Capitalisme et communisme
Les révolutions qui échouent
Le grand mystère des choses enfin révélé
Résoudre rapidement les vraies questions
*Godot est mort !*
Capitalisme et communisme
Les révolutions qui échouent
Le grand mystère des choses enfin révélé
Résoudre rapidement les vraies questions
Puisqu’on parle ici des futures circonstances d’une vengeance … L’occasion de mettre en valeur cette longue considération de l’illustre Naomi…
Avez-vous noté le retour du petit Nicolas dans les médias ? Ne serait il pas tenté pour 2027, d’imiter Trump…
Sur cette image, il manque un acteur de poids, Monsieur Xi qui certainement va suivre ça de très prêt car…
Juste après votre sieste quotidienne…^!^… , avez-vous apprécié les « Zarabesques » à l’infini..?? https://www.pauljorion.com/blog/2024/11/11/il-y-a-ralentissement-dans-le-progres-de-lia-fake-news/comment-page-1/#comment-1039091
« Se débarrasser du capitalisme est une question de survie ». Dont la survie des capitalistes eux-mêmes. Pourquoi ? Le capitalisme exige…
@BasicRabbit CC Le Pont de Broughton ne me semble pas représentatif. Paralléliser le phénomène de résonnance mécanique qui provoqua l’effondrement…
https://www.newsweek.com/donald-trump-win-pushing-california-towards-independence-group-says-1984398 La victoire de Donald Trump pousse la Californie vers l’indépendance, selon un groupe. Un groupe faisant campagne pour que…
Oui mais sur ces sujets là, plus que leur vision du monde c’est leur jeu de go qu’ils vont devoir…
Pas aussi rigolo. Evoquant des contraintes « content policy » DALL.E n’a pas voulu illustré par l’image une longue conversation avec ChatGPT4…
Trump a montré une tendance à considérer les médias comme l’« ennemi » et à réprimer la dissidence, ce qui…
Allemagne Aristote BCE Bourse Brexit capitalisme ChatGPT Chine Confinement Coronavirus Covid-19 dette dette publique Donald Trump Emmanuel Macron Espagne Etats-Unis Europe extinction du genre humain FMI France Grands Modèles de Langage Grèce intelligence artificielle interdiction des paris sur les fluctuations de prix Italie Japon Joe Biden John Maynard Keynes Karl Marx pandémie Portugal psychanalyse robotisation Royaume-Uni Russie réchauffement climatique Réfugiés spéculation Thomas Piketty Ukraine ultralibéralisme Vladimir Poutine zone euro « Le dernier qui s'en va éteint la lumière »
573 réponses à “LE TEMPS QU’IL FAIT, LE 25 NOVEMBRE 2011”
Amsterdam, 26 Novembre 2011
@Mianne
Je vous supporte à 100 %.
Il faut réparer le plus vit possible l’erreur de base de la révolution Française inachevée, c.à.d. son républicanisme présidentiel, et la remplacer par une république parlémentaire, ne donnant aucune immunité à personne, et entourée de tous les cotés des systémes décentralisés de participation civique, des systèmes de l’autogestion, et des coopératives des consommateurs, y compris dans les banques et dans les fonds de retraite. Tout cela avec un esprit ouvert vers des niveaux de démocratisation à ce moment non-existants mais potentiellement présents.
‘Il faut libérer son génie créateur’ comme le me disait mon ami tué Thomas Sankara, le garçon tragique du Burkina Faso, remplacé pour son assassin meurtrier, grand ami de Khadaffi, le comploteur et brigand actuel qui est à la présidence absolue là-bas depuis 1987.
En outre il nous faut une transparence TOTALE des revenus et des capitaux, à publier mensuellement à l’internet, accompagnée d’une politique de taxation draconique non seulement des revenus des capitaux, mais comme Paul Jorion a proposé, à la source même, c.à.d. des taxations d’environs 95 % des capitaux propres.
Ce qu’il faut aussi dans une telle situation, ce sont des sites de refuges pour les riches qui veulent s’en aller avec des allez simples..
