Eh ! c’est hélas moi qui l’ai écrit… Enfin, si l’on en croit M. Eric Le Boucher sur France Culture, dans Esprit public, ce matin.
Ecoutez cela, cela en vaut la peine, c’est tout à la fin.
P.S. : Bon évidemment, « Sale communiste ! », ce n’est pas vraiment de l’analyse en profondeur, m’enfin, on est dimanche… et à l’heure de l’apéro !
Vous voulez le lire quand même ? Mauvais esprit !
Le capitalisme à l’agonie (Fayard 2011)
260 réponses à “LE PLUS MAUVAIS LIVRE DU MONDE !”
Paul, vous allez faire de la concurrence à la Princesse de Clèves.
Mme de Lafayette a due attendre 330 ans et vous arriveriez en 3,3 jours à en faire autant ?
Concurrence déloyale !
On détecte aussi chez M. Le Boucher un dédain pour qui n’est pas de l’intelligenstia, qui n’a pas montré patte blanche dans les lambris officiels, de l’autodidacte inclassable, qu’il faut du coup absolument faire rentrer dans la case des intellos communistes dangereux….
Un réflexe de peur de caste.
Un mépris qui traduit l’angoisse d’être amené sur un terrain nouveau, pour lequel la sédimentation décennale de la pensée conforme ne l’ a pas préparé.
Ce qu’il dit le plus finalement, c’est qu’il représente le passé et vous l’avenir.
Et 2007 parle pour vous aussi dans ce sens.
Euh, il me semble que Mr Jorion a quand même fait une thèse plus les post doc associés. Comme autodidacte, on a vu pire.
Disons qu’il ressemble à bien des jeunes gens actuels: extrêmement compétent dans son domaine, mais obligé de prendre des boulots sous payés en France s’il ne veut pas s’expatrier ou à faire des grimaces à des vieux singes comme Le Boucher….
Je me réjouis de savoir que j’ai autant de mauvais goût !
Ce qui est également plaisant est le constat fait dans le livre que la crise aura été provoquée par TROP PEU d’état – ce qui est particulièrement navrant pour un système financier qui finance une idéologie qui voit TROP d’Etat partout, et qui n’existe aujourd’hui dans son état actuel qu’à cause de ce même « Etat » maudit, qui est à l’agonie pour s’être porté sans hésiter à son secours !
Entendu sur France Culture, durant Esprit Public dans la bouche d’Éric Le Boucher … VITE UNE LIBRAIRIE !
Eric Le Boucher est tout simplement fidèle à lui-même. Qui a lu sa prose pendant des années dans Le Monde ne peut guère être étonné. Son nom associé à d’autres a été pour moi une bonne raison de ne jamais « cliquer » sur Slate. Mais ce monsieur se prend sans doute pour un grand journaliste économique, de ceux qui cherchent les faits, qui font des analyses sérieuses et qui se donnent comme mission d’informer en toute objectivité le lecteur. En fait Il n’y a que lui pour le croire et les idéologues de ses amis car il a une étiquette bien cataloguée sur le dos. Pour être réellement informé, passez votre chemin. Un de plus qui ne fait pas honneur au métier de journalistes. En tout cas c’est sans doute une bonne pub pour le livre car qui connait Eric Le Boucher devrait être intrigué et se précipiter pour l’acheter.
Bonjour Paul Jorion,
Ma réaction est simple.
Je viens de commander votre livre.
Continuez
Hello Paul, vous devriez répondre à monsieur le boucher journaliste, par la citation suivante des « lettres Persanes » de Montesquieu:
« En ouvrant si facilement leurs hospices d’aliénés de leurs prétendus fous, les hommes ne cherchent qu’à s’assurer mutuellement qu’ils ne sont pas fous eux-mêmes. »
Je me suis souvent fait traiter d’enfumeur. L’ai toujours pris comme un compliment.
