MADRID, 21 décembre 2011 (AFP) – Luis de Guindos, ancien président de la banque Lehman Brothers pour l’Espagne et le Portugal, a été nommé mercredi ministre espagnol de l’Economie.
Rejoignant MM. Monti, nouveau Premier Ministre italien, ancien conseiller de Goldman Sachs, et Draghi, Président de la Banque Centrale Européenne, ancien directeur en exercice de Goldman Sachs International, M. de Guindos confirme brillamment la nouvelle « Règle d’or » en matière de politique : le principe souverain de la « prime à l’incompétence ».
Nul doute que le projet d’une Constitution pour l’économie, réclamé à cor et à cri par l’opinion publique internationale, sera confié incessamment à M. Bernard Madoff.
200 réponses à “UN VENT D’ESPOIR SE LÈVE !”
Bonjour à tous,
Mais pour quels raisons selon vous, les même qui ont échoués, qui ont contribué à nous mettre dans le pétrain, sont appelé à gouverner des pays? véritable incompétence des décideurs politique? ou pression d’une caste de nantis qui désire placer ses soldats?
Comme vous dites ils ont été « appelés » . . .
Aucune élection n’a présidé à leur prise du pouvoir.
L’Europe est de plus en plus « autoritaire »
Mais aucune « incompétence » !
Ils font durer le système . . .
Tant que les banques peuvent se financer auprès des banques centrales européenne et étatsuniennes à des taux entre 0.25% et 1% et prêter aux Etats à des taux autrement supérieurs, pourquoi voulez vous que leurs représentants s’attaquent au dit système qui les enrichie de manière tout à fait abusive.
Cédric, involontaire mais joli le « pétrain », bon comme du bon pain, comme du Pétain qui roule les r et la famine dans la farine…
Joli jeu de mot Vigneron 😉
iRV: ils continuent de faire fonctionner le system mais nous le savons il va falloir le réformer!
certainement qu’il y aura des défauts de paiement de la part de certains état…
le maintient de ce system est fictif… il vaudrait mieux se retrousser les manches et se mettre au travail avant que le pavé soit foulé par des ordes de français en colère !
Oh, Paul ! Mettre Madoff dans le même sac que les G. Sachs boys, ce n’est pas très honnête de votre part, ni très respectueux à son égard : il n’est pas ministre, lui. Il capitalise 150 ans de taule… 🙂
@ tous.
Bien évident que lorsque la banque centrale crée 500 milliards pour mettre à disposition des banques , il faut derrière des sbires pour éviter le dérapage.
Le monde ignore que c’est de la création pure et simple.
C’est le pouvoir de dieu.
Pourquoi vous fatiguer à courir après l’argent , allez à la Bce , ils vous donneront tout ce que vous voulez si vous faites partie des sbires.
Les politiques , la démocratie se sont vendus pour 500 milliards.
Vous tous sur ce blog vous vous êtes vendus pour ces 500 milliards.
Vous êtes chacun criminel d’avoir laissé créer ces 500 milliards.
Ceux du blog, auraient dû faire quoi, Bertrand ?
Merci pour les méthodes concrètes d’actions !!
ce qui est abusif, illégitime ce sont les taux usuraires pratiqués par les banques privées aux Etats alors qu’elles se financent à des taux de 0.25% ou 1% à la FED et à la BCE
@Bertrand
« Bien évident que lorsque la banque centrale crée 500 milliards pour mettre à disposition des banques , il faut derrière des sbires pour éviter le dérapage ».
En période de déflation il faut éviter l’effondrement du crédit aux entreprises et ménages
Retour aux fondamentaux : En période de trappe à liquidité, la monétisation n’est pas inflationniste (P.Krugman)
http://contreinfo.info/breve.php3?id_breve=10676
Pour sauver l’Europe, la BCE doit monétiser, par Ambrose Evans-Prichard
http://contreinfo.info/rubrique.php3?id_rubrique=55
L’article de D.Plihon, Comment sortir les États des griffes des marchés rappelle notamment que les banques empruntent auprès de la BCE à moins de 1% et reprêtent, si elles le veulent bien à l’Etat des citoyens contribuables à plus de 3%, voire plus de 10% ou 20% en Grèce
http://www.latribune.fr/opinions/tribunes/20111129trib000667471/comment-sortir-les-etats-des-griffes-des-marches-.html
Le contrôle nécessaire est celui politique et démocratique des citoyens et non des pompiers pyromanes
Voir la « stratégie du choc » décrite par Naomi Klein.
