Le G20
L’exception de jeu
George Bush et la torture
*Godot est mort !*
C’est pas bien de se moquer ! Mango nous montre qu’elle perception on peut avoir de la gauche quand on…
@Mango vous dites : « mais certains le sont pour des positions politiques plus ou moins arbitraires … » je réponds :…
Bien vu…^!^… pour le meilleur (parfois) et pour le pire (… bien trop souvent ! )
Merci Mango pour vos réflexions et analyses pertinentes. Nous sommes nombreux au centre à partager vos propos et nous nous…
OpenAI o3 est-elle une IAG (ou AGI) ? Il semble que tous les spécialistes ne soient pas d’accord, tel François…
@Khanard et Pascal Pour moi, Marianne reste un média de gauche ou de centre gauche, heureusement, il n’est pas encore…
Oui, le canal de Panama est évidemment un des plus hauts points stratégiques que tenteront de s’arracher les marchands qui…
Quelles circonstances?! De toute façon, le Japon était prêt à capituler quand il s’est pris les bombes sur la tronche!…
Qui fonctionne bien, je voulais dire. L’efficacité et la qualité sont trop aléatoires actuellement. J’ai expérimenté celui de Teams, il…
« En période de récession économique ou de crise politique, l’extrême gauche devient souvent l’extrême droite…! » Il faut changer de lunettes…
Allemagne Aristote BCE Bourse Brexit capitalisme ChatGPT Chine Confinement Coronavirus Covid-19 dette dette publique Donald Trump Emmanuel Macron Espagne Etats-Unis Europe extinction du genre humain FMI France Grands Modèles de Langage Grèce intelligence artificielle interdiction des paris sur les fluctuations de prix Italie Japon Joe Biden John Maynard Keynes Karl Marx pandémie Portugal psychanalyse robotisation Royaume-Uni Russie réchauffement climatique Réfugiés spéculation Thomas Piketty Ukraine ultralibéralisme Vladimir Poutine zone euro « Le dernier qui s'en va éteint la lumière »
153 réponses à “LE TEMPS QU’IL FAIT, LE 5 NOVEMBRE 2010”
Mourir pour des idées, l’idée est excellente
Moi j’ai failli mourir de na l’avoir pas eue
Car tous ceux qui l’avaient, multitude accâblante
En hurlant à la mort, me sont tombés dessus.
Ils ont su me convaincre et ma muse insolente
Abjurant ses erreurs, se rallie à leur foi
Avecun soupçon de réserve toutefois
Mourros pour des idées, d’accord, mais de mort lente.
Voir commentaires 24 et 26 pour la mise en musique !
Il y a un « L’Exception de Jeu et les opérations de Bourse » (1883) de Sam Wiener qui coûte une quinzaine d’euros sur Abebooks :
http://www.abebooks.fr/servlet/SearchResults?tn=L'exception+jeu
Pour comprendre la déclaration de Bush sur la torture, il suffit de regarder la série 24h sur Canal Plus sans faire de pub.
L’armée américaine s’était même alarmée de l’influence de cette série sur ses soldats.
Je pense que cette série est faite pour convaincre le bon peuple du bien fondé de cette évolution de la société américaine et associées. Tout y est, la torture comme arme légitime y compris la torture d’innocents (dans l’urgence, il faut accepter les dommages collatéraux, des millions de vies sont en jeu…), exploitation des nouvelles technologies (drones, écoutes téléphoniques, surveillance des mails) pour la protection du bon peuple, bien sur le méchant musulman (que l’on peut tuer avec moins de remords encore que le vilain communiste du temps de la guerre froide) et j’en passe : il faut le voir pour le croire.
Je suis sur qu’aujourd’hui beaucoup d’occidentaux sans approuver ne sont pas vraiment contre…
Ceci étant, à ce sujet tout a été dit il y a longtemps :
« Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l’une ni l’autre, et finit par perdre les deux. » Benjamin Franklin
Voici des extraits du Journal des économistes et des sciences humaines entre 1870 et 1882 où l’on parle de l’exception de jeu :
http://tinyurl.com/28o4rz2
http://tinyurl.com/22wun9j
http://tinyurl.com/252fxfe
http://tinyurl.com/24bj6nk
Et pour le plaisir…
http://gusifang.blogspot.com/2008/12/bye-bush.html
Intéressant bien que non surprenant. Merci pour les documents.
@Paul JORION
Bonjour Paul,
Une fois de plus la solution que vous évoquez (je parle de l’exception du jeu) est si radicale qu’elle peut difficilement être mise en œuvre ex abrupto. Il a fallu 150 ans pour en arriver au résultat qu’on connaît. Il faudrait sans doute des paliers de décompression pour attirer les opérateurs dans la barque. Allez, encore un effort dans la définition plus précise, svp.
Nous devons parler de deux choses différentes.
@ Thom Bilabong
je verrais plutôt une compression à la César (célèbre sculpteur qui empila et compressa des automobiles) pour mettre au pas une finance qui ne veut rien entendre. Faut comprimer * tout ça ! 😉
Mais pour comprimer il faut d’abord un dessein, savoir ce que l’on veut. En l’occurrence cela nécessite une prise de conscience suivie d’une décision politique à même de concrétiser la chose.
* Comprimer = réduire le rôle aujourd’hui prépondérant de la finance dans l’économie. Ou en d’autres termes, réduire ce qui de l’économie n’est pas encore enclos dans le domaine de la moralité.
