deux personnes, il est imputable au faible horizon de vue des femmes et hommes politiques (du au fractionnement de leurs mandats et au clientélisme).
Un état est une organisation qui a en charge d’établir des règles permettant à chacun de se nourrir, de se loger, et de vivre le mieux possible.
« Religion »… c’est le mot qui me vient à la suite de ce débat. Certain semblent pratiquer l’économie comme on pratiquerai une religion. A partir de là, si c’est aussi le cas de ceux qui nous dirigent et ben on est pas dans la merde, tiens.
Je dirais fondamentalisme néoliberale,
Le volet de l´hégémonie financière exige à lÉtat le rôle de recapitaliser en cas de pertes au plus de le rôle de lÉtat gardien du capitalisme familial et industriel.
Que pensent des successions ou l´hérédité ?
Ici, dans le point de partie de l’individu tout est presque fait. Quelle méritocratie, alors ? Comment résolurent ils cette contradiction?
Je ne connais aucune religion qui incite à la dé-responsabilisation au nom de la liberté individuelle, bien au contraire.
Merci pour la vidéo, je suis tombé dessus par hasard, mais seulement à la fin.
Je trouve le débat intéressant car les discours bougent pas mal. Ainsi on parle de morale quand on n’a plus d’argument possible, quand les choses ne fonctionnent plus (comme le dit Paul Jorion). Mathieu Laine assume être dans l’idéologie alors qu’il n’y a pas longtemps de ça on nous expliquait que le capitalisme était naturel et indépassable. Il s’est aussi retrouvé obligé de montrer la stratégie de communication qui consiste à entretenir la confusion entre liberté, libéralisme, capitalisme, respect de l’individu… Ce cafouillage, émanant de quelqu’un qui parle assez bien, je crois que c’est assez nouveau, que ça n’était pas possible il y a 10 ans. Il reste le discours sur la propriété, sur la différence entre le capital privé et l’administration publique (comme si l’état-nation n’avait pas émergé en même temps que le capitalisme, comme si la centralisation des moyens de production, des capitaux et des moyens de gestion n’était pas un seul phénomène, comme si les grandes entreprises et les états n’avaient pas les mêmes intérêts), mais je ne suis pas certain que l’incohérence de ce discours puisse passer l’année (le tapage médiatique sur l’irresponsabilité des états pour cacher le dysfonctionnement du privé ne tiendra sans doute pas l’aggravation de la situation espagnole par exemple).
C’est très dommage que ce débat ne puisse pas réellement se faire, que le journaliste presse toujours les débatteurs pour les faire rentrer dans son cadre, empêchant toute pédagogie.
Quelqu’un a-t-il le courage de compter le nombre de fois où Mathieu Laine prononce le mot « liberté » ?
A peu près autant de fois que Kroutchev quand il parlait à l’ONU.
Khrouchtchev. :-))
@ Julien
Merci. Je vais voir si je peux trouver un journal belge dans la bibliothèque municipale la plus proche. Les recherches sur l’Internet, vu la médiocrité de ma connection, seront malaisées. Si je pointe ces maladresses, c’est parce que j’entends déjà les sarcasmes qu’elles s’attireront dans tous les hauts et bas lieux où la bêtise s’exprime à jets francs et continus. Ces questions-là sont délicates et il faut s’en saisir avec des pincettes, après en avoir soupesé chaque terme.
Le monde malade de tous les Mathieu Laine…
Ce pauvre garçon n’a pas dû beaucoup travailler dans la vie réelle pour avoir de telles naïves idées… Pauvre chou ! On a presque pitié de lui tant sa théorie est le contraire de la vie réelle et qu’il semble plus tenir à ses idées qu’à la réalité. Il nous aura tout de même beaucoup fait rire dans cette émission, c’est déjà ça !
Avec l’intégrale d’Alain Gérard Slama, l’intégrale de BHL et l’intégrale du chérubin aux mains d’argent qu’est ce pauvre bambin Mathieu Laine, on devrait pouvoir rire en famille jusqu’en 2014, ça devrait suffire pour voir la vie en « rose ». D’ici là, pour être dans la réalité, on saura comment faire. On pourra aussi consulter le blog de Paul Jorion …
Ils ne me font pas rire du tout. C’est la routine de l’idéologie dominante et paresseuse.
Parce que ce qu’ils disent, je veux dire leur idéologie, leurs idées à courte vue, leur absence de réflexion, leur incapacité à confronter la théorie et la réalité, des millions et des millions d’êtres humains en subissent les conséquences tous les jours.
Ces gens sont dangereux. N’importe quel étudiant à l’esprit un peu critique est capable d’avoir une pensée plus étayée. Leur ignorance feinte ou réelle est abyssale. Ce sont de dinosaures.