http://fr.wikipedia.org/wiki/La_strat%C3%A9gie_du_choc
Le problème est non de supprimer la création de monnaie mais comment éviter les fuites du circuit financier et donc que la création de monnaie irrigue l’investissement intérieur de la zone euro et non la spéculation de l’oligarchie.
Un exemple de fuite spéculative est comment est on passé du CAECL (Caisse d’aide à l’équipement des collectivités locales), un établissement public administratif, dont la vocation première était de répondre aux besoins des collectivités locales à Dexia banque privatisée et internatonalisée qui va coûter plusieurs dizaines de milliards d’euros au contribuable du fait de la gestion calamiteuse de dirigeants nommés par l’UMP.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Dexia
3 % à la fRance, 2 % à l’Allemagne, 3,9 % sur 8 ans aujourd’hui en moyenne à l’ensemble des pays de la zone euro, c’est usuraire ? A combien émettent-elles leurs obligations à long terme, les mal notées Deutsche Bank, BNP, SG, CASA, Commerzbank, etc ? C’est de l’épargne européenne et mondiale via des fonds de pension, des OPCVM ou des sociétés d’assurance-vie, plus des réserves en euros via des fonds souverains qui financent (finançaient) l’essentiel des dettes publiques européennes, les banques de la zone euro c’est juste 20 % du total, dont pas mal mis en pension à la BCE avant d’être refilé au FESF ou au « What a Mess ! » MES…
Toujours pour nous réjouir de l’état du monde, voilà une analyse tactique très intéressante sur ce qui se passe en Syrie, montrant la part de préparation extérieure de telles contestations, avec intervention directe de puissances étrangères, en anglais malheureusement :
(je copie le lien du site pour pouvoir citer l’article ici : The Syria Crisis: Assessing Foreign Intervention is republished with permission of STRATFOR.)
The Syria Crisis: Assessing Foreign Intervention
December 15, 2011 | 0951 GMT
By Scott Stewart
The ongoing unrest, violence and security crackdowns in Syria have been the subject of major international attention since February. Our current assessment is that the government and opposition forces have reached a stalemate in which the government cannot quell the unrest and the opposition cannot bring down the regime without outside intervention.
In the Dec. 8 Security Weekly, we discussed the covert intelligence war being waged by the United States, Israel and other U.S. allies against Iran. Their efforts are directed not only against Tehran’s nuclear program but also against Iran’s ability to establish an arc of influence that stretches through Iraq, Syria and Lebanon. To that end, the United States and its allies are trying to limit Iran’s influence in Iraq and to constrain Hezbollah in Lebanon. But apparently they are also exploring ways to overthrow Syrian President Bashar al Assad, a longtime ally of Iran whose position is in danger due to the current unrest in the country. In fact, a U.S. State Department official recently characterized the al Assad regime as a “dead man walking.”
We therefore would like to examine more closely the potential external efforts required to topple the Syrian regime. In doing so, we will examine the types of tools that are available to external forces seeking to overthrow governments and where those tools fit within the force continuum, an array of activities ranging from clandestine, deniable activities to all-out invasion. We will also discuss some of the indicators that can be used by outside observers seeking to understand any efforts taken against the Syrian regime.
Syria Is Not Libya
It is tempting to compare Syria to Libya, which very recently was the target of outside intervention. Some similarities exist. The al Assad regime came to power in a military coup around the time the Gadhafi regime took control of Libya, and the regimes are equally brutal. And, like Libya, Syria is a country that is quite divided along demographic and sectarian lines and is governed by a small minority of the population.
