La Troïka : parfois les organismes condamnés programment leur suicide
Qu’est-ce que le capital ?
Où est le travail ?
Sur YouTube, c’est ici.
*Godot est mort !*
La Troïka : parfois les organismes condamnés programment leur suicide
Qu’est-ce que le capital ?
Où est le travail ?
Sur YouTube, c’est ici.
Beau projet pour une « start-up » ! Elon Musk n’aurait pas 8 millions d »€ pour éliminer un concurrent encore plus radical…
ça ressemble un peu à une blague mais … https://www.20minutes.fr/planete/4128743-20241213-moins-chere-ecologique-francaise-quoi-premiere-fusee-autophage
Mes yeux étaient las, bien plus que là, juste après l’apostrophe : la catastrophe.
« t’éxcluant » à inclure dans la liste 😉
A titre personnel je ne suis pas surpris par cette annonce. Des quelques connaissances que j’ai pu glaner ici et…
@Garorock Tout dépend si les juges prononcent une peine avec exécution provisoire. Un appel et un éventuel pourvoi en cassation…
Villepin et Lucie Castets pourraient faire une bonne équipe… Non? Pourquoi? Je vous écoute bande de petits scarabées! 😊
Après l’échéance judiciaire du 31 mars 2025, il me semble bien qu’il y a encore le pourvoi en cassation et…
» La dernière nouveauté des 12 jours d’OpenAI s’appelle o3. Il s’agit d’un « frontier model » capable de raisonner…
Avec la capacité de raisonner, les LLMs sont en bonne voie de comprimer leur corpus pour en extraire la substantifique…
Allemagne Aristote BCE Bourse Brexit capitalisme ChatGPT Chine Confinement Coronavirus Covid-19 dette dette publique Donald Trump Emmanuel Macron Espagne Etats-Unis Europe extinction du genre humain FMI France Grands Modèles de Langage Grèce intelligence artificielle interdiction des paris sur les fluctuations de prix Italie Japon Joe Biden John Maynard Keynes Karl Marx pandémie Portugal psychanalyse robotisation Royaume-Uni Russie réchauffement climatique Réfugiés spéculation Thomas Piketty Ukraine ultralibéralisme Vladimir Poutine zone euro « Le dernier qui s'en va éteint la lumière »
273 réponses à “LE TEMPS QU’IL FAIT, LE 1er JUIN 2012”
il faut déclencher l’apoptose de la position nue et casser la pornographie financière qui ruine l’organisation du monde économique.
c’est Henri Guaino l’auteur du discours de Toulon, il se présente aux législatives il me semble ; votons !
On pourrait aussi simplement envisager l’idée que l’abandon progressif de l’esclavage comme mode d’organisation sociale dominante n’est qu’une parenthèse de courte durée dans l’histoire de l’humanité, liée aux conséquences socialement non maîtrisées des évolutions technologiques de l’époque moderne. Une fois ces contradictions résolues, l’ordre rétabli et le salarié redevenu propriété mobilière, on pourra reprendre les affaires tranquillement sans plus être dérangé.
Paul Jorion organisciste ?
Et Julien organiste.
On se rendra peut-être compte dans quelques années que la France a probablement sauvé l’Europe en défendant la PAC depuis des décennies, notamment contre Tony Blair, l’humain post-moderne qui se nourrit de… de quoi, d’ailleurs ?
Parce que, vu ce qui nous arrive, après l’effondrement de notre système économique, je n’ose pas imaginer ce que ce serait sans auto-suffisance alimentaire. Si le libéralisme l’avait emporté dans ce domaine, si les mécanismes du marché avaient décidé complètement de notre agriculture et de notre paysage, je ne sais pas où on en serait. La France « spécialisée » dans le vin, l’Allemagne dans la saucisse, l’Italie dans l’huile d’olive… et l’Union dépendante de l’Ukraine ou de l’Australie pour son blé. Les nappes phréatiques en pire état encore qu’elles ne sont.
On songe à la Route, de Mc Carthy, les scènes de cannibalisme… Au moins, on devrait échapper à ça. Comme quoi, il y a des raisons de garder le moral, c’est vrai.
Auto-suffisance alimentaire sans auto-suffisance énergétique ?
Et l’huile de coude ? C’est sûr, ça plaira pas à tout le monde.
Ps : votre avatar comporte un indice quant à l’auto-suffisance alimentaire 😉
Je me demande parfois qui se rend compte ou pas du rôle qu’avaient les chevaux et les boeufs jusque vers 1950. (Mon arrière-grand-père labourait ses champs de blé avec des mules!)
Et le rôle des bœufs dans la production d’électricité?
Trouvé le lien sur le blog du Yéti, commentaire n° 12.
En France on fait le contraire, c’est à dire qu’on utilise l’électricité pour élever les animaux. Si l’électricité est indisponible pendant trois jours le nombre d’animaux qui ne survivent pas est incroyable.
