Bénédicte a traduit en anglais mon billet « Heurs et malheurs du capitalisme », mon introduction au colloque du même nom à Clermont-Ferrand, le 4 février.
En anglais, cela s’appelle : « Capitalism’s highs and lows ».
*Godot est mort !*
Bénédicte a traduit en anglais mon billet « Heurs et malheurs du capitalisme », mon introduction au colloque du même nom à Clermont-Ferrand, le 4 février.
En anglais, cela s’appelle : « Capitalism’s highs and lows ».
» Voyou » …?…plutôt..!
Bonjour Pascal, je viens de chercher v/com incluant : apprenez-a-penser-par-vous-même. On devrait tous ouvrir les textes inclus, très inspirant et…
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La nécessité d’ouvrir de nouveaux champs sémantiques s’impose-t-elle déjà? Ou bien cette question a-t-elle effleurée les chercheurs. Si ma demande…
@Christian Brasseur, PHILGILL, Pascal Merci pour ces précisions qui lèvent le voile sur cette association énigmatique.
C’esr dommage, c’est vraiment loin !😫
@ilicitano Merci, mais ma question était faussement naïve pour tester l’outil. Votre réponse me parait mieux argumentée que celle de…
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22 réponses à “« CAPITALISM’S HIGHS AND LOWS »”
la grece qui menace de quitter la zone euro rapporte par der spiegel ,c’est sur zero hedge
Démenti ;
http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2011/05/06/97002-20110506FILWWW00539-athenes-envisagerait-de-quitter-la-zone.php
Une obsession : prendre aux riches, les punir, les éliminer, se venger ! Voilà l’erreur du « Socialisme archaïque » que dénonce Jean-Marc Daniel dans son dernier livre. Partant du constat que notre économie est truffée de rentes comme celles des propriétaires fonciers à l’époque de Ricardo, il préconise le même remède que l’économiste classique anglais.
La priorité n’est pas de réorganiser les prélèvements et la fiscalité, comme le proposent les « révolutionnaires fiscaux » (Piketty, Saez, Landais), mais de réorganiser les dépenses publiques pour les rendre utiles et justes. La priorité est de réinstaurer la concurrence – véritable garde-fou des rentes en tous genres ; bref, de libérer les talents de la rente. Et de souligner que « dès l’origine de la pensée économique, la rente a été perçue comme un des fruits de l’action publique. » Ce que l’action publique a créé, l’action publique peut le défaire.
Fustigeant les marxistes, keynésiens et autres héritiers des socialistes de la chaire qui se voyaient comme les grands répartiteurs des rentes publiques, Jean-Marc Daniel se réclame de Saint-Simon (« Le gouvernement nuit toujours à l’industrie quand il se mêle de ses affaires; il lui nuit même dans le cas où il fait des efforts pour l’encourager » ) et de Fourier (qui avait eu l’éclair de génie de considérer que le capitalisme se fondait sur les rentes, alors que le socialisme devrait s’appuyer sur les talents), voire de Rousseau (« l’État enrichit des fainéants de la dépouille des hommes utiles »).
Il refuse l’inflation et en appelle à un « Socialisme de l’excellence ».
http://library.nu/docs/4LMWXB9TP8/
Bonne lecture,
GSF
bonjour gu si fang :
çà fait un peu obsession de gauche contre obsession de droite.
riches tarés contre état taré. çà donne une politique qq peu tarée.
« réorganiser les prélèvements et la fiscalité, et les dépenses publiques pour les rendre utiles et justes. »
à part l’inutilité actuelle sous entendue (qui est pour des dépenses inutiles…voire même le somptuaire peut avoir son utilité parfois), je suis d’accord : la pertinence et la justice sont les seuls vrais critères.
la rente, si elle ne peut être transmise, est une gêne mineure.
se souvient on pourquoi la propriété privée fait partie des droits de l’homme?
N.B. : « talents » : qui sélectionne?
Qui « sélectionne » ? Bonne question : vous, moi, le consommateur souverain. Cette réponse déplait généralement autant à droite qu’à gauche, la droite y voyant la fin de toute morale, et la gauche le triomphe du mauvais goût populaire. Les deux sont unanimes pour refuser au consommateur le droit de choisir par lui-même. Les deux redoutent de voir ainsi leur sort placé entre les mains d’une multitude de consommateurs qu’ils ne contrôlent pas.
