*Godot est mort !*
Un grand vent d’espoir se lève sur le monde
Discours d’investiture le 4 mars 1933, par Franklin Delano Roosevelt
La vidéo, si vous voulez la voir plutôt sur YouTube.
L’apprentissage d’un seul coup vs l’apprentissage en continu. L’apprentissage en continu et en temps réel pour les modèles d’IA comme…
@François M En effet, l’Ukraine fut longtemps le « grenier à blé » de la Russie (qui produit également une grosse quantité…
Là franchement, je ne vois pas Poutine dire « je lâche l’Ukraine pour aller avec les américains attaquer la Chine » !!!…
Il a été dit (à vérifier) qu’une des raisons à l’effondrement de l’URSS a été une course à la technologie…
Bonjour GMM, je me permets de faire un com. à v/écrit de ce jour adressé à Pascal et concernant :…
Forcément, à partir du moment où une doctrine d’utilisation est définie – mais cela reste du « secret défense » pour permettre…
Je vous ai lu ! Sur votre dernière question, qui rejoint mes « pourquoi » concernant l’inertie de la population française face…
Trés codifié ? Celà supposerait que celà soit ouvertement envisagé.
@François M Trump serait bien avisé de proposer un renversement d’alliance, de toute manière comme cette guerre au détriment de…
Tout changer pour que rien ne change ! https://www.huffingtonpost.fr/international/article/donald-trump-nomme-scott-bessent-comme-secretaire-au-tresor-un-poste-cle-de-sa-future-administration_242631.html
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481 réponses à “LE TEMPS QU’IL FAIT, LE 6 JANVIER 2012”
Je suis tout à fait d’accord avec vous Monsieur Jorion: « Un grand vent d’espoir se lève. »
Des géants de la politique se lèvent pour nous sortir du marasme:
Nicolas Sarkozy qui tout à trac s’invente une fibre sociale: TVA « sociale » (qui n’a de sociale que le nom), taxe Tobin( pour prouver au bon peuple que son chef n’a pas peur de s’en prendre au monde de la finance), un vrai émule de Jean Jaurès! Mais un homme qui sait aussi caresser dans le sens du poil la fibre nationaliste, en célébrant en ses terres l’anniversaire de la naissance de Jeanne la Pucelle, par ailleurs égérie du FN.
François Hollande qui se démène de façon ridicule sur les estrades, en essayant de singer au mieux le phraser et la gestuelle de son modèle François Mitterrand. J’ai envie de lui dire: « François balance tes conseillers en communication, fait du Hollande et parle nous plutôt de ton projet socialiste (s’il l’est vraiment, contrairement à celui de Jospin en 2002) pour l’avenir de la France et des français.
L’un naturellement agité et facilement porté aux dérapages verbaux s’exprime de façon posée en surveillant son élocution et mesurant ses gestes, l’autre auquel est reprochée son indolence, gesticule et vocifère pour essayer de prouver le contraire, alors que ce ne semble pas vraiment être dans sa nature.
Il n’y a rien de vrai, ni d’authentique dans tout ce cirque, que du toc, du contrefait, du piège à gogos, de la communication démagogique, de la forme au détriment du fond.
Il est loin, en effet, le temps des discours ayant de la consistance et du fond, comme celui de l’investiture de Franklin Delano Roosevelt.
Hollande
Il ne faut jamais avoir vu François Hollande en réunion publique pour s’étonner de la sorte.
Il a toujours fait de cette façon là depuis plusieurs dizaines d’années et souvent bien plus incisif. Il ne faut pas le connaître beaucoup pour lui faire un tel procès de non sincérité.
Il est sorti vivant du parcours sinueux semé de dagues à tous les coins de couloir de Solférino et en plus il a réussi à les mettre en ordre de bataille.
La mauvaise foi du Front de Gauche ne sert qu’à se justifier d’avoir quitté la boutique par manque de claivoyance, de conviction et de courage.
Pendant que Sarkosy d’agite à nouveau comme un diable dans un bénitier, j’observe moi que les bonnes idées progressent – c’est vrai, doucement, très doucement – mais il faut connaître le personnage de Hollande pour voir qu’il pose les bons actes et les mots qu’il faut.
Peut-être, mais je persiste à lui conseiller d’être lui même, plutôt que de singer un homme politique qui certes a marqué l’histoire de la gauche, mais dont il est difficile de dire qu’il était vraiment de gauche. Du moins si on a l’honnêteté de le reconnaître.
Il est vrai que la stratégie de Mitterrand a payé, puisqu’il a été élu par deux fois président de la République. C’est évidemment pour cela qu’il inspire le nouveau champion du PS.
Mais le peuple lui bêtement, il voudrait qu’au delà de la prise du pouvoir, l’homme ou la femme élue mette en oeuvre une politique de gauche et ne se renie point.
Car ce sont ces reniements non assumés qui finissent par produire le désenchantement, puis la colère qui amène certains à protester en votant pour le FN.
Personnellement, je préfère un Léon Blum qui n’est pas resté longtemps aux affaires, mais qui a vraiment réalisé des avancée sur le plan social -même il faut bien le dire si les mouvements populaires ont joué un rôle déterminant- à un Mitterrand qui a duré au pouvoir, mais en allant de reniement en reniement.
J’ai trouvé FH très rigolo, à la hauteur du Muppet show, lors des derniers discours télévisés où il singe et nie (s’ingénie? où est passé mon laquant?) à copier les attitudes de FM. Bravo le Cantelou de Corrèze!
Faites vous une idée par vous même…
Mitterrand en campagne.
Hollande en campagne.
En face la maîtrise de Sarkozy Président.
