… n’est pas facilement gagnée.
Aux pêcheurs, à leur femme et à leurs enfants qui attendent qu’ils reviennent, tout particulièrement quand il fait gros temps.
*Godot est mort !*
… n’est pas facilement gagnée.
Aux pêcheurs, à leur femme et à leurs enfants qui attendent qu’ils reviennent, tout particulièrement quand il fait gros temps.
Le problème c’est que les « parents » de l’IA sont ultra minoritaire (0,0001% au pif) et que c’est toute la société…
Bah, quand les consommations d’électricité s’additionnent : voitures, IA, robot… Ça peut être un sujet d’inquiétude tout de même !
@Pascal Oui, titre surprenant, alors que dans ces pages, il est constamment proposé d’envisager la supériorité de l’intelligence artificielle sur…
C’est pas moi, c’est GPT qui l’a dit !😂
@Pascal Une LED de 40 W ça court pas les rues et ça éclaire vachement !
Il y a douze ans voici ce qu’écrivait Bernard Werber troublant, ça ressemble à du Jorion 😉 «Natalia Ovitz lance…
Rassurez-vous Mango, j’ai aussi eu l’occasion de discuter avec des gens d’extrême gauche (LO pour ne pas les nommer) qui…
@Chabian Les uns comme les autres vont devoir se calmer question consommation. Aux mêmes USA, la consommation d’électricité pour faire…
@Pascal (« en nous considérant presque comme des dieux ? ») Thom : « Selon de nombres philosophies Dieu est géomètre. Il serait…
@ Grand-mère Michelle C’est vrai, c’est peut être plus juste de dire : l’homme est un animal parmi les autres.…
Allemagne Aristote BCE Bourse Brexit capitalisme ChatGPT Chine Confinement Coronavirus Covid-19 dette dette publique Donald Trump Emmanuel Macron Espagne Etats-Unis Europe extinction du genre humain FMI France Grands Modèles de Langage Grèce intelligence artificielle interdiction des paris sur les fluctuations de prix Italie Japon Joe Biden John Maynard Keynes Karl Marx pandémie Portugal psychanalyse robotisation Royaume-Uni Russie réchauffement climatique Réfugiés spéculation Thomas Piketty Ukraine ultralibéralisme Vladimir Poutine zone euro « Le dernier qui s'en va éteint la lumière »
39 réponses à “LA VIE QU’ON GAGNE À LA PÊCHE EN MER…”
Femmes de pêcheurs ou femmes de footballeurs;c’est vous qui voyez.
L’idéal ;homme de tradeuses…
Comment ne pas être perturbé par la rumeur du monde?
… B initials BB…
Je suis confus du surcroît de travail pour le régulateur/modérateur.
Merci pour elles et eux
car…nous le savons bien…
…nous 2 qui connaissons ce milieu…
parfois…hélas…on en revient pas…
…
Sinon, en français, on a aussi le merveilleux « Pêcheurs d’Islande » du très injustement oublié, Pierre Loti. En haut d’un mont d’Istanbul, au dessus de la mosquée d’Eyoub, mère de l’Islam, un café porte encore son nom …
Pierre Loti est occulté à cause du « politiquement correct » de notre désastreuse époque. On lui préfère Segalen, parce qu’il avait réussi à passer de l’autre côté du miroir de l’exotisme (cf. Les Immémoriaux, un des plus grands « romans » de tous les temps). Mais pourquoi faut-il absolument en faire le pendant du petit Viaud complexé, à l’écriture limpide et sensible ?
Le fameux « désenchantement » de Loti, ses contradictions paranoïaques, colonialistes et romantiques, épris d’altérité (Rarahu) mais la repoussant quand elle existe réellement avec trop de force, me paraissent toujours d’actualité, surtout chez les bobos d’ici et d’ailleurs (Madame Chrysanthème dont le réel racisme fait rire recèle pourtant quelques traits féroces et toujours justes sur la bimbeloterie niaise et la frénésie de la vie japonaise).
Oui, Pêcheurs d’Islande est sans doute son chef-d’oeuvre, sur le sort des matelots.