However, we must recognize that the situation in Syria is quite different than Libya’s. First, the fault lines along which Syrian society is divided are not as regionally distinct as those of Libya; in Syria, there is no area like Benghazi where the opposition can dominate and control territory that can be used as a base to project power. As our map indicates, protests have occurred throughout Syria, and the Free Syrian Army (FSA) claims to have a presence in many parts of the country.
The Syria Crisis: Assessing Foreign Intervention
(click here to enlarge image)
Moreover, while some low-level, mostly Sunni soldiers have defected from the Alawite-controlled Syrian military to the FSA, Syria has not seen the large-scale military defections that occurred in Benghazi and eastern Libya at the beginning of that conflict that immediately provided the opposition with a substantial conventional military force (sometimes entire units defected). The Syrian military has remained far more unified and intact than the Libyan military.
Second, Syria simply does not have the oil resources Libya does. We have not seen the Europeans push for military intervention in Syria with the same enthusiasm that they did in Libya. Even France, which has been the most vocal of the European countries against Syria, has recently backed away from advocating direct military intervention. The strength of the Syrian military, specifically its air defense system – which is far superior to Libya’s – means military intervention would be far more costly in Syria than in Libya in terms of human casualties and money. In fact, Syria spent some $264 million on air defense weapons in 2009 and 2010 after the embarrassing September 2007 Israeli airstrike on a Syrian nuclear reactor.
With the future of Libya still unclear, it does not appear the United States and Europe have the political will or economic incentive to conduct another major military intervention (operations in Libya were very expensive). We also do not believe that regional powers interested in Syria, such as Saudi Arabia, Jordan or Turkey, could take military action against Syria without U.S. and NATO support.
Regardless, it is important to remember that there are many options foreign governments can apply against the al Assad regime (or any regime, for that matter) that do not constitute outright invasion or even entail an air campaign supported by special operations forces.
The Force Continuum
As we examine some of the actions available along that force continuum, we should keep in mind that the steps are not at all static; there can be much latitude for action within each step. For example, training provided by mercenaries or the CIA’s Special Activities Division is far more low-key, and therefore easier to deny, than training provided by the U.S. Army’s Special Forces.
The least risky and least detectable option for a country pursuing intervention is to ramp up intelligence activities in the target country. Such activities can involve clandestine activities like developing contact with opposition figures or encouraging generals to conduct a coup or defect to the opposition. Clandestine efforts can also include working with opposition groups and nongovernmental organizations to improve their information warfare activities. These activities may progress to more obvious covert actions, such as assassinations or sabotage. Most of the actions taken in the covert intelligence war against Iran can be placed in this level.
Clandestine and covert activities often are accompanied or preceded by overt diplomatic pressure. This includes press statements denouncing the leadership of the target country, the initiation of resolutions in international organizations, such as the Arab League or the United Nations, and international economic sanctions. These overt measures can also include formally meeting with representatives of the opposition in a third country, as when U.S. Secretary of State Hillary Clinton met Dec. 6 with Syrian opposition members in Geneva.
The next level up the force continuum is to solidify a relationship with the opposition and to begin to provide them with intelligence, training and advice. In the intervention in Libya, this happened fairly early on as foreign intelligence officers and special operations forces traveled to places like Benghazi, then later the Nafusa Mountains, to provide the Libyan opposition with intelligence regarding Gadhafi’s forces, and to begin to train the militia forces to fight. In Syria there is still a very real issue of a lack of unity within the opposition, which is apparently more fragmented than its Libyan counterpart.
The Syria Crisis: Assessing Foreign Intervention
In this level, outside governments often take opposition fighters to a third country for training. This is because of the difficulty involved with training inside the home country, which is controlled by a hostile government that rightfully views the opposition as a threat. Already we are seeing signs that this is happening with the training of FSA members in Turkey.
The next step beyond training and intelligence-sharing is to provide the opposition with funding and other support, which can include food, uniforms, communication equipment, medical assistance and even weapons. To restate a point, providing funding is not as aggressive as providing weapons to the opposition, so there is a great deal of latitude within this level.
