Une sélection des chroniques récentes de « l’actualité de la crise » de François, préfacée par moi.
En librairie aujourd’hui-même, aux nouvelles éditions Osez la République sociale ! – 168 pages, 8,50 euros.
En vente en ligne pour les lecteurs du blog (et les autres !).
51 réponses à “CHRONIQUES DE LA GRANDE PERDITION, par François Leclerc”
Bonne nouvelle.
Quelle est la période couverte ?
Merci.
20 septembre 2011 au 28 mars 2012.
Petite suggestion : sur la couverture il faudrait mentionner tôme 1 !
Je vénère mister Leclerc, je ne suis qu’un petit scarabée face à lui, mais franchement une telle couv’ motive a regarder autre part, la maison d’édition est-elle suicidaire?
I mean really…
Moi, j’aime bien. Vous verrez quand vous l’aurez entre les mains.
Non car dans la postface de (XXX), on peut trouver une liste d’antidépresseurs sans effets secondaires pour les jeunes. Ainsi qu’un résumé du « régime grec », économique/
J’oubliais…des adresses aussi pour les sauts dans le vide…sans élastique…
Parmi » les questions qui restent à résoudre »… la gravitation.
Enfin ! Bon j’achète. Mais faudra la série complète oh ! Collector pour après, pour la Grande Retrouvance quoi.
La République Sociale ici ?!
Oui mais sans MélAnchon bien sûr! Trop tendance et pas assez consensuel. Le tri sélectif fait partie des bonnes pratiques paraît il.
Un peu trop d’état et de services publics, probablement, dans le programme…
@Nicks : Que voulez vous, certains préfèrent les subventions généreusement distribuées sans discernement.
Subventions ? Snif… snif… subventions ? snif… subventions ? sob… snif…snif…subventions ! Une PPE ! snif… snif… sob… subvention ! un RsA !!
Comme je pressentais que certains se sentiraient visés à tort ou à raison, j’avais jugé utile d’évoquer une catégorie particulière de subventions. Celles qui sont « généreusement distribuées sans discernement » ou par pur clientélisme électoral pourrait on ajouter.
Clientélisme ? Un truc du sud ça, non ? C’est pas gentil pour les fonctionnaires grecs en tous cas… Vous votez UMP ou PdG ?
Quand je vote c’est pour le bord politique symétriquement opposé à celui pour lequel votent les viticulteurs. Je ne perçois aucune subvention de quelque sorte que ce soit.
[…] Blog de Paul Jorion » CHRONIQUES DE LA GRANDE PERDITION, par François Leclerc. […]
Je crois avoir lu toutes (ou presque) vous chroniques!
Bravo. Félicitation M. Leclerc!
les commentaires sont-ils édités avec ?
Non, seulement les chroniques. Il aurait fallu faire un bouquin de 6.000 pages sinon !
S’agit-il de toutes les chroniques seulement, ou du texte, des analyses nouvelles ont-elle été ajoutées ?
Merci.
Une sélection de 29 chroniques avec un avant-propos de rajouté.
Enfin le bouquin qu’on attendait !
Soros a fait la même chose avec ses chroniques du Financial Times : le chaos financier mondial.
Enfin 🙂
J’ achète!
Comme Vigneron j’ aimerais la série complète… Un espoir??
Merci pour tout votre travail Monsieur Leclerc!
ben… vous avez une imprimante 😉
Dure loi de l’offre et de la demande : une suite dépendra de la demande, sacré rapport de force !
il y a un problème de PAO : le corps du préfaceur est plus gros et gras que celui de l’auteur 😉 (karluss conseil en PAO)
Gagné, c’est pour attirer l’attention !
@karluss :
> c’est pas gentil ça !! 😉
Y a deux taches sur la couverture 😉
Felicitations, moi aussi j’achete !
Je ne comprends pas bien la couverture, on dirait des éclats de kalashnikov dans un mur en béton… une illustration de l’avenir ?
Le moment pour souligner à nouveau, quelques soient les réserves marquées que j’ai à l’égard de son positionnement politique, le travail de synthèse assez ahurissant que François Leclerc réalise pour ces chroniques. Dans le constat et le décryptage des mécanismes économiques, à part chez Lordon, mais de façon bien plus espacée, je n’ai pas pu trouver plus efficace et pertinent. Les remerciements s’imposent.