Bonjour,
@ Genetais.
Vous dites :
Pour François Hollande : « il faut donner du sens à la rigueur ».
Dans cette phrase il y a toute son acceptation du projet libéral et la continuation de la faillite intellectuelle de la « sociale »-démocratie en Europe.
Si pour vous cela est poser les mots et les actes (c’est sans doute mieux dans cet ordre) qu’il faut, soutenez directement Bayrou, au moins ce sera plus clair …
Cordialement
A coup sûr vous ne connaissez pas JL- Mélenchon.
Si il a quitté la boutique du Parti Suicidaire, c’est justement par conviction de la dérive du ps vers un libéralisme toujours plus mortifère, des magouilles électorales, des petits arrangements de vestibule, de la tricherie des votes, etc…(compléter vous-même). Et quid des valeurs de la Gauche. Et que dire de leurs satellites comme Terra Nova qui prône depuis longtemps l’abandon des classes populaires, des laborieux, du petit peuple? (là aussi, compléter vous-même.
Je ne suis pas prophète et ne puis dire à l’avance qui l’emportera (bien que le bon sens me pousse à penser que ce sera… car je constate chaque jour une plus grande lucidité chez les citoyens), mais je sais déja qui ne sera pas élu, leurs copies étant conformes au néo-libéralisme: Sarkozy, Hollande, Bayrou, De Villepin.
– Croyez-vous que nous avons oublié la trahison au vote sur le TCE en 2005 que le ps s’est empressé avec la droite de transformer en un oui en 2007?
– Croyez-vous que nous avons oublier la trahison sur l’âge légal, sur le nombre d’annuités, sur le montant de la retraite?
– Croyez-vous…(compléter-vous même car la liste est vraiment trop longue)
Et allez une toute dernière (pour la route, comme on dit):
– Croyez-vous que nous allons oublier le ralliement du ps à la droite concernant, par exemple, la TVA dite « sociale » que porté déja dans les cartons Hollande, Valls et l’autre, le bien nomé Sapin?
décidement, le Parti Suicidaire sent aussi le sapin!
Toujours les même arguments de l’extrême gauche se cacher derrière la critique de la forme pour ne pas avoir à discuter de la stratégie de conquête du pouvoir et des mesures à prendre pour permettre aux gens d’accepter les évolutions indispensables. Avec de tels alliés, c’est certain, les mêmes se transmettront le Pouvoir ad vitam… et, vous garderez la bonne conscience de les combattre. Ben voyons…!!
@Genetais: « des mesures à prendre pour permettre aux gens d’accepter les évolutions indispensables »
Pouvez-vous développer svp? Quelles sont ces évolutions indispensables que les gens doivent accepter?
Bonjour,
@ Genetais
Se cacher derrière la critique de la forme est exactement ce que vous faites vous même. Vous ne discutez en rien les arguments critiques portant principalement sur le fond de ce que propose le P »S ».
Vous seriez sans doute bien en mal d’avoir un vrai débat, point par point, sur ces critiques précises, qui parlent d’elles mêmes, que vous esquivez…
On en arrive comme très souvent avec les PSolâtres à une vacuité des arguments qui ne se résument qu’au vote utile. Vous êtes en fait pour changer les personnes, mais pas vraiment de politique. L’oligarchie peut dormir tranquille.
Parler d’extrème gauche pour ceux qui critiquent la politique défendue par le P »S » a deux objectifs :
– les marginaliser en faisant croire par le qualificatif « extrème » qu’ils ne sont qu’une minorité de furieux ;
– faire croire artificiellement que ces critiques émanant de l’extrème gauche, le P »S », qui serait à côté vers le centre, serait encore à gauche (une escroquerie).
A suivre votre postulat fallacieux, les gaullistes sociaux des années soixante devaient être à vos yeux de dangereux crypto-marxistes …
Que dire de ceux qui défendaient le programme du CNR (conseil national de la résistance) …
Cordialement.
@laforcedupeuple
il a commencé ça carrière civil en 1976, il la fini en 1978 pour devenir directeur de cabinet comme tout les gens du PS sa passerelle de recrutement a été l’Union nationale des étudiants de France, depuis il na jamais quitté sa « carrière de politique », >>>> je doute grave
@ Macarel 7 janvier 2012 à 00:23
Il y a beaucoup de vrai dans votre commentaire ironique. Vous rêvez de surhommes, de grands hommes, pour nous représenter et prendre en charge nos pays, mais les uns et les autres ne peuvent être au départ que des hommes, avec leurs qualités et leurs faiblesses. D’ailleurs ceux qui les jugent et qui, en tant qu’électeurs, doivent les choisir sont-ils parfaits ?
Leurs idées, ou celles qu’ils se laissent passivement mettre en tête, sont elles à la hauteur de leur prétention à juger de tout, en général bien superficiellement ?
Le peuple qui se croit maintenant capable de tout apprécier, juger, trancher, et, de ne pas se laisser berner, n’était-il pas, il y a encore moins d’un an, en France, certain d’avoir l’homme de la situation sous la main ?
Il était tout indiqué, il n’y avait qu’à attendre le soir du 6 mai 2012 pour formaliser la chose qui était entendue d’avance.
Les hommes, même ceux que l’on croit grands, sont bien fragiles. Ils peuvent d’eux mêmes œuvrer à leur chute. C’est vrai au plan individuel mais aussi, au plan collectif. Un peuple tout entier, éduqué et développé pourtant constitué de 65 millions d’êtres pensants peut faire les mauvais choix s’il ne travaille pas par lui-même à réfléchir en profondeur aux problèmes qui se posent à lui, compte tenu de l’évolution du monde dans lequel il est contraint de vivre et, en certaines circonstances, de survivre.