Il faut donc établir un nouveau rapport de force pour dompter la force obscurantiste, l’animal fou de Wall Street & Co.
Le rapport de force est nouveau parce qu’il trouve sa force dans les interstices du système, ailleurs donc que dans ses composantes conceptuelles et matérielles les plus visibles. Or qu’est-ce qui peut alimenter d’abord cette force si ce n’est de l’énergie libérée par l’implosion du système soumis à ses propres contradictions. Le système il faut y insister ce n’est pas une machine dans laquelle nous serions purement et simplement des rouages. Le système « fonctionne » pour autant qu’il y a des institutions qu’elles soient de nature juridique, politique, économique, scientifique, technique ou même religieuse : à l’origine il y a des idées, certaines idées étant venues au fil du temps à se concrétiser. Or il s’avère que nombre des institutions, en l’état, ne sont plus en mesure d’assurer un avenir à notre humanité. Devant l’ampleur des défis elles ne font plus le poids. Mais, encore une fois le système c’est nous. Il est d’abord une construction sociale, résultant d’une évolution historique.
Par conséquent le corps social peut produire un système nouveau, ou plutôt se comporter en sorte que le système actuel opère sa métamorphose. La solution se trouve donc au niveau politique puisque le politique consiste à re(définir) les conditions du vivre ensemble en réponse à une situation donnée, et à plus forte raison quand il y a crise générale de civilisation. Par politique il ne faut pas seulement entendre décisions prises par des politiciens, mais toutes les questions et réponses qui sont mises sur la place publique et traversent, travaillent le corps social.
La part de la finance qui repose sur des paris sur la fluctuation des prix représente pas moins de 80 % de la totalité des transactions financières. C’est cette finance hypertrophiée qui « plombe » l’économie réelle car les joueurs (spéculateurs) qui pratiquent la spéculation – au sens précis indiqué ci-avant – ne prennent aucun risque, misant des sommes qui ne leur appartiennent pas, tirant parti d’un effet de levier. Par contre les pertes se répercutent en cascade dans les sphères financières, économiques et monétaires, des boucles ne manquant de relier entre elles ces différentes sphères, avec au passage tous les dégâts sociaux que l’on connaît.
Seule une interdiction dont l’énonciation est suffisamment claire pour indiquer par elle-même le genre de pratiques qu’elle vise peut mettre un terme à ces pratiques. C’est la proposition phare que soutient avec conviction l’auteur de ce blog : l’interdiction des paris sur la fluctuation des prix.
Structurer votre pensée au risque de ne pas être entendu.
Ne pleurez plus, ne gémissez plus,
Ecoutez plutôt un autre morceau de musique,
http://www.dailymotion.com/video/x8hcld_enigma-goodbye-milky-way_music#from=embed
Ne vous lamentez pas plus ce n’est qu’un début,
Je vais moi aussi me lancer en politique pour faire le bien,
Comme ça je pourrais moi mieux vivre dans le tout confort matériel,
C’est important je crois de vouloir tant rechercher à faire le bien du prochain,
Bon c’est vrai je le reconnais je me suis pas encore bien foulé aujourd’hui,
Mais attendez de voir encore un peu la suite parole d’évangile,
Bon c’est vrai ce n’est qu’un petit moment grave à passer,
Mais ne vous lamentez pas plus frères et soeurs,
L’histoire c’est surtout de l’économie,
A pourquoi prier en vain le Ciel,
Est ce vraiment la mort par idéal qui fait l’homme ?
On a vu des chiens , des singes , des éléphants se laisser mourir de chagrin .
» J’appelai l’homme : l’animal capable d’une action gratuite. Et puis après j’ai pensé le contraire: que c’était le seul être incapable d’agir gratuitement. Gratuitement ! songez donc : sans raison – oui je vous entends- mettons : sans motif: incapable!! »
(André Gide , le prométhée mal enchaîné – clin d’oeil à Jean Luce Morlie ) .
Je n’aime finalement pas trop que l’anthropologue deviennne anthropomorphe en posant l’homme contre l’animal .
Et le renvoie à Aristote : l’homme est un animal social .
Viva la muerte !
D’autres diront que c’est la mort qui fait le prix de la vie . Mais ce prix là ne répondrait pas alors aux conditions- critères de Paul Jorion .
pour certains …mais, je préfère :
« Ay Carmela, ay Carmela …
…
Contraataques muy rabiosos
rumba la rum ba ba
deberemos resistir
ay Carmela, ay Carmela …. »
/ El paso del Ebro. …
au nom de Franz Kafka, je m’insurge contre toute assimilation,
quelle qu’elle soit, entre le moindre cloporte véritable
et ses honorables activités, et quelque autre activité
humaine, si respectable ou dégoutante soit-elle :
http://www.youtube.com/watch?v=A6aes2JdLQI&feature=related
J’aime beaucoup ce parallèle entre anthropologie et finance.
Une petite remarque. Ce qui me fascine quand j’observe les gens en général. C’est comme absolument tout le monde se sent unique, spécial et des différent des autres.
Et pourtant, ça n’a rien d’original ! On partage tous ça en commun ! Moi-même je lutte quotidiennement contre cette tendance naturelle à me sentir le centre du monde.
On veut tous briller, être reconnu par les autres et avoir de la valeur (= l’EGO). On est sans doute né comme ça, à moins de s’appeler Bouddha.
