On doit pas connaitre les mêmes ( écologistes )
*Godot est mort !*
On doit pas connaitre les mêmes ( écologistes )
Prompt: Il semblerait que outlook de Microsoft soit en panne GPT 4o: Oui, il semble que Microsoft Outlook soit actuellement…
Ou ceci (il y a 46 ans 😉 ) :
Hmm… ça me rappelle des choses d’il y a 44 ans !
Une sorcière moderne et sa guitare électrique. Anna Calvi « Wish »: « I got one more wish before I die So please…
Ah oui mourir par paquets de 10 000 pour la langue française… t’en as d’autre des histoires bidons en réserve…
Le courage dans la franchise de cette femme est absolument admirable. Je pense que tant la regrettée Annie Le Brun…
Tu trouves que la guerre ne suffit pas à leur peine ?! 🤪
@ Ruiz « Transformer l’Ukraine en Belgique ». Et pourquoi pas en ex-Yougoslavie ? Car il existe beaucoup de similitudes entre cette…
Allemagne Aristote BCE Bourse Brexit capitalisme ChatGPT Chine Confinement Coronavirus Covid-19 dette dette publique Donald Trump Emmanuel Macron Espagne Etats-Unis Europe extinction du genre humain FMI France Grands Modèles de Langage Grèce intelligence artificielle interdiction des paris sur les fluctuations de prix Italie Japon Joe Biden John Maynard Keynes Karl Marx pandémie Portugal psychanalyse robotisation Royaume-Uni Russie réchauffement climatique Réfugiés spéculation Thomas Piketty Ukraine ultralibéralisme Vladimir Poutine zone euro « Le dernier qui s'en va éteint la lumière »
135 réponses à “LE TEMPS QU’IL FAIT, LE 16 SEPTEMBRE 2011”
Le spectre d’un défaut de paiement grec constitue un tournant pour une UE arrogante et dominatrice. Le retour à une dimension plus nationale est donc une perspective positive, estime un chroniqueur britannique.
http://www.presseurop.eu/fr/content/article/957961-le-national-c-est-pas-si-mal
Europe is turning back to national identity – and it’s exhilarating
The European debt crisis is a reformation moment – the EU has overreached its power and now faces a crisis of legitimacy
http://www.guardian.co.uk/commentisfree/2011/sep/15/europe-national-identity-debt-crisis
Merci Paul , tenez le coup , l’enjeu est « capital » !
Débattez partout où cela est possible , souvent , il en restera quelque chose de toute manière !
Pensez également à reconstituer vos forces… 😉
– Communiqué public GEAB N°57 (15 septembre 2011) –
Extrait :
« Crise grecque et Euro : état des lieux de la vaste opération de manipulation en cours
Mais, revenons donc à la Grèce et ce qui commence à être un « antique scénario très répétitif (3)», dont nous avons déjà expliqué qu’il revenait sur le devant de la scène médiatique chaque fois que Washington et Londres entraient dans de graves difficultés (4). D’ailleurs, comme par hasard, l’été a été catastrophique pour les Etats-Unis qui sont désormais entrés en récession (5), qui ont vu leur note financière dégradée (un événement jugé impensable par la totalité des « experts » il y a seulement six mois) et qui ont exposé au monde étonné l’état de paralysie générale de leur système politique (6), tout en étant incapables de mettre en place la moindre mesure sérieuse de réduction de leurs déficits (7). Parallèlement, le Royaume-Uni s’enfonce dans la dépression (8) avec des émeutes d’une rare violence, une politique d’austérité qui échoue à maîtriser les déficits budgétaires (9) tout en plongeant le pays dans une crise sociale sans précédent (10) et une coalition au pouvoir qui ne sait même plus pourquoi elle gouverne ensemble sur fond du scandale des collusions entre dirigeants politiques et l’empire Murdoch. Aucun doute, avec un tel contexte, tout était mûr pour une relance médiatique de la crise grecque et de son corollaire, la fin de l’Euro !