Je les comprends un peu : vous répondez aussi à « comment on sélectionne » : par la consommation. Par les votes, çà me paraît mieux.
c’est l’offre politique (mue par un intérêt égoiste) que vous voulez évitez peut être…
quitte à changer le droit à ce point, autant réfléchir un peu à une autre façon d’organiser l’offre politique.
Sinon, je vois le pb de la disparité des revenus et des patrimoines, pour une démocratie de marché. De plus, tjrs la question des lobbys (ogm, par ex), qui peuvent mettre le consommateur devant le fait accompli.
Et pour finir, l’information : le choix par ex des infos pertinentes à fournir au consommateur.
« Le politique qui prend le dessus sur l’économique » ça vous parait mieux, c’est votre point de vue, OK mais il ne serait pas légitime de l’imposer. La souveraineté de l’individu, c’est exactement ça ! Et pourtant, la tentation est grande. That’s my point. Si quelqu’un est d’accord pour organiser avec vous une procédure de décision par le vote, très bien ! Tant mieux ! Il y a des tas d’exemples : assocs, entreprises, copropriétés, etc. Mais s’il ne veut pas, s’il persiste à vouloir suivre son chemin, vous faites quoi : amende ? prison ?…
Mais pour revenir au sujet de l’article, l’opposition entre talents et rentes est l’héritière de l’analyse de l’histoire en termes de lutte des classes. Dans la vision marxiste, cette division de la société en classes résulte de conditions économiques. Le riche exploite le pauvre – c’est d’ailleurs comme ça qu’il devient riche, etc. Mais la notion de classes sociales et de lutte des classes est antérieure à Marx et apparait d’abord chez des auteurs libéraux contemporains de la Revolution Française. Leur problème est d’abolir les privilèges, qui divisent la société en « producteurs » et « parasites ». Par exemple : le manant est obligé de cuire son pain dans le four seigneurial (monopole) contre une redevance qu’il juge trop élevée. C’est chez J.-B. Say qu’apparait cette analyse la société en termes d’inégalité de droit, notamment dans son analyse du rôle de l’entrepreneur (les talents) face à l’Etat et ceux qui vivent de ses prébendes (les rentes).
Mais regardez le livre de J.-M. Daniel, le moins que l’on puisse dire c’est qu’il donne à réfléchir.
Cdt,
GSF
« la souveraineté de l’individu » ne va pas de soi : il faut un ordre juridique pour la garantir.
Vous pouvez arguer que tel ou tel ordre (ou tel point) n’est pas légitime au nom de votre souveraineté individuelle, il n’empêche qu’à la base, cette souveraineté n’a de sens et n’existe que dans un cadre politique. préalable donc.
« s’il persiste à vouloir suivre son chemin, vous faites quoi : amende ? prison ?… »
la question vaut aussi pour « votre » mode de choix*. Je ne vois pas en quoi çà permettrait de sortir du corporatisme : qu’il émane d’un état préempté ou d’un marché déséquilibré…pire, eu égard à la disparité des poids économiques, une démocratie de marché sera plus rapidement concrètement tyrannique.
(*En démocratie, çà s’appelle de l’abstention. Il est vrai que cela devrait être mieux pris en compte.)
Sinon, effectivement, la première norme (qui influencera tout les autres choix) est d’un choix problématique. Limite un acte tyrannique. ou un consensus opportun.
dsl, je n’ai pas accès au texte.
Et puisque voter y a un poids marginal, voire cosmétique, j’ai parfois le sentiment que l’on est déjà dans « votre » système, dans une démocratie de supermarché.
La suite ici, l’article est tout à fait pertinent pour notre discussion.
Il faut peut-être ajouter que l’article en question est de Ludwig von Mises.
« Auteur majeur de l’école autrichienne d’économie qui défend le capitalisme et le libéralisme classique, il est particulièrement connu pour son magnum opus, L’Action humaine, traité d’économie publié pour la première fois en anglais en 1949. Il y expose en particulier les positions épistémologiques et méthodologiques qui caractérisent l’école autrichienne : conception subjective de la valeur, individualisme méthodologique et praxéologie.