A partir de là, pourquoi se plaindre ? Le système injuste dans lequel nous vivons est le reflet exact de ce que nous sommes. Ni plus, ni moins.
C’est aussi ce qui me rend très pessimiste sur l’avenir. Ce n’est pas comme si il suffisait de réparer le système financier pour que tout soit merveilleux ensuite. Homos « sapiens sapiens » sera toujours là.
Qu’en pensez-vous Paul ? La nature humaine est-elle selon vous naturellement égocentrique et égoïste ? Peut-être est-ce lié à notre instinct animal et ancestral ? Que ça nous a été très utile dans le passé pour survire, lorsque l’homme n’était pas encore « sociétalisé » ? Mais qu’aujourd’hui, ce qui a fait jadis notre force s’avère être notre plus grande faiblesse ?
Il me semble que le Bouddha historique aussi est né comme cela, comme n’importe quel autre humain. C’est ensuite que d’après mis a l’abri du besoin par sa condition, ses désirs ne semblent pas rencontrer d’obstacles. Ce n’est qu’ensuite qu’il réalise la finitude de la condition humaine a travers la rencontre d’un malade, d’un vieillard et d’un cadavre.
Sa quête vers » la résolution de la souffrance » par l’ascèse d’abord puis par d’autres voies nous parvient avec 2500 ans d’adaptations culturelles
Cependant vous luttez pour prendre en compte les autres, donc ce système, d’après vous reflet à l’échelle sociétale des processus déterminants les intentions des individus, devrait aussi prendre en compte cet aspect des relations.
Prétendriez vous que les luttes sociales n’ont abouti a rien? Qu’il n’y aurait pas plus de raisons de se plaindre si nous étions des serfs dans l’ancien régime, les muscles bandés 16h/jour sous le joug d’un potentat local arbitraire?
La conception occidentale veut que l’individu précède la société, mais l’humain même s’il nait dans des choux, c’est dans des choux cultivés…par d’autres humains. Pouvez vous situer l’époque ou l’humain ne nait pas d’un semblable?
Et puisque nous imaginons le paléolithique. Une colle (je mange mon chapeau si quelqu’un me donne la bonne réponse):
Pourquoi pensez vous que les humains se trimballaient des nouveaux nés lourds, braillards, susceptible de les faire repérer et sans intérêt dans le futur proche, c’est a dire demain (et encore)? Pour servir de viande fraiche? Ou de futurs actifs qui cotiseraient pour les vieux jours?
La société précède l’individu, voir Francois FLAHAUT Le paradoxe de Robinson , version augmentée de Pourquoi limiter l’expansion du capitalisme ?, Descartes & Cie, 2003
Et pour l’explication bouddhique vous attendrez l’éveil…
si ça peut être utile http://www.worldcat.org est le plus efficace des catalogues de documents
ça permet de se faire instantanément une petite biblio en cherchant simplement par exemple :
l’exception de jeu
il y a du Labrousse qui ressort
Après il faut aller à la bibliothèque désolé ! Ou recopier le titre du bouquin…
La torture ;une vielle tradition française;âmes sensibles s’abstenir.
http://www.dailymotion.com/video/x390dm_supplice-de-la-chevre-fernandel-fra_shortfilms
carrément classé X :
http://www.rue89.com/2010/11/04/lautre-remaniement-derriere-les-ministres-les-conseillers-174441
…
« Ainsi, affirme Lamy, « chaque fois qu’un iPod est importé par les Etats-Unis, l’intégralité de la valeur déclarée en douane (150 dollars) est imputée comme importation en provenance de Chine, creusant un peu plus le déséquilibre commercial entre les deux pays. Or, si on regarde l’origine nationale de la valeur ajoutée incorporée dans cette importation, on remarque qu’une partie conséquente correspond à une re-importation américaine et que pour le reste, c’est le solde bilatéral avec le Japon ou la Corée qui devrait être imputé en fonction de leur contribution à la valeur ajoutée. De fait, selon des chercheurs américains, sur ces 150 dollars, moins de 10 proviennent actuellement de Chine, tout le reste n’est que réexportation »
http://alternatives-economiques.fr/blogs/chavagneux/2010/10/22/les-vrais-debats-derriere-la-%C2%AB-guerre-des-monnaies-%C2%BB/
Où sont partis les 140 dollars restants ? Peut être un problème d’entonnoir non distributif…
Traduit par P. Jorion en
« Plutôt mort que communiste »
En voilà une drôle de traduction ! Je proteste !
Au temps de la « red scare » c’est le signifiant « red » qui était utilisé plutôt que « communist », d’abord c’est plus court à dire, ensuite c’est plus efficace à populariser, surtout que ça évite d’expliquer ce que ça signifie « communist » à des pauvres gens peu éduqués.
Il suffit de regarder un bon lot de Western d’après guerre, pour y remarquer la peur du red skin, le peau-rouge. Il y a un western dont j’ai oublié le nom qui montre des blancs sachant que l’attaque des peaux-rouges leur sera fatale, et trucidant leurs propres enfants, pour éviter qu’ils soient tués ou pire enlevés et élevés par ces sauvages
Les blancs avaient quelques craintes de perdre ce qu’ils avaient acquis de façon pas tout à fait honnête, et quelque culpabilité en tant que bons chrétiens, malgré la propagande sur mesure pour effacer ça.