Avant on avait pas de pétrole, mais des idées. Maintenant qu’on a plein d’électrons, alors on s’autorise à être cons…
Pour en finir? avec Mme Lagarde;ses émoluments proviennent du fmi non? Quel sont les entrées financières dudit fmi? Les cotisations des différents pays le composant il me semble, quel est le montant de la participation grecque? Pour combien rentre-t-elle dans la rétribution de Mme Lagarde ? Un peu de décence(si cela veut dire quelque pour elle)lui siérait bien au teint.
La question à résoudre
Existe t-il encore une lutte des classes telle qu’envisagée et décrite par Marx?
OUI et NON…
Rien n’a changé dans le système capitaliste ,l’appropriation des moyens de production,le profit détourné de la valeur travail de l’humain (robotisation,informatisation) vers la finance (la rente),autrement dit l’accumulation du capital,…les causes de la lutte sont les mêmes.
Ce qui a changé c’est la notion de prolétariat ,cette classe est devenue un mille feuilles,des couches ,des strates n’ayant plus de cohésion(atomisation) de revendications collectives,chacune revendiquant de façon corporatiste et non plus collective et qui plus est des avantages acquis,acquis pendant les trente glorieuses ou le capitalisme avait pris un masque social devant la menace collectiviste.
Cette menace disparue(malgré un bilan globalement positif),le libéralisme s’est progressivement débridé profitant de l’absence de contradiction sociale(NS= »Qui s’aperçoit en France quand il y a une grève,j’ai même pas besoin de vous l’expliquer »…?le même tirant à boulets rouges sur les corps intermédiaires faisant fi de la hiérarchie normative du code du travail,préférant le contrat BRANCHE PAR BRANCHE à la la loi),le prolétariat s’est flexibilisé puisque flexibilisable et il est même devenu précariat non représenté,non défendu,non écouté parce que non cohérent.
La passivité (nommée patience par JL Mélenchon) devant la « casse » de l’emploi est significative.
Les recommandations de Bruxelles passent les unes après les autres sous forme de relances permanentes à la déflation compétitive n’ayant pas de contradiction révolutionnaire,n’est ce pas MrPaul Jorion?
Les classes ne sont plus car chacun a désormais acquis son petit bonheur pour lequel se battre au détriment des autres. l’individualisme règne blah blah.
Si l’équité doit passer par une lutte, alors, on se contentera d’attendre, elles auront tôt fait d’être ouvertement re formées.
Si l’équité doit passer par une remise en cause. Je ne sais pas, je n’en vois pas signes.
En tout cas ils seraient bon de remettre l’argent à sa place. Au niveau de la stricte nécessité sociétale permettant d’organiser les échanges entre les hommes, que l’argent servent à répartir les richesses pour que chacun puisse profiter du travail de tous.
Et non dans ce fatiguant statut de méta désir** (comme si bien décrit pas lordon).
Mais déjà on voir poindre la nécessité de la remise en cause et de l’éducation des moeurs (peut on faire cela ?) comme moteur du changement.
Bref, ça tourne en rond, alors autant aller claquer mes thunes dans quelques échappatoires artificiel…
Tout cela sans même dire que ce sont les mêmes qui accumulent, qui devraient changer, qui ont les moyens de changer sans heurts, et qui aussi se trouvent aux manettes pour insuffler le changement.
Vraiment, faut que j’y aille en profiter moi aussi ! Tant qu’il en reste.
** celui qui pousse a accumuler plus
INCENDIE
La maison rougeoyait derrière les arbres du jardinet sauvage. Une percée entre les feuilles avait permis à son rayonnement d’atteindre, sur un fragment de mon humble domaine, l’obscurité naissante qui, insidieusement, envahissait le crépuscule.
S’agissait-t-il d’un incendie, ou plutôt d’une fête joyeuse s’insinuant dans le quartier paisible où les jardins s’endormissaient, l’invitant à une discrète et muette connivence ?
² Mais non, le soleil, ce créateur impénitent, en avait décidé autrement. Il embrasait , à son déclin, les briques, toutes les briques, celles des toitures et des cheminées, leur léguant son agonie dont la fulguration se solidifiait en message écarlate.
L’éblouissement me pétrifia sur un escabeau .La magie agissait, imbibait mes sens, déposait sur ma peau un film translucide de sensations tenaces, avides de pérennité. L’embrasement avait forci en embrassement, me laissant comblée, ligotée de bonheur,réceptacle vacillant de la beauté du monde. .
« L’éblouissement me pétrifia sur un escabeau . »
Descendez de l’escabeau scabreux, que je vous vois Jacqueline…
scabreux l’escabeau ?
Candide invétérée, je vais essayer de transmettre une photo de moi sur le blog à une prochaine occasion
C’était le but!
Les problèmes écologiques actuelles s’accentuent à la vitesse des productions humaines.
