Traduction en allemand par Lisztfr et fnur de PRINCIPE DE CAUSALITÉ LINÉAIRE : LES MÊMES CAUSES PRODUIRONT LES MÊMES EFFETS, par Julio Béa.
Die griechische Krise ist eine europäische Neuauflage der US-Subprime-Krise : Sie hat die gleichen professionellen und politischen Funktionstörungen zur Ursache.
In beiden Fällen findet man als Grundlage für diese Pathologie, Darlehen an eine dritte Partei, die der Kreditgeber geschwächt weiß, auf Gründen die nicht in seinem Interesse liegen, aber im Gegenteil im Interesse der letzteren, basiert auf normalerweise unzulässigen Grundlagen für Fachmänner, die keine Spekulanten sind.
Die erste Stufe der Subprime-Krise bestand darin, Darlehen an zahlungsunfähige Kreditnehmer zu verteilen, obwohl es genau die Arbeit des ehrlichen Bankiers ist dies zu überprüfen. Die zweite Stufe war deren Verbriefung, das heisst der Bau und der Unterhalt einer Nebelwand, um die freiberufliche und öffentliche Welt des Geschäfts zu überlisten und folglich zu betrügen: ein scheinbar legal geplanter Betrug?
All dies erscheint als Gegenteil eines « Liberalismus », der als die « verantwortliche » Ideologie der Egoisten präsentiert wird. Wir werden nicht von Moral reden, weil dieser Begriff nicht zur Welt dieser Akteure gehört, aber es handelt sich wohl um verschlimmerte Kunstfehler. Oder, man nehme an, dass eine solche destruktive Strategie der Gesellschaft eine legitime Rückkehr in den Wilden Westen wäre (Gott hat die Menschen ungleich geschaffen, der Colt hat sie wieder gleich gemacht)? Anschließend gab es keinen Grund dafür, dass öffentliche Gelder verwendet wurden, um diesen Berufsverbrechern zu helfen, und die beteiligten Bankiers sollten in diesem Gebiet von der Arbeit abgehaltet werden, denn sie sind nicht verantwortliche Profis.
Auf dieser Seite des Atlantik weiß jeder, dass die politischen Parteien und die europäischen Banken Griechenland als Mitspieler angenommen haben, während man uns heute sagt, es gäbe keine behördlichen (Steuererhebung, usw.) oder technischen Strukturen (Grundbuchamt, usw.), vergleichbar mit denen im Bereich des restlichen Europa, die die Garanten für den guten Betrieb eines Staates und der Rückzahlung von Darlehen sind. Wer profitierte von dieser Manipulation?
Sie erlaubte so lukrative wie auch unbenötigte Märkte (Waffenlieferungen, Bäue für die olympischen Spiele, etc..) und hegte da eine vielseitige Korruption. Und heute sind es die Mindesteinkommen, die diese Rechnung zahlen müssen ? Sie zuerst. Und bald wir!
Die Grundlage der griechische Verschuldung ist also eine professionelle Insuffizienz der Entscheidungsfindung, das heisst ein politischer Spitzengruppen-Betrug (der Ausdruck bürdet sich auf) organisiert mit Hilfe der Bankiers, die fragwürdige Dokumente aufgestellt haben, über die diese Welt dann vorsätzlich hinweggesehen hat, de facto als Komplize. Das ist wirklich die Krönung einer europäischen und globalen korrumpierten Verwaltung der Staaten, ohne jegliche effiziente und aufrichtige Suche nach dauerhaften Lösungen. Um wirklich nachhaltig Ökologie zu schaffen, wird es einer gründlichen, rigorosen und dokumentierten Analyse-Fähigkeit bedürfen. Die Politiker, die sich als unfähig erwiesen haben, sollten nicht weiter in ihrem Bereich genehmigt sein, weil sie nicht die erforderlichen beruflichen Qualifikationen haben.
17 réponses à “LINEARES PRINZIP DER KAUSALITÄT: GLEICHE URSACHEN PRODUZIEREN GLEICHE WIRKUNGEN, von Julio Béa”
Toll, gute Leute, prima! Aber jetzt wollen wir schon mehr von euch lesen!