Ce que dit Paul il est loisible à chacun d’y adhérer ou pas, mais au moins lui part d’une réflexion personnelle, qui elle-même s’appuie sur l’analyse d’une situation réelle, à l’inverse de la démarche de ces messieurs qui jonglent avec les clichés : qui d’évoquer la liberté d’entreprendre synonyme des droits de l’homme, qui d’évoquer le caractère cyclique de la crise, qui d’évoquer une économie pour les nuls comme si il y avait une science économique déjà constituée et qu’il suffirait de vulgariser…
Bref, Ils ne sortent pas du cadre.
Aussi, pour les mettre plus facilement en difficulté il faudrait sans doute dès le début de ce genre de confrontation télévisuelle les emmener très vite aux bords du cadre, et, s’ils ne franchissent toujours pas le pas, enfoncer le clou, en exposant au grand jour leur insuffisance conceptuelle, leur suffisance.
Peut-être faudrait-il s’inspirer du mode d’exposition spinozien qui consiste à partir de la synthèse pour aller vers l’analyse à rebours du mode d’exposition cartésien qui fait la démarche inverse. Le risque en partant de l’analyse — même si l’on dispose soi-même des analyses les plus pertinentes –, c’est que l’on s’expose à voir son discours débité en autant de tranches qu’il y a de thèmes abordés dans le débat, donnant une prise facile aux interlocuteurs pour exprimer leurs arguments foireux, éculés. Alors qu’en sens inverse on ne perd jamais de vue la nouveauté de la figure générale, celle qu’il importe au plus au point de faire émerger dans les esprits.
Partir de la synthèse (fausse), c’ est ce qui est fait par la plupart, mais inconsciemment.
Il ne faut pas seulement partir de la synthèse, il faut avoir conscience qu’ on le fait alors qu’ on pourrait ne pas le faire, en se lançant dans l’ analyse de l’ opinion-faux-probleme.
Une image de ce qu’ est l’ analyse, pourrait être le phare dont le cone de lumiere d’ angle fixe serait bloqué sur un coin de mer, et pour lequel on ne ferait que perfectionner la puissance de l éclairage en intensité ou en qualité (uv, X etc..).
La synthèse serait un phare très special, un cône d’ angle variable dont l ouverture progressive embrasserait tout l’ espace , et ceci a chaque révolution (une sorte de radar), afin de toujours avoir une image de l’ espace vu comme ensemble susceptible de varier totalement à cause d’ une variation locale.
C’ est ainsi me semble t il que procédaient Leibniz, Goethe, Wittgenstein pour « saisir un problème » non pas « par le bon bout » (comme dirait Rouletabille dans le mystère de la chambre jaune), mais par « le bon tout »
Pour Wittgenstein Frazer se trompe quand il explique les rites ancestraux par une sorte de « stupidité primitive des primitifs » qui auraient bien du se rendre compte que leur magie ne provoquait pas la pluie par exemple. Frazer se trompe car il plaque sur le tableau d’ ensemble sa culture coloniale Victorienne , ce qui l empêche de voir « ce que le tableau d’ ensemble nous dit ». Ce que le tableau d’ ensemble nous dit c’ est que » c’ est fait pour faire peur ». Et cette explication nous satisfait, elle provoque la satisfaction comme réponse adéquate au problème posé adéquatement.
La réponse Victorienne de Frazer ne peut pas provoquer la satisfaction : elle pose par le petit bout de la lorgnette-cône : « c’ est débile pour moi que quiconque fasse des trucs pareils », et que donc les primitifs sont « débiles « .
Ce genre de débat est tout simplement trop court pour aller en profondeur et pour mettre correctement en évidence les points faibles des argumentations. Et puis quand chacun a un bouquin à vendre et donc à défendre, tout le monde reste figé sur ses positions, à tort ou à raison.
Je cherche l’Intégrale de Philippe Moreau Defarges mais hélas, je ne la trouve pas sur le net .. Pour rire au moins jusqu’en 2018, quelqu’un l’aurait -il, SVP ? Merci.
« Ouvrir le yeux sur le monstre qu’on a en ex-Russie et en Chine »
Le capitaliste peut se greffer sur tout…. même au communiste….
Paul Jorion : Le plus sur c’est l’effondrement ! ……
Ouai Ouai….
1% des plus riches américain en 1980 ont vu leur richesses multiplié par 3
1% des plus riches chinois en1980 ont vu leur richesses multiplié par ???
Arrêtons de voir le débat que du seul côté occidental….
Cette idée de capitalisme se greffant sur tout est particulièrement séduisante .
