Ce texte est un « article presslib’ » (*)
« … la zone euro va résoudre la crise de la dette souveraine avec les moyens adaptés à la gravité de la situation », a affirmé aujourd’hui-même José Manuel Barroso, président de la Commission européenne. Et c’est cela que répètent effectivement les dirigeants européens et américains depuis le début de la crise en 2007 : « … avec les moyens adaptés à la gravité de la situation ».
Et pourtant, curieusement, tout continue imperturbablement à se déglinguer. Quelle peut bien en être la cause ? L’explication se trouve dans le fait que vous vous évertuez tous à reconstruire ce système moribond à l’identique, prouvant par là que – précisément – vous êtes encore à des années-lumière d’avoir estimé correctement la gravité de la situation.
Mais comme vous avez sans doute eu l’occasion de le noter ces jours derniers – si le cours des Bourses fait partie des choses auxquelles vous accordez une certaine attention – les fameux marchés ont eux une capacité certaine à évaluer la gravité des situations (allant même jusqu’à les aggraver, pour autant que cela rapporte), ce qui – à la limite – finirait par les rendre sympathiques dans leur rôle de « whistleblower ».
Oui M. Barroso : ce qu’il nous faut, ce sont des « moyens adaptés à la gravité de la situation ». La seule chose qui manque encore, à vous et à vos collègues en position d’autorité, c’est que vous mesuriez adéquatement la gravité de la situation.
À moins bien sûr – autre hypothèse envisageable, et sauf votre respect ! – que vous ne fassiez simplement l’andouille, vous tous, à savoir que vous évaluiez correctement la gravité de la situation, mais que vous accordiez la préséance à quelques privilèges dont il se fait que vous bénéficiez par ailleurs. Nous comptons sur vous ! Aussi, n’hésitez pas à nous détromper !
(*) Un « article presslib’ » est libre de reproduction numérique en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Paul Jorion est un « journaliste presslib’ » qui vit exclusivement de ses droits d’auteurs et de vos contributions. Il pourra continuer d’écrire comme il le fait aujourd’hui tant que vous l’y aiderez. Votre soutien peut s’exprimer ici.
91 réponses à “M. BARROSO, N’HÉSITEZ PAS À NOUS DÉTROMPER !”
Oui, vous faites allusion à la l’adresse de Monsieur Barroso aux 17 dirigeants de la zone Euro.
Il ne vous faut pas oublier Monsieur Van Rompuy, qui donne envie que l’on s’adresse à lui dans les mêmes termes que Nigel Farage.
Une video parmi bien d’autres :
http://www.dailymotion.com/video/xcd3s3_discours-de-nigel-farage-contre-van_news
Et quel dommage que Madame Lagarde nous ait quitté, elle savait trouver les mots …
Ne vous en faites pas,ce n’est qu’une petite « crisounette »,dans quinze jours on n’en parlera plus.
Je ne suis pas un spécialiste des bourses, mais quand je vois beaucoup de rouge c’est quand même que c’est mauvais. Les banques boivent de nouveau la tasse, ça rappelle de mauvais souvenirs :
http://www.abcbourse.com/palmares/palmares.aspx
http://www.abcbourse.com/analyses/cac_40_ambiance_de_mini_krach_sur_les_marches-2169.aspx
http://www.abcbourse.com/marches/cac40-capitulation-douloureuse-reprise-de-contact-le-reel_213693_PX1p.aspx
On y parle même du HFT.
Etant belge, j’ai eu l’occasion de voir Herman Van Romuy depuis un peu plus longtemps, et je peux vous garantir;
– qu’il n’est pas un assoiffé de pouvoir
– qu’il n’est pas extrêmement riche
Cela avait d’ailleurs scié les journalistes français lorsqu’ils avaient appris que même premier ministre de Belgique (ce qu’il était juste avant de devenir président du conseil), cela lui arrivait de baby-sitter ses petits-enfants le soir.