Le réchauffement climatique est dans un processus de changement de la chimie terrestre, c’est littéralement une terra-formation de surproduction des activités humaines par rapport à son environnement qui en est responsable. Cette altération est en train de modifier les équilibres diminuant au fur et à mesure l’oxygène sur Terre.
Les espèces végétales et animales subissent les conséquences du réchauffement planétaire, la morphologie des espèces végétales a déjà changé, donc l’alimentation des animaux en milieu naturel aussi, créant un nouveau changement de morphologie animale. Les humains faisant partie de l’écosystème vont mécaniquement vers le même type de processus, dont la résultante est l’absence progressive d’oxygène même jusque dans les fonds marins (les zones mortes).
Ce n’est pas en délocalisant des entreprises dans des territoires à forte valeur ajoutée en pauvreté et en vide de lois environnementales que les activités humaines vont aller dans une gestion plus harmonieuse de son environnement. De plus les pays à fort PIB n’ont pas de législation nationale et international (l’importation) contraingnante tendant vers une vision bio-compatible des sociétés humaines. C’est comme le nucléaire de nos jours, c’est une interaction mondiale.
La protocole de Kyoto n’est même plus adaptée aux mesures scientifiques moderne, qui ont largement évolués en 20 ans. Il est même possible d’effacer ses dettes financières et en carbone, en se retirant de cet ancien accord, comme le Canada l’a fait en refusant de payer la somme de 30 milliards d’euros. Ce qui négligeable par rapport aux conséquences financières d’un réchauffement climatique (rapport Stern) et de l’impact du réchauffement sur les sociétés humaines.
La vitesse de propagation du réchauffement du climat menace plus de sociétés que la société humaine seulement.
L’ Asie cumule les inconvénients à essayer de nous satisfaire:
elle massacre son environnement, elle le gaspille. Elle en fait
autant des droits de l’homme et de la démocratie.
La distance et l’absence de vue directe ne devrait pas nous le faire oublier.
C’est pourquoi les productions de notre consommation devraient être
rapatriée. Question de respect tout court, pour eux , nous et la nature.
Les dictateurs locaux en perdrait leur raison d’être et apparaîtraient
pour ce qu’ils sont: nos délégués chargés d’extraire le max
de leur force de travail. Compradors.
@Paul
Une zone franche est une zone géographique d’un pays bénéficiant d’avantages tels que l’exonération de charges fiscales. Une vraie Bérézina , un très bon moyen de faire couler des entreprises viables payant la totale, par des entreprises chassant la prime et exonérées de charges sociales, et qui seront incapables d’exister après les exonérations . Des lois prises par des gens qui connaissent le monde du travail qu’au moment des élections , et voilà çui tout n’ervé. Quand au taux d’imposition moyen l’argent pour l’argent 12%d’imposition , achat d’un pantalon 19.6% , travail 40% , fermé le ban .
oui, enfin, des révoltes ici et là d’actionnaires contre les entrepreneurs, parce que les résultats sont déplorables.
Que les derniers apportent aux premiers leurs dividendes quotidiens et tout ira comme dans le meilleur des mondes …
Quant au discours de Toulon, si les solutions préconisées peuvent être jugées comme radicales, elles ne peuvent être qualifiées que difficilement de ‘socialistes’, pour la simple raison que l’objet de ce discours n’est PAS de sortir du capitalisme ou de lui proposer une alternative, mais bien plutôt de tout faire pour revenir au mythe du capitalisme pour 1000 ans, celui qui fonctionnait ‘si bien’ il y a 100 ans et plus.
Proposer des solutions radicales ne préjuge pas du sens de cette radicalité et de leur objet.
Toulon.
Juste, ne pas l’oublier. Ce trop fameux discours valait aussi
pour son objectif, de droite conservatrice ou prolongation du cadre existant.
-2 Juin, Journée mondiale d’abolition des armes nucléaires »Ca prend juste 10 secondes » : Regardez cette nouvelle vidéo et prenez part à la Journée mondiale d’abolition des armes nucléaires, le 2 juin.
http://www.mvtpaix.org/index.php
Abolir les armes nucléaires !? Juste au moment où on ne va pas tarder à en avoir besoin pour empêcher les Chinois de venir nous piquer le château de Versailles, le Mont St-Michel et le Louvre en échange du sauvetage de l’Euro ! Et tous les Africains de venir chercher à croûter dans les sillons de nos campagnes !? Va pas bien, la tête ?
A voir le style de Cassandre, c’est certainement la même que sur le forum du site OLEOCENE
Site très interessant où l’on comprends une autre facette du problème!!
Tout est lié à l’énergie, le peak- oil est passé, la croissance est désormais finie et le système s’écroule, c’est d’une logique implaquable…
Raté, je n’y suis même pas inscrit. Mais ce ne sont pas les sites sur ce sujet qui manquent, p.ex. http://alaingrandjean.fr/ pour un article récent.