Ce qui me fait espérer, c’est le fait de voir les gens autour de moi, de plus en plus aptes à échanger des idées, des perceptions, des observations, des données concrètes sorties de leurs emprises doctrinales stérilisantes, et présentées de manière argumentées pour justifier des prises de position qui, je le pressens, finiront par converger.
Ce qui me fait espérer c’est que, dans le calme et en évitant la violence, on soit passé de la période d’indignation, somme toute pas très constructive, à une période de réflexion nettement plus productive en matière de solutions susceptibles d’être dégagées.
Ce qui me fait espérer c’est que le temps qui passe et qui semble à beaucoup se traduire par du temps perdu, n’est au contraire qu’un temps pris pour que la soupe des idées en train de mijoter se concentre, prenne de la consistance pour être mieux en mesure de nourrir les projets qu’il nous faut élaborer collectivement quelle que soit la provenance des ingrédients en jeu.
Mais quel est donc votre projet, et comment le justifiez-vous ?
Figurez vous que j’ai eu la grande naïveté de croire au projet d’une Europe sociale, solidaire et de la culture. J’avais d’autant plus envie d’y croire que c’est moins pour moi, que pour mes enfants, pour nos enfants que je voyais là quelque chose de grand et d’enthousiasmant à construire.
Malheureusement, la réalité de l’Europe aujourd’hui, c’est des plans d’austérités partout, une montée de la haine de l’autre, et la mise sous tutelle par les forces du capital et de la finance.
J’ai eu tout faux, et je dois dire que les socialistes m’ont bien berné. Les Delors et autres qui disaient on fait l’euro et ensuite viendra l’Europe sociale. Il faut bien le dire la social-démocratie à l’échelle de l’Europe a trahi ce rêve…
@ Macarel 7 janvier 2012 à 12:57
Si je vous comprends bien, jusqu’alors, vous vous reposiez sur ce que d’autres pouvaient concevoir pour vous, pour nous, et qu’ils étaient tenus de nous proposer le moment venu, au moment de les élire ou de les réélire. Vous attendiez d’eux du prêt-à-porter qui vous plaise et satisfasse vos besoins et vos moyens.
Le grand problème auquel nous sommes confrontés aujourd’hui, c’est à une question de moyens.
Certains des pays de la vieille Europe et de l’Occident en général, ne disposent plus de l’avance technologique, technique, scientifique, industrielle, ainsi que de réserves en matières premières énergétiques & minérales et surtout de compétitivité dont ils disposaient jusqu’alors. Cet ensemble de moyens leur permettaient de vivre avec un certain niveau de vie moyen qui a été en croissant jusqu’au début du nouveau millénaire, parce que depuis 40 ans (pour la France) on s’est mis à consommer plus que ce que l’on produisait. Cette situation qui tient par l’endettement, tout comme dans l’économie d’un ménage, ou d’une entreprise, ne peut pas durer très longtemps parce qu’elle est matériellement (physiquement) intenable.
Un manque de moyens est une situation qui a été connue de tout temps chez toutes les personnes de basse condition sociale dont l’objectif était de survivre et qui de plus, comme c’est naturel, notamment pour leurs enfants, aspiraient à améliorer leur condition. D’après mon expérience, les personnes qui arrivent à s’en sortir, sont celles qui prennent leur « courage à deux mains », travaillent beaucoup et bien, tout en consommant le moins possible.
Cela ne fait pas un programme électoral, j’en conviens. Pourtant il n’y a pas, à mon avis, d’autre solution, surtout pour les pays qui, tels la France, manquent de ressources dans leur sous sol et se trouvent, de fait, contraints d’importer et donc, pour équilibrer leur balance commerciale, d’être compétitifs en baissant le coût de leur valeur ajoutée, c’est à dire en bridant les salaires et donc, la consommation.
C’est probablement loin de ce dont vous rêviez comme Europe sociale, mais je ne vois pas comment résoudre autrement l’équation du problème qui nous est posé. J’en ai évoqué une autre qui revient un peu au même, dans une suite d’échanges initiée ici : http://www.pauljorion.com/blog/?p=28429#comment-224997
Voyez-vous d’autres solutions ?
@ jducac
Je vous invite à lire cet article de Paul Krugman…
De toute façon le fond du problème, c’est qu’avec le progrès technologique et la mondialisation il n’y a plus de travail suffisamment stable et rémunérateur pour tout le monde. Et ce problème personnellement je ne sais pas comment le résoudre dans le cadre du système actuel.
Je pense qu’à l’époque de Roosevelt les gens avaient une capacité d’attention plus longue qu’aujourd’hui, à peu près formatée sur la durée du sermon à la messe. Il était possible de faire passer un petit message de fond à la majorité. Aujourd’hui si le message est supérieur à 2 minutes je crois que plus de la moitié d’un auditoire normal à décroché (j’en suis quasiment persuadé si on passe à 5 minutes). D’où l’importance de la forme. Personnellement, je suis souvent obligé d’écouter le temps qu’il fait en plusieurs fois car un élément du discours de fond qu’on y trouve m’invite à réfléchir et je décroche de la suite. C’est peut aussi la facilité de réécouter que l’on a avec les nouveaux médias qui en est responsable.
Les beaux discours sont jolis…Surtout s’ils sont suivis d’action et d’effet.
C’était le cas de Roosevelt, de Gaulle et Churchill, j’ajouterais Staline pour en faire bien raler certains…Parceque Churchill et de Gaulle étaient limite d’extreme-droite, anticommunistes comme Roosevelt. Et pourtant l’URSS a fourni à cette époque la majorité de l’effort contre les nazis. Et pourquoi pas Mao? Et Fidel Castro? Et Chavez?