When providing weapons, an outside government will usually try to supply opposition forces with arms native to their country. This is done to maintain deniability of assistance. For example, at the outset of international support for the mujahideen who were fighting the Soviet invasion of Afghanistan, efforts were made to provide the fighters with weapons consistent with what the Soviets and the Afghan communists were using. However, when those weapons proved insufficient to counter the threat posed by Soviet air superiority, the decision was made to provide U.S. FIM-92 Stinger man-portable air defense systems (MANPADS) to the Afghan fighters. Tactically, the MANPADS greatly benefited the mujahideen on the battlefield. But since they were advanced, exogenous weapons systems, the MANPADS stripped away any sense of plausible deniability the U.S. might have maintained regarding its operations to arm the Afghans.
We saw a similar situation in Libya in May, when rebels began using Belgian-made FN-FAL battle rifles. While the rebels had looted many Gadhafi arms depots filled with Soviet-era Kalashnikovs, the appearance of the FN-FAL rifles clearly demonstrated that the rebels were receiving weapons from outside patrons. The appearance of Iranian-manufactured bomb components in Iraq in 2006-2007 was another instance of a weapon indicating foreign government involvement in an armed struggle.
Since furnishing weapons foreign to a country eliminates plausible deniability, we are listing it as a separate step on the force continuum. Unveiling the foreign hand can also have a psychological effect on members of the regime by signaling that a powerful foreign actor is supporting the opposition.
The next level begins to bring direct foreign involvement into play. This usually entails foreign special operations forces working with local ground forces and foreign airpower being brought to bear. We saw this model used in the 2001 invasion of Afghanistan, where the CIA, special operations forces and airpower augmented Afghan Northern Alliance ground troops and helped them to defeat the Taliban quickly. This model was also used successfully against the Gadhafi regime in Libya.
The highest and least exercised step on the force continuum is foreign invasion, like the U.S. invasion of Iraq in 2003.
Preludes to Intervention
With this range of actions in mind, outside observers can look for signs that indicate where foreign efforts to support a particular struggle fit along the continuum.
Signs of a clandestine intelligence campaign can include the defection of critical officers, coup attempts or even major splits within the military. When figures such as former Libyan intelligence chief and Foreign Minister Moussa Koussa defected from the Gadhafi regime, they were doing so in response to clandestine intelligence efforts.
Signs of training and support will translate to increased effectiveness by the FSA – if they suddenly begin to employ new tactics, strike new targets, or show the ability to better coordinate actions over a wide geographic area, for example. Another sign of increased effectiveness would be if the FSA began to execute sophisticated asymmetrical warfare operations, such as coordinated ambushes or hit-and-run strikes directed against high-value targets. Foreign trainers will also help the FSA learn how to develop networks within the local population that provide intelligence and supplies, communication, shelter and early warning.
Outside training and intelligence support would lead to an increase in the strategic impact of attacks by armed opposition groups, such as the FSA. The opposition claims to have conducted several strikes against targets like the Syrian Directorate for Air Force Intelligence in suburban Damascus, but such attacks do not appear to have been very meaningful. To date these attacks have served more of a propaganda function than as a means to pursue military objectives. We are carefully monitoring alleged FSA efforts to hit oil and natural gas pipelines to see if they become more systematic and tactically effective. We have heard rumors of American, Turkish, French and Jordanian special operations forces training FSA personnel in Turkey, and if these rumors are true, we should begin to see results of the training in the near future.
As we watch videos and photos coming out of Syria we are constantly looking for evidence of the FSA possessing either an increased weapons supply or signs of external weapons supply. This not only includes a greater quantity of weapons, but different types of weapons, such as anti-tank guided missiles, mortars, mines, MANPADS and improvised explosive devices. We have yet to see either increased weapons or external weapons; the FSA appears to be using the weapons with which they defected.
If outside powers are going to consider launching any sort of air campaign – or establish a no-fly zone – they will first have to step up surveillance efforts to confirm the location and status of Syria’s air defense systems. This will lead to increased surveillance assets and sorties in the areas very close to Syria. Aircraft used in the suppression of air defenses would also be flown into the theater before launching any air operation, and an increase in aircraft, such as U.S. F-16CJ and British Tornado GR4s in Cyprus, Turkey or Greece, is a key indicator to watch. Increased EA-6B Prowler and EA-18G Growler electronic warfare aircraft, both carrier-based aircraft that regularly transit the region aboard U.S. Carrier Strike Groups, would likewise be important to watch. Aircraft carrier battle groups, cruise missile platforms, and possibly a Marine Expeditionary Unit would also be moved into the region prior to any air campaign.