Ca, c’est déjà fait. Versailles est maintenant vendu/saucissonné aux « Vinci » et autres mécènes qui ont mis des péages partout et des sens uniques à l’entrée de chaque bosquet ; on ne peut même plus passer librement sous les belles arcades du grand Trianon autrefois libre d’accès, et y admirer la belle perspective paysagère sur les très beaux massifs dominant l’aile droite du grand canal.
Le choc provoqué par la grande tempête d’un certain 26 décembre 1999 a été l’occasion pour les malins de s’approprier Versailles-parc et château et de le soumettre à toutes les astuces marketing possibles. D’une merveille, ils ont fait un produit marchand insipide d’où la beauté et le charme ont fui et où l’on passe plus de temps et d’argent derrière un guichet qu’à flâner au gré des surprises concoctées par le grand jardinier du roi.
Certes il y a pire, mais – quoiqu’on pense des excès du roi soleil – c’est tout de même un vol de patrimoine et une civilisation qu’on assassine.
Vendons Versailles bordel ! Ou mieux, assurons le à la Lloyd’s et faisons y foutre le rifle par la préfet Bonnet ! Avec le pognon on commande une centrale EPR à Areva…
S’il s’agit juste de « libérer » de l’uranium et du plutonium pour faire tourner des centrales atomiques, alors le progrès n’est pas certain, il me semble. Et pourtant, tel est le cas.
Ce qu’il faut faire, ce qu’il ne faut pas faire, les solutions, comme si cette crise était « financière » (lol) …
A mes amis ! Non pas mes amis, est-ce bête …
Comment le lobby du tabac a subventionné des labos français
Ça, ce n’est rien – ou pas grand-chose – mais imaginez qu’on apprenne un jour que des économistes ont été financés par des banques !
Quel mauvais esprit !
Ou que Paul Jorion est dans les pattes d’un service secret comme cela a été fait en juillet 1996 au détriment de George Orwell.
C’est indécent Marlowe !
Os et court ?
1996 ? Est-ce qu’Orwell n’est pas mort en 1950 ?
En 1996, des documents ont été declassifiés censés prouver qu’Orwell avait livré des listes d’intellectuels communistes. C’est à cela que fait certainement référence Marlowe.
La Une du Guardian du 11 juillet titrait :
« Le plus effrayant dans le totalitarisme n’est pas qu’il commette des « atrocités », mais qu’il détruise la notion même de vérité objective : il prétend contrôler le passé aussi bien que l’avenir. »
George Orwell. Tribune, 4 février 1944.
à Julien Alexandre,
Je suis surpris de vous voir reprendre sans critique les ragots du Guardian du 11 juillet 1996.
Vous devriez lire la brochure parue en français en avril 1997 : George Orwell devant ses calomniateurs, rédigé par ses éditeurs français, sachant que seuls deux titres (1984 et La ferme des animaux) ont été exploités, tardivement, par Gallimard.
Ma remarque est qualifiée d’indécente, mais c’est plutôt ce que des staliniens et d’autres désinformateurs ont entrepris pour déconsidérer Orwell qui est indécent.
Ce genre de pratique a été reproduite contre Debord après l’assassinat de son ami et éditeur Gérard Lebovici et représente une menace permanente contre tous ceux qui aspirent à la vérité.
Marlowe,
Je ne me suis pas penché sur le sujet, ma religion n’est donc pas faite. Prudemment, j’ai donc rétabli le conditionnel de rigueur « censés prouver ». Je veux bien vous croire cependant, ce que vous décrivez ayant été un sport national diversement pratiqué.
Marlowe, sors de la parano situ, il est encore temps. Orwell était, à raison et prècocement. anti-stal et il a effectivement fait quelques confidences malencontreuses sur sa « liste » en 49 à la belle-soeur de Koestler, Celia Kirwan (qui avait repoussé sa demande en mariage en 45), point.
Pour quelques échanges sur le sujet, va voir le blog de Bernard Gensame. Commentaires de V. Présumey et autres, plus toutes les polémiques habituelles sur notre universel et éternel chéri des éditeurs et des professeurs de collège (qui n’a pas eu droit à son Animal farm en VO en cours d’anglais, en VF en cours de français ? )
http://bernard-gensane.over-blog.com/m/article-74269638.html
à vigneron
George Orwell était opposé aux totalitarismes, à ceux de Franco ou Hitler, comme à celui de Staline et c’est bien cette revendication d’une vie décente, libre et vraie qui fait qu’on en parle encore.
Il a raconté son histoire dans plusieurs livres qui sont devenus accessibles aux lecteurs francophones par la volonté de ce qu’il a été convenu d’appeler « les situs » et en particulier par la volonté de Gérard Lebovici, propriétaire des Editions Champ Libre, éditeur, mécène et ami de Guy Debord.