Ca dérange les ricains et le Capital?
Chacun sa galerie de tronche de kèke…
Laissons les « grand hommes » dans leurs trous. On ne leur doit rien, ils proviennent de castes qui ont mis sur orbite Mussolini, Franco et Hitler. C’était la moindre des choses qu’ils fassent le ménage.
Obama sait faire de beaux discours…
Oui et aprés?
Dans l’idéal on devrait se passer d’homme providentiel, mais jusqu’à présent ce n’a pas été le cas, lorsqu’une crise grave survient les masses demandent un sauveur ou un guide.
Mais je suis bien d’accord que ce n’est pas qu’une affaire d’homme, ou de femme. C’est un fait désormais évident que nous sommes prisonniers d’un système: le système capitaliste basé sur une croissance supposée indéfinie. Personne à ce jour ne sais proposer aux masses une alternative à ce système de développement non soutenable sur la durée. Non soutenable sur une planète finie.
Nous sommes dans une nasse, faits comme des rats et malheureusement dans ce cas là les rats ont tendance à devenir agressifs et à se battre entre eux. Plutôt que de s’entraider, de collaborer pour essayer de sortir de la nasse et de prendre un nouveau départ.
Nous sommes dans une nasse, faits comme des rats et malheureusement dans ce cas là les rats ont tendance à devenir agressifs et à se battre entre eux. Plutôt que de s’entraider, de collaborer pour essayer de sortir de la nasse et de prendre un nouveau départ.
Les rats actuellement ne sont pas agressifs. Ils s’achètent a tour de bras des appartements en Suisse subodorant que la gauche va débarquer et potentiellement les enquiquiner. En quelque sorte, comme vous le dites, ils sont plutôt prêts a « prendre un nouveau départ ». Ainsi soit il !
Tiken Jah Fakoly – Promesse Bla Bla
Pas d’accord izarn
« Et pourtant l’URSS a fourni à cette époque la majorité de l’effort contre les nazis ».
staline en purgeant son armée, et en faisant exécuter ses généraux pour garder le pouvoir a considérablement affaibli son armée, et par faiblesse et pour garder des prérogatives sur l’est de l’europe a signé un pacte de non agression avec les nazis.
Vous parlez d’un effort !
De plus, en volant de l’argent aux révolutionnaires espagnols et en les laissant tomber, il a grandement facilité la tache des nazis qui envahissaient l’europe.
Et comme avant la guerre de 39-45 le gouvernement français avait choisi pétain pour aider les espagnols, tout a bien marché pour les nazis.
hitler-staline : même combat, le pouvoir et la dictature
Dans la série les grands hommes, pour boucher votre trou vous pouvez rajouter staline et trotski
@ Xas 8 janvier 2012 à 00:21
Vous répétez sans doute naïvement la doxa enseignée pendant la guerre froide.
Prenez le temps de lire l’article honnête de wiki, qui montre la complexité de l’affaire.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Pacte_germano-sovi%C3%A9tique.
Entre les séquelles de propagande et celles de contre-propagande sous forme aussi de propagande, la question de la vérité historique semble rester un produit de rapports de forces d’options politiques actualisés, et je crains qu’elle ne puisse être autre chose.
Staline et ces démocides n’ont pas grand-chose à voir avec la naïveté.
http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9mocide
Dans l’exercice de ses fonctions, ce dictateur a fait exécuter un très grand nombre de gens que vous assimilez et reliez un peu vite à des questions de propagande.
A moins que nous ne fassions l’un et l’autre la propagande de wikipedia, mais il existe bien d’autres sources.
Pour l’URSS et Staline, ce pacte fut sans doute une aubaine, deux ans de gagnés pour se préparer à résister à l’invasion allemande.
Pour le socialisme, ça se discute. Y’en a qui disent qu’il est mort-né en 39 en Espagne sous les coups des libéraux, des staliniens, des cathos et des fachos et qu’il ne s’en est pas relevé, jusqu’à nos jours.
@xas 8 janvier 2012 à 01:37
Le Rummel et son democide dont vous faites publicité a l’inconvénient d’avoir oublié dans sa comptabilité l’extermination des red skin. Bizarre pour un États-Unien…Ce genre d’inventaire des cimetières est tout à fait inclus dans la notion de propagande que j’évoquais et Erdogan a parfaitement raison de renvoyer la France a ce qu’elle a commis en Algérie, quand celle-ci lui recommande de cesser de dénier la politique de l’empire Ottoman vis à vis des arméniens en pleine WW1, ce qui n’est pas neutre.
@Moi 8 janvier 2012 à 03:02
Les soviétiques n’avaient pas un bon souvenir de l’attitude interventionniste des puissances capitalistes dans leurs affaires révolutionnaires après 17. Et les pourparlers secrets avec la France et l’Empire Britannique ne les a pas rassurés. Des dégâts pour le projet socialiste, c’est clair. L’incompétence politico-militaire face à Barber(o)usse, claire aussi. L’Espagne ça se discute et c’est pas près de finir.
Quand on dit que l’espoir fait vivre, c’est genéralement pour exprimer un défaitisme certain. Comme si l’on parlait d’un rêve qui aide à accepter la dure réalité.
Vous nous démontrez que l’espoir permet aussi de vivre debout. Loin de pousser à la passivité, il fait bouger. Parce que nous avons toujours le choix entre rester sur place et avancer.
Merci pour votre énergie, votre courage.
Vous voir souriant, détendu, déterminé, est salutaire. L’année, finalement, commence bien. On sent déjà le souffle du vent qui nous pousse.
