CEUX QUI VIENDRONT APRÈS NOUS

12 juin 2011 9h06

C’est en anglais, mais comme c’est de toute manière pour le plaisir des yeux…

Questions essentielles, Science-fiction

29 réponses à “CEUX QUI VIENDRONT APRÈS NOUS”

pierrot123

12 juin 2011 9h29

Absurde et inutilement compliqué…Merveilleux et tout à fait génial…
Comme la vie, quoi…
Merci pour ces images étonnantes….
1. Pierre-Yves D.
  
  12 juin 2011 10h30
  
  Ce n’est inutilement compliqué qu’en regard de notre monde actuel où le raffinement et la complication sont au service d’une société mortifère. Regardez les cathédrales du moyen-age, c’était une architecture compliquée, mais derrière c’est tout une civilisation, bien vivace !
  L’avenir est au raffinement avec une utilisation maximale des ressources locales.
  1. Pierre
    
    12 juin 2011 14h10
    
    Martien cherche local.
    Faire offre au 06 42 51 66 99
jérôme

12 juin 2011 9h30

@ Paul,

Bonjour,

F.Gall et M.Berger « Superficiel et léger »
http://www.youtube.com/watch?v=WiJf-pxD5FA

France Gall et Michel Berger – Privés d’amour (duo virtuel)
http://www.youtube.com/watch?v=5p85HzuQgsE&feature=related

Ils vous accueillis, nos amis albanais!
Belle journée
brigitte

12 juin 2011 9h33

merveilleux.
quelqu’un

12 juin 2011 9h58

Comme c’est beau ! Créer un objet d’art qui a une légère ressemblance au vivant de part son mouvement, sa façon d’avancer, son élégance et ainsi essayer de comprendre un peu mieux le vrai vivant, infiniment complexe, infiniment réfléchi, inégalable, sacré.
Pierre-Yves D.

12 juin 2011 10h24

Fabuleux !
Une belle métaphore de ce que pourrait être le monde de demain.
Economie de moyens et efficacité allié au sens de la beauté.
En dehors de cette voie je ne vois pas comment l’humanité pourrait survivre.
logique

12 juin 2011 10h31

excellent ….
bernard laget

12 juin 2011 10h46

Tout ce que sait faire un banquier ou un trader serait d’acheter un tel objet, mais pas de le créer; car il faut avoir de l’imagination pour créer !
Et pour imaginer il faut savoir rever !
Reiichido

12 juin 2011 10h50

C’est très beau.

Peut-être qu’une fois toute vie organique éliminée de la surface de la Terre par les derniers rayons d’un soleil mourrant, il restera encore – pour un temps – des créatures de synthèses qui viendront rappeler notre existence.

C’est drôle finalement; de la même manière qu’avoir un enfant nous oblige à nous confronter à notre propre fin, la création de créatures autonomes nous donne un bref apperçu d’une Terre sans humains. Je ne sais pas ce qui me rend le plus mélancolique…
gi

12 juin 2011 11h23

Merci et encore merci!
Ces images me mettent ce matin une allégresse au coeur et au corps, non ressentie depuis si longtemps.
B. S.

12 juin 2011 12h00

Beau boulot!
J’ai souvent eu envie de créer un mécanisme perpétuel.
Si je comprend bien, cet objet une fois lancé continue son mouvement? C’est une application de l’énergie cinétique quoi.
Les applications qu’on peut imaginer sont intéressantes, car l’économie d’énergie est le défi de demain…

De plus, cette machine à quelque chose de poétique je trouve.
Une certaine grâce qu’ont les insectes entre autre.

L’homme devant cette simplicité mécanique primaire est mis face à la relativité de sa conscience.
Nous pouvons être utiles mais nous ne somme pas nécessaires.
La vie peut exister sans que grouille en elle des êtres qui ont une conscience microscopique de la vie.
Quand bien même ces êtres étendent leur conscience de la vie à une échelle macroscopique, ce qu’ils constatent, c’est que cela transcende l’intelligence et le mental.
On ne peut donc se maintenir à ce niveau de conscience absolu et on revient à son utilité fonctionnelle, on s’active à être utile, pour soi-même et pour l’ensemble.
Tout cela n’a aucune importance.
Seul la conscience d’exister ici et maintenant est tangible et satisfaisante.
En somme, pour quoi somme nous là et où nous allons doit prendre aussi peu de place dans notre conscience que l’est la pulsion qui déclenche le mouvement cinétique de cette machine.
Le reste se détermine mieux en étant conscient de chacun de nos pas dans la vie, cela focalise notre énergie sur le pas que l’on fait et donne une impulsion plus forte au suivant.
Je suis plus heureux et conscient quand je suis pleinement disponible pour ce qui se présente qu’en étant en même temps préoccupé par mon passé ou mon avenir.