Tous les textes qui étaient longtemps restés inaccessibles aux lecteurs francophones ont été rassemblés et traduits par l’alliance des Editions Ivréa, qui ont repris une partie du fond des Editions Champ Libre, avec les Editions de l’Encyclopédie des Nuisances et sont disponibles aux mêmes éditions en 4 volumes sous le titre général : George Orwell, ESSAIS, ARTICLES, LETTRES.
Quand est parue l’article du Guardian le 11 juillet 1996, article qui a été repris par certains médias français dont France Culture et libération, les éditeurs de George Orwell ont publié la brochure que j’ai signalée et qui comporte l’article original du Guardian et la fameuse lettre de George Orwell à Celia Kirwan, fonctionnaire du Foreign Office, mais aussi belle-soeur d’Arthur Koestler, lui-même ami proche de l’auteur de 1984.
Je dispose évidemment de tous ces documents qui sont toujours, bien que les maisons d’édition soient mortelles, disponibles et, de ce fait je n’ai nul besoin d’aller chercher mes informations sur le blog d’un quidam.
Si j’ai mis en garde, à ma manière, Paul Jorion, c’est qu’il a déjà été publiquement traité de « communiste » et assimilé de ce fait à un désinformateur.
Il me paraît nécessaire, quand je détiens quelques informations de première main, d’en faire état tant « la propagande totalitaire n’a pas besoin de convaincre pour réussir et que ce n’est pas là son but. Le but de la propagande est de produire le découragement des esprits, de persuader chacun de son impuissance à rétablir la vérité autour de soi et de l’inutilité de toute tentative de s’opposer à la diffusion du mensonge. »
@Marlowe
oui mille fois oui
mais l’homme libre se bat malgré tout, avec ses moyens et ses faiblesses mais il se bat
Le 6 avril 1949, de George Orwell à Celia Kirwan
« I could also, if it is any value, give you a list of journalists and writers who in my opinion are crypto-communists, fellow-travellers or inclined that way & should not be trusted as propagandists. But for that I shall have to send a notebook witch I have at home, & if I do give you such a list it is strictly confidential, as I imagine it is libellous to describe somebody as a fellow-traveller. »
[« Je peux aussi, si cela a quelque valeur, te donner une liste de journalistes et d’écrivains qui sont, à mon avis, crypto-communistes, compagnons de route ou enclins à l’être et en lesquels on ne peut pas faire confiance comme propagandistes. Mais pour ce faire, il me faudra t’envoyer des notes qui sont chez moi, et si je te donne une telle liste elle doit rester strictement confidentielle puisque j’imagine qu’il est insultant de décrire quelqu’un comme un compagnon de route. »]
Selon cette source, cette lettre est consécutive à la visite de Celia Kirwan du 29 mars au sanatorium, et Celia Kirwan rapporte qu’Orwell s’était montré enthousiaste à l’idée que le ministère des Affaires étrangères britannique s’efforçait de contenir des assauts de la propagande stalinienne du Cominform.
Le 17 avril, Orwell remercie son vieil ami Richard Rees de lui avoir envoyé ses notes, qu’il avait été cherché chez lui en précisant « The whole business is very tricky, and one can never do more than use one’s judgement and treat each case individually. » [Cette affaire est très délicate [ou « piégeuse »] et on ne peut rien faire de plus que de juger et de traiter chaque cas individuellement]. Cette liste comportait 135 noms.
Le 30 avril, Orwell envoie sa liste de 38 noms – 35 selon certaines sources, wikipedia en anglais en revèle 25 – en réponse à un courrier, explicite quant à l’usage de la liste, de Celia Kirwan du même jour : « Dear George (…) They have asked me to say that they would be very grateful if you could let us look at your list of fellow-travelling and crypto journalists: we would treat it with the utmost discretion.” [« Ils m’ont demandé de te dire qu’ils seraient très redevables si tu nous laissais voir ta liste de compagnons de route et de crypto-communistes : nous l’utiliserions avec la plus grande discrétion »]. Dans sa réponse contenant les ~ 38 noms dont chaque ligne est dotée de colonnes composant certaines cases parfois remplies de point d’interrogation, Orwell précise, quant à cette liste, à Celia Kirwan “It isn’t very sensational and I don’t suppose it will tell your friends anything they don’t know.” [« Elle n’est pas particulièrement sensationnelle et je suppose qu’elle ne dira à tes amis rien qu’ils ne savent déjà »]
Peut-être le fonds documentaire de Marlowe contient-il les ~ 97 noms qui ne figurent pas dans la liste, ceux des des noms non brûlés.
Je remercie vigneron pour nous avoir permis de let us a look sur le déballage auquel a participé Vincent Présumey, où les fantômes de grands écrivains mais… ressurgissent, celui de Céline, encore, mais aussi d’Aragon… Les déballages valent le détour pour autant qu’il en soit fait usage in a very tricky way, ne serait-ce que par ce qu’il en émanent de la réalité d’une ambiance d’une époque, en l’occurrence celle de l’après-deuxième guerre mondiale en France, laquelle ambiance s’oublie plus vite encore que ladite époque.