Like the 2003 invasion of Iraq, any invasion of Syria would be a massive undertaking and there would be clear evidence of a buildup to such an invasion. The likelihood of actions against Syria happening at the top of the force continuum is very remote. Instead we will need to keep focused on the more subtle signs of foreign involvement that will signal what is happening at the lower levels of the scale. After all, any comparison to a “dead man walking” makes one wonder if the United States and its allies will take steps to hasten demise of the al Assad regime.
Reprinting or republication of this report on websites is authorized by prominently displaying the following sentence, including the hyperlink to STRATFOR, at the beginning or end of the report.
« The Syria Crisis: Assessing Foreign Intervention is republished with permission of STRATFOR. »
Mouais… on apprend rien du tout là, bien long pour trois lieux communs les gonzes de chez Stratfor…
Stratfor, « the Shadow CIA » du net…. « the private quasi CIA » du sieur Georges Friedman, « réaliste » auto-proclamé (se dit disciple de Leo Strauss et Hans Morgenthau) contre les ultras neo-cons et ancien collaborateur de la Rand Corp et du Département d’État… mouais… en tout cas sur Mubarak – y’a 10 ans certes mais bon – il avait tout faux…
http://www.rumormillnews.com/cgi-bin/archive.cgi?read=13032
http://en.m.wikipedia.org/wiki/Stratfor
Ces deux articles sous-tendent l’idée que la guerre que M Jorion évoquait comme une solution de la crise lors de son intervention devant les anciens d’HEC, que la guerre donc, est bel et bien déjà là, à une échelle sans doute plus importante que ce que nous avons vu ces dernières années (implication de plusieurs puissances extérieures).
Mettre des techniciens aux commandes est un aveux d’impuissance. La crise est à une étape éminemment politique : Qui doit en payer les pertes ? les créanciers ou les producteurs et retraités ?
La démocratie n’est pas le pouvoir du peuple , mais la possibilité d’empêcher la tyrannie d’un seul comme celle de la majorité sur la minorité.
Le seul frein des dominants est la capacité de résistance des dominés. Les avancées sociales de 45 le prouvent abondamment.
A nous les producteurs de ne rien céder sans combattre ! Ce blog est pour moi un outil d’argumentation permettant de convaincre non pas les dirigeants, mais les ‘dirigés’ qu’ils peuvent et doivent ne pas s’en laisser conter !
Point de vue intéressant de la part de Stratfor…
Etrange pour un regime que l’ont dit si affaibli qu’aucun diplomate n’ait encore déserté ses officines !
En outre les relations tendues entre la France et la Turquie n’aideront pas à la résolution de cette épineuse équation.
J’en peux plus de lire ce genre d’information…
C’est vraiment trés dur d’encaisser ce genre de nouvelle 🙁
Quand cela va-t-il s’arreter ?
A mon avis, « ils » savent que,quoi qu’ « ils » fassent,il n’y en a plus pour longtemps alors… »Ils » s’amusent…
Les informations contenues dans cet articles sont elles exactes ?
Merci pour votre éclairage sur la question 😉
L’audit de la Réserve fédérale révèle 16 billions de renflouements secrets
Old news !
Si je peux me permettre sans vouloir vous froisser, ça ne répond pas à la question posée.
Si, car j’avais aussi la possibilité d’écrire « old bullshit ».
La fabrication de la vérité par les Etats Unis http://www.huffingtonpost.com/sharmine-narwani/stratfor-challenges-narra_b_1158710.html
[…] jQuery("#errors*").hide(); window.location= data.themeInternalUrl; } }); } http://www.pauljorion.com – Today, 11:11 […]
Pour rire :
Pour rire jaune:
shrek dans le rôle de Jack Bauer. Qui sera soumis à la torture, les salariés ou le patronat? Le film ne le dit pas mais j’ai une idée sur la réponse.