Bon, je continue de déployer mon bras long de sale lobbyiste niçois afin que Fathi, outre son exposé sur la pensée de Lordon, tant attendu au GASP! de la ville où chaque midi retentit un coup de canon, produise une première traduction arabe de billet jorionobloguique. Que les sables chauds-froids du désert d’en face soient paradoxalement favorables aux boules de neige babylono-turriques…
Alessio Moretti
J’ai habité bon nombre d’années la région de Nice, je fréquentais le Bar des oiseaux de Noëlle Perna où passaient Dante l’italien ayant un restaurant indien, Roblès le peintre va nu pieds fan de Dali, ou Bruno Giuliani le spinoziste.
Rien de tel qu’un pastaga frais sur une terrasse face à Sainte Reparate.
Depuis Noëlle a eu un coup de blues, je lui souhaite d’aller mieux, elle le mérite, car elle m’a bien fait rire.
@fnur
Boum: la Mado, en vrai, est très gentille et timide!!! (crazy, isn’t it?) Je connais d’autres oiseaux que les vôtres (sauf un, mais qui a développé d’étranges plumes, bah), il faudrait donc que vous veniez, cher Fnur, rafraîchir la tranche (de tourte de blettes ou de pissaladière), notamment avec les joyeux(es) endiablé(e)s du GASP! Et à prêter main forte argumentative (et gustative – bon, chez nous c’est plutôt tourte au roquefort, fruits, vin rouge et eau). Gens éclairés, fières peuplades capitaliennes, îlotes de France, preux belgicans, urluberlus des huit coins du globe, il faut aider les indigènes « niçois » de bonne volonté que nous sommes (en nous rendant visite, en tissant lien). Dixit Nietzsche (cum laude): « Nice/Nizza, c’est ma Cosmopolis ». Un bout du réseau est ici…
Merci pour l’invitation à Raubà Capèu ou sur le rocher.
Eh oui brave Friedrich ayant habité rue Segurane près du port avant de perdre la boule et le Nord.
Il a habité également la rue saint François de Paule (près de l’opéra), je crois bien (et même ailleurs). C’était presque un enfant du pays, lou Nietzsche! Ce qui a peut-être été mal compris politiquement par la suite, vermisst 🙁
(mon bof, franconien, dit, en me surprenant: « verdammte Kakke! », dont la stupéfiante nuance dialectale particulière semble complexe à traduire en français – langue pourtant si versée en la matière…)
En DE, ce serait Ach du heilige Scheiße. Sainte merde.
C’est quand j’habitais la Côte d’Azur que j’ai découvert Nietzsche que je trouvais
plus poète, musicien ou peintre que philosophe. C’était ma période mystique athée,
face aux aurores de la méditerranée, tôt le matin, des hauts de Vallauris où j’habitais
et dessinais en me souvenant de Picasso ou de Dali du cap de Creus, face aux mimosas de Février.
Ceci dit, ici en Allemagne, il y a aussi des jolies couleurs, particulièrement des plantes vert émeraude façon oxyde de cuivre ou d’autres presque fluorescentes que je n’avais jamais vues ailleurs. Une vraie belle végétation découverte au fil de mes marches dans la nature.
Soigné sur un plan languistique, sans fautes d’orthographes. Sauf « v e r s c h l i m m e r t e » Kunstfehler, ce n’est pas très joli, ca manque de style, ca ne se dit pas.
Continuez!
Lisztfr
Bon travail.
En relisant ma première ébauche et cette version remaniée, je me suis parfois dit oups ! comment j’ai pu me gaufrer à ce point à tel ou tel endroit ? En même temps, c’est la première fois que je tente une trad FR-DE, qui plus est pour un texte un peu élaboré.
La traduction est une science et un art un difficile…
Ceci dit, j’ai fait relire cette dernière version, ainsi que ma première version, à 2 allemands, dont un de Bavière, qui m’ont dit pour les deux versions « na ja » on comprend, mais on aurait pas écrit comme ça.