Ou des politiciens espagnols par Bankia…
@ Jorion
« … mais imaginez qu’on apprenne un jour que des économistes ont été financés par des banques ! »
Cela doit être de l’ironie de votre part parce que franchement, sans faire des recherches très poussées, on peut citer pas mal de noms si vous voulez.
De l’ironie, moi ? Vous m’en rendrez compte sur le pré, Monsieur !
Un duel ? Diantre et palsambleu, revoici le bon vieux temps des diligences et des relais de poste qui n’avaient pas besoin de pétrole (mais de beaucoup de bras pour évacuer le crottin) !
Comme au bon temps du Far-West !
Ce qui est dit dans cette vidéo est fondé sur des raisonnements alors qu’on est dans un domaine où les raisonnements servent essentiellement à détourner notre regard des véritables raisons de ceux qui veulent imposer leurs choix.
Si ceux qui détiennent des pouvoirs économiques et financiers s’entendaient entre eux au lieu d’être engagés dans une compétition permanente les opposant les uns aux autres on pourrait trouver des raisons de souhaiter que les responsables politiques négocient avec eux et évitent ou atténuent les catastrophes vers lesquelles nous allons. Parti comme ça l’est je ne crois pas que ce puisse être le cas.
Si le contenu du discours de Toulon n’a eu aucune influence sur le actes de celui qui l’a prononcé de même qu’aucun soutien de la part des partis politiques (y compris ceux qui professent des idées proches de ce qui y était exprimé) c’est il me semble parce qu’un président de la république française n’a pas plus la possibilité de les mettre en oeuvre que le président de la région Bretagne n’aurait la possibilité de s’attaquer aux problèmes de sa région en imposant ses propres décisions aux industriels et banquiers bretons.
Il me semble qu’en laissant tout le pouvoir aux marchés, les industriels et les banquiers se sont condamnés à assister impuissants aux catastrophes qu’ils provoquent en luttant les uns contre les autres. Les états sont incapables de les contrôler parce qu’ils sont eux-mêmes en concurrence les uns avec les autres. Y compris dans l’Union Européenne.
Les méthodes utilisées au Far-West ont donné des résultats qu’on peut trouver appréciables malgré les énormes bavures qu’elles ont entraîné. Ce à quoi on est en train d’assister (Chine, Inde, Brésil, etc compris) ressemble à une tentative de les appliquer à l’ensemble de la planète. La planète semble trop peuplée et trop à court de ressources encore inexploitées pour que ça donne le même genre de résultats.
La comparaison avec l’organisme humain serait du genre: le bras droit tente avec acharnement de maîtriser le bras gauche pendant que le pied gauche s’efforce de faire trébucher le pied droit et que les différentes parties du cerveau se font concurrence les unes les autres tout en continuant à prétendre avoir le plein contrôle de la situation…
Repéré sur un site qui propose des oeuvres littéraires en libre accès (un peu comme les logiciels libre), cette nouvelle qui décrit un monde post effondrement du capitalisme
http://www.inlibroveritas.net/lire/oeuvre40088.html
le chapitre 1 évoque le contexte futuriste (d’un intérêt relatif, à mon sens)
le chapitre 2 reprend certaines analyses de ce blog… notamment la question de la propriété privée…
M. Jorion, que pensez-vous en particulier des pages 21 et 22 ?
Bonne lecture à tous !
du bisounours collaboratif technoido borgne, quelle horreur …
Soignons les machines de théâtres, car parfois il peut en sortir un Dieu, juste avant la fin, quand plus personne ne croit au dénouement . Mais évitons tant que possible de trancher le nœud gordien par l’épée.
Je vais aller me couper une rondelle de saucisson.
Je suis un syndicaliste en Belgique, et on nous a aussi souvent reproché que notre action ne servait au mieux à rien et au pire à freiner la chute du capitalisme, et qu’on ferait bien de ne plus donner aux travailleurs l’illusion qu’on peut les defendre dans ce cadre. En fait, on empêcherait la revolution. Parfois je me le demande aussi et d’autres fois je me dis que les travailleurs et leur famille ont besoin de manger.
Je doute aussi de plus en plus.
Le syndicalisme a pris la suite des révoltes d’esclaves, des jacqueries et autres mutineries, autrement dit de quelque-chose qui a toujours existé sous une forme ou une autre.
Si ceux qui vous tiennent ces discours son sincères ils se doivent de refuser leur salaire dans le but de hâter la fin du capitalisme!
Carlos, ne les laissez pas vous saper le moral. Que veut ce « on »? Que vous cessiez vos actions? Vous désarmer en quelque sorte, en attendant le Grand Soir, … un jour … plus tard … peut-être …
Le capitalisme est en train de se saborder tout seul, en ce moment même, mais il profite du chaos qu’il a lui même créé pour retirer tout droit et tout espoir aux travailleurs que vous, vous défendez. Qu’il s’imagine pouvoir encore triompher de cette façon, ou simplement qu’il essaie de sacrifier les faibles pour que les forts (eux, pensent-ils) survivent, peu importe.