Plutôt que contre argumenter il est évidemment infiniment plus simple, pour le fâcheux incompétent, et surtout paresseux , de se défausser de la sorte.
« La violence est le dernier refuge de l’incompétence. »
Isaac Asimov, dit le Bon Docteur.
A la lecture du commentaire de Vigneron faisant allusion au croc de boucher, je nai pu m’empécher de rire.
J’ajouterai que si notre ami Paul Jorion est ainsi pendu au croc du Boucher il s’y retrouvera en compagnie de Galouzeau de Villepin, non?
Il n’y a pas que le capitalisme qui est à l’agonie!
Ha ça ira, ça ira… Lol!
Hum…Hum…
Eric Le Boucher….
Dans une émission de Philippe Meyer…
Sur France Culture…
Certains auraient décidé de siffler la fin de la récré qu’ils ne s’y prendraient pas autrement.
Le fait que ce Mr. ne prenne même pas la peine d’argumenter son flingage en règle me fait penser qu’il a reçu le « feu vert »…
A votre place, Mr.Jorion, je commencerais à me méfier (et n’est-ce pas le but recherché?)…
Mais…qu’en pense Mr.Attali, qui connait bien ce Monsieur.?
Mais non, c’est le dernier carré.
Waterloo, morne plaine….
A propos de l’esprit public que j’écoutais régulièrement jusqu’à ce que : on y entende plus Yves Michaud.
Je ne savais pas que « communiste » était une insulte.
En tous cas, Jorion peut remercier Le Boucher, cette démolition va lui faire un buzz d’enfer, sans doute.
ce genre de commentaire partisan (de M. Le Boucher), et non argumenté, ne me donne qu’envie de lire votre livre.
Le livre ? Il est d’une clarté totale. C’est un chez d’œuvre de pédagogie. C’est ce qui gêne M. le Boucher sans doute, on comprend trop bien et trop vite.
Comme disait Marshall McLuhan « mes contradicteurs me font une énorme publicité que je ne pourrait jamais me payer… »
Juste pour le fun :
« Le nouveau monde a une immense qualité : il permet à des milliards d’êtres humains de sortir de la pauvreté et de commencer à avoir leur mot à dire. Mais il est rude. A l’échelle mondiale, le combat du XXIème siècle sera d’inventer une démocratisation qui soit à la hauteur des marchés globalisés. A l’échelle des Etats-nations, le devoir politique est d’arrêter de faire croire qu’on peut fuir ce nouveau monde qui vient. La politique doit retrouver au contraire un rôle offensif essentiel : préparer les emplois de demain, rebâtir l’éducation, replacer l’Etat-providence sur les nouvelles inégalités.
Ce livre au ton vif s’en prend à toutes les illusions de la pensée française «économiquement correcte» qui ne voit dans la mondialisation que des dangers et qui fait vertu d’y «résister».
C’était en 2006; quatrième de couv – la plupart du temps écrite par l’auteur – d’un opus demeuré dans nos mémoires qui s’intitulait « Economiquement incorrect ». C’était d’un certain Eric le Boucher.
J’sais pas si l’invité impromptu du blog a apprécié les commentaires à son sujet, en ce qui me concerne je les ai tous lus avec délectation. Merci à toutes et à tous.
Les commentaires sont géniaux, je suis d’accord. J’en remonte le fil en ce moment même, ponctuant le silence de la pièce de grands éclats de rire. Et ca fait du bien de rire un peu par les temps qui courent… Donc merci à tous ici 🙂
Ne surtout pas lire donc, le livre de celui qui a prévu la crise, plutôt lire le livre de celui qui n’a rien vu venir… C’est logique, dans une seule émission au monde. Sur France Culture.
Bien faire et laisser dire !
Ce monsieur défend depuis une éternité un système taré, avec un argumentaire foireux.
Il ne faudrait pas en faire une tête de turc, car il n’est pas seul
et il y a pire en matière de simplisme libéral.