Et à tous ceux qui ne reviennent pas.
http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Marin-noye-en-ecosse-relaxe-requise-_40740-1842347——56260-aud_actu.Htm
Pour faire grassement rire les acculturés mais peut-être, émouvoir ceux qui sont restés un peu françois …ou bretons :
L’Angélus de la mer
La Paimpolaise
Hardi, les gars !
…et m… pour le Roi d’Angleterre !!!
Puisque personne n’a encore ajouté cette chanson:
http://www.dailymotion.com/video/x11vor_noir-desir-aux-sombres-heros_music
🙂
Tiens, mais ??? !!! …. C’est pas une blague alors…et puis après, 18 nœuds et 400 tonneaux ?…
On y gagne toujours quelque chose à se balader, sans but précis, dans ce blog. C’est toujours un plaisir. Parfois, on a des surprises et même, on croit faire des découvertes… petit baigneur que je suis.
– Un banc de poissons est un regroupement temporaire d’individus de taille similaire et de la même espèce se déplaçant ensemble de manière non hiérarchisée. La moitié des espèces de poissons connues se réunissent en banc au moins une fois au cours de leur vie. Pour une coordination entre individus il est nécessaire qu’ils soient capables de se reconnaitre ; différents moyens peuvent être utilisés ( stimuli visuel sur le corps, olfaction, organes électriques, bioluminescents…). En effet chaque individu est simultanément un stimulant visuel pour ses congénères et est lui-même stimulé par leurs déplacements. Ce regroupement permet une meilleure survie, notamment pour les poissons se trouvant au centre du banc qui sont en général les plus jeunes. Les individus adoptent par ailleurs des comportements qui favorisent leur pénétration dans l’eau.
(HUYGHE Lucie. PIETERS Elise. Où commencent la socialité et les différentes étapes qui y mènent.) – De la Sociobiologie (rappel) :
Depuis l’Antiquité, la pensée philosophique cherche à décrire le fondement des sociétés humaines notamment avec la théorie d’Aristote : la société est envisagée comme un être concret, faisant partie de la nature et étudiée par la méthode d’analyse expérimentale. Plus tard les études se sont penchées sur les sociétés animales, connues depuis longtemps mais peu décrite, afin de s’en servir comme base de comparaison avec les sociétés humaines et parvenir qui sait à mieux les comprendre. Nous devons le premier traité de sociobiologie à Alfred Espinas, sociologue français, dans son livre : Des sociétés animales, étude de psychologie comparée (1877).
Le terme sociobiologie a été par la suite popularisé par Edward O. Wilson.
Au loin c’est l’Angélus
C’est l’Angélus qui sonne
À genoux donc sous le ciel bleu
À genoux donc et priez Dieu
Laboureurs de la mer
Et que le jour rayonne
C’est l’Angélus!
Il y a là une pointe de nostalgie, mais pourtant des pêcheurs bien moins équipés sont encore en activité sur toutes les côtes de l’Afrique de l’Ouest et ailleurs. Leurs musiques sont différentes…
http://immigrechoisi.com/inclassables/la-parabole-du-pecheur-africain/2277/
fnur
Très jolie parabole , vraiment , très astucieuse , comme souvent .
@ Fnur,
Bonjour,
L’ami livio, qui met en scène pour les petits avec les moins les grands tracas du monde (pêche, pétrole, crise) avec un bonheur simple à ne pas bouder.
Naftol « une crise venue d’ailleurs… » Théâtre musical de marionnettes »
http://www.youtube.com/watch?v=epJtYyqk9bM
5’36
Hommage au patron Paul Jorion pour son étude sur la formation des prix chez les pêcheurs de je ne sais où ?
Houat , je crois.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Houat
L’autre jour sur talassa , une émission sur la peche et braconnage des « pousses pieds » a houat …qui a failli etre craignos pour le caméraman ..de bien belles photos du coin .
Sur Houat, par votre serviteur : samedi 28 janvier sur FR3, dans l’émission Littoral.
Tiens, c’est l’occasion de dire mon émotion à la lecture de « Le Prix ».