De mémoire d’homme soit ce qui se transmet par les plus anciens qui l’ont recueilli des plus anciens, dans les années 1950 ce qui restait de la peur des rouges, était là.
Hollywood était aux ordres, à mélanger picrate et picrate.
« Je suis capable du meilleur comme du pire, mais pour le pire c’est moi l’meilleur. »
Coluche
Il me semble que le Bouddha historique aussi est né comme cela, comme n’importe quel autre humain. C’est ensuite que d’après mis a l’abri du besoin par sa condition, ses désirs ne semblent pas rencontrer d’obstacles. Ce n’est qu’ensuite qu’il réalise la finitude de la condition humaine a travers la rencontre d’un malade, d’un vieillard et d’un cadavre.
Sa quête vers » la résolution de la souffrance » par l’ascèse d’abord puis par d’autres voies nous parvient avec 2500 ans d’adaptations culturelles
Cependant vous luttez pour prendre en compte les autres, donc ce système, d’après vous reflet à l’échelle sociétale des processus déterminants les intentions des individus, devrait aussi prendre en compte cet aspect des relations.
Prétendriez vous que les luttes sociales n’ont abouti a rien? Qu’il n’y aurait pas plus de raisons de se plaindre si nous étions des serfs dans l’ancien régime, les muscles bandés 16h/jour sous le joug d’un potentat local arbitraire?
La conception occidentale veut que l’individu précède la société, mais l’humain même s’il nait dans des choux, c’est dans des choux cultivés…par d’autres humains. Pouvez vous situer l’époque ou l’humain ne nait pas d’un semblable?
Et puisque nous imaginons le paléolithique. Une colle (je mange mon chapeau si quelqu’un me donne la bonne réponse):
Pourquoi pensez vous que les humains se trimballaient des nouveaux nés lourds, braillards, susceptible de les faire repérer et sans intérêt dans le futur proche, c’est a dire demain (et encore)? Pour servir de viande fraiche? Ou de futurs actifs qui cotiseraient pour les vieux jours?
La société précède l’individu, voir Francois FLAHAUT Le paradoxe de Robinson , version augmentée de Pourquoi limiter l’expansion du capitalisme ?, Descartes & Cie, 2003
Et pour l’explication bouddhique vous attendrez l’éveil…
Alexmex, si vous sortiez dans la rue demain,
et vous en verriez des centaines,
de Bouddhas
… et de démons
…qui chanteraient en coeur Vade Retro Sarkozy…
@Vigneron
Comme d’habitude votre commentaire est excellent, mais je n’ai pas à répondre à votre question puisque vous en donnez la réponse sur le lien concernant la torture publié en 2004 dans le « Casoar ».
Je me permets néanmoins suite au sujet sur des droits pour les animaux, de régler un compte avec vous concernant un de vos commentaire qui tente à ridiculiser la défense animale et l’amalgamer à une racine nazie. Je vous retranscris ci-dessous.
« Il me semble bien que le régime nazi a été le premier à interdire la vivisection, la chasse à courre, à règlementer sévèrement les abattages…
Le 28 août 1933, Göring a annoncé dans une émission de radio:
Une interdiction absolue et permanente de la vivisection n’est pas seulement une loi nécessaire pour protéger les animaux et pour manifester de la sympathie vis à vis de leur souffrance, mais c’est aussi une loi pour l’humanité elle-même …. J’ai donc annoncé l’interdiction immédiate de la vivisection qui fait de sa pratique d’une infraction punissable en Prusse. Jusqu’à ce que la peine soit prononcée le coupable doit être retenu dans un camp de concentration ».
Je vous sais d’un grand cœur bien que ce soit souvent votre estomac qui parle, mais pour le moins vous êtes souvent juste, et combien grandiose…
Mais concernant « votre commentaire », vous m’avez fait pleurer de déception et sous le choc je n’ai pas voulu vous reprendre.
Je vous invite à lire
Un recyclage français de la propagande nazie
(autour des ouvrages de Luc Ferry)
Elisabeth Hardouin-Fugier,
« La protection de l’animale sous le nazisme »,
lElisabeth Hardouin-Fugier,
« La protection de l’animale sous le nazisme »
Il reste à s’interroger sur les motifs qui incitent à diaboliser la démarche protectrice de l’animal, par contamination avec un personnage hors norme, Hitler. Il nous suffit aujourd’hui de constater que la majorité de ces auteurs, universitaires de haut rang, juristes, philosophes, religieux catholiques, scientifiques, journalistes d’importants quotidiens, professionnels de la réflexion et de l’information, emboîtent, sans la moindre hésitation, le pas cadencé d’une désinformation qui pourrait devenir un cas d’école.
Pour complément:
Des adversaires de la protection animale nous disent donc que celle-ci est « nazie ». S’ils avaient raison, les « pères fondateurs » des SS seraient alors des défenseurs des animaux. Or que constatons-nous ? Parmi les huit criminels fondateurs et/ou formateurs des SS et de la Gestapo, il y a cinq individus étroitement liés à l’exploitation animale : Göring, chasseur et pêcheur, Himmler, ancien éleveur de poulets, Sepp Dietrich, chasseur et ancien boucher, Graf, ancien boucher-équarrisseur et Weber, ancien maquignon ! La défense des animaux et leur expoitation (et destruction) ne sont-elles pas antinomiques ? Le fait est que Göring, numéro 2 du régime, Himmler, patron des SS et des champs d’extermination ainsi que beaucoup d’autres gros bonnets hitlériens se trouvaient à l’opposé de la protection animale. Les autres dirigeants nazis étaient simplement indifférents à la souffrance animale comme ils étaient insensibles à la souffrance humaine.