Ils sont toutes une bande à se faire la courte échelle partout où les gens
bien aiment à s’auto-congratuler et à le faire savoir.
Ce sont des camelots de foire, des parasites sans une once d’inventivité.
Tout cela devient éclatant. Insupportable.
C’est l’occasion pour prendre conscience que nous sommes
soumis à ce pilonnage idéologique exaspérant depuis au moins 15 ans.
Il devient non moins évident qu’autre chose est possible
et a existé. Je dit CNR, naturellement, comme point de ralliement.
Par exemple, la renaissance des exigences sociales.
30 ans ont été perdus mais l’avenir n’est pas bouché.
enfin, de là à confondre Paul Jorion avec un dangereux bolchevik – barbu, certes – le couteau entre les dents, ça m’en bouche un coin !
un coup à perdre son lat- pardon son louchébème …
C’est lamentable, soit ce monsieur fait une véritable critique argumentée soit il ne dit rien, il a préféré parler pour flinguer sans argument.
je savais bien, Paul, que tu étais communiste!!!! 🙂 et dire que j’ai déjeuné avec un COMMUNISTE, ha là là, décidément M. Le Boucher devrait changer de métier…
Non ?! : est-ce que ça s’attrape ?
on nous parle beaucoup de « contagion » ces temps ci …
Cet immense auteur prend toute son humanité dans ce vigoureux article de janvier 2011 où son génie fulgurant se passe de toute réflexion approfondie et argumentée.
Malheureusement, à la lecture des commentaires, il semble qu’il soit irrémédiablement incompris (le dernier post, intitulé « pour vivre heureux », est particulièrement bien amené.)
les réactions à l’article de « slate » sont tout-à-fait rassurantes !
Il faut comprendre Eric Le Boucher, économiste omniprésent et omniscient qui adore se produire sur les ondes, qui n’a écrit que deux livres et encore pour l’un d’eux pas tout seul, qui se frotte à « l’élite » à laquelle il veut plaire et qui n’a d’yeux et d’oreille que pour elle..
Et voilà qu’un obscur inconnu, anthropologue, un peu sociologue, un peu philosophe, cultivé de surcroît lui volerait la vedette dans son domaine de compétence dans les media où par un langage clair et argumenté il enfonce un coin dans le ronron ambiant et abrutissant, qui en plus d’être un auteur édité et lu tient un blog très fréquenté… c’est bien le signe pour notre pape de l’économie qu’un frémissement de quelque chose lui échappe.
Monsieur Jorion,
Avoir Eric Le Boucher (il y a là un jeu de mot très facile, trop à mon goût) comme ennemi est une marque de qualité à mes yeux. C’est une référence. C’est un peu comme A.C. Clarke qui expliquait la déception de l’un de ses personnages. C’était un écrivain qui n’avait pas réussi à faire mettre à l’index son dernier livre. Un important argument de vente lui échappait. Vous venez d’être mis à l’index dans une autre religion.
C’est un argument de vente. C’est un argument pour m’inciter à le lire. Quelqu’un (j’ai oublié son nom) estimait que l’on a les ennemis que l’on mérite. Vous venez d’être honoré par ce monsieur. Je crois qu’il le sait.
« Avoir Eric Le Boucher comme ennemi est une marque de qualité à mes yeux. C’est une référence. C’est un peu comme A.C. Clarke qui expliquait la déception de l’un de ses personnages »…C’est aussi un peu comme recevoir la cote « AAA » ……..des agences de notations ….
C’est marrant quand même parce que d’habitude les livres qui ont une vision critique du système actuel et qui développent une pensée hétérodoxe sont tout simplement ignorés par les radios/tv/journaux de base … Le fait que ce monsieur mentionne le livre est peut être un des signes de la diffusion de ces idées hautement subversives (d’où le « ne le lisez pas !!! »), au point où ils ne peuvent plus faire la sourde oreille.