Son nom reste également attaché à la critique théorique du socialisme, que Mises considère voué irrémédiablement à l’échec en raison de l’absence des mécanismes de fixation des prix par le marché. Friedrich Hayek, Murray Rothbard et Israel Kirzner comptent parmi ses élèves les plus éminents. »
Ce n’est pas de la médisance de ma part, c’est dans Wikipedia.
j’ai qd même le sentiment que vous pointez du doigt la déficience d’offre politique, plus que son mode de sanction…
Je ne mélange pas la noblesse de l’ancien régime et les acteurs du marché ; il y a sur le marché des positions dues à la chance, et qui sont en plus héréditaires : pour ce qui les concerne, c’est effectivement « de droit divin ». je ne sais pas comment s’appellent ces minimonopoles de fait…
du talent, arnauld, dassaut, béttencourt, renault, microsoft…etc?!
Pour citer des gros, mais à l’échelon régional, j’en croise plein aussi.
par contre ce texte en lien amalgame capitaliste et entrepreneur. est ce bien justifié, que de rabattre l’entrepreneur sur le capitaliste?
A croire que le mérite vient du capital…
Sur ce point, çà m’étonne tjrs de voir des libéraux autoproclamés oublier de préciser que cette liberté ne peut exister sans un capital (raison de la présence de la propriété privée à l’art 4 de la déclaration des droits de l’homme). Ces un des piliers du libéralisme.
P.S. : indiciblement, en lisant ce texte, je n’ai pas l’impression de lire un texte (de « vrai ») libéral, mais un texte de la réforme protestante.
GU SI FANG
Qu’est ce qui permet à chacun d’éprouver de la satisfaction dans le service ou dans le produit d’une personne plus que d’une autre? S’il s’agit d’un produit/servcie lambda, le fait d’être de meilleur qualité suppose que « les infrastructures » sont de meilleures factures que celles de ses concurrents, leur production ou leur l’accomplissement du service ne présentant pas de difficultés particulières. Et s’i le service ou le produit est « révolutionnaire »,ou « high tech », ben encore faut il prévenir, la majorité d’entre nous ne sachant pas de quoi est faite la modernité…
Dans les deux cas, le self made man me paraît étroitement encadré…
Oui Paul, le texte est de Mises et la description de Wikipédia est exacte. Pour ce qui nous intéresse ici, ce n’est pas à Mises l’adversaire du socialisme que je me réfère, mais au Mises libéral classique qui analyse la lutte des classes en termes de privilèges légaux, de rentes et de statuts, par opposition à l’analyse marxiste qui se fait en termes d’activités – entre salariés, capitalistes etc. – voire tout simplement en termes de richesse et de patrimoine.
Mais je viens de trouver mieux que l’extrait de Mises pour expliquer ce point. C’est un article de Ralph Raico, historien américain qui compare l’analyse de Marx à celle des Industrialistes comme Comte et Dunoyer, auteurs libéraux des années 1810. La version anglaise de son article est ici ; bientôt une traduction française en ligne.
Cdt,
GSF
Voici la traduction : Les racines libérales classiques de la doctrine marxiste des classes
merci!
mon anglais n’est pas assez précis…
après lecture diagonale : « Les racines libérales classiques de la doctrine marxiste des classes »
les libéraux se sont longtemps fait appelés « économistes », encore au 19ème. Marx ne s’est effectivement pas fait seul.
Plus généralement, voir dans l’état la source des inégalités :
-cela ne peut se faire qu’en opposant société (dite civile, pour employer le vocabulaire politique actuel) et état. Sur ce point, les libéraux modernes sont d’accord avec une partie de l’extrême gauche. Opposition toute artificielle, même s’il existe des castes. Un autre point les rapproche aussi (du moins des libéraux du 19ème 20ème), c’est de systématiquement oublier de préciser que la liberté (autonomie,etc…) ne peut exister sans conditions matérielles : pas de liberté sans un capital minimum. Qui a du « talent », sans liberté? et dans votre précédent post : qu’est ce qui est récompensé : le talent ou le hasard?