Certains ont osé tirer argument de ce végétérianisme de Hitler. Contre les végétariens et les amis des animaux. Luc Ferry, par exemple. Ce réquisitoire caricatural procède à peu près ainsi : « Ah, vous oubliez que les nazis, et Hitler en particulier, furent des sortes de zoophiles[5] ! Donc aimer les animaux, c’est haïr ou humilier l’homme! La compassion pour les animaux n’exclut pas la cruauté nazie, elle en est même le premier symptôme!» L’argument me paraît grossièrement fallacieux. Qui peut accréditer une seconde cette parodie de syllogisme ? Et où nous conduirait-il? À redoubler de cruauté envers les animaux pour faire la preuve d’un humanisme irréprochable ?
Derrida 2001
oui, et Hitler a inventé la sécurité sociale, disait mon grand-père…
M.Jorion
J’ai trouvé ça :
Type : texte imprimé, monographie
Auteur(s) : Labrousse, Louis de
Titre(s) : Faculté de droit de Paris. De l’exception de jeu. Thèse pour le doctorat… par Louis de Labrousse,… [Texte imprimé]
Publication : Paris : V. Giard et E. Brière, 1897
Description matérielle : In-8° , 269 p.
Autre(s) auteur(s) : Université de Paris (1896-1968). Faculté de droit et des sciences économiques . Éditeur scientifique
Autre(s) forme(s) du titre :
– : De l’exception de jeu
Notice n° : FRBNF30705826
Localisation : Tolbiac – Haut-de-jardin – communication en banque de salle
Département : Droit, économie, politique
Salle :
Cote : S94/7848
Etat de collection : Salle D, mezzanine
Type de support : microfiche
Reproduction – Cote de l’original reproduit : 8-F-10092
Caract. techniques : 3 mf : 20x
Disponibilité : exemplaire réputé présent
———INFORMATIONS TECHNIQUES COMPLEMENTAIRES———
Identifiant :
Numéro notice : 30705826 Numéro regroupement : 2 Numéro ordre : 1
Appartenance :
Etablissement : BNF Destination : Droit, économie, politique Usage : semi libre-accès Haut-de-jardin
Collection : D2 HdJ Mode d’accès : Libre-Acces
Entrée :
Mode entrée : reproductions et transferts
Statut acquisition : sans objet ou non disponible Source récolement : 5000408420
Données de gestion :
Date création : 01, 07, 1997
Date dernière modification : 25, 11, 2003
Informations complémentaires :
http://catalogue.bnf.fr/servlet/biblio?idNoeud=1&ID=30705826&SN1=0&SN2=0&host=catalogue
http://catalogue.bnf.fr/servlet/RechercheEquation?host=catalogue
Merci.
« il ya chez l’homme une fonction morale, comme il existe une fonction logique et une fonction esthétique, dont le développement définit au total le niveau de conscience du sujet. La fonction morale correspond au sens moral ou à l’idéal moral. Envisager la morale sous son aspect fonctionnel permet d’abord de voir comment cette fonction se compose avec les diverses fonctions psychiques dont la synthèse définit l’unité spirituelle du Moi.
Cela permet aussi de préciser comment cette fonction morale se compose avec les fonctions sociales au sein d’une collectivité organisée.
Ainsi du fait de la communauté de rythme entre l’esprit et la matière (donnée de base de la théorie harmonique):
1. Les fonctions corporelles et les fonctions spirituelles se composent suivant un même processus pour former l’unité psychosomatique de la personne humaine.
2. Les personnes engagées dans un même groupement humain composent leurs activités comme se combinent , au sein de chacune d’elles, les composantes psycho-physiologique de sa personnalité.
3.L’aboutissement normal de la planétisation graduelle des moeurs et des lois peut être définit par la complémentarité de deux facteurs: une morale de l’amour, préfigurée par la sagesse antique et transfigurée par le christianisme; et une structuration des rapports sociaux sur la base des principes éprouvés de l’organisation rationnelle. La possibilité d’associer ces deux facteurs apparaît quand on les situe dans une conception cohérente du monde, de l’homme et des rapports de l’homme avec le monde.
Dans la grave crise que traverse la civilisation, l’optimisme raisonné qui se dégage de cette synthèse peut apaiser certaines inquiétudes, mais doit aussi faire prendre conscience de ceraines responsabilités. »
André Lamouche « D »une morale de l’amour à une sociologie de la raison » 1962.
A découvrir pour comprendre l’évolution rythmée de notre avenir en harmonie avec les possibles humains.
La seconde page dont le lien ne fonctionne pas… affichait en fait ça ( catalogue BNF ) –
Localisation :
Bibliothèque Nationale de France (BNF), Site Tolbiac ou Site François-Mitterrand, depuis l’allée Arthur-Rimbaud
Tolbiac – Haut-de-jardin
Bonsoir.