La réalité commence à se savoir et à se dire :
http://www.dailymotion.com/video/xnghdd_sophie-coignard-l-oligarchie-des-incapables_news
Problème: la vérité, aujourd’hui, plus personne n’y porte attention…Elle n’est plus au coeur des projets de l’Homme…Elle est même bannie…
Merci de m’avoir fait découvrir le livre.
Ce qui y est décrit correspond parfaitement à la réalité que décrit J. à savoir : les élites du système le vampirisent avant sa chute.
Et petit à petit, on se rapproche de la conflagration…
Entendu chez Mermet
http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=33qjj2oFe1U
De quoi te plains-tu, il n’y a que chez nous qu’on respecte la poésie : on tue même pour elle. Ça n’existe nulle part ailleurs.
OÑип Мандельштам
Quand je rencontre dans la lande.
Quel paradoxe que le message d’espoir soit censé naître de son absence !!!
Ce qui donne de l’espoir (apparemment aux commentateurs du blog) c’est qu’il n’y en a plus ? du coup … ce serait le bon moment ?
J’aurais tendance a dire, l’action commence quand il n’y a plus d’espoir, et elle s’arrête quand il renaît !
MAIS,
je constate qu’ici tout le monde fait la même erreur : celle de croire que nous pouvons maîtriser le déroulement des choses. Au final on se dit que si c’est « eux », ce sera « nous » qui allons maîtriser les événements. Et même, il vaudrait mieux que ce soit nous, nous les lâches qui avons préféré que d’autres, eux, se mouillent à notre place. Nous nous disons finalement, … la lâcheté n’est pas si confortable.
MAIS,
personne ne se dit que peut être nous n’avons pas prise sur tout ça. Tout le monde fait comme si il y avait une solution entre nos mains, et qu’il fallait juste la dénicher dans un recoin, une circonvolution d’un cerveau brillant, ou peut-être sur un malentendu ? Alors on s’invente plein de trucs pour se rassurer. Des solutions, des explications, des espoirs, des indignations, et plein d’autre cache sexe pour ne pas voir la vérité en face : on ne comprends pas comment on en est arrivé la, on ne sait pas comment s’en sortir (sans trop de casse), et pire, peut-être que ça nous dépasse.
TOUT CA,
c’est la lutte du mental humain qui veut contrôler, qui veut que sa représentation du monde SOIT le monde lui même et qui ne peut se dire que le monde lui échappe par nature.
On agrippe à la corde de notre salut sans réaliser qu’on tire sur le noeud coulant qui se resserre sur notre gorge.
TOUT CA,
pour préserver l’illusion que c’est la raison qui nous guide et qui est notre lumière, notre salut, notre « way out », notre espoir, que c’est possible d’y arriver, si on s’assoie et qu’on réfléchit ensemble assez fort, on y arrivera.
ET PERSONNE ne se dit : on est peut-être en fait en train de vouloir faire encore plus de ce qui ne marche pas en espérant que cette fois ça marchera enfin. Comme ces pauvres fous qui essayent de sauver l’Europe malade de l’Euro et du libéralisme avec plus d’Euro et de libéralisme.
TOUT CA,
pour ne pas s’avouer vaincu. Pour ne pas se dire « je ne sais pas ». Pour ne pas oser penser « on ne contrôlera pas ».
Et si on laissait filer ? vous croyez qu’il se passerait quoi ?
Ceux qui connaissent d’autre manières de fonctionner que la raison comprendront. Les autres crieront au fou.
+1
Vous n’aimez pas les pommes, yoananda ?
http://www.pauljorion.com/blog/?p=32503#comment-279223
Ahhhh… l’Espoir renaît, yoyo a tout compris. C’est vrai qu’un ingénieur de trente berges végétarien, apprenti yogi qui skie, qu’a sorti son pognon du Système, qui lustre sa baraque au vinaigre blanc, qui tripote dans le survivalisme, qu’a percé les mystères de Rennes le Château et des ovnis, qu’a pointé les 250 problèmes de notre civilisation (en gros l’EROEI×250) et qu’est fan d’Omar Simpson, forcément, ça rassure, ça vous pose son homme… Un vent de poire se lève.
mdr Vigneron !!!
Mais si tu as bien lu, je serais plutôt opposé à la renaissance de l’espoir.
Et puis je me suis habillement protégé des critiques, en disant par avance que ceux qui critiqueraient n’auraient pas compris ce que j’avais dit et me traiteraient de « fou », j’aurais du dire orgueilleux … j’ai mal choisi mon mot.
lol
« why so serious ».
je constate qu’ici tout le monde fait la même erreur
+ votre réponse au message n° 58 : » Même ici on refuse de voir la réalité en face. »
Une idée pour vous : d’où vient ce petit coté sentencieux que vous dégagez de chacun de vos messages. Chercher dans votre enfance Omer pour y dénicher la formation de ce complexe de supériorité. A force c’est pathétique ! Et surtout dans ce cas pourquoi venir ICI
T’as vu le grand vent d’espoir qui se pointe:
http://www.debka.com/article/21629/
De ce côté, quelque chose semble se mettre inéluctablement en place…
« Let’s hope for the best, and expect the worst »….
Une attaque de l’Iran est raisonnablement peu probable. Ce serait une folie. Il s’agit d’une vieille nation de 78 millions d’habitants, culturellement très ancienne (donc unie) et brillante, et jeune démographiquement, adossée éventuellement à la Russie et à la Chine (en cas d’agression il est possible que la Russie soutienne militairement Téhéran). Le régime de Washington n’a jamais attaqué des adversaires de cette taille. Mais ce régime est-il raisonnable ?