Je pense qu’il n’a surtout pas la carrure nécessaire (et sans doute pas la compétence) pour faire ce qu’il faut à la place où il est maintenant…
mais enfin, ne pensez-vous pas qu’ils s’accrocheront jusqu’au bout aux privilèges accordés par leur système ; ils pratiquent le « jusqu’au-boutisme » à la perfection, à faire froid dans le dos. Mais ils sont efficaces dans l’inaction et l’aveuglement. Et comme vous le pensez, il ne s’agit pas d’un complot, les choses se font au grand jour, sans mystère, dans la grande tolérance démocratique.
Vous avez deviné tout seul, Mr.Jorion ?
[…] Oui M. Barroso : ce qu’il nous faut, ce sont des « moyens adaptés à la gr… La seule chose qui manque encore, à vous et à vos collègues en position d’autorité, c’est que vous mesuriez adéquatement la gravité de la situation.À moins bien sûr – autre hypothèse envisageable, et sauf votre respect ! – que vous ne fassiez simplement l’andouille, vous tous, à savoir que vous évaluiez correctement la gravité de la situation, mais que vous accordiez la préséance à quelques privilèges dont il se fait que vous bénéficiez par ailleurs. Nous comptons sur vous ! Aussi, n’hésitez pas à nous détromper ! Source: http://www.pauljorion.com […]
La troisième solution est que les nobliaux de l’UE ont fil à la patte. Ils ne sont pas les maîtres en la demeure et, donc, font les andouilles parce que c’est la consigne.
Que’est-ce qui se passerait si l’Espagne, le Portugal, l’Irlande et l’Italie menacent ensemble avec un default et un abandon conjoint de la zone euro? (Je laisse la Grèce dehors, parce que en fait elle est unprobleme des institutions européennes qui se sont laissées tromper et qui est un partenaire non fiable). L’euro est, plus que l’union soviétique, une prison des peuples ….
Barroso, n’est ce pas la buse, réélue à l’unanimité, au regard de son bilan calamiteux, au seul prétexte qu’il ne ferait d’ombbre à personne.
Un vrai condensé de la gouvernance européenne.
Bah, qu’attendre d’un tartuffe pareil. Barroso anone encore et toujours la même vieille rengaine, censée rassurer ‘les marchés ». Mais il n’y a pas d’amour, seulement des preuves d’amour et les actes manquent aux paroles. C’est comme le discours de Toulon d’un certain Niciolas Sarkozy. On attend toujours les mesures énergiques pour encadrer efficacement la finance. Las, soit effectivement ces gens vivent dans une autre réalité, un monde reclus, loin du nôtre et auquel cas, c’est démocratiquement parlant, extrêmement problématique, soit ils jouent la comédie, ne disent pas ce qu’ils font et font ce qu’ils ne disent pas.
Mais dans ce second cas, j’ai encore du mal à comprendre: ils doivent bien mesurer que ça va leur péter à la gueule bientôt, non?
A moins qu’ils soient à la fois cons, aveugles et cupides. Cela dit, ça va bien ensemble…
Ce qui est ennuyeux c’est qu’ils nous font perdre un temps précieux…
VM
Ils jouent la comédie, ça fait combien d’années qu’ils nous la jouent, vous pensez qu’ils pensent que ça peut leur exploser à la figure ? Mais non la preuve ça n’a toujours pas explosé en Europe la grogne qui les mettrait tous dehors, alors to be continued..