Macau? Las Vegas? Souvenons nous les sorts de Astrid Lindgren (si! elle aussi!) et de Ingmar Bergman qui voulaient se réfugier des mesure fiscales de la Suède… ils sont partis… mais… revenus après quelques années comme mendiants.. s’il vout plaît laisse nous entrer, nous ne supportons pas le manque de la qualité…
Alors, avec de très fermes grillages contre leur retour, pour éviter qu’il y aura des masquerades…
Les pauvres mecs de l’Afrique seront plus que bien-venus, et jamain plus en bateaux fragiles..
99 % c’ést nous.
Message d’encouragement à Paul Jorion: la complexité sera servi par nous avec de l’intelligence et avec l’amour d’un jardinier.
😉
Cordialement le vôtre,
JL
Pour aller dans le même sans que vous et Mianne. Plus de pro de la politique. Plus d’élections plébiscite qui n’ont fait que créer une nouvelle aristocratie soutenue par la ploutocratie, quand les élus n’appartiennent pas au deux. Je rappelle qu’il n’y a plus qu’un seul ouvrier élu à l’assemblée nationale. Revenir au tirage au sort, avec la commune comme lieu privilégiée de débat et d’expression.
Amsterdam, 26 Novembre 2011
@wuwei
Exactément. Et si cela (s’organiser en petites unités communales solidaires) est TRES factible et vrai dans des tres grosses villes comme Porto Alegre, Curitiba, Rio de Janeiro, Sao Paolo, Bogotá et Medellín, alors…. cela est factible partout au monde.
Parfois le traitement de la complexité est beaucoup plus simple que nous avions pensé avant…
Je vous cite une phrase de Menno Vellinga: « La chance de survivre en grande ville est toujours beaucoup plus elevée qu’à la campagne ».
Il nous faut de la calme au coeur.
Les lois de la sociologie ne sont pas tellement compliquées…
🙂
Bien`à vous tous!
JL
Encore une excellente émission de Terre à terre ce samedi matin, 2 sujets liés étaient traités.
Enfin on pose la pyramide dans le bon sens avec un bon sens bien paysan comme celui de PIerre Rabhi, initiateur du mouvement Colibris et pionnier de l’agriculture écologique.
Prendre notre destin en main plutôt que d’attendre nos politiciens à courte vue électorale.
Avec Lionel Astruc, auteur de « Manger local : s’approvisionner et produire ensemble » (Actes Sud, 2011) et Cyril Dion, directeur du mouvement Colibris, à l’origine de l’appel « Tous candidats ! »
Partie 1 – Lionel Astruc – Manger local
Partie 2 – Cyril Dion – Le mouvement Colibris et l’initiative « Tous candidats » – extra (vers 22′)
Pour ne pas se laisser bercer, endormir, manipuler par les médias dominants et avoir une vision globale et innovante.
Tous les sujets majeurs sont abordés : capital, finances, climat, énergies, croissance et aussi logements, école, monnaie………
Pour une écologie qui ne se contente pas de « greenwashing » ou juste de simples éco-gestes, mieux que le Grenelle aussi.
A écouter et savourer, et cerise sur le gâteau, un instant de poésie, la légende du colibri racontée par Cyril (à 34′).
Pour que la métamorphose attendue par d’Edgar Morin atteigne une masse critique et débouche sur un basculement salvateur.
http://www.franceculture.fr/emission-terre-a-terre-tous-candidats-autonomie-ecologie-et-initiatives-locales-2011-11-26
Le site du mouvement Colibris, pour connaître leurs actions et découvrir la merveilleuse légende du colibri.
http://www.colibris-lemouvement.org/
Et pourquoi pas poser sa candidature à l’élection présidentielle.
http://www.touscandidats2012.fr/
Rappel :
Negawatt et Solagro travaillent aussi sur les transitions indispensables
446 commentaires.
Je ne peux même plus retrouver mes commentaires sur les articles pour voir si réponse.
Ca devient infernal…
Et divin, bien sûr.
De la diversité nait la richesse.
… Et du culte de l’idée divine naît l’apaisement 🙂
Amsterdam, 25 November 2011
@Antoine
http://www.youtube.com/watch?v=g7iPpbEtQU0
http://www.bardsongs.com/main/EN_achtergrond.html
http://sanderfranckenfilm.com/
Bien à vous! 🙂
@Yvan
Tiens, pour te faire gagner du temps, je t’ai fait une copie du meilleur post de ce billet
http://www.pauljorion.com/blog/?p=31301#comment-262264
Amsterdam, le 26 Novembre 2011
@ yvan
Imaginez vous comme se sentira ce monsieur qui nous donnait le livre « La fin de l’histoire et le dernier homme »… Francis Fukuyama
(re: http://en.wikipedia.org/wiki/The_End_of_History_and_the_Last_Man)’…
Nous nous ne trouvons qu’au début des histoires possibles.. et c’est à nous mêmes de construire la voie vers un meilleur monde.. (Prigogine/Wallerstein/Arrighi).