Quand on est pas natif du pays, on n’est pas natif…et ça laisse des traces 🙁
Germanicus
« sur un plan languistique » ou linguistique ?
Pour les fautes d’orthographe et de grammaire, je filtre avec le correcteur de Word.
Ca corrige pas si mal. Je ne peux que conseiller cet outil.
Sinon le dico en ligne DE-FR-GB : http://dict.leo.org/frde?lp=frde&search=
Pour le style c’est plus compliqué, ça dépend du niveau de culture acquis de la langue traduite, et puis aussi
d’appréciations personnelles, forcément subjectives déformantes ou reformantes.
Bon, même à nous trois nous n’aurons pas réussi à avoir un texte exempt de fautes…
Peut-être donc que Germanicus nous aidera pour les prochains 😉 (appel du pied grossier…)
Lisztfr
J’accuse mon inconscient: il a dû faire l’amalgame avec le verbe « langue ».
Ou alors « lang », grand ou long en DE.
Une langue, à Marseille, ça signifie un baratineur.
Guter Text!
Es gibt schon ein paar Schreibfehler, wie zum Beispiel: « die Grundlage der griechischen Verschuldung…
Et quelques autres petites fautes qui ne gênent pas la compréhension du texte!
Faut-il écrire en allemand maintenant?
Das ist eine Weisung von Berlin!
C’est un ordre venant de Berlin?
Hors sujet mais qui pourrait intéresser Johannes qui est aussi fan de la monnaie fondante (mais il doit connaître, n’est ce pas? Pour moi c’est une nouveauté). J’ai vu hier un reportage en allemand sur Hessen Fernsehen qui introduit l’expérience du Sterntaler. C’est ici:
http://www.hr-online.de/website/fernsehen/sendungen/index.jsp?rubrik=18876
et chercher la vidéo « Die Rettung aus der Finanzkrise? ».
La monnaie est locale autour de Berchtesgaden pour favoriser l’économie locale d’abord, et elle est fondante pour décourager accumulation et/ou spéculation. Les habitants jouent le jeu car ils peuvent avoir des comptes bancaires en Sterntaler et utiliser une carte de paiement ou faire des virements.
Il y a de la monnaie locale aussi à Wörgl où je suis allé à Noël :
http://fr.wikipedia.org/wiki/W%C3%B6rgl
fnur
Mon commentaire précédent s’adresse à vous bien-sûr.
Il est vrai que la traduction est un art plus qu’un technique, elle nécessite, entre autres, une spécialisation dans un domaine donné.
J’ai eu de la chance dans la mesure où j’ai grandi dans un milieu tri-culturel: allemand, francais, anglais. Il m’arrive parfois de continuer une conversation en francais, alors que je discute avec un allemand dans sa langue, ou je prononce des termes que mon interlocuteur ne comprend pas forcément. L’Europe n’est pas encore fait.
johannes finckh
« die Grundlage…. » ist korrekt, jedoch das was folgt ist stylistisch nicht schön, sondern klingt dissonant: « …der Ausdruck b ü r d e t s i c h a u f ».
Mais vous avez raison, on comprend bien le texte, c’est l’essentiel. Nobody is pefekt.
J’avais proposé aussi une traduction en anglais, mais pareil, et P Jorion avec raison l’avait signalé, il reste des bugs ou autres Wanzen. Pourtant ma mère est anglaise, mais je n’ai presque jamais parlé anglais avec elle, tellement ses remarques concernant ma prononciation me gonflaient, les h expirés surtout, mais pas que, dès gamin sale môme réticent.
En revanche je me moquais d’elle quand elle faisait des erreurs de français, j’étais une vraie peste quand j’étais gamin. Elle disait « il se foute de moi », avec son accent Jane Birkin. Et derechef, j’étais mort de rire, elle aussi…en retour.
Moyennant quoi, quotidiennement je parle et j’écris en allemand, anglais ou français à l’attention de gens de diverses nationalités, et ça fonctionne sans accrocs majeurs.