J’aime bien Philippe Meyer. Il a une bonne émission sur la chanson française sur France inter. Et il y a très longtemps, sur la même radio, il avait une émission avec Gérard Lefort qui sortait une chronique télé qui me faisait rire aux larmes. Et même une fois ils avaient chanté ensemble « Fais moi mal » de Boris Vian.
Et en plus, ce Philippe Meyer, il a la meilleure émission dans la catégorie « Vieux cons » sur France cul. Et il fait de superbes intros, exemples mêmes des notes de synthèse comme on les enseigne à l’ENA. Et peut-être un jour il finira aux Grosses têtes.
En revanche, ce Monsieur Le Boucher, j’en ignorais tout jusqu’à ce que je l’entende me dire de ne pas vous lire.
C’était trop tard.
Je ne veux pas mourir marxiste, moi, avec le couteau entre les dents. Depuis je cherche une antidote. Merci de me la faire connaître, à moi et à tous ceux qui partagent mon angoisse.
« Auditeur sachant auditer, ça n’est pas pour me vanter, mais » moi, vigneron, considére, de façon souveraine et définitive, que trente ans de multi-présence Meyerienne sur les ondes publiques sont largement plus qu’il fallait pour se faire une idée exhaustive et balancée de l’équivalent radiophonique d’un certes coquet, mais fort obscur et diablement exigu, placard à balais.
Que quinze jours n’eussent pas été suffisants pour édifier de même les responsables, élus ou nommés, chargés de la défense de « l’esprit public » de la Radio-France n’avait pas manqué d’interloquer le vigneron, encore tendre et nonobstant très vite lassé par les matudinales affectations du prétendu « toutologue » inclassable revendiqué , authentique toutoucrate inamovible de fait.
S’il vous plait, Messieurs les décideurs, il n’est jamais trop tard pour bien faire. Ouvrez la cage dorée du colibri sous-calibré, aux « plumes sèches » et au ramage ravagé… Laissez le rejoindre les siens dans la clairière où pourra s’élever, enfin à sa place, serein, le chant du cygne de la petite chose déplummée, en point d’orgue bien mérité de sa carrière de fifre à trois fifrelins : sur RTL, chez Bouvard, avec les Grosses Têtes. Pour lui, merci d’avance. Pour moi, il est trop tard.
Quel plaisir de lire toutes ces félicitations adressées à monsieur le boucher eric en si peu de temps.
J’écoutais d’une demi oreille les dernières notes d’esprit public ce midi et « Paul Jorion » sonna à mon autre oreille qui se mit à pointer pour ouïr « un livre à ne pas lire ».
J’aurais mieux fait de me les boucher plutôt que d’écouter d’une oreille discrète ce monsieur au nom prémonitoire. J’ai failli tomber de mon siège. Dans la foulée je prépare mon post aussitôt interrompu par la cloche. Sans regret, car ce n’était pas le moment de vous gâcher le repas dominical et surtout le repos du guerrier.
D’autres vous ont donc alertés. D’ailleurs mon post initial rédigé à chaud aurait sans doute été censuré. J’ai du m’aérer pour reprendre mes esprits et humer l’air printanier.
A cette heure la messe est déjà bien dite, je suis révolté par cet abus de pouvoir, de position privilégiée. Cette manière de faire de la réclame mérite pour le moins un blâme, un renvoi même.
En tous cas une raison de ne plus écouter cette émission qui me permettait en 1 heure de sentir le vent dominant.
Punition infligée pour lèse-majesté :
répondre à chaque post avec arguments étayés
nous faire une explication de texte sur le billet de DeDefensa « Perfect Storm ou le Super »:
http://www.dedefensa.org/article-la_coalition_et_l_ombre_de_bho-hamlet_19_03_2011.html
Extrait :
« Ce que nous voulons mettre essentiellement en évidence, ce sont la confusion, le désarroi, l’impression de désordre confinant par instant à ce qui semblerait des perturbations de jugement suspectes quant à l’équilibre mental de ceux qui les émettent, qui caractérisent à peu près tous les acteurs, de quelque côté qu’ils soient. Il n’y a plus aucun sens, plus aucune position claire qu’on puisse choisir comme référence. Non seulement, toutes ces crises se poursuivent mais elles s’interpénètrent, s’influencent les unes les autres, pour brouiller le jugement et empêcher de suggérer une ligne de conduite claire, fût-elle la plus sommaire ou la plus absurde ».