Quel « spécialiste Goldmann Sachs » pourrait-on nous mettre en France pour diriger le « gouvernement d’union nationale » mis en place d’urgence après la dégradation de la note française de 2 ou 3 crans ??? Des idées ?
A l’unanimité de moi-même et à la demande générale un frais médaillé (14 juillet dernier…) Commandeur de la Légion d’Honneur, blaze particulé, ça gâche rien, bien au contraire : Charles de Croisset.
Grand écrivain qui plus est (bibliographie exhaustive) :
Réduire l’impôt, 1985
Dénationalisations, 1986
http://fr.m.wikipedia.org/wiki/Charles_de_Croisset
Et puis y’a déjà Philippe Gudin de (sic) Vallerin au Trésor…
vigneron
Et pour saisir les banques comme on saisit un lapin au collet, tu vois qui pour mener l’opération ?
Ahahahah !! Geudin De Vallerien !!! Mais où s’arrêteront-ils…
Pierre-Yves, un banquier sur la touche, rancunier, habile et vindicatif, pardine !
Ce qu’il est intéressant -inquiétant?- de noter c’est que contrairement à la Grèce ou à l’Italie, le gouvernement fraîchement annoncé en Espagne est le résultat d’élections démocratiques ou une majorité écrasante a été accordée à Rajoy et ou le PSOE se retrouve au niveau le plus bas de son histoire. Nous en sommes là, comme dirait François Leclerc…
Pour ceux que ça intéresse Pedro Solbes, ministre de l’économie du gouvernement Zapatero de 2004 à 2009 a fait le chemin inverse à de Guindos. Il préside actuellement aux destinées de la branche ibérique de la banque Barclays plc qui a racheté en 2008 pour une bouchée de pain les restes de… Lehman Brothers, nul doute que depuis le secteur bancaire s’est considérablement moralisé. Avant ça il avait été Commissaire européen de l’économie sous Prodi et responsable à ce titre de l’introduction de l’euro et de l’intégration économique des états membres. Dans le genre prime à l’incompétence…
Que restera-t-il comme choix aux Espagnols une fois qu’ils prendront conscience que la peste ne remplace jamais avantageusement le choléra?
son expérience en « bad banking » est indéniable. Bon vent Mr Dé Glingos !
Décidément.
» Je n’ai que quelques mots à ajouter. Bien que j’aie cherché dans toutes les bibliothèques de l’Europe les oeuvres du docteur Goudron et du professeur Plume, je n’ai pas encore pu,jusqu’à ce jour, malgré tous mes efforts, m’en procurer un exemplaire. »
( Histoires grotesques et sérieuses :E.A. Poe ).
http://alternatives-economiques.fr/blogs/clerc/2011/12/19/mort-aux-gueux/
» Bin voyez vous pour moi le monde c’est beaucoup plus simple que ça
D’un côté y’a des types sympas puis de l’autre côté y’a des types franchement antipathiques
…
Peut être vous préférez l’accordéon ? »
Pour que la fête soit complète, et en catimini, Carlos Moedas a été nommé « Secretary of State to the Prime Minister » du gouvernement Portugais en juin 2011. Carlos Moedas est passé par Harvard, l’inévitable Goldman Sachs et Eurohypo. Les banques d’affaires verrouillent ainsi tous les pays sous tutelle directe ou indirecte du FMI ou de la BCE.
Pire, il est tentant de constater que ces intrus ont été placés de manière « préventive » par les chefs de gouvernement (notamment dans les cas espagnols et portugais) afin d’assurer leur pérennité et de ne pas être balayés par un coup d’etat du type de celui dont furent victimes leurs compagnons d’infortune grecs et italiens.
Les incorrigibles banquiers sont donc aux commandes, visiblement pressés de scier la branche sur laquelle ils sont assis…
Un peu de la même veine, France Culture posait ce matin la question « Les banques sont elles en crise ou font elles la crise ? »
Pour y répondre en toute sincérité et honnêteté, un banquier d’affaires, Lionel Zinsou, illustre inconnu pour moi et François Lenglet, un habitué du plateau de Calvi, si si, directeur de la rédaction de BFM Businness.