Dans le principe établi des marchés, c-a-d, que l’avidité, la profititation, le gain de productivité, l’augmentation du taux de rentabilité, mènent la danse, les politiques de toute façon ne peuvent rassurer les marchés, quoiqu’ils fassent, quoiqu’ils disent , ils resteront coincés, paralysés sous l’index de ce que certains appellent déjà « l’alternative infernale »
-Qu’il s’agisse de ménager leurs porte-feuilles et d’en contraindre les peuples à l’austérité,
-qu’il s’agisse de financer une relance, d’investir pour un new-deal, vers une redistribution qui d’alors minimiserait le potentiel de leur profitation,
de toute façon, toute manoeuvre quelqu’ elle soit, inquiète les marchés,
quoiqu’ils préconisent, quoiqu’ils disent, quoiqu’ils fassent de toute façon les politiques ne peuvent qu’inquiéter les marchés
Cela devrait-être l’occasion pour les politiques, de retourner devant le monde du marché son image,
celle d’une forme d’autorité supérieure et absolue qui serait dotée de désirs, de réactions, lesquelles laisseraient entendre de son approbation, sa désapprobation, son bon vouloir, son mauvais vouloir, ordonnant de faire ou de ne pas faire dont il faudrait prendre acte
mais qui de toute façon ne veut rien, dit non à tout, se résigne dans son impasse, se résorbe dans sa voix sans issue
Une action salutaire pour l’union européenne Monsieur Barroso, après tant d’années à la présidence de la commission, vous le pouvez, c’est dans votre compétence.
Osez, pour le bien de notre Europe, en disant que vous êtes dépassé par les enjeux du XXI siècle.
Osez démissionner !
OUI!
Vous pensez qu’un nouveau président de la commission reviendra sur les dogmes économiques contenus dans les traités ? Sinon, quelle utilité ?
Quelque soit son président, il faudrait d’abord qu’il repecte le traité de Lisbonne, traité qui a été rejeté par les citoyens, confinant la démocratie à un jeu de dupes et d’andouilles pour ne pas dire par des représentant non élu par le peuple, d’une gouvernance fasciste.
La BCE n’aurait jamais due prendre la décision d’accepter de prendre en pension les titres toxiques des pays PIIGs, elle a outrepassé le pouvoir qu’il lui était octroyé.
@Sweet
C’est vrai, la BCE a été contrainte de prendre des demi-mesures hétérodoxes pour éviter l’effondrement du système. Cela ne fait que mettre en exergue la toxicité des dogmes contenus dans les traités et qu’il faudrait modifier d’urgence…
La seule chose qui lui manque à Mr Barroso, c’est un cerveau digne de ce nom…
Une caisse enregistreuse, c’est bien trop juste comme compétence à sa place !
Si Messiseurs Barroso et Van Rompuy et d’autres qu’il est inutile de citer savent ce qu’ils font comme j’en suis convaincu, (en laissant la compétence de côté), comment qualifier leur actes, comment qualifier ces personnages, et que méritent t’ils comme punition ?.
Faire l’andouille est un terme charitable. Ils savent tous ce qu’ils font et le qualificatif approprieé est forfaiture.
Pauvre Barroso, le prendre à parti d’une façon aussi directe et nominative,
vous allez l’effaroucher.
Du coup, il va encore moins en faire…
Son poste doit l’habituer à ne pas rendre des comptes comme le devrait
un minus habens d’ élu.
La digestion sans heurt de l’ électeur a des exigences qui lui sont
épagnées… C’est déja ça.
Il devient évident que Bruxelles et Barroso ne sont guidés que par
une seule préoccupation : « rassurer les marchés ».
Ils essayent toujours, et toujours en vain.
C’est une histoire de biche, ou chevreuil , craintif aux moindres
perturbations. Une biche, c’est comme une mouche, le vinaigre
ne marche pas.
J’ai entendu quelque part ,-des ragots-, que les Portugais excédés par sa compétence n’ont trouvés que l’ Europe pour se priver de ses services.
Une mouche d’importance, ou une andouille…
Creuser inlassablement le même sillon ou ne rien faire pour la première fois,
rester confiant et satisfait de soi: l’animalité ou l’inanimé.
Une andouille qui vire en queue de boudin.
Pour évoquer ce qui reste malgré tout très comestible.
Quand vous voyez les sourires de Barroso et Rompuy au sujet de la crise des dettes de la zone euro …. c’est plus parlant que de longs discours.
Je me rappelle lors de la chutte de Fortis les politiciens belges étaient réellement surpris pour la plupart de ce qui se passait. Il y a eu les grandes promesses genre Sarkozy on va moraliser le système.