On est désormais au-delà de toute raison.
Il est question du refus inébranlable de céder la place, de la part des Usa.
A cette fin, rien n’est « trop »…ni « pas assez »…
Ils ne capituleront pas, quoi qu’il puisse nous en coûter.
Je dis « nous », parce qu’ils ont la possibilité, eux, de rester à l’abri de tout ce qu’ils déclencheront.
Je suis persuadé que, en cas de nécessité absolue, ni la Russie, ni la Chine ne seront considérées par le Pentagone comme des obstacles insurmontables….(je me demande même si elles ne seraient pas plutôt des « cibles », tant la déraison en ce moment domine aux Usa…)
réponse à bruno.
dans son échange avec fmur, il préconise le vote blanc, d’accord, à la condition de faire entrer le
vote blanc dans l’arithmétique définitive. Ex : (vainqueur de 51% contre 49% est un pur mensonge)
Exact, FVM.
Et je ne vois pas pourquoi un vote « blanc » aurait moins de valeur qu’un vote pour tel(le) ou tel(le) candidat(e), puisque lui aussi exprimé. Et il ne me paraît pas normal que l’on puisse faire « un jugement de valeur » (…) sur tout vote exprimé, par rapport à n’importe quel autre, dans un système démocratique.
D’ailleurs, rectifier les pourcentages définitifs des élections en intégrant l’ensemble des votes exprimés, réserverait des surprises à ceux n’ayant pas réfléchi à cette question.
Va falloir que je ré-écoute, parce que je ne retrouve pas ce que j’ai entendu dans tous vos commentaires.
Je ne vois pas ni n’entend d’espoir naitre.
Je vois plutôt, après avoir jour après jour fait un constat de la situation, donné son évolution quasi-quotidienne, j’ai entendu dans les propos de Paul, plutôt de la stupéfaction qui tout cela ne faisait rien bouger et que le temps était venu de passer à d’autres actions.
Mais peut-être me trompes-je?
@ tchoo
Je suis un peu de votre avis . Peut-être qu’il s’agit du début d’une prise de conscience de l’ampleur du problème, ce qui conduit à réévaluer certaines hypothèses jugées optimistes jusque là, dans le sens de les prendre un peu plus au sérieux .
De cette prise de conscience découlerons les moyens de s’opposer plus efficacement et d’infléchir le cours des choses.
Un vent d’espoir se lève……Dieu vous entende, Mr Jorion.
Parce que moi , quand je lis ça, j’ai plutôt les foies :
http://rt.com/usa/news/us-troops-israel-iran-257/
Autre raison d’espérer: http://www.dedefensa.org/article-_faire_monde_par-dela_le_systeme_dialogues-32_07_01_2012.html
Bonsoir M. Jorion,
Félicitations pour cet appel à l’enthousiasme et à l’inventivité du genre humain.
J’ai particulièrement apprécié la mise en perspective historique, voire préhistorique, des évènements et des crises que traverse notre espèce et des moyens à notre disposition pour vaincre aujourd’hui, lesquels vous avez fort bien souligné en rappelant à titre d’exemple l’ambitieux programme spatial chinois qui vient d’être annoncé
Quelques nouvelles de Franklin Delano Roosevelt : Il vient d’être mis en ligne sur le site larecherchedubonheur le livre de F.D.R. de 1934, « Sur la bonne voie (On Our Way) », où le président retrace en détail sa première année de mandat. Il est tout-à-fait passionnant et très instructif.
C’est un ouvrage qu’il faut lire à la suite du discours de 1932 « Forgotten man » et du discours d’investiture de 1933.
Cordialement,
Jean-Gabriel Mahéo
Euroshima ?
Sarkozy menace de guerre en cas d’échec de l’Euro : » la fin de l’EURO SERAIT LA FIN DE L’EUROPE et LA FIN DE LA PAIX »
http://zebuzzeo.blogspot.com/2012/01/la-vraie-tragedie-de-leuro-euro-shima.html
Nous sommes en train de vivre une époque charnière où nous nous devons de sauver notre démocratie. En théorie elle existera toujours puisque la suppression du droit de vote serait impossible à imposer, mais dans les faits c’est une autre histoire. A ce sujet le livre d’Emmanuel TODD « Après la démocratie » ou celui de Bernard Conte « la Tiers-Mondialisation de la planète » sont à conseiller. On y apprend que l’ordo-libéralisme souhaite transformer les gouvernements en simple « chiens de garde » d’une politique économique (ordo-libérale bien sûr). Notre responsabilité est forte pour éviter que les dérives que nous connaissons actuellement (non respect du rejet du traité constitutionnel européen, nomination de Monti et de Papadémos sans consultation des peuples grecs et italiens, privation de la politique monétaire via l’indépendance de la BCE…) ne se généralisent pas. Il convient d’être particulièrement attentif aux médias qui utilisent la fabrique du consentement pour imposer les idées ordo-libérales en supprimant la pensée alternative ou en la plaçant en situation de grande faiblesse comme on a pu s’en apercevoir lors de l’émission de jeudi de c dans l’air où Jacques Sapir était invité face à 4 néo-libéraux. Voici le lien d’une analyse plus approfondie de cette émission de jeudi: http://lespoir.jimdo.com/2012/01/05/jacques-sapir-chez-calvi-la-mascarade/
Amicalement
« Il convient d’être particulièrement attentif aux médias qui utilisent la fabrique du consentement… »
Non il convient de les remplacer, pas d’y être attentif.
Et Sapir n’a qu’une lubie c’est de sauver l’euro, il n’est même pas l’ « opposition ».