——————————————————————————————————————————–
Gontier, Eugène> (01)
Université de Poitiers. Faculté de droit. De l’Exception de jeu. Thèse pour le doctorat… par Eugène Gontier,…
Société française d’imprimerie et de librairie
1898
2
Livres
[Factum. Banque des fonds publics. 1879]
N ° 318 – Cour d’appel de Paris Première Chambre Audiences du 17 et 21 février 1879. Opérations de Bourse. Exception de jeu. Rejet de l’exception
imp. de Pitrataîné
1879
3
Un exemplaire au moins est numérisé Livres
Salzédo, Numa
L’Exception de jeu en matière d’opérations de bourse, par Numa Salzédo,…
impr. de S. Lejay
1880
4
Livres
Martre, Jean
Université de Toulouse. Faculté de droit. Les Marchés à terme et l’exception de jeu[…] Thèse pour le doctorat présentée… par Jean Martre…
1932
5
Livres
Breuer, Joseph (18.-18.. ; rédacteur en chef de la « Cote libre »)
De la Nécessité de supprimer l’exception de jeu en matière d’opérations de bourse, par Joseph Breuer,…
impr. de J. Breuer
1876
6
Livres
La Hodde, Joseph de
Lavigerie, Kahn et Cie… contre Adrien de Voys,… Exception de jeu, rapport de l’arbitre. [Signé : Joseph de La Hodde.]
impr. de Warmont
1882
7
Livres
[Factum. Rivière. 1870]
Affaire Rivière et Dupille contre Delafosse. Réponse à l’exception de jeu / (Signé : Jules L’Evesque, avocat, etc…)
imp. de Renou et Maulde
1870
8
Livres
Haumont, Amand (Jean-Victor-Amand)
La Faillite d’une loi, l’exception de jeu dans les marchés à terme, par A. Haumont,…
impr. de Berger-Levrault
1896
9
Livres
[Factum. Saunier (agent de change à Lyon). 1869]
Agent de change [à Lyon, Saunier]. Opération de Bourse. Ordre transmis par un autre agent de change [, Pansu de Faymoreau, de Toulouse]. Exception de jeu opposée par celui-ci à son confrère. Rejet de l’exception. Validité de la créance
impr. Pitrat aîné
1869
10
Livres
Wiener, S. (avocat près la cour d’appel de Bruxelles)
L’Exception de jeu et les opérations de bourse, par S. Wiener,…
Bruylant-Christophe
1883
11
Livres
Labrousse, Louis de
Faculté de droit de Paris. De l’exception de jeu. Thèse pour le doctorat… par Louis de Labrousse,…
V. Giard et E. Brière
1897
12
Livres
[Factum. Jumel (agent de change à Paris). 1874]
Opérations de Bourse. Demande en paiement de solde de bordereau d’agent de change [, Jumel contre le Cte de Bolhao]. Exception opposée d’exécution sans ordre. Exception de jeu. Application de l’art. 1965 du Code civil
impr. Pitrat aîné
1874
13
Livres
[Factum. Pillot (négociant à Paris). 1873]
Opérations de Bourse. Achats et reventes d’actions [du chemin de fer de Lyon]. Exception de jeu. Réalité des opérations. Rejet de l’exception
impr. Pitrat aîné
1873
14
Un exemplaire au moins est numérisé Livres
Bittard Des Portes, René (1854-1910)
L’Exception de jeu dans les opérations de bourse et la légalité des marchés à terme, étude de législation, par René Bittard Des Portes,…
E. Thorin
1882
15
Livres
Quentin, Maurice (1870-1955)
L’Exception de jeu à la Bourse du commerce, évolution de la jurisprudence, de la doctrine et de la législation, par Maurice Quentin,…
A. Pedone
1897
16
Livres
[Factum. Garau. 1873]
Jeu de Bourse [à la Bourse de Paris fait par Rigaud, par l’intermédiaire de Garau]. Caractère. Paiement de différence [de 6500 frs]. Exception
impr. Pitrat aîné
1873
17
Livres
[Factum. Forest, Pascal (agent de change). 1875]
Opérations de Bourse. Exception de jeu. Nullité… P. Forest [contre] Miroglio
impr. Pitrat
1875
18
Livres
Brugnot, Alfred-Barthélemy
Rapport sommaire… (Proposition de loi de M. Alfred Naquet, tendant à rendre inapplicable aux marchés à terme l’art. 1965 du Code civil, relatif à l’exception de jeu), par M. Brugnot,… (25 février 1882.)
impr. de A. Quantin
19
Livres
Guilmard, Émile (1863-19..)
De la Vente directe des valeurs de Bourse sans intermédiaire, traité à l’usage des banquiers, des agents de change et des coulissiers, concernant la jurisprudence relative à la vente directe, la négociation en Bourse, la contrepartie, l’exception de jeu, les lois du 15 juin 1872, du 8 février 1902 et du 28 avril 1893, les ventes à option et à commission, par É. Guilmard,…
Guillaumin
1904
20
Livres
[Factum. Rouxel (Abbé). 1874]
Opérations de Bourse. Intention exclusive de la part du client [, l’abbé Rouxel] de se livrer au jeu. Ignorance de l’agent de change [, Eggly] de la nature même de ces opérations. Exception de jeu. Rejet
impr. Pitrat aîné
L’homme est-il un animal raisonnable?
Ci-dessous un dialogue réel, avec un habitant de la Laponie Finlandaise, assez loin au delà du cercle polaire, à qui je posais quelques questions:
– bonjour, vous habitez depuis longtemps ici ?
– 12 ans, avant j’étais en Alaska, mais je trouvais qu’il y avait trop de monde
– ????