Si LEAP/E2020 devait résumer le scénario « façon Hollywood » ou « FoxNews » (11), on aurait le synopsis suivant : « Pendant que l’iceberg US est en train de percuter le Titanic, l’équipage entraîne les passagers à la recherche de dangereux terroristes grecs qui auraient posé des bombes à bord ! » En terme de propagande, la recette est connue : elle consiste à faire diversion pour permettre d’abord de sauver les passagers qu’on veut (les élites informées qui savent très bien qu’il n’y a pas de terroristes grecs à bord) puisque tout le monde ne pourra pas être sauvé ; et ensuite, de masquer le plus longtemps possible la vraie nature du problème pour éviter une révolte à bord (y compris d’une partie de l’équipage qui croit sincèrement qu’il y a bien des bombes à bord). »
http://www.leap2020.eu/Crise-systemique-globale-Quatrieme-trimestre-2011-Fusion-implosive-des-actifs-financiers-mondiaux_a7619.html
« (26) C’est d’ailleurs la grande évolution 2011 du débat sur la crise en Allemagne : finis les délires de 2010 sur le retour au Deutsche Mark, il existe désormais en Allemagne un débat réel et sérieux sur les meilleurs moyens de réussir la prochaine étape d’intégration de l’Euroland. Il est regrettable qu’en France un tel débat n’existe pas. Il faudra attendre l’élection du ou de la candidate socialiste en Mai 2012 pour pouvoir passer à cette étape. A ce moment-là, les deux pays pourront à nouveau jouer un vrai rôle moteur. Actuellement ils jouent surtout en position défensive : c’est nécessaire mais pas suffisant pour 2012. »
« Carla, fais les valises » (?)
Monsieur Jorion,
Vous évoquez M. Lionel Zinsou, patron de PAI Partners, fonds d’investissements basé à Paris spécialisé dans les rachats d’entreprise (private equity) en LBO (avec recours à différentes formes d’endettement dont de l’endettement bancaire).
Cette personne ne peut que ricaner de vos propos car il incarne le capitalisme sous sa forme dérivante la plus extrême et représente, fort discrètement, l’une des catégories de personnes qui a le moins intérêt à ce que les choses changent dans notre monde.
Je lis vos billets depuis plusieurs années et je partage vos analyses « macro » (même si je reconnais me perdre souvent dans les problématiques monétaires) ; je regrette parfois que vous ne mettiez pas plus en lumière certains acteurs dont la responsabilité dans la crise que nous vivons me parait très engagée : les investisseurs (ou fonds d’investissements), représentés justement par M. Zinsou.
Dans le private equity par exemple, vous savez certainement que ces investisseurs bénéficient d’une des plus belles niches fiscales de France : la possibilité de déduire la totalité des intérêts de la dette financière contractée par les sociétés holdings d’acquisition sur le bénéfice imposable des entreprises acquises ; réduisant souvent à néant l’IS que ces entreprises, en général très rentable, devraient payer à la collectivité. L’état sponsorise les LBO et contribue à l’enrichissement éhonté de quelques uns, bien placés. Car cet IS en moins, c’est autant de valeur en plus pour l’actionnaire.
Et je passe sur la fiscalité avantageuse sur la cession des titres (lors de la revente des entreprises).
Et je passe sur …. ma tension monte. Je m’arrête.
Amicalement.
P = UI
U = RI
Eh oui… Un grand malheur s’est ainsi abattu sur les français (les 7 plaies dites d’Egypte est une image parlante) ; et l’introduction de la belle fiducie -trust qui a permis de mettre bien à l’abri au paradis anglo-saxon les surplus générés par cette juteuse opération en toute légalité notez bien… Pendant que lesdites entreprises anciennement prospèrent finissent souvent (pas toujours) démantelées ou vendues par appartement si vous préférez. Et que les enrichis du jour peuvent, grace à leurs énormes bénéfices sévir à nouveau et donner des leçons de vie dans les différentes écoles sur : comment devenir proprement quelqu’un de grand et respecté par la collectivité.