Il fait de l’économie Lordon ? Oh ? On aurait pu m’le dire kamême !
Chiche qu’une seule faille soit trouvée dans le raisonnement implacable de Lordon… Je vais encore me faire zapper pour cause d’ « incroyance sorciéresque » , je sais. 🙂
Merci, mais ne vous méprenez pas à propos de mon positionnement !
Chronique, le positionnement.
Pardon de risquer une question idiote : par qui vous sentez-vous donc représenté dans le champ politique réel? Il y a d’étranges malentendus, on en sait plus s’il sont de fond ou de forme, dans les échange ici (cf. votre besoin de signifier à Nicks que vous n’êtes pas – Oh! Horreur- mélenchonniste…). J’ai beau trouver à Nicks tous les lourds travers de la militance enfonceuse de portes ouvertes, cela ne me dégoûte pas de voter plus à gauche qu’au PS sans me perdre chez les clowns d’EELV.
@ jicé
Je ne me pose pas la question ainsi, ne visais pas Jean-Luc Mélenchon, et me demandais plutôt quel positionnement Nicks pouvait bien m’attribuer…
@François Leclerc
Un positionnement qui n’est pas revendiqué, pas mis en avant je veux dire. Ce n’était donc pas un reproche. Quant à le définir, je dirais que c’est cette méfiance vis à vis de l’état qui en est la caractéristique et c’est là que je m’en dissocie, voilà tout.
@Jicé
Je crois que les portes ne sont pas ouvertes et c’est bien le problème que je peux relever sur ce blog. Pour les ouvrir, il faut aller dans le champ politique. Sur la forme, je veux bien que mon style ne convienne pas mais il a aussi ses qualités et je ne vous cache pas que je l’entretiens à dessein. Sur le fond, je suis convaincu d’être dans le vrai. Il n’y aura pas de solutions à cette crise qui ne soit politique dans le sens d’une victoire idéologique. Ce n’est d’ailleurs pas par hasard que les néolibs ont toujours voulu effacer cette notion. Plus d’idéologie, plus d’alternative…
J’ai lu Marx et modestement je partage son analyse du dépérissement de l’État (et de la famille aussi) et de la prise en main du destin des travailleurs par les travailleurs eux-mêmes. On a ensuite appelé cela l’autogestion.
@François Leclerc
C’est ce que je laissais entendre.
«Les remerciements s’imposent.» Salauds d’jacobinbins… Même les remerciements ils les imposent !
Allons, allons. c’est de la simple politesse républicaine!
@Daniel
Vous savez la politesse, pour Vigneron…
Bravo et felicitations,a vous lire!
M.r Leclerc, abrazo, sur mon coeur !
« Osez la République Sociale » , quel beau programme,
une déclaration de foi inespérée. Et tellement moderne.
Je vais Oser la République Sociale, avec allégresse
et relire avec plaisir vos chroniques.
Pourvu que cette Maison fasse des émules.
« Osez le C.N.R. », la prochaine.
Ou
« N’ayez pas peur de l’ Etat. »
« Osez l’ Etat » , mieux.
@ Daniel
je vous ai répondu ici . modestie ? ben dis donc, le monde ne semble pas l’être . faut voir toute la puissance qui s’y déchaine . on y voit de tout , des plus grands rêves au pires cauchemars .
http://www.pauljorion.com/blog/?p=36886#comment-320843
savoir qui a raison dans le fatras ?
les dieux dont je parle en conclusion , seraient bien trop humain en fin de compte , et ce sont les seuls qui comptent .
J espère que les ventes seront au niveau de votre investissement quotidien sur ce blog, et de la qualité de votre travail.
Je m’en procure un exemplaire dans la foulée.
La République Sociale est -elle dotée des attributs qui lui éviteront de tomber dans les mêmes ornières que la Sociale Démocratie ?
PS : à cette heure les liens de fin de billet sont inopérants .
[…] l’hémiplégie américaine galopante, les contrecoups meurtriers de cette crise de la “Grande perdition” sur les économies émergentes… Tout cela est en train de se parachever dans un chaos […]