Bien à vous tous!
JL
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La complexité mentionnée par Paul Jorion est celle d’un système à l’agonie qui aura tenté tous les subterfuges pour s’en sortir. Son essence c’était le profit par l’exploitation de l’homme par l’homme. A l’échelle de l’humanité c’est peut-être simplement une étape et l’opportunité nous est donné de la dépasser.
Une leçon nous est donné par les crises. A chaque fois les victimes ont cherché des alternatives.
La révolution russe a débouché sur le capitalisme d’Etat et le totalitarisme. Mais à côté de cette variante du capitalisme, d’autres tentatives sont nées et ont elles aussi échouées. Mais pourquoi ont-elles échoué ? L’ennemi capitaliste était alors assez fort pour les circonvenir aidé en cela par les partisans des divers totalitarismes. Ce fut le cas de la Révolution Espagnole.
La résurgence de ces mêmes tentatives autogestionnaires revient en Argentine en 2001. Les entreprises ont fermé et il faut bien se nourrir, s’habiller, etc…
Donc la solution à la crise est peut-être moins complexe qu’on veut bien le croire compte tenu de l’énorme potentiel de production de par le monde. J’avais publié un article là-dessus dès la fin 2008 sur Rue 89.
cadavre exquis, merci beaucoup, ça facilite énormément les choses 😉
Le terme aristocratie (en grec : gouvernement des meilleurs) désigne :
une forme de gouvernement dans laquelle le pouvoir est officiellement détenu par une élite intellectuelle ; à ne pas confondre toutefois avec le système politique oligarchique.
source wikipedia, définition remaniée par soins.
Merci de ne pas répondre;
Je soumets à l’assemblée jorionienne en guise de contribution dans le but hautement louable de résoudre certaines « vraies questions qui se posent » – ici misère et surpopulation – cette MODESTE PROPOSITION
POUR EMPÊCHER LES ENFANTS DES PAUVRES
D’ÊTRE À LA CHARGE DE LEURS PARENTS
OU DE LEUR PAYS
ET POUR LES RENDRE UTILES AU PUBLIC du divin Jonathan Swift, proposition datant, il est bon de le rappeler, d’une époque pré-capitaliste, 1729 en Irlande…
Jonathan SWIFT – 1729
Ps : à l’attention des vieux sages et des comètes, du même Jonathan :
@ vigneron, le 27 novembre 2011 à 11 h 05
Bien ta démonstration par l’absurde et par l’ignoble de la course à la soluce en oeuvre sur ce blog !
Cela dit, parler d’une « époque pré-capitaliste » pour l’Irlande de 1729, un bon moment après les émeutes contre les enclosures, certes en Angleterre et pas encore tout à fait en Irlande, à quelques décennies près, mais non sans effet sur l’autonomie paysane économique et politique de sa prochaine colonie, cela me semble revenir à contracter rétrospectivement l’histoire. « Pré-industriel » eût été plus prudent, si l’ogre n’en était pas encore à son plat de résistance, son hors-d’oeuvre érodait déjà un peu sa denture, peut-être même l’aiguisait-il.
