Nous utilisons des cookies pour optimiser notre site web et notre service.
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’utilisateur.
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques.
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
16 réponses à “L’ARGUS DE L’ASSURANCE, « Vers une crise majeure de l’éclatement de la zone euro », LE 17 JUIN 2011”
J’ai du mal à comprendre votre discours:
à quoi sert une refondation du capitalisme si celui ci est à l’agonie?
principe du Phénix, de diou !
principe de l’hydre de lerne plutôt
les gouvernements ne veulent pas que tu ais trop de liberté, autre que celle de zapper entre les chaines télé
choisis tes chaines 😉
@chris06 20 juin 2011 à 12:07
C’est pourtant simple : La perspicacité de Paul Jorion consiste à ne pas proposer un article à l’Huma sur la refondation du capitalisme, et à ne pas proposer un article à L’argus de l’Assurance disant que ses propositions radicalisent Marx. Ce sont des travaux pratiques de l’hégélianisme version Kojève sur la division entre le bourgeois et le citoyen. Ça permet de s’adresser au bon comité de lecture avec le bon message, et de ne pas prendre de bosses à être heurté par deux dogmatismes symétriques comme il dit.
http://www.bondvigilantes.com/2011/06/20/who-owns-sovereign-credit-default-swaps-and-why-it-matters/
un article qui nous éclaire sur le risque d’évènement de crédit sur la dette de la Grèce
Selon les données révélées par la BRI, les banques US couvreraient près des trois-quarts des CDS vendus par les banques mondiales sur les dettes des piigs (dette souveraine, plus dette bancaire et dette des entreprises), Reste à savoir qui est en face. Des banques européennes, comme supposé dans l’article ? Sans doute. Grecques, portugaises, irlandaises, espagnoles, italiennes ? Sans doute aussi… Va savoir. Toutes façons, ça fera pas avancer le schmilblick. Juste du merdier à discutailler en plus dans les négos en cours. Du vent.
@Vigneron
« les banques US couvreraient près des trois-quarts des CDS »
Vous nous couvrez quelque chose Vigneron ?
L’éclatement dites-vous?
« Le changement de président au FMI (… (va) changer la donne. » écrivez-vous…
Pourriez-vous svp développer votre propos éventuellement?
Grand merci
th M
La Tribune : Comprenez-vous ceux qui ont des réticences à intervenir à nouveau pour aider la Grèce ?
Didier Reynders, ministre belge des Finances : Il faut rappeler à certains politiques dans le nord de l’Europe que l’euro est un bénéfice extraordinaire pour les pays exportateurs avant tout, comme l’Allemagne, le Benelux et la Scandinavie. Quand vous allez à Athènes, vous voyez dans les rues des Mercedes et des Audi. Lorsque vous vendez des produits dans un pays, vous devez assumer un risque, les fameuses « liabilities ». L’Allemagne exporte énormément et le cas grec est finalement assez marginal à côté de ce que l’on a connu sur les marchés financiers. La Grèce, le Portugal et l’Irlande réunis pèsent à peine 6 % du PIB de la zone euro. Lorsqu’ils s’agissait de soutenir nos banques, on n’a pas hésité. On a parlé de garanties en « trillion » d’euros, un mot qui n’était même pas connu à l’époque ! Et puis aujourd’hui, pour des sommes beaucoup moins importantes pour sauver la zone monétaire elle-même, les réticences sont beaucoup plus grandes… Je ne comprends pas très bien.
http://www.latribune.fr/actualites/economie/international/20110619trib000630359/avec-la-grece-il-ne-faut-pas-reediter-une-faillite-du-type-lehman-brothers.html
Cette interview est exceptionnelle.
Didier Reynders avoue : « Je ne comprends pas très bien. »
Tout l’échec de la construction européenne est dans cette phrase : « Je ne comprends pas très bien. »
Didier Reynders ne comprend pas pourquoi les Etats du nord de l’Europe n’ont pas hésité pour sauver les banques, et pourquoi les Etats du nord de l’Europe ont des réticences beaucoup plus grandes pour sauver la Grèce.
C’est bizarre, hein, Didier ?
Qu’est-ce que tu croyais ?
Tu croyais au monde des rêves ?
« Par une succession d’erreurs depuis le début de cette crise des dettes souveraines, fin 2009. L’Europe s’est d’abord divisée et a trop longuement hésité avant d’agir. D’une manière générale, elle réagit toujours après coup, en colmatant les brèches à chaque fois, mais sans avoir de vision d’ensemble. »
« On a cru que l’Union monétaire allait créer presque spontanément une convergence économique entre ses membres. Or c’est le contraire qui est en train de se passer.»
Guy Verhofstadt, Libération, 17/06/2011
Y en a qui sont honnêtes (si ça existe encore), qui reconnaissent qu’ils ont cru à leurs propres fables. Ceci dit, je ne le suis pas pour les « solutions » : « L’autoroute européenne n’est pas à une seule voie, mais tout le monde doit rouler dans la même direction, dans le même sens économique. » En avant … Arch : Gauche, Droite, Gauche, Droite… hep vous là-bas, vous perdez la cadence, vous me ferez trois jours de cachot !
Personnellement, la situation actuelle entre l’Euros et le Dollar me fait penser à un jeu que je fais de temps en temps avec ma fille… Sauf que là, les paroles changent un peu :
« Je te tiens, tu me tiens par la barbichette, le premier qui implosera aura une tapette ! »
Finalement, c’est la question que tout le monde se pose. Qui du Dollars ou de l’Euros s’effondrera en premier et que restera-t-il de tout cela ?
J’aime bien comparer les différentes analyses.
LEAP2020 penche plutôt pour une effondrement sur Dollars et un Euros qui prend le dessus. Gerald Celente aux Etats-unis tire la sonnette d’alarme depuis longtemps concernant le Dollars et la politique US. Comme M. Jorion, il avait également prédit la crise de 2007.
Il avait dit la chose suivante :
« En 2012, les américains seront plus préoccupés de savoir ce qu’ils vont mettre sur la table à Noël que de ce qu’il y aura sous le sapin… »
Je pense également que nous ne sommes plus très loin de savoir ce qui nous attend.
La guerre civile numérique aura-t-elle lieu ?, c’est le titre du compte-rendu par Patrice Carré de mon La guerre civile numérique (Textuel 2011°, sur le site Nonfiction.fr.
Paul,
Pourriez-vous transférer les recensions de vos livres (les deux derniers quant à Le capitalisme à l’agonie et celui-ci) sous des billets, pour en accroître la « visibilité ».
Cordialement.
Le cash est à l’entreprise ce que le sang est à l’organisme : toute hémorragie externe non contrôlée est fatale.
[Serge Uzzan]
la question qui importe ,in fine c’est ,
-mort à l’arrivée , qui du yuan , du dollar ou de l’euro va crever le premier ???
en attendant , speculons sur les matieres premieres , l’or et la privatisation finale des services publiques d’état .
[…] toutes ces liquidités qui ont été investies en Grèce, ce sont un peu nos économies…Mais oui, l’assurance vie, placement favori des français. Et aussi votre intéressement et votre participation si vous avez […]