Personnellement, je penche plutôt pour de l’incompétence (le mot est faible). Ils continuent à appliquer leur théorie économique et comme ils pensent probablement que ça avait marché en 2008, ben oui les marchés sont remontés. Ils doivent en conclure qu’ils comprennent et qu’ils sont toujours aux commandes.
On est probablement au bord du gouffre comme en 2008 et les semaines suivantes (au mieux mois) vont leur montrer l’étendue de leur ignorance. Même si ils s’en rendent compte, il sera trop tard pour qu’ils apprennent.
Me Lagarde n’est JAMAIS contente.Voila que le Brésil a une trop forte croissance mais il faudrait bien entendu un petit plan de rigueur du FMI et ‘réformer’ le marché du travail….
Ces gens ne vivent plus en contact avec la réalité fusse t’elle positive ou négative.
FMI= DESTRUCTION du social..dans tous les cas de figure.Incroyable.
Le FMI met en garde contre des signes de surchauffe au Brésil
Reuters –
Le Fonds monétaire international (FMI) a mis en garde mercredi le Brésil contre un risque de « surchauffe » et l’a incité à adopter de nouvelles mesures de restriction budgétaire et à entreprendre des réformes structurelles.
http://lexpansion.lexpress.fr/economie/le-fmi-met-en-garde-contre-des-signes-de-surchauffe-au-bresil_259927.html
Oui, on peut reconnaitre le mérite aux agence de siffler quand d’autres jouent du pipeau…..
QUESTION : qui sifflera la fin de la partie ?
quels privilèges peuvent rendre des individus aussi sinistres !
Tristes sires !
Me Lagarde va me manquer sans elle je n’aurais pas pensé à regonfler mes pneus !
pouf pouf pouf……….
« Oui M. Barroso : ce qu’il nous faut, ce sont des « moyens adaptés à la gravité de la situation ». La seule chose qui manque encore, à vous et à vos collègues en position d’autorité, c’est que vous mesuriez adéquatement la gravité de la situation. »
That’s the problem……….
Une certaine confusion !
http://www.dailymotion.com/video/x4i8ac_l-aventure-c-est-l-aventure-fausse_shortfilms
M Jorion
Aucune chance
Barroso un mou , un peu cireur de pompe,qui doit encore se poser la question , pourquoi suis là
En gros aux ordres
Pour information : çà y est !
C’est notre tour . Attaque en régle sur les CDS French Republic , il s’agit de shorts massif de la part de Hedge Funds , chevaliers blancs des grosses banques US .
http://www.bloomberg.com/apps/quote?ticker=CFRTR1U5:IND
et http://www.hedgefundsreview.com/hedge-funds-review/feature/2037658/european-rules-shorting-harm-hedge-fund-strategies-investors
Mais que peut-on attendre d’autre d’un des artisans et responsables de cette grande crise ? Qu’il mette les banques sous tutelle ? Qu’il vire tous les directeurs des banques centrales qui ont tous failli ? Qu’il impose un nouveau Bretton Woods comme on le suggère ici ? Non , rien à tirer car son logiciel est tordu et dépassé. Il ne sait et ne peut que gérer à huit jours . Et encore .Et quand le Titanic piquera du nez après l’impact , il continuera à vouloir être à la barre .
Il ne faut jamais oublier le méchanisme institutionnel selon lequel fonctionne l’Europe. La Commission propose, le Conseil (composé par les Etats Membres) et le Parlement (élu à partir de partis nationaux) co-décident. En plus la Commission ne propose pas toute seule mais à partir de groupes de travail composés par des mandatés par les états. Le seul pouvoir c’est d’avoir la présidence de ces groupes et une certaine capacité d’influence donnée du fait que les fonctionnaires préparent des documents de travail initiaux. Mais la prise de décisions est longue et périlleuse, avec des pays qui ont des clauses de opt-out, vétos divers et variés etc. Ne vous attendez donc pas plus que des annonces, certes de poids, et de l’influence, sachant que le vrai pouvoir reste dans les mains des gouvernement nationaux.
Euh …….