Mr. Jorion
Vous proposez moins d’état en disant que ce sont les citoyens qui doivent se bouger pour faire changer les choses ou en tout cas pour faire bouger nos mandataires au sommet de la pyramide.
Mais d’un autre côte, vous proposez plus d’état en disant qu’il ne faut pas agir comme les usa.
Moi, j’ai du mal à vous suivre.
Ceux qui nous gouvernent (aux USA comme en Europe) agissent de telle sorte qu’il y a moins d’état, moins de régulation. Il ne reste donc aux citoyens comme solution que de réagir, de bouger, de se révolter afin que l’Etat recouvre sa mission originelle qui est de servir le bien commun, et non pas d’abord d’être comme aujourd’hui au service et à la merci des marchés.
à Pierre-Yves,
Je voudrais que tu me pardonnes mon péché principal qui est de te contredire, mais comme disait le scorpion, je n’y peux rien, c’est mon caractère.
L’Etat moderne est depuis deux siècles au service de cette logique qui a transformé le monde de fond en comble : la logique de la marchandise, encore appelée capital ou (sur)valeur.
Pourquoi lui demander de se révolter, à notre place et pour nous agréer, contre son maître ?
Il est temps d’éteindre les lumières et de prendre quelque repos.
Marlowe,
Eteindre les lumières, c’est vite dit. TU as fait des stocks pour l’éclairage à la bougie ? 😉
Si tu me lis bien depuis que je viens sur le blog tu dois savoir que je ne conçois pas une transformation véritable de la société sans un changement de paradigme, lequel ne pourra seulement comporter une dimension économique et politique. C’est aussi d’une transformation culturelle ce dont il s’agit. J’entends ici le mot culture aussi bien au sens anthropologique du terme comme on dit qu’il existe une culture néolithique ou culture de telle civilisation, qu’en son sens commun qui est de se cultiver par la réflexion, les relations interindividuelles, les arts et autres savoir-faire. Le fétichisme de la marchandise auquel tu te réfères entre tout à fait dans cette perspective globale. Je ne pense pas que l’on puisse amorcer cette révolution culturelle (représentations et formes de la sensibilité en amont et à l’origine dudit fétichisme) en faisant l’impasse sur le levier politique. Sans quoi il ne nous reste plus qu’à faire comme chez dedefensa attendre la grande catastrophe finale, que toutes les lumières soient éteintes pour voir ce que cela va bien pouvoir donner. Le levier politique n’apporte pas la transformation sur un plateau mais il peut accompagner le mouvement plus en profondeur de la transformation globale.
« Les économistes actuels sont des charlatans, des bonimenteurs qui, tout en se délectant de leur propre gloire, sont totalement incapables de prévoir un effondrement financier, même quand ils le regardent fixement dans les yeux, comme l’a montré leur misérable performance de 2007. Pire encore, ils sont même totalement incapables d’admettre leurs propres erreurs. Ils sont une malédiction jetée sur le corps politique et des verrues sur le corps académique. Ils conduisent le monde vers un désastre monétaire et économique sans précédent. » Dit Mr Fekete, Statisticien hongrois je crois et partisan de l’étalon-or. Mme Zaki (économiste) fait-elle exception en annonçant (prédisant) la fin du Dollar ? On entend et on lit tant de choses différentes que ça en tourne le tournis… Peut-on espérer un jour comprendre ?
Un « Grand discours », c’est l’incarnation d’une grande Idée par un grand Homme.
Quelqu’un a-t-il une idée?
Pour le grand homme, comme aurait dit Charles, les circonstances le dévoileraient… l’intendance suivra!
Peut-être le temps des grands hommes est-il derrière nous comme celui des dieux et des héros?
Il suffit de faire le bien (ceux qui n’y arrivent pas s’abstiennent de faire le mal)..
Le Grand Homme
Chez une tailleur de pierre où je l’ai rencontré il faisait prendre ses mesures pour la postérité.
Paroles, Jacques Prévert.
Je suis bien d’accord que l’Espèce Humaine qui vit sur la Bête Terre (au niveau des Matières Premières) devra imaginer un autre mode de vie si elle veut continuer à exister. Mais l’Humain est ainsi fait qu’il ne se prend collectivement en main que sous la contrainte… Contrainte du Peak oil, contrainte de l’Atome, contrainte de l’Agriculture, contrainte de la pollution, contrainte de la liberté individuelle, etc… Sommes nous donc arrivés à ce terme pour Nous remettre en cause réellement et collectivement ? Si la réponse est oui, alors un Grand Espoir est en train d’arriver, en effet. Le Problème financier est alors en train de Nous sauver, finalement !
Absolument, moi aussi j’aime les hauts financiers auto-régulés et rock’n’roll.
« Choisir les supports de métaux précieux (or et argent) en métal physique en détention personnelle, hors du circuit bancaire, est un acte politique majeur… de réappropriation de son pouvoir personnel. »
Quel beau progrès.
Et encore un ! (enfin, deux)
http://www.lepoint.fr/monde/scandale-a-la-banque-nationale-suisse-07-01-2012-1416357_24.php
C’est du no limit ! J’imagine les livres d’histoires qui parleront de la période actuelle…
Comparaison n’est pas raison, mais aurons nous le front populaire en 2012 ?
Je ne veux pas défendre Laval mais à l’époque il y avait vraiment eu entre 1931 et 1935 une période de déflation alors que les salaires des fonctionnaires n’avaient pas diminué. D’autre part il avait assorti ses mesures de baisse des salaires avec une baisse des loyers. Enfin, on n’avait pas suffisamment de recul pour constater que les politiques déflationnistes étaient catastrophiques.