Si ces propos semblent nuls à monsieur le boucher, libre à lui d’en référer à DeDefensa. ou de conseiller aux auditeurs de FC de ne pas visiter ce site « subversif ».
A la prochaine injure publique, que ce soit à la radio, télé ou autre, je commence à sponsoriser ce blog ! (ou comment faire de la contre production efficace….)
Bises mon Paulo !
Je n’ai pas entendu dire que son paton M. Arnaud se soit fendu de trois sous pour les Japonnais , qui sont de gros clients pour lui ,
Chacun ses priorités que voulez vous lui aussi est sinistré ses actions baissent
Paul Jorion est un barbu plutôt sympatique.
Paul Jorion est communiste (dixit M. Le Boucher).
Conséquence immédiate : les barbus plutôt sympathiques sont communistes.
Pour preuve : un récent premier secrétaire du PC était un barbu plutôt sympathique (à priori) 😉
Je n’ai jamais fumé de ma vie, mes poumons vont-ils souffrir si je passe outre ce vibrant appel à la non-intelligence ?
Eh ben on est au fan club de Paul Jorion ici!
Moi je suis d’accord avec le Boucher, bon j’ai pas lu le livre en question, mais rien que le titre est complètement fallacieux.
Exemple: vous achetez des bons du trésor à 10 grecs et hop, vous avez un rendement de presque 13 %. Vous attendez pas l’échéance, vous trouvez quelqu’un pour vous le racheter, quitte à lui faire une petite ristourne de 3%, vous voyez un peut le bénef ! En plus c’est garanti par l’UE et le FMI, alors pas de soucis.
Le capitalisme est au top de sa forme.
Bon c’est sur, ces « idiots » de portugais sont à plus de 7% pour le 10 ans, mais ils sont pas garantis par le FMI et l’UE, c’est pas bon pour les affaires. J’espère qu’ils vont enfin céder, les agences de notation y travaillent.
jusqu’ici tout va bien
Comme dit Eric Verhaeghe (j’ai lu son bouquin…)
Feedback d’un cancre .
Si , par charité, on devait essayer de comprendre Leboucher , et le pourquoi de son anathème , on pourrait dire que les réclamations d’un client difficile peuvent avoir du bon .
Il est vrai que certains livres de Jorion sont difficile d’accès ( par moment ) , soit parce qu’il n’est pas évident d’intégrer un vocabulaire nouveau ( dont le monde de la finance est riche) , soit par quelques envolées de type universitaire ( voir Sartondujonchairien) .
N’empêches , comme pour SDJ , toujours il y a matière à réflexion .
Et c’est tout le drame de Leboucher , que ne pas vouloir s’interroger .
Les raisons de ce déni lui appartiennent même si on peut lui prêter maintes intentions.
Vu ses écrits et ses non – repentir , il semblerait que l’homme soit là pour rassurer le bon peuple au sujet du « système » en cours.Peut être fait il juste dans la provocation afin de s’assurer un certain audimat », de la même façon que certains montrent leur Q pour attirer le chaland ? Mystère .
PS : De la collection Jorion , mon préféré , à ce jour , reste « la crise » qui se lit comme un roman .
Je crois que si M. Le Boucher avait été plus fin politique il n’aurait pas raté une occasion en or de s’attirer les bonnes grâces de Madame le Ministre de l’Economie, en affublant l’auteur du « Capitalisme à l’agonie » de simple » RI-make » de Marx-Keynes-Hegel-Robespierre-Freud !