-les preuves abondent, mais elles sont historiques : ce n’est pas intrinsèque à l’état. De plus, historiquement, ce même état s’est appuyé bien souvent, en bon opportuniste, sur ce qui faisait la force à l’époque, la revêtant d’un semblant de droit.
Tjrs au moins une partie de la société profite de l’existence de l’état. L’ordre des valeurs émane principalement des classes dirigeantes, mais aussi les constituent : elles en sont autant prisonnières (prison dorée pour certains, certes) que celles qu’elles dirigent.
Il n’y a pas d’ordre de valeur naturel : pour ne pas trépasser lors de son déclin, la force veut se faire droit : le « droit naturel ». Il n’y a pas d’autre droit dans la nature que celui de la force (violence et persuasion : rapports de force). « droit naturel » est un oxymore.
la démocratie est une tentative pragmatique pour résoudre ces contradictions.
Il ne faut donc pas confondre l’utilisation qu’il a été fait de l’état par les puissants, avec les possibilités qu’il offre : c’est la « première société anonyme du pays ».
Juste un passage (qui m’a l’air fondamental)
Cette définition réduit l’échange à l’échange commercial. Comme il réduit ensuite la société à « un attribut de l’homme ».
Une société n’est pas qu’une collection d’individus liés par des échanges de subsistance (une telle vision établit de facto, entre autre, que l’état est en trop, alors que c’est lui qui garantit le respect des dits contrats, et cette vision vise de facto les états voisins, comme un avant goût d’impérialisme).
http://fr.wikipedia.org/wiki/Talent_(unité)
» À Athènes, le talent a un poids légal de 60 mines, soit 25,86 kg d’argent.
En monnaie de compte, le talent équivaut ainsi à 60 mines soit 6 000 drachmes. Dans le temps des empires diadoques, à l’époque hellénistique, un mercenaire était payé 1 drachme par jour en moyenne, pendant son service. »
Libérer les talents des rentiers : pour quoi faire ?
Si c’ est pour que ces moyens (cette monnaie) servent a ce qu ils s approprient, s accaparent, encore plus le fruit du travail ( de tous ), sans que cela beneficie a ceux qui le produisent (riches ou pauvres ) ce ne semble pas être la bonne voie.
Le problème est là : que fait on de ces moyens ? Cela renvoie a une autre question : pourquoi continuons nous a travailler ainsi si la subsistance essentielle nous est quasiment assurée par l état : que nous manque t’il vraiment de si inaccessible qu il faille le remplacer par cette soif inextinguible de monnaie-talent ?
J’ ai eu la réponse a ma question aujourd’hui même en faisant mes courses dans une moyenne surface de centre ville ouverte le dimanche matin.
Je pestais contre l absence de prix affiché sur les emballages des viandes.
Les étiquettes en tête des bacs ne correspondant pas nécessairement aux produits entreposés, il devenait pratiquement impossible d avoir une connaissance fiable du prix très variable en fonction du conditionnement et des diverses qualités.
Je faisais remarquer ce problème a une ménagère en quête du même produit (des steack hachés pour ce midi) et mon hésitation sur un produit en particulier.
Soudain je finis par comprendre et lui montre la preuve du prix de la barquette en discussion.
(concordance d un faisceau de preuves : poids, qualité etc…), elle bondit sur les deux derniers paquets et se les approprie ( c est dimanche, c est pour ce midi).
J ai beau lui demander de partager, elle me regarde comme si j étais un extra terrestre : » mais « vous plaisantez ou quoi ? Si vous les vouliez, Il fallait les prendre ! » me dit elle.
Que peut on attendre de ce genre de personne ?
Qu’ elle réfléchisse avec moi a l étiquetage, a la tromperie organisée par celui ci ?
Qu elle change le monde avec moi, patiemment, en s améliorant un peu tous les jours ?
Elle est partie sûre de son bon droit, nourrir et élever ses enfants en bonne mère de famille.