Elle n’est pas sans rappeler le fameux « « Si nous voulons que tout reste tel que c’est, il faut que tout change » du prince Salina .
http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Gu%C3%A9pard
La phrase « britannique » qu’a citée au début le petit monsieur auteur du Que sais-je? sur la mondialisation, je me demande bien pourquoi il ne cite pas son auteur…, est de Joan Robinson, une des rares femmes à s’être fait un nom en économie. Elle a commencé dans l’entourage de Keynes et a fini pas loin de Marx, le tout en liberté:
« Il y a pire que d’être exploité par le système capitaliste, c’est de ne pas même trouver quelqu’un pour vous exploiter. »
Dans une intéressante citation sur Wikipedia, Joan Robinson ironise sur le laisser-faire, notion idéologique et mensongère sacro-sainte des libéraux :
« Si on pose une fois de plus la question « Est-ce qu’un investissement réalisé pour produire des colifichets, pour lesquels il faudra faire de la publicité, serait une plus grande contribution au bien-être humain qu’un investissement améliorant le service de santé ? », il me semble que la réponse saute aux yeux ; la meilleure réponse que l’idéologie du laisser-faire puisse offrir est de ne pas poser la question. »
Merci madame Robinson !
« il me semble que la réponse saute aux yeux « : faut croire que non! Moi aussi, j’ai adoré ce passage, le type comme preuve de sa légitimité à débiter des conneries, nous rassure: il s’y connait, en histoire de l’humanité, il a fait « l’histoire de l’humanité pour les nuls ». Phrase culte.
Il y a ceux qui ne comprendront jamais et les autres qui comprendront plus tard encore…
Merci Mr Jorion,
vous ne faites pas de compromis avec le système. Vous ne noyez pas non plus le poisson.
J’aime entendre les raisons (fondement du système) et la responsabilité. L’espoir est donc permis même si les tensions vont s’accélérer. L’exploitation des ressources pose un problème comme les excès de la dérégulation (la théorie de la valeur et le système monétaire actuel par ex) . Sans oublier, la complexité des législations (procédures, …) qui permet de trouver des failles à tous les niveaux (ex : le prix des amendes ridicules pour les fraudeurs). Ils peuvent tenter de nous faire croire que l’état (élément structurant) est la cause mais ils ne gagneront que du temps. Dette des états=Somme détournée dans les paradis fiscaux. L’issue sera la même. C’est l’agonie du système et il montre son visage… Pour moi, il est hors de question de transmettre cette façon de voir l’existence. Les leviers sont une meilleure exploitation de nos ressources (production) et un travail éducatif sur nous-même (consommation) pour une meilleure répartition (l’échange et la redistribution). Cela implique un changement dans la notion de la valeur… »Remettre en cause la valorisation » permet de concevoir l’échange différemment. La rareté des ressources ne doit pas détourner les problèmes liés au système sur la croissance de la population. Enfin, on nous parle du nucléaire et des banques alors que ce sont des secteurs qui nous offrent la plus grande opacité. La régulation et la réglementation dans l’opacité, c’est donner de la forme à un problème de fond. Si il y avait duel, vainqueur vous avez été par ko technique.
A écouter vos contradicteur dans cette joute télévisuelle je pense à ce qu’écrivait Jonathan Swift ;
« Bien que le diable soit le père des mensonges, il semble bien, comme d’autres grands inventeurs, avoir perdu beaucoup de se réputation du fait des progrès continus qui l’on surpassé. »
Extrait d’un petit ouvrage aux éditions Jérôme Millon,
» Jonathan Swift L’ART DU MENSONGE POLITIQUE – 1733 »
précédé de « LE MENTIR VRAI » par Jacques Courtine.
Extra!
Le plus curieux c’est que j’ai déjà à entendu ce type de débat avec M. Laine et probablement P. Jorion ,dans une autre émission il y a un ou deux ans .
Le catéchisme libéral , libertarien dévidé par M. Laine qui accapare la parole , P. Jorion qui essaie d’en placer une et l’animateur « tenu par sa grille de questions » qui interrompt quand on commence à approfondir les choses .
M.Laine développe une pure utopie car ce dont il parle ne correspond à aucune réalité .
Une sorte de système parfait selon lui .
Et son obsession de mettre tout sur sur le dos de l’état est particulièrement pernicieuse car fausse .
Par exemple ,selon lui, ce serait l’état qui aurait inventé le too big to fail , incapable qu’il est d’admettre que les libéraux en dérégulant tout ont mis la main sur l’ensemble du système et l’ont plongé dans un danger mortel dont je le crains ils réussiront à se sortir indemnes.
Et comme le rappelle P.J je crois , en 1929 on a laissé faire et nous sommes arrivés à des tragédies mondiales , auxquelles il est possible que nous soyons de nouveau confrontés .
J’ai du mal à envisager que ces ultra libéraux soient sincères : depuis longtemps l’oligarchie finance ces think tanks pour propager leur sinistre idéologie si profitable .
Comme l’a fait M. Friedman avec ses chicago’s boys .