Personnellement, j’ai passé le début de mon existence à philosopher, à définir le sens métaphysique de l’existence, et maintenant j’existe pleinement, je dors la nuit, je vis le jour, j’embrasse la vie et je savoure le temps.
Il m’a inspiré ce drôle d’insecte…

@+
1. Patrick
  
  12 juin 2011 13h32
  
  « J’ai souvent eu envie de créer un mécanisme perpétuel. »
  Et vous auriez échoué comme tous les autres avant vous.
  Demandez pourquoi à Sadi Carnot. C’est très agaçant l’entropie.
  Contentez vous d’admirer le talent de certains d’entre nous, c’est déjà pas mal.
  1. Pierre
    
    12 juin 2011 16h05
    
    Le talent c’est savoir en trouver aux autres et à leur théorique « énergie universelle ».
    – Sado Carno – ou – Nicolo Teslo – j’sais pu’……
Pierre

12 juin 2011 12h26

Chenille ne sera jamais papillon.
Chenillette cherche canon à subventions pour battement d’ailes sur mer du Japon…….
D-croissance

12 juin 2011 12h53

Merci Paul!
Devant une telle oeuvre on réalise bien que la nature n’invente rien… elle imite l’art! 🙂
C’est magnifique… C’est ce genre de choses qui nous empêche de nous brouiller définitivement avec l’espèce humaine… 🙂
Pierre

12 juin 2011 13h52

C’est dimanche, amusons nous.
Ceci est une expérience pour ceux qui viennent.
De ces expériences qui donne « de l’expérience » à toute une vie.
Votre réaction à cette expérience fait elle même partie de l’expérience.
Scientifiques et pragmatiques cartésiens de se blog, je prend le risque de vous faire ce don.
Comme je viens de le faire à mon neveu qui n’en est pas encore revenu.

Comme j’imagine déjà le regard au ciel et le haussement d’épaule de certains esprits complexes. « l’expérience est si simple et si facilement reproductible, et ses résultats si constants, qu’il n’est pas possible que les conclusion induites aient échappé aux critères de base de mon interprétation du monde. Ce garçon n’est pas sérieux ».
Et bien si, si je prend le risque du discrédit, c’est sérieusement.
Le risque, c’est vous qui allez le définir en la matière.
Je vous demande de faire cette expérience simplicime et de me dire si vous obtenez les mêmes résultats que moi.

– Faite cuire un peu de riz.
– Nettoyez consciencieusement trois bocaux à confitures, et placez-y le riz cuit à moitié du bocal
– Fermez le couvercle, et écrivez, rien dur le premier, sur le deuxième « Je te déteste, t’es moche », et sur le troisième « Je t’aime, tu es beau ».
-Placez les bocaux dans un lieu de passage quotidien, est dites à vos bocaux, et c’est là que beaucoup éprouvent déjà un problème de sincérité, – « comment aimer ou détester un pot de riz ? »-, dites leur donc « sincèrement »ce qui est écrit sur chacun d’eux quand votre regard les croise……

Ce sera pour certain votre première expérience de sincérité appliquée. 🙂
Merci qui ?.

Deuxième expérience :
Au bout de bientôt trois mois, un des bocaux de mon neveu est fleuri d’une pourriture liquide peu ragoûtante, les deux autre sont en leur état premier l’un ayant légèrement jauni et l’autre étant toujours d’une blancheur immaculée……
Lesquelles sont-ils à votre avis ?
Le bocal « témoin » ne donne en général que la qualité du lieu ou se déroule l’expérience. Je vous offre entre autre se « baromètre » pas chère….

« Positive vibration Yhéa’ are positive ! « , quand une Lapalissade fait le tour du monde….

C’est simple. A vous !
Je vous aime, comme j’aime empathiquement mon président comme mon banquier, Anella comme son modérateur. 🙂
Pierre

12 juin 2011 14h40

* 1818 – Frankenstein ou le Prométhée moderne, de Mary Shelley
* 1864 – Voyage au centre de la Terre, de Jules Verne
* 1895 – La Machine à explorer le temps, de H. G. Wells
* 1931 – Le Meilleur des mondes, de Aldous Huxley
* 1943 – Ravage, de René Barjavel
* 1949 – 1984, de George Orwell
* 1950 – Chroniques martiennes, de Ray Bradbury
* 1951 – Fondation, d’Isaac Asimov
Mécanique du temps humain avec ou sans LSD…..
Pierre

12 juin 2011 14h50

Titre de l’œuvre : – ALLÉ SIMPLE POUR FUCKUSHIMA –
L’artiste est le miroir de son temps.
L’inutile sert toujours les maitres ou il n’est pas..
Clive

12 juin 2011 17h50

Jolie trouvaille…
Piotr

12 juin 2011 18h37

Cela ,me fait penser aux moulins à prière.
Vous pouvez les introduire dans une forme moderne dans les boucles de temporisation des programmes informatiques.Ni vu ,ni connu!
idle

12 juin 2011 20h18

Joli symbole pour « Un Esprit de Pentecôte »…C’est tout simplement « Divin » (*!*)
Hervey

12 juin 2011 21h19

Petit rappel aux scribes que nous sommes.
C’était il y a plus de 35000 ans.
Naissance de l’écriture ?
« Grandeur et misère » des arts plastiques.
Fatso

13 juin 2011 4h33

merci pour la découverte !
Renaud Bouchard

13 juin 2011 10h24

Une autre version des « Machines célibataires » …(http://www.richard3.com/2009/02/la_machine_celibataire.html) , mais une version ô combien attirante et beaucoup plus passionnante! La Poésie en marche! Superbe!
Arnaud

13 juin 2011 21h53

Qui peut être sûr que cet objet n’a pas d’âme lorsqu’on le voit « avancer » ainsi.
idle

20 août 2011 16h19

Rien d’autre pour le moment :
http://www.youtube.com/watch?v=0UgDsZQhJ4w&feature=related
Béotienne

20 août 2011 17h12

Dans un autre ordre, mais est ce bien sûr ?
http://www.chryzode.org/
rahane

15 juillet 2012 19h33

et une bulle de plaisir!
aaah les trésors poétiques de la mécanique…