Frontibus :
« Dès leur naissance les grandes banques, affublées de titres nationaux, n’étaient que des associations de spéculateurs privés s’établissant à côté des gouvernements et, grâce aux privilèges qu’ils en obtenaient, à même de leur prêter l’argent du public. Aussi l’accumulation de la dette publique n’a-t-elle pas de gradimètre plus infaillible que la hausse successive des actions de ces banques, dont le développement intégral date de la fondation de la Banque d’Angleterre, en 1694. Celle-ci commença par prêter tout son capital argent au gouvernement à un intérêt de 8 %%, en même temps elle était autorisée par le Parlement à battre monnaie du même capital en le prêtant de nouveau au public sous forme de billets qu’on lui permit de jeter en circulation, en escomptant avec eux des billets d’échange, en les avançant sur des marchandises et en les employant à l’achat de métaux précieux. Bientôt après, cette monnaie de crédit de sa propre fabrique devint l’argent avec lequel la Banque d’Angleterre effectua ses prêts à l’État et paya pour lui les intérêts de la dette publique. Elle donnait d’une main, non seulement pour recevoir davantage, mais, tout en recevant, elle restait créancière de la nation à perpétuité, jusqu’à concurrence du dernier liard donné. Peu à peu elle devint nécessairement le réceptacle des trésors métalliques du pays et le grand centre autour duquel gravita dès lors le crédit commercial. Dans le même temps qu’on cessait en Angleterre de brûler les sorcières, on commença à y pendre les falsificateurs de billets de banque. »
(Capital, livre I, VIII° section : L’accumulation primitive, Chapitre XXXI : Genèse du capitaliste industriel)
Seul les petits hargneux et grincheux pourront trouver la petite porte étroite dans la nuée.
Les prochaines oeuvres de scandales seront spectaculaires vous verrez.
J’essaie de structure ma pensée: Que peut-on transformer pour créer ce nouveau cadre?
1-Il y a d’une part l’Homme: le Bon, la Brute, le Truand. Avec des rapports de force et une vie construite sur leur histoire personnelle (pour l’un, la vie est méchante, pour l’autre la vie est aimable…)
2-D’autre part la vie « économique » qui permet de subsister par son travail et des échanges. Ceci à travers un élément porteur (monnaie) de valeurs à s’échanger. Pour moi cette « monnaie » est d’importance secondaire.
3- et enfin, la société (le cadre?) faite de principes, d’usages, d’acquis, d’attribution de situations plus ou moins privilégiées, basés sur une vision de la vie en commun. Cette vision est idéalisée (utopique) donc est corrigée dans les faits par des lois, des règles et des pénalités.
Transformations:
1: le cadre a une influence sur l’Homme, par la qualité de l’éducation (parents, école, savoir) Reste l’immuable loi biologique du dominant qui apparaît dans tout groupe social..
2: partage organisé des moyens de subsistance (choix à faire: il s’agit de choix idéologiques basés sur la loi du plus fort ou sur le soutien du plus affaibli) Monnaie régulée par qui?
3: Vivre ensemble: pour faire quoi? Le Progrès est-il un but (quel est le sens de ce mot?) Plus de loisirs, plus de biens? plus de consommation? Moins de…? Rapport entre travail et revenus? Statut social immuable? Ascenseur social? Classe politique professionnelle? Parlement représentatif? Gouvernement à la proportionnelle? Règlementation des Marchés, des Entreprises, du Travail, Contrôle à quels niveaux et avec quelle intensité?
Découragement :
Le sens de notre vie. A-t-elle un sens? Lequel? Pourquoi changer les choses? Pour qui? Comment imaginer l’avenir? Il n’existe pas encore, donc on peut essayer de le créer. Il suffirait de l’imaginer comme un idéal…
Comment aimerais-je vivre? Et mes enfants?
J’y réfléchi.
Réfléchissez mieux, et sortez, c’est urgent de votre idéalisme profond, bien que superficiel.
La monnaie, l’argent n’a pas une importance secondaire, puis n’est pas
(c’est quoi ce jargon ?)
Pourquoi mettez-vous des majuscules un peu partout Homme, Progrès, Entreprises, Travail, Contrôles ? Qu’est-ce que cela signifie Entreprises, par exemple, quelles différences avec entreprises? hein?
Allez, réfléchissez encore, mais pas trop, quand même…
@pArs
Porteur n’est sans pas assez clair en effet. Porteur d’une « valeur », Celle qu’à une monnaie, Monnaie: dollars, euro, yen… La monnaie elle-même n’a qu’une importance secondaire: celle du papier (reconnaissance de dette).
Homme: l’homme, la femme, l’enfant.
Entreprises: le travailleur, l’indépendant, la PME, l’industrie, la multinationale…
Mon idéalisme profond est superficiel. Ah! Heureusement mon idéal superficiel est profond, et je vais faire un effort intense de réflexion, promis, juré…
[…] L’indispensable vidéo hebdomadaire de Paul Jorion. Notez que je n’ai pas mis celle d’Olivier Delamarche, on tourne en rond : les gars de BFM Business lui demandent toujours la même chose… […]