C’est maintenant, justement, que les possédants affolés de voir s’écrouler leur donjon de papier sont le plus dangereux, le plus méchants. maintenant que les salariés sont le plus menacés et le plus vulnérables. Ils ont besoin de gens comme vous.
Continuez, ne lâchez pas, courage et Merci.
Je commente pour la première fois…mais lis ce blog depuis des mois…Merci Mr Jorion ! Ce que vous décrivez si bien dans la vidéo porte un nom: l’apoptose, cette particularité de la cellule à déclencher sa propre destruction…toutefois, contrairement à ce que vous dîtes à la fin de cet exemple, ce n’est pas le propre de la cellule cancéreuse qui justement a perdu cette propriété esentielle du vivant, la sélection par le fonctionnel…vousz suivez donc mon raisonnement…ce combat sociétal d’aujourd’hui est d’autant plus difficile que l’on a laissé le cancer évoluer…il en est au stade métastatique ! et surtout ne contrôle plus sa propre évolution…une solution ? couper ! les racines, la sève, le sang pour la tumeur, l’oxygène, et travailler en espérant qu’il reste suffisamment de cellules originelles viables et propres à se reproduire avec un nouveau paradigme .
Où conduit ton analyse pour l’homme ordinaire que je suis ?
L »acceptation des fondamentaux du capitalisme sans entrave conduit à des contradictions que la guerre, encore et toujours, solutionne jusqu’à une autre crise…
Le refus frontal de tout cela provoque un tohu-bohu incertain.
Où sont les gens qui partagent cette analyse ?
Réalisons le cercle des gens qui pensent qu’une voie, pour des raisons fondamentales et diverses, est celle qui conduit les peuples à ne pas mourir.
Vivre sobrement est une vertu
L’art se réalise, il ne se photographie pas
Les objets ont un sens explicite
La rencontre, l’union, la communion, la mort ont un sens pour chacun
camomille
2 juin 2012 à 15:37
+1 🙂
Je trouve que l’on se rapproche aussi beaucoup des causes qui ont déclenché le chartisme :
.
Remplacement des hommes par les machines
augmentation du temps de travail
chomage de masse
dumping social
La misère se développe d’une manière intolérable alors que l’on pourrait essayer d’y remédier un temps soit peu, mais non, rien … alors …. »Se débarasser des gens en grande quantité » … est ce une volonté délibérée ?
dans le fond on s’en balance, ce qui importe c’est que le résultat de la politique des ponce pilate que l’on retrouve dans tous les pays arrive au même résultat.
@edith
« Remplacement des hommes par les machines »
Tu situes le moment capital de l’organisation nouvelle des hommes
et qui a été loupée par la droite qui n’ y a vu qu’ un gain et par la gauche
qui n’y a vu que l’horreur pour ceux qu’elle défendait .
EDITH ;
les temps qui viennent sont semblables
Bonsoir M. JORION
Continuons à râler dites vous. Et comment !
Je crois même qu’il faut râler de plus en plus fort, afin que le maximum de personnes comprennent le monde dans lequel nous vivons . Et peut être pourrons nous déboucher sur un système plus juste, ou éviter des événements malheureux. Je dis bien peut être…
De mon coté j ‘ai écrit un petit livret qui décrit très brièvement les raisons pour lesquelles nous nous trouvons dans une telle situation. Il est destiné à des personnes qui n’ont pratiquement aucune notion économique, comme moi il y a encore quelques années . Je ne peux rester les bras croisés devant une telle situation.
» La liberté commence ou finit l’ignorance » disait Victor Hugo.
Merci pour votre blog.
Ma remarque en passant sur les syndicats m’a valu un long courrier mail très personnel, dont j’extrais cette partie anonyme qui intéressera tout le monde :
Secret.
Nous sommes quelques-uns à savoir que les syndicats n’ont pour but que prolonger la plainte du prolétaire pendant un millénaire afin que rien ne change.
En amont des robots qui fabriquent des automobiles sous le contrôle d’ouvriers spécialisés, il y a les machines qui fabriquent les robots sous le contrôle d’ouvriers spécialisés., et des ingénieurs qui écrivent les logiciels programmant ces machines lesquelles ont été conçues par d’autres ingénieurs et assemblées par d’autres machines, etc., etc.. Pour 100 voitures produites, combien de travailleurs ont été impliqués dans la chaîne qui va du premier logiciel à la voiture finie ? La part de travail dans cette chaîne n’a peut-être pas tant diminuée par rapport à ce qu’elle était chez Ford en 1924. En avez-vous une idée ?
Certes, les moissoneuses batteuses ont changé le travail agricole et divisé par 10 ou 20 le nombre des moissoneurs pour un même rendement et un même rapport, mais toutes les industries humaines ne sont pas aussi simples !