J’habite St Nazaire et donc Le Croisic ou La Turballe ne me sont pas étrangers.
Alors quand vous en parliez dans le bouquin, j’en avais la boule au ventre …
Et y’a pas que les pêcheurs (même si pour eux c’est pire). St Nazaire, disais-je : j’ai vu ma fille (vers ses 14 ans) trouver insupportable qu’ « on nous pique le Queen Mary II » : l’était à nous, on l’avait construit, pourquoi il allait en Amérique.
Un jour, j’étais sur les quais, et un cargo en radoub quittait le port. Plein de monde sur ces quais. Et une émotion intense. Générale. Et qui m’étreignait. C’est ce jour-là que j’ai su que, bien que né Nantais, j’étais devenu, sans m’en rendre compte Nazairien.
Vous auriez du mal à imaginer la ferveur du peuple nazairien quand il voit partir un de ses bateaux.
Je sais, c’est du sentimentalisme, mais j’assume et je revendique.
Version en flamand… 🙂
http://www.youtube.com/watch?v=7f_wphV3jeM&feature=related
Un grand merci Paul d’avoir partagé cette superbe balade. Il semblerait bien que les balades traditionnelles arrivent à nous faire un peu sentir la vie dure des gens humbles mais dignes, que la bousculade des médias contemporains ignore trop souvent…
Pour celles et ceux qui ne la connaitrait pas voici dans un genre semblable une chanson d’Anne Sylvestre que les médias ont trop injustement reléguée au domaine des chansons enfantines, domaine respectable mais bien peu représentatif du talent de cette chanteuse engagée:
http://www.youtube.com/watch?v=uLsjlOLNnJs
On est bien loin du « bling bling » avec tout ça…
Paul
Bien péchu aussi, dans un style diférent.
Ou comment recycler les bagads (ou Fatboy Slim) …
De circonstance me semble-t-il.
PS : on constate par ailleurs qu’un breton trempé est inaltérable à la bombarde.
http://www.youtube.com/watch?v=1VvoSG5ckjc&feature=related
En voici une autre sur la dure vie des bateliers et des bêtes de tractage le long du Canal Erié achevant la liaison de New York à Buffalo et aux Grands lacs.
Les paroles écrites en 1905 incluent un épisode lié à la révolution industrielle quand des machines à vapeur vinrent remplacer les mules. Le batelier conclue qu’il n’abandonnera jamais sa mule…
Érié Canal
http://www.youtube.com/watch?v=Re__LAcX5pY
Voici les paroles imprimées car il n’est pas facile de comprendre l’idiome américain chanté avec l’accent des chanteurs de country music… Avec les paroles écrites on arrive à suivre les paroles chantées.
I’ve got a mule and her name is Sal
Fifteen miles on the Erie Canal
She’s a good old worker and a good old pal
Fifteen miles on the Erie Canal
We haul’d some barges in our day
Filled with lumber, coal, and hay
We know every inch of the way
From Albany to Buffalo
Low bridge, everybody down
Low bridge, yeah we’re coming to a town
And you’ll always know your neighbor
And you’ll always know your pal
If ya ever navigated on the Erie Canal
We’d better look around for a job, old gal
Fifteen miles on the Erie Canal
You can bet your life I’ll never part with Sal
Fifteen miles on the Erie Canal
Get up mule, here comes a lock
We’ll make Rome ’bout six o’clock
One more trip and back we’ll go
Right back home to Buffalo
Low bridge, everybody down
Low bridge, we’re coming to a town
You’ll always know your neighbor
And you’ll always know your pal
If ya ever navigated on the Erie Canal
Where would I be if I lost my pal
Fifteen miles on the Erie Canal
I’d like to see a mule good as my Sal
Fifteen miles on the Erie Canal
A friend of mine once got her sore
Now he’s got a broken jaw
‘Cause she let fly with an iron toe
And kicked him back to Buffalo
Low bridge, everybody down
Low bridge ’cause we’re coming to a town
You’ll always know your neighbor
And you’ll always know your pal
If ya ever navigated on the Erie Canal
Low bridge, everybody down
Low bridge, we’re coming to a town
You’ll always know your neighbor
And you’ll always know your pal
If ya ever made a livin’ on the Erie Canal
Low bridge, everybody down*
Low bridge, we’re coming to a town*
You’ll always know your neighbor*
And you’ll always know your pal*
If ya ever navigated on the Erie Canal*
Low bridge, everybody down
Low bridge, we’re coming to a town
Hooo…
Je connais cette chanson car nos enfants la chantaient à l’école quand nous habitions dans la région un peu au nord de New York City.