………..
– Ah, vous avez des moutons, et vous n’avez pas de problèmes avec les ours?
– Non, il y en a 3 dans le coin, mais ils me connaissent. Ces animaux ne sont pas comme l’homme, ils n’auraient pas l’idée d’agir contre leur propre intérêt.
– ???
Misanthrope le bonhomme, mais pas plus désagréable à écouter que la désinformation ambiante !
Bonjour,
j’ai trouvé le livre dont vous avez besoin à cette adresse :
http://my.qoop.com/google/EtZAAAAAYAAJ/
Un bel hommage à Jacques Brel dans l’idée de ce billet
http://www.youtube.com/watch?v=RRmXStlMUJ8&NR=1
Mourir pour des idées mais de mort lente comme chantait Georges Brassens.
Quant à la perversion du capitalisme dont vous parlez, il me semble qu’il n’y en a pas, que c’est inhérent au capitalisme de rechercher le profit maximum en un minimum de temps. Après nous le déluge.
Toutes les idées ne se valent évidement pas. Certaines sont nauséabondes…
« Quant à la perversion du capitalisme dont vous parlez, il me semble qu’il n’y en a pas, que c’est inhérent au capitalisme de rechercher le profit maximum en un minimum de temps ».
Ce n’est pas le point de Paul, dirait-on. Il vous faudra argumenter contre lui (à moins que vous ne tombiez d’accord s’il définit le capitalisme d’une manière telle qu’elle supprime la divergence de point de vue). Bonne chance à vous.
Bonsoir,
il est assez manifeste que sur des dizaines d’occurences du nom de « Heidegger » (dans ces commentaires), aucune ne concerne sa pensée, ses textes, ses cours ou ses conférences. Assez triste, mais il en va de l’époque de se débarrasser de la sorte de cette pensée si gênante.
Ritoyenne (webmaster du site dont vous parliez plus haut)
http://www.youtube.com/watch?v=LdogID589Mk
http://www.youtube.com/watch?v=LVOsS8_qE8M
http://www.youtube.com/watch?v=MxRRpZuNypw
http://www.youtube.com/watch?v=-TZhdoa0bA4
Merci Ritoyenne pour le site, et toutes ces références, dont ces interviews de Jacques Ellul.
Pour Paul, met vriendelijke groeten…
Heer, wij zijn eenzaam…
Wanneer de dag zal komen van mijn laatste reis,
wanneer het schip vertrekt dat niet meer terugkeert,
dan zult Ge mij aan boord zien:
mens met wat magere bagage
en bijna naakt…
De Heer is mij toevlucht en mijn sterkte.
Hij is het die je hoedt voor de valstrik van de vogelaar,
voor de moordende pest…
Je hoeft niet bang te zijn,
niet voor de verschrikkingen van de nacht,
niet voor de vliegende pijlen overdag,
niet voor de pest die nadert in de schaduw,
niet voor de epidemie die verwoest
op klaarlichte dag.
Heer, heb medelijden met me,
keer u tot mij!
Hoor me, Heer.
Reik me uw hand.
Heer, heb medelijden
met hen die liefde hebben voor elkaar
en die gescheiden zijn.
(Roep ik to U, of niet?
Ik weet niet meer wie ik roep…)
Maar help me, help me!
want ik heb nood aan hulp voor mij!
Heb medelijden,
en stem toe, om mij te helpen.
Albert Camus
vertaald uit de Carnets II, Paris (Gallimard) 1964, p 178 ,211 ,45).
(P.S: mon mari est ingénieur, et mon fils, futur ingénieur..)
Bon dimanche à tous,
et j’ajoute: http://eucharistiemisericor.free.fr/index.php
Pour ce qui est de la position de Bush, au passage, et j’en finirai ici, je rappelle qu’il a été élu par le peuple américain pour défendre les intérêts de son peuple. Et qu’il aurait pu à bon droit être considéré comme un traitre et exécuté s’il n’avait pas fait ce pourquoi le peuple avait placé sa confiance en lui. A vrai dire, quand bien même eut-il partagé le point de vue de Paul, il aurait dû soit démissionner soit prendre sur lui et faire fi de ses croyances personnelles. La question de savoir si la torture est un dispositif approprié pour défendre ces mêmes intérêts, sur le plan technique, est une autre question. Tout comme le fait que cette guerre est parfaitement injuste (ce qu’elle est, au demeurant). Faut-il plus de courage pour renier ses convictions au profit de ceux qui vous ont fait confiance ou pour les assumer contre ceux qui vous ont fait confiance? Je n’en sais rien. Si l’on suivait l’argument de Paul, tel qu’il est formulé, alors nous serions tous allemand aujourd’hui. Il n’y aurait tout simplement pas eu de résistants, ces derniers étant tenus de ne pas considérer la vie des français comme plus importante que celle des soldats allemands. Mon sentiment est que Paul fait surtout en ligne de compte des arguments ayant trait à la moralité de l’intervention américaine stricto sensu (et de ce point de vue je le suis complètement), mais qu’il donne des raisons qui ne sont pas les bonnes pour rendre compte de l’intuition morale qui est la sienne (l’égale dignité de principe de toute vie humaine, qui nous conduit in fine à des discussions concrètes difficiles sur la valeur du pacifisme, le paradoxe du pacifiste, les limites de la raison d’Etat dans une démocratie, « l’éthique des champ de bataille » (sic), et in fine le conflit entre l’individu (croyant, humaniste athée) et le citoyen ).