Après la serpillère humide (si Farage avait eu des lettres il aurait dit graisseuse : smeerlap) voici l’andouille Baroso. Je dois dire qu’il a le profil de l’emploi pour « faire » l’andouille mais je crains que ce soit plutôt un arriviste retors pas supérieurement intelligent mais ayant la ruse des traitres de comédie.
Pourriez-vous trouver qqch de mieux que serpillère pour Herman? Depuis qu’il a endossé son nouveau costume, il devient franchement mauvais dans ce rôle de bénit-oui-oui avec des propos rassurants dont on voit très bien qu’il n’y croit pas lui même. On a dû lui laver le cerveau pour qu’il accepte de se prostituer à ce point…
C’est pas le cerveau qui manque à ces types, ils en ont un, celui, bien retors, du politicien, auto-formé au fil du temps, à la seule conservation de sa position.
– I’m not a King, I’m a navy officer, that’s i’m for
– Oh my dear…
Barroso n’a ajouté au désespoir que du mépris. Il n’a jamais réagit que par le mépris et l’incompréhension. Ce type est une caricature de lui même, les gens à ce niveau n’ont aucune idée, le chômage pour eux c’est un chiffre.
Tout ce qu’on peut faire ici c’est écrire quelques mots en regardant avec consternation et force sarcasme que tout s’effondre, *comme prévu*, alors que des « élites » se conduisent comme les derniers des soudards, sans intelligence et pire, sans dignité.
Quelque fois en imagination, je m’éloigne de la Terre en prenant de la hauteur, et j’y vois 7 milliards de gamins de 10 ans d’âge mental moyen qui courent après les billets de banque, comme s’ils couraient après une tablette de chocolat en se chamaillant les uns les autres..
Alors, je me dis qu’il vaudrait mieux retirer la tablette de chocolat, le temps qu’ils grandissent tous..
Sauf que le chocolat encore ça se mange, c’est périssable, ça ne se stocke pour joueur à plus riche que moi tu meurs !!!
Je pense que c’est mal parti. La crise multifactorielle aux USA va peser sur l’économie européenne et notamment sur les pays du sud, en plus des problèmes inhérents à l’euro. Le petit Barroso et son appareil ne pourront rien résoudre du tout.
C’est l’Allemagne qui continuera à tirer le train, tant elle le pourra.
À moins bien sûr – autre hypothèse envisageable, et sauf votre respect ! – que vous ne fassiez simplement l’andouille, vous tous, à savoir que vous évaluiez correctement la gravité de la situation, mais que vous accordiez la préséance à quelques privilèges dont il se fait que vous bénéficiez par ailleurs. Nous comptons sur vous ! Aussi, n’hésitez pas à nous détromper !
J’admire votre optimisme, Paul
surement un fond d’humanisme qu’il vous reste !
Croire en l’homme certes, mais ceux-là???????????????????????
Qu’ils soient stupides ou inconscients ou malveillants, qu’ils s’en aillent tous !
Nous avons besoin de gens de caractère pour contrer l’oligarchie financière.
Nous avons besoin de gens qui face aux marchés financiers soient
« Le bruit et la fureur, le tumulte et le fracas ».
voila un billet qui explicitement s’adresse directement aux acteurs decisionnaires dans les crises que nous vivons. Des questions, des supositions voir des soupçons qui appelent des reponses, seulement voilà, j’ai eu beaux lire tous les commentaires ecris jusqu’alors, on dirai que les gents concernés ou leur entourage ont soit aucune connaissance de l’existance de ce blog, soit aucun argument pour porter la contradiction sur les accusations très graves portées ici.
Ou alors ils pensent que que c’est temps perdu de preter attention aux etats d »ame de quelques manants…..
Oui, je crois que c’est ça la bonne explication
ce qu’il nous faut, ce sont des « moyens adaptés à la gravité de la situation ».
Oui ,mais comment faire quant on a une grande gueule et des petites mains?
http://www.youtube.com/watch?v=ifKKlhYF53w
Et nous attendons la parole symphonique de François reprendre et ponctuer, « et surtout Monsieur Barroso n’hésitez pas a nous détromper.