« La guerre civile numérique », entretiens avec Régis Meyran, Paris : Textuel, 2011
Une vue panoramique du tournant que nous vivons en ce moment
Une guerre engagée par les gouvernements contre les peuples eux-mêmes
Une réflexion sur le blog en tant que tel
74 réponses à “LE TEMPS QU’IL FAIT, LE 20 MAI 2011”
Comme je vous ai déjà entendu énoncer que vous seriez de formation « lacanienne », je m’étonne à chaque fois de votre insistance à prononcer « sinthôme » les indices de dysfonctionnements ou d’implosion à venir. Est-ce par coquetterie, parce que décidément cette vielle orthographe fait plus chic, ou bien est-ce que vous avez vraiment une (mé)compréhension à vous du « sinthôme » de Lacan. Chacun de vos emplois correspond davantage à ce qu’on appelle tout classiquement « symptôme ». Un sinthôme, ça fait tenir une structure borroméenne mal nouée. Alors que ce que vous désignez comme « sinthôme » sont des signes avant coureur d’une aggravations prochaines. Des symptômes, quoi.
C’est parce que sa parole est un SAINT AUM et qu’un SAINT HOMME ne sort pas sans son auréole 🙂
Bon, Ok, je sors…