Il doit bien aussi y avoir des chants traditionnel français sur ce sujet de la dure vie des bateliers du temps des chemins de halage…
http://www.lesventsmarine.net/choeur-marine-rochefort-charente-maritime/musique-choeur-marine.html
Une petite dernière avant d’aller me coucher: Encore une chanson d’Anne Sylvestre
Clémence est en vacances
http://www.youtube.com/watch?v=LqjrrJuxJXs
Paul
Je viens de découvrir le site de la radio québécoise Bordel de Mer, la radio internet des chants de marins.
Cela me fait penser à un livre lu quand j’étais jeune: » Le Grand métier », racontant la vie des pêcheurs partant en campagne pour la morue; le grand métier, par opposition au petit métier, la pêche côtière. Cela dira peut être quelque chose à l’ami Paul ?
A propos du « petit métier » de la pêche côtière…
Au Cros de Cagnes c’est la pêche qui est pratiquée. Les pêcheurs se levant à l’aube, ils finissent leur travail, assez tôt mais épuisés.
Un touriste passant par là vers 11h du matin, voit un pêcher local allongé sur la plage, la tête reposant sur un filet de pêche roulé en boule, et la casquette de pêcheur sur les yeux, faisant un petit somme réparateur.
Le touriste s’approche du pêcheur et lui demande « Pardon Monsieur, Vous êtes pêcheur ? »
Le pêcheur soulevant le bord de sa casquette, regarde le touriste et lui répond « Oui je suis pêcheur. Que puis-je faire pour vous? »
« Dites moi », fait le touriste, « vous pourriez continuer à pêcher encore un peu plus. »
Le pêcheur: » ah bon, et puis après? »
Le touriste : « Après vous auriez plus de poisson à vendre. »
Le pêcheur: » ah bon, et puis après? »
Le touriste : « Après vous pourriez acheter une seconde barque de pêche. »
Le pêcheur: » ah bon, et puis après? »
Le touriste : « Après vous pourriez employer un marin pêcheur, puis un autre pour aller pêcher à votre place sur vos deux barques de pêche. »
Le pêcheur: » ah bon, et puis après? »
Le touriste : « Après vous n’auriez plus besoin d’aller pêcher. »
Le pêcheur: » ah bon, et puis après? »
Le touriste : « Après , ben… vous pourriez vous reposer… »
Le pêcheur: » Et qu’est-ce que j’étais en train de faire? »
Saine philosophie, non?
Paul
La pêche une industrie de cueillette qui aujourd’hui nourri 70% de la population mondiale. Sous Cromagnon l’industrie de cueillette représentait 100% l’évolution n’est pas si énorme si il y a une évolution.Selon les prévisions les poissons vont disparaitre en 2050 ,comme la morue au large des cotes canadienne en 1990 . Le canada qui avait arrêté l’abatage des bébé phoques dans les année 1980 suite a l’intervention de notre célèbre Brigitte Bardot, dans les année 2000 accusa les phoques de manger les morues disparues. Depuis on rectifia le tir et l abatage des bébé phoque fut autorisée en 2003 . Et depuis les morues ont elles réapparues. eh bien non . La pêche devient une industrie de destruction massive de notre environnement elle doit être interdite en urgence. Si vous nous nous nourrissez a court terme vous nous détruisez a long terme avec le respect que je doit a ces travailleurs
Finis terrae
Vous avez bien raison faisons pleurer dans les chaumière avec un film de 1929 je vous signale que l’on est est en 2012 Vive Les libertarien
Superbe témoignage: merci!