Conclusion: le dimanche, il vaudrait mieux s arrêter (de consommer), et réfléchir a ce qu on fait le reste de la semaine, et pourquoi on le fait.
http://www.editionsmilan.com/1316241a/Kirikou-et-le-collier-de-la-discorde.html
Le recit de de cette expérience pendant le déjeuner familial, aura permis a notre petite famille de connaitre, par la voix de mon petit Paul, 9 ans, l’ histoire de Kirikou et du collier de la discorde.
Cela vaut bien le sacrifice de quelques steacks hachés non?
@ Gu Si Fang
Une obsession : prendre aux riches, les punir, les éliminer, se venger ! Voilà l’erreur du « Socialisme archaïque » que dénonce Jean-Marc Daniel dans son dernier livre.
Je vous comprends, mais vous ne pouvez en vouloir à des gens qui préfèrent prendre davantage la défense des plus faibles et des opprimés, il est vrai que tous les puissants
et grands patrons de nos jours ne sont pas tous non plus de mauvais exemples de conduite
et de bravoure en société,
Quel dommage quand même que Jean-Marc Daniel ne dénonce pas également dans le même temps autre chose,
Que le sage ne se vante pas de sa sagesse, – Que le fort ne se vante pas de sa force, – Que le riche ne se vante pas de sa richesse ! Jérémie, IX, 22
La grande confiance perdu du patronat, des gens du marché, des banquiers, car si les gens se détournent autant des premiers maîtres-chanteurs de l’homme en société ce n’est pas non plus sans raison, vous ne croyez pas ?
Vous savez je ne crois pas non plus que le libéralisme marchand soit également la meilleure sagesse de conduite à suivre en société, la preuve tout le monde accuse constamment l’autre du malheur premier de l’humanité.
Une obsession : prendre aux riches, les punir, les éliminer, se venger ! Voilà l’erreur du « Socialisme archaïque » que dénonce Jean-Marc Daniel dans son dernier livre.
Une obsession chez les libéraux, ca vient toujours des autres une plus grande misère morale de l’homme.
Je me demande parfois si ce genre de conduite viendrait uniquement du socialisme archaique pour reprendre les propos d’un autre, les gens » riches » qui n’aiment surtout pas déjà donner la moitié de leurs biens matériels, n’agissent-ils pas parfois un peu de même dans leur mentalité ? Faut être surtout constamment économe en toutes choses de plus de nos jours ça fait parait-il toujours meilleure liberté humaine et religieuse !
Vouloir d’abord prendre à ceux qui n’ont déjà plus rien, les punir, les écraser, les humilier, les juger, prendre même davantage la défense des puissants histoire qu’ils se sentent même un peu plus seuls que d’autres, se venger même de les avoir trop vus suivre des gens un peu moins durs et pingres que d’autres en société.
Comment d’ailleurs le seul langage marchand pourrait-il faire preuve d’un peu plus de justice
et d’équité de traitement ? Faudrait-être surtout principalement plus utile à l’économisme tout le temps, soyez surtout davantage libéral histoire quand même de défendre un peu plus la bonne conscience de conduite de quelqu’uns.
Car c’est évident si je ne prends pas la défense du libéralisme, je suis forcément socialiste.
Ne pourrait-on pas essayer parfois de mieux rechercher à comprendre l’autre en société, que de vouloir constamment rechercher à le juger ou à l’accuser pour son socialisme d’abord.
@ Gu Si Fang dit :
Mais regardez le livre de J.-M. Daniel, le moins que l’on puisse dire c’est qu’il donne à réfléchir.Cdt, GSF
Ok je veux bien vous écouter Gu Si Fang, même si je n’ai pas hélas toujours les moyens de m’offrir certains livres, si demain par exemple je devais donner une plus grande place à l’esprit du libéralisme dans mon être, à quoi servirait encore l’autre qui pense différemment en société ? Aurait-il pu lui aussi de son coté contribuer à un quelconque petit développement de la conscience humaine en société quand bien même son propre vocabulaire d’expression ou de penser ne serait pas autant économique et libéral que le mien ?
@ Jérémie
Le livre de J.-M. Daniel est disponible ici : http://library.nu/docs/4LMWXB9TP8/
Piketty, Saez et Landais viennent de mettre le leur en ligne ici : http://www.revolution-fiscale.fr/le-livre/35