Mais si, c’est très simple. Si la robotique ne supprimait pas globalement des emplois, on ne la ferait pas. La rentabilité l’exige, et l’entreprise GLOBALE (le système industriel), ne peut que poursuivre la rentabilité. Si la conception et fabrication des robots revenait aussi cher que les emplois qu’elle remplace, globalement le capitalisme n’aurait aucun intérêt à y investir.
Et comment, et pourquoi, les robots achètent-ils les marchandises qu’ils fabriquent ?
Bonne réflexion détective !
Parler de rentabilité lorsqu’il n’y a plus de consommateur … hum …. ça mène sans doute à la situation actuelle.
a ne pas rater, ou findkielkraut invite MICHEA et ou on cause d’ ORWELL :
http://www.franceculture.fr/emission-repliques-le-complexe-d-orphee-2012-06-02
Question.
Toutes ces émissions, avec ou sans images, sont-elles faites pour promouvoir des livres et les pensées qui tentent d’y vivre ou pour remplacer les livres ?
Les remplacer ? peut être pas – sauf si on est très occupé ailleurs et qu’il faut faire des choix dans l’emploi de son temps disponible ; faute de mieux en somme ou comme une aide au discernement.
Donner envie d’aller y regarder de plus près, ou découvrir une problématique que l’on n’avait pas encore entrevue (tous les QI ne sont pas égaux !), j’y crois, même si je me pose très souvent la question que vous.
@ Paul Stieglitz
Il se trouve que je suis conducteur de ligne justement, et je peux vous affirmer que la robotique a détruit des emplois. bien entendu qu’il faut des ingénieurs pour la conception, mais une fois conçu il suffit de dupliquer le processus. Dans l’entreprise dans laquelle je travaille l’effectif de production a été divisé par 2 pour la même quantité produite, sois une cinquantaine de personnes en moins. Et je travaille sur des lignes qui sont vendues à travers le monde, je vous laisse imaginer les postes supprimer.
Dans le meme ordre d’ idée , les logiciels CAO et DAO , ont divisé les capacités cognitives des intervenant par env 100…….il est sur que pour des metiers d’expertise ( elec , economie , TEP , …celà permet une économie …..a ts les niveaux (le mien etant l’expertise et le controle de conformité finissait par se résumer a controler la conformité et la validité des logiciels …) mais c’est au détriment des individus que l’on peut embaucher a un niveau inférieur …et qui ne progressent pas durant leur carriere …l’interface logiciel bloquant le progres anterieur que permettait la memoire , la pratique des abaques et formules et la recherche d’ une logique dans ces démarches …….cette « gymnastique » intellectuelle que l’ on considère un peu vite comme inutile et obsolète , permettait de gonfler le cognitif pour d’autres usages …..
@Laroque, @kerkoz
Merci de vos réponses. On est bien d’accord : l’évolution des processus de production a changé les besoins en tours de main et en cognitif.
Il en résulte aussi : 1) la multipilication des sous traitants qu’il faut compter dans les effectifs de production des 100 voitures – et à propos, quelle a été l’évolution des ces effectifs les 20 dernières années, ont-ils baissé partout alors que l’on produit de plus en plus d’autos; 2) la déspécialisation ou même la précarisation et le servage des ouvriers de l’industrie high et middle tech.
Pour vous dire, je suis pessimiste.
Affronter le silence.
Voir venir la fin,
Avec la certitude d’avoir vécu en vain,
D’avoir été nul,
Aux dernières heures du souffle si cher.
Question de temps, c’est tout
Trop de fatigue à convaincre
Dans l’agonie d’un effort,
Trop d’insistances déçues
Pour en redemander encore.
Savoir évoluer de déceptions,
Et, quand même, saluer la beauté.
La gravité de la situation en Syrie exige un renouvellement de la situation. Le régime est très cruel envers les populations, les cas de tortures et massacres sont très nombreux, ses exactions répétées sont le signe d’un régime devenu persécuteur envers ses citoyens.
Lors de manifestations pacifiques, les soldats aux ordres (certains ont rejoints l’opposition) ont attaqué des personnes sans arme, de part la brutalité du régime et de son oppression ancienne sur la population, des retours ont pu être constaté. Rappelons que la Syrie refuse toutes opinions d’informations sur son sol.
Ce n’est pas que le régime actuel ait changé, c’est qu’il n’écoute pas les revendications de la population, et de certaines organisations essayant de faire entendre leurs voix. La seule réponse est la persécution, et les soit-disantes tentatives de dialogue ne se terminent que par les armes. Il n’y a pas de changements de visions, mais une continuité de la persécution contre les citoyens, qui pourtant pour certains ont manifesté pacifiquement, se terminant en crimes.
Après des mois, la situation n’a pas abouti à un processus d’écoute, et le régime a poursuivi ses persécutions contre la population et ses revendications. Son président devrait démissioner, et de nouvelles élections devraient avoir lieu.