L’autre jour, à l’écoute de Bernard Stiegler, j’avais les oreilles qui se dressaient, mais là, les bras m’en tombaient à l’écoute du banquier d’affaires, de mémoire.
. toutes ces crise sont normales, ça va, ça vient, au gré des bulles petites et grosses.
. théorie du balancier, ding dong : un jour on règlemente trop puis on libéralise trop à la manière de Reagan
. au bilan tout va de mieux en mieux, prospérité pour les émergents, la Chine, …..
. faut attendre que ça passe
. le chômage en Espagne, la situation en Grèce, bof, c’est pas la mer à boire
………………………
Même François Lenglet s’en offusquait en rappelant quelques réalités actuelles qui touchent le commun des mortels.
Le banquier d’affaires restait de fer, il n’en avait rien à faire de nos 5 sous en fin de mois.
http://www.franceculture.fr/emission-les-matins-les-banques-sont-elles-en-crise-ou-font-elles-la-crise-2011-12-22
Je me suis un jour trouvé à une table-ronde à Grenoble à laquelle Lionel Zinsou participait également. À chaque phrase que je prononçais, Zinsou ricanait bruyamment. Quand il s’est mis à parler, c’est l’auditoire qui s’est mis à rire, cette fois de bon coeur.
En tout cas Marc Voinchet assure le SAV, il a cité P. Jorion au moins à deux reprises et avec sérieux.
J’ai entendu l’émission , c’est exactement ça : » ça va ça vient », rien de grave , en gros « faut attendre que ça passe » , comme vous dites Papimam . On est dans une phase de « correction » . Sidérant !
L’éclat de rire ne semble pas être une exception dans le monde de la finance à en croire la dernière chronique 2012 de JC Guillebaud dans le N.O
« Les kalachnikovs de la finance ». Sans doute une marque d’arrogance et de certitudes.
« Sur le papier, l’arsenal législatif est impressionnant. Dans les faits, l’administration est aussi désarmée que nos policiers et gendarmes faces au kalachnikovs »
En résumé :
Le pistolet SIG Sauer 2022, arme de service des policiers et gendarmes, fait figure de simple pétoire comparé à l’arme de guerre qu’est la kalachnikov.
JCB estime qu’une telle asymétrie se retrouve dans le monde de la finance internationale (toutes proportions gardées tempère t’il).
Et de terminer après une description sommaire de la mise en oeuvre de la loi Dodd-Franck du 21/7/2010, par une question/réponse « Suis-je exagérément alarmiste ? »
La réponse lui a été donnée récemment et par hasard par un banquier qui rapportait une conversation qu’il avait eu avec des financiers américains qui réagissaient face à « la « menace » de régulation qui « théoriquement » pèse sur eux depuis le vote de la loi Dodd-Franck ».
Réaction des financiers : « un éclat de rire, un rire glaçant ».
Et de conclure : « Les kalachnikovs de la finance tiennent toujours en joue le politique dont l’impotence est dramatiquement avérée ».
Attention que nos propres propos sur le ton de l’humour grinçant ne se transforment en colère froide, voire glaciale.
je suis déçu par le niveau des recrutements espagnols. C’est vrai question faussaire, lehman c’est la gamme au dessous de goldman. Moi je dis c’est la fin si on arrive même plus à se payer des menteurs potables.
Autant dire que les marchés (américains en l’occurrence) ont décidé de contrôler l’économie des états européens. L’essentiel est de se demander quels sont leurs objectifs. Combien ces ministres de pacotilles ont-ils été payés pour couler l’euro ? combien de misère faudra-t-il endurer pour qu’enfin les peuples unis d’Europe disent STOP ?
[…] http://www.pauljorion.com/blog/?p=32179 5. …Sans oublier Frédéric LORDON, économiste et ingénieur, directeur de recherches, dont les esprits littéraires apprécieront son histoire de la crise en alexandrins, D’un retournement l’autre. Comédie sérieuse sur la crise financière, en quatre actes, et en alexandrins (Le Seuil.) […]