Mon cher Herbert von Karajan : allez trouver les explications qui vous manquent dans les lobbies, à l’OCDE et ses codes de bonne pratique (dont l’UE n’est que la cage de résonnance) et accessoirement aussi du côté de l’OMC…
« la possibilité de déduire la totalité des intérêts de la dette financière contractée par les sociétés holdings d’acquisition sur le bénéfice imposable des entreprises acquises ». En régime d’intégration fiscal sur le holding, que celui-ci soit ou non le support d’une dette d’acquisition (LBO ou pas LBO), c’est le cas général en France pour tous les groupes de sociétés, petits ou grands. Ce qui est plus choquant sont les montages d’OBO (owner buy out) où l’actionnaire se vend à lui-même sa propre entreprise, avec effet de levier, et conserve un confortable cash-out lors du débouclage de l’opération.
Oui, tous les montages possibles (et il y en a un paquet !) ne sont que des jeux et qui plus est pas des jeux de hasard car le perdant est toujours l’économie dite réelle (LOL : mieux vaut rire du qualificatif).
Ando, vous avez raison. Lorsque qu’une entreprise en achète une autre et qu’elle recourt à de la dette pour contribuer au financement de l’acquisition, elle peut déduire les intérêts de la dette du résultat imposable de l’ensemble ainsi constitué.
Ce qui est choquant (en tout cas, ce qui me choque), c’est lorsqu’il s’agit d’une acquisition par une coquille vide (une pure holding) et que l’endettement est maximisé pour réduire au maximum le bénéfice fiscal. Et que le bénéfice de cet intégration fiscale finit en général dans la poche des actionnaires financiers (au débouclage de l’opération par une meilleure valorisation de l’entreprise, qui a plus de cash puisqu’elle en a payé moins aux impôts).
C’est comme ci, nous, simples particuliers, nous déduisions de nos revenus imposables, la totalité des intérêts payés sur un crédit immobilier par exemple. il est vrai que récemment a été introduite une disposition fiscale le permettant : mais cette mesure était beaucoup plus limitée et sa portée a été réduite dernièrement. Deux poids, deux mesures.
Vous avez tort (en partie) Dans le cas d’un OBO, en général, la loi Charasse s’applique (dès lorsqu’il n’y a pas de changement de contrôle) et les intérêts ne sont alors pas déductibles. Tort en partie, car dans de nombreux OBO, les fiscalistes et divers conseils s’acharnent en général à contourner la disposition.
Interrogez les banques ; vous serrez surpris : la très grande majorité des crédits octroyés en ce moment (dans le monde de l’entreprise, petite moyenne ou grande) sont destinés aux financements d’opérations strictement financières. Le financement d’investissement se réduit à peau de chagrin. Et pour une fois, ne les cherchons pas (uniquement) en responsabilité. Elles répondent (ou non) à la demande de leurs clients.
« Le fait que certains pays aient traversé relativement bien la tempête sur le marché du travail, souligne Angel Gurria, n’est pas un coup de chance. »
Ce propos du secrétaire général de l’OCDE, permet d’affirmer que l’on peut penser que la chance et le hasard sont les maîtres de la situation. Heureusement qu’une telle autorité est là pour affirmer du contraire…
Un autre écho sur ce même congrès du CNER auquel j’ai participé, dans La Dépêche.
Il faut croire que ni vous , ni Sorman ne vous êtes exprimés simplement sur les forces en jeu dans l’opposition Mondial / Régional ( local ?) , car à part un peu de lèche botte, bien dans les habitudes des correspondants des journaux de province , en direction du Sénateur caïd ( régional?) du secteur, habitué a prédire l’avenir en regardant dans le rétro-viseur ou à la limite d’éclairage des veilleuses , il n’y a rien à apprendre dans ce compte rendu où les attendus du débat ne sont même pas évoqués .
On attend donc votre propre copie .
PS : Lordon , dans son intervention chez Mermet à la fête de l’huma , évoque en réponse à la dernière question à lui posée , très brièvement le sujet , en relation avec les monnaies locales . Sans développer ( toujours trop peu de temps dédié !…) il fait un sort au mythe selon lequel les systèmes locaux pourrraient faire pièce des sous tendus de la mondialisation ( enfin , c’est ce que j’ai cru entre-apercevoir ) .