Tahar Ben Jelloun
Excellent papier. Tout est dit. Merci de nous l’avoir signalé.
Oui, instructif.
Il doit bien y avoir une étude sociologique sur les USA concernant l’allongement de la durée de vie et l’évolution du pourcentage de personnes âgées dans les emplois.
Ceci dit, comme la mise à plat du travail, il faut aussi une mise à plat de la convivialité avec les personnes âgées, chassés des foyers des famille « nucléaire » (parents+enfants seulement) vers soit une vie trop autonome soit trop dépendante en maison de retraite. Comment mettre en harmonie leur savoir-vivre & savoir-faire accumulé avec la vie de toute la société ?
A toute petite échelle, je crois qu’il y a eu des tentatives de village-maison-de-retraite « fusionnés », c’est à dire de lotissement où les maisons sont en deux morceaux à peu près jointifs, et où la famille du morceau familial s’engage à faire vivre à sa table le pensionné du morceau joint, et il ya plusieurs maisons pour qu’on puisse quand même échapper à la routine absolue (sortir au spectacle par exemple) avec des avantages même (garder des jeunes enfants).
Ca rappelle quelques fonctionnalités du kibboutz,….demandons à Amos Oz ce qu’il en pense.
Mais qui ne se souvient de ce terrible été où 17 OOO vieux périrent, en France , dans des conditions épouvantables peut-être auraient-ils préférés rendre la monnaie dans un supermarché. Le lyrisme pro-système de santé cocoricolore de Monsieur Ben Jelloun l’aveugle . Le sort de nombreux vieux pauvres retraités américains est certainement peu enviable mais il n’est certainement pas besoin de montrer les maisons de retraites françaises en exemple?…surtout que de nombreuses enquêtes démontrent que les mauvais traitements n’y sont pas exceptionnels.
Le lien ne fonctionnant pas j’ai trouvé cet article sur Wikipédia qui situe la maltraitance aux environs de 70% des maisons de retraite.
immense comme toujours
Pour des esprits confus, pour des esprits égarés, qui cherchent à égarer, pour tous ceux qui ne seraient pas de bonne volonté, pour tous ceux qui ne comprennent pas, qui ne comprendront peut-être jamais, pour tous ceux qui ne savent pas, qui se sont trompés, qui sont manipulés, indignés, et aussi pour ceux qui veulent le bien:
Quand j’appelle, réponds-moi, Dieu, ma justice!
Dans la détresse tu m’as soulagé;
par pitié, écoute ma prière.
Hommes, jusqu’où irez-vous dans le mépris de ma gloire,
l’amour du vide
et la poursuite du mensonge?
Sachez que le SEIGNEUR a mis à part son fidèle;
quand j’appelle le SEIGNEUR, il m’écoute.
Frémissez et ne péchez pas;
sur votre lit réfléchissez, et taisez-vous.
Offrez les sacrifices prescrits,
et comptez sur le SEIGNEUR.
Ils sont nombreux à dire: « Qui nous fera voir le bonheur? »
– Fais lever sur nous la lumière de ta face, SEIGNEUR! –
Tu m’as mis plus de joie au coeur
qu’au temps où abondaient leur blé et leur vin.
Pareillement comblé, je me couche et m’endors,
car toi seul, SEIGNEUR, me fais demeurer en sécurité.
Psaume 4
et encore une belle prière de Jean Guehenno dans « Changer la vie:
Seigneur, je ne demande rien pour moi.
Je ne demande pas les biens de ce monde.
Faites seulement, Seigneur,
que toutes les âmes et la mienne
aient l’intention de bien faire.
C’est courageux de votre part Anne de poster ce genre de choses,
La plainte d’un évèque de nos jours : Partout où Jésus passait, il y avait plus grande révolution concrète dans les coeurs et les esprits, moins de caisses à renflouer car il n’était plus du tout question d’économie, d’argent avant tout, pourtant moi qui est bien appris la savante théologie, partout où je vais on me sert le thé et biscuits !
Les gens de nos jours comme hier ne veulent surtout pas suivre les bons conseils des sages, Jésus ce n’est qu’une vieille légende de notre histoire comme tant d’autres esprits bien oubliés, pas bon pour le commerce mondial des êtres d’écouter d’abord les sages résistants. Vous vous imaginez vous en train de discuter avec un revenant et autre prophète du livre, personne dans le monde actuel ni dans l’histoire n’a réussi a ressusciter d’entre les morts, quand bien même la science ferait un plus grand de géant dans plusieurs siècles ça ne sera jamais possible, un point c’est tout circulez y a rien à voir, la vie éternelle tout cela n’est donc qu’un mythe de vieilles bonnes femmes ou rêveurs, allons, allons Anne, priez donc constamment le politique, pour le boire, le manger et la sécurité d’abord les valeurs du monde.
Le Dieu du commerce n’est surtout pas là dans la résistance, il préfère bien plus spéculer en bourse, ça c’est bien plus concret pour le bon confort de nos élites mondiales. Les athés n’ont pas toujours tort, la plupart des gens hélas ont assez de religion pour haïr les païens, mais pas assez pour aimer et pardonner les fautes ceux qui préfèrent encore nous faire le bien
à leur manière.
Dieu a tant aimer le monde, qu’il a voulu parfois un peu souffrir en prenant plus