Mais on peut toujours trouver de parfaits crétins éblouis par la « perfection de leur modèle » , la bible révisée par des témoins de Jehovah , qui en font le prosélytisme gratuitement .
Enfin lui fait au minimum la promotion de son bouquin .
En tous cas leurs points commun est le fanatisme .
Un vent nouveau sur l’Atlantique and Co
L’autre séance (réf. LCP Assemblée Nationale): celle de notre futur
A voir M Laine sauter comme un cabri lors de votre émission, on pourrait penser qu’un brillant avocat comme lui, aurait pour vocation logique dans son parcours pour la défense du libéralisme
de contribuer, avec tous les moyens en sa possession (cours, médias, conférences etc), à la moralisation de ce système qu’il défend avec une telle conviction. Aux concepts fondateurs du libéralisme « individu et liberté » , il manque le mot « morale » au frontispice de l’édifice de M. Laine. Mais dans ses réponses dogmatiques, il apparaissait plus comme un acteur bien installé dans le système tel qu’il dysfonctionne ! Les Américains utilisent l’expression « put your words where your mouth is » !
M Laine, friand, semble-t-il, d’anglicismes dans sa vie quotidienne, créateur du cabinet Altermind (alter mind = changer l’esprit en anglais,of course !) devrait remettre à son ordre du jour ce qui relève de l’économie au service de l’humain (je ne parle pas ici du greenwashing des multinationales et corporations qui se donnent bonne conscience avec des façades philanthropiques ou écologiques qui cachent si peu leurs objectifs marketing).
Sa « vision » est étriquée, à l’image de ses costumes noirs que portent aussi et se font faire sur mesures, les jeunes loups monomaniaques de la City.
Espérons que ses prochains écrits ne seront plus des PALIMPSESTES qui tenteraient d’effacer nos mémoires en voulant nous faire oublier l’Histoire du Monde telle que nous la voyons dériver sous nos yeux.
M. Laine, dans son utopie de l’échange et de la coopération libre et volontaire, est d’un pathétique ahurissant; mon côté maternel a pitié de lui ! Mon côté rationnel déplore que les impôts de mes parents et les miens aient payé pour ses études pour ce résultat …
Car c’est bien l’Etat providentiel qui lui a permis de faire ses belles études, qui soigne ses employés vite et bien pour les remettre à son service (au contraire des systèmes anglo-saxons anglais ou américain), qui favorise et construit les infrastructures que nous envie le reste du monde et qui favorise indubitablement l’installation des groupes étrangers en France, etc etc.
N’importe quel red neck de base a bien compris maintenant les ravages faits par la déréglementation initiée aux Etats-Unis il y a plus de 30 ans par de féroces partisans qui clamaient haut et fort que la finance pouvait se réguler elle-même, l’Etat étant considéré comme le satan ultime. L’Etat a-t-il beaucoup gêné les hedge funds, la comptabilité créative, le fonctionnement des paradis fiscaux trous noirs de l’économie mondiale, les déflations salariales, et tous les effets collatéraux de ce système merveilleux que payent sans broncher la classe moyenne et les pauvres américains, ainsi que le reste du monde.
Il n’y a sans doute pas assez de cours d’éthique à Sciences Po et dans les écoles de commerce; ce serait une belle entreprise pour M Laine. Mais cela peut-il tenter un carriériste dogmatique ? Y penserait-il seulement ? Au lieu de consacrer ce temps si compté à un blog partisan si narcissique qu’est Atlantico, digne du Sun (plus intellectuel et sans la bimbo du centerfold je le concède).
Il y a pourtant là un enjeu planétaire dans une mondialisation sans boussole.
L’enthousiasme fébrile de M Laine ainsi que sa connaissance intime des belles théories qu’il professe nous fondent à espérer qu’il devrait, tel Lafayette, contribuer à la grande réforme de ses idoles d’outre-Atlantique, à commencer par JP Morgan, citée dans l’émission, au sein de laquelle les dirigeants actuels se prennent actuellement des boni obsènes de plusieurs millions de dollars en pleine débâcle de la compagnie.
Le Monde réclame dans l’urgence des innovateurs et ce ne serait qu’un juste retour de nos impôts que M Laine contribue concrètement à l’avancée de notre Société par des propos plus objectifs et équilibrés.
Au fait, combien de fois a-t-il répété le mot « responsabilité » dans son plaidoyer appuyé ?
Conclusion : nous avons tous INTERET aux bonheur des autres
Changeons vite de paradigme
Signé MD (qui a vécu plus de 13 ans aux States; qui a fréquenté les banquiers, le State Department, le FMI, des collaborateurs de la Maison Blanche, des diplomates, des think tanks, de nombreux milieux, et … les insurgés installés à 50 m de la Maison Blanche à Washington et à 50 m de mon domicile).