Un autre écho, sans rapport avec le précédent, quoi que, qui me révulse, c’est celui « bonne conscience » des médias big brother… Un ARDISSON sur CANAL PLUS, et un reportage du treize heures sur FRANCE 2, qui se flattent de « dénoncer », les méthodes voyous des patrons, en glorifiant le combat de salariés traités comme des sous hommes.
Juste envie de leur dire que ça ne date pas d’hier, que ces reportages n’ont rien d’instructifs, on sait tous comment ça se passe depuis longtemps, et qu’il ne suffit pas de diffuser une information au travers d’un certain prisme pour duper ceux que vous filmez, entre « le fromage et le dessert de l’émission ».
De plus, ces reportages, vous les faisiez déjà auparavant, et ça n’a pas empêché les salariés d’éviter la misère, vous et les autres de rester sur vos fauteuils feutrés.
Quelqu’un qui a fait sa fortune sur des slogans comme quand c’est trop c’est tropico, a-t-il vraiment idée de ce que peut être la compassion?
[…]entre Paul Jorion, anthropologue, mathématicien et chroniqueur économique,[…], portant sur le protectionnisme et la démondialisation,[…]
Très interessant. Où peut-on trouver un compte rendu plus complet
que ces quelques lignes ou celles du Midi-Libre ?
Il est aisé de prêcher à des convaincus et cela est d’un intérêt relatif, le challenge consiste à éclairer les neutres et encore mieux à convertir les opposants.
Une question préalable incontournable a été abordée dans la nouvelle émission consacrée au décryptage des médias sur France Culture (fabrique et cuisine de l’info).
La seconde partie de l’émission est pimentée et mérite d’être écoutée également. Le mensonge est un vilain défaut, et Kant il est révélé, j’aimerais bien voir la tête du menteur.
http://www.franceculture.com/emission-le-secret-des-sources-la-crise-financiere-dans-l-oeil-des-medias-2011-09-17.html
« 2008, c’est la crise des supprimes aux Etats-unis, la chute de la banque Lehman Brothers le 15 septembre et la contagion aux banques européennes. Conséquence directe de ce séïsme financier, les dettes des Etats ont explosé et c’est en Europe que le second chapitre de cette crise des économies occidentales s’ouvre avec les difficultés de la Grèce à rembourser une dette jusqu’alors bien cachée. Crise de la dette, crise de l’Euro, crise de la gouvernance en Europe… Comment les médias se font le relais de cette période difficile pour l’économie et la finance ? Ont-ils une responsabilité dans la panique des marchés financiers ? Les médias enquêtent-ils suffisamment en matière économique ? Pouvait-on prévoir et alerter en amont de la crise ? »
Quelques passages savoureux :
Le chien (l’économie) et le promeneur (la bourse) ne sont jamais trop éloignés (une image similaire a déjà été employée par Pascal Lamy me semble t’il pour les taux de change).
Tout le monde dit la même chose et au même moment, même les économistes (sauf exception hihihi).
On cause de l’écume et on oublie l’essentiel.
La com n’est pas facile à réaliser, il faut parler de choses compliquées et difficiles à expliquer, il faut avancer à petits pas et on n’est pas toujours satisfait..
Tout le monde est concerné, donc le grand public doit écouter et comprendre et il ne faut pas confier les questions majeures aux experts.
Attention : aux clichés, aux mouvements de Panurge, à l’écume au détriment du fond, à la vitesse et la précipitation, aux sur-réactions, aux prophéties auto-réalisatrices.
« C’est bientôt l’automne et les actions se ramassent à la pelle » un trader.
Le bon sens (partagé par tous, ouf) peut être d’un secours précieux et est à opposer aux spécialistes.
N’importe qui peut parler de n’importe quoi.
Parler du problème peut l’aggraver mais le taire aussi, la vérité finit par sortir (mais que de dégâts avant).