Pour toutes ces raisons, les diminutions de salaires pour les fonctionnaires qui ont été effectuées dans une certain nombre de pays européens sont beaucoup plus iniques que celles décrétées par Laval.
Celui qui prendra cette mesure en France est cuit…
Jean ZIEGLER vient de publier DESTRUCTION MASSIVE Géopolitique de la faim aux Editions du Seuil, livre percutant comme il en a l’habitude
Il ne se limite pas à nos problèmes de l’hémisphère nord, ou plus particulièrement à ceux des nations développées, mais englobe l’ensemble de l’espèce humaine
J’aimerais des commentaires de cet ouvrage.
L’abolition de la séparation 🙂
La nano puce RFID qui relie les systèmes nerveux de tous les humains..
Ainsi, dès qu’il y en a un qui a mal, il est identifié et tous les autres ont mal tant qu’ils n’éliminent pas son mal.
La mort intentionnellement provoquée de l’interessé, provoquant une douleur fulgurante chez tous..
Exactement ce que propose le dernier opus de Fondation (Isaac Asimov)
@Imagine. Moi aussi j »aime la s. f. mais bon faut quand même revenir sur terre ces temps ci !
Et Orginet-Porginet quand y en a un qu’a chaud sous la ceinture….. 😉
A noter l’intéressante traduction du Orgy-Porgy d’Huxley avec le suffixe -net- car je suppose que la traduction date d’avant inter-net.
Je viens de revoir Apocalypse Hitler et je réalise à quel point il se peut qu’un dictateur ne soit qu’un CD gravé par la noosphère inhérente à l’époque.
Le CD Hitler fut gravé par la rancune militaire, l’antisémitisme et l’eugénisme. Il n’a suffit que d’une crise en 29 pour le mettre en route dans le lecteur, la démocratie allemande.
Et si nos démocraties, en l’état de l’art, n’étaient que des lecteurs de CD gravés par leur époque, elles sont bien incapables de nous rejouer des symphonies totalitaires. Aussi bien que des fronts populaires.
Bonne video: Variation sur la chute à venir…
http://www.youtube.com/watch?v=ptmzOF2hOmA&feature=player_embedded
excellent ! revu avec plaisir !
Et Viktor Orbán en Hongrie qui veut remettre au goût du jour les camps de travail pour la communauté Rom sous bonne surveillance policière ? C’est quoi ?
Ce même Viktor Orbán qui a aboli – comme ça, ni une ni deux – la république Hongroise pour un État dit » chrétien » tout en se concoctant une petite loi de derrière les fagots pour s’accaparer un quota électoral plus que confortable et verrouillé afin que l’opposition politique ne puisse plus plus jamais accéder au pouvoir ….etcetera, ecetera …? C’est quoi ?
Une hallucination numérique ?
@Jeff
Les Roms? Rien qu’à cause de ce qui s’est en France, à leur égard, je ne voterai pas pour qui vous savez.Scandaleux, de la part d’un Etat se réclamant des droits de l’homme.
Et en plus, à l’égard de personnes provenant de l’espace Schengen (la Roumanie en fait partie): on s’est moqué (une fois de plus?), sur le plan juridique, des engagements pris…
Non Mr Jorion je ne suis pas tomber de ma chaise en vous regardant j’ai éclaté de rire. Comment un système aussi performant que le néolibéralisme (Ou anarcho libéralisme ou libertarien) que le monde nous envie ne produit de grand homme dont vous souhaitez l’émergence bizarre. Ne serait ce pas la sauvegarde d’une oligarchie qui les mains pleines de sang ( Mort au pauvre) essaie de se raccrocher aux branches mais malheureusement les arbres n’ont plus de branches par soucis de rentabilité, un tronc suffisant a produire des planche en quantité et de bonne qualité. bon courage!!!
« un essai des journalistes Sophie Coignard et Romain Gubert sur les élites françaises. Dans cet ouvrage, les deux auteurs attribuent à Jean-François Copé une phrase qui prête à la polémique. « Tu comprends, si on n’a ici que des gens qui se contentent de 5000 euros par mois, on n’aura que des minables. », aurait confié le patron de l’UMP à un élu de la majorité, pour défendre le cumul des mandats »
Des milieux non-autorisés laisseraient à penser que ce serait un début d’explication du plantage de la planète finance !!!
« Oui, un enfant de riches coûte plus cher à l’Etat qu’un enfant de pauvres. »
http://www.rue89.com/rue89-presidentielle/2012/01/05/oui-un-enfant-de-riches-coute-plus-cher-letat-quun-enfant-de-pauvres
Encore heureux! d’ailleurs, c’est pire une fois qu’il a grandi, le bicounet: entre le bouclier fiscal, les niches et tout le bataclan défiscalisé, ça cube!
Je sais pas trop comment ce post à pu échapper au modo :
http://www.dailymotion.com/video/x337u0_jacques-brel-fils-de_news
@Groucho
Plus tard quand ils sont grand les fils de pauvres coutent cher en flics car « il est cruel le petit bruit de l’oeuf dur cassé sur un comptoir d’étain »
En regardant votre vidéo, je ne suis pas tombé de ma chaise mais autre chose m’a littéralement sauté à la gueule : le ton / la construction en montagnes russes entre espoir et desespoir et le bouclage « ouroboros » de votre vidéo m’ont directement fait ressurgir le celebre « notre besoin de consolation est impossible à rassasier ». C’est uniquement mon subconscient à l’oeuvre ou le votre s’en est aperçu ? ^^
Il y avait une fille dans le métro, il y a longtemps. Elle chantait, elle avait les cheveux noirs, sa voix était forte. Quand elle a fini elle a dit aux gens qui étaient rassemblés, et conquis : On les auras !