Mon constat actuel est que ce qui se disait et était dénoncé dans des cercles restreints et d’initiés encore récemment est depuis peu de notoriété publique et ceci dans de très multiples domaines.
Faut il être optimiste ?
En tous cas il faut faire un sacré effort de vulgarisation et surtout aller au bout de la compréhension du fonctionnement de nos sociétés, capitaliser, regrouper, ordonner, sérier à la manière d’une organisation comme Attac ou ce blog.
Le citoyen l’ambda, le peuple, dont les préoccupations sont très pragmatiques, concrètes et plutôt à court terme est trop anesthésié voir lobotomisée par les médias mainstream, les clichés et buzz assénés à dose de cheval. Pour dicerner la forêt cachée par l’arbre il a besoin d’exemples simples et non contestables.
Il est essentiel de disposer d’un diagnostic pertinent afin de traiter le malade qui doit adhérer et participer à sa guérison.
//////Il est essentiel de disposer d’un diagnostic pertinent afin de traiter le malade qui doit adhérer et participer à sa guérison./////
Là est le problème : Le malade ne veut surtout pas guérir ! … C’est la def de l’aliénation : l’ acceptation de sa servitude , le désir meme de celle ci .
OK, c’est le constat que je fais pour l’instant mais les choses peuvent évoluer, peut être, pas sur.
Cette image mouvementée, un peu nerveuse (alors que vos paroles sont prononcées avec votre belle sérénité), serait-elle le signe de quelque chose ? les films de John Cassavettes vous manqueraient-ils ? Là, on est en plein Faces… manque la merveilleuse, sublime, belle Gena Rowlands… ou est-elle passée, Paul ?
En fin, merci pour votre esprit jazz, ça fait du bien d’avoir, au milieu de cette lourdeur qui nous accable, un peu de légèreté, d’enfance, d’approche ouverte.
A love supreme !
Il est de notoriété publique que les marchés financiers se « désintéressent » du Japon, malgré une dette publique astronomique (200% de pib) pour la bonne et simple raison que ladite dette est détenue à 95% par des acteurs économiques japonais, particuliers, banques, compagnies d’assurance ou entreprises, peu importe.
Arnaud Montebourg, jeudi soir, a proposé le rapatriement de partie de la la dette française, détenue à 70% par l’étranger, par une institution financière, la CDC probablement. Il va sans dire que cette mesure devrait s’accompagner dans le même temps de l’interdiction de vente de dette nouvelle à d’autres créanciers que les nationaux.
Dans cet ordre-là d’idée, ne pourrait-on envisager, et l’avis de Paul Jorion à ce sujet me serait précieux, une compensation, au moins à l’échelle de la zone euro, des dettes croisées: une banque française détient de la dette allemande dans le même temps qu’une banque allemande détient de la dette française: pourquoi ne pas compenser, et généraliser le processus aux Etats constituant la zone euro? Cette nationalisation des dettes irait dans le bon sens, il me semble. Non ?
Vous etiez à Rodez!! je suis trop déçu!! j’y vais j’y travaille depuis quelques mois. j’ai un média qui n’a pas la portée de ces journaux mais si j’avais su … je réitère une demande déja ancienne. Seraît il possible de connaitre votre programme un peu à l’avance. Je ne savais rien pour cette visite de la part des médias locaux et mes contacts encore insuffisants ici ne m’ont pas informés.
C’est vrai qu’elle fait un peu peur votre vidéo ^^
Vous devriez utiliser ce décor quand vous êtes en colère 🙂
Concernant une mesure d’objective de l’impact de vos interventions, je crains que ce soit impossible à obtenir. Par ailleurs les personnes qu’on interroge peut mentir ou changer d’avis par la suite.
Pour le soutient journalistique c’est plus embêtant car il doit en principe rester neutre. Par contre, quand il s’agit d’un autre intervenant je trouve au contraire que c’est quelque chose de très positif. Cela donne bien plus d’impact car on se dit d’autres personnes intelligentes pensent la même chose.
Le duo avec Clémentine Autain à eu plus d’impact que si vous aviez été seul. En tout cas, c’est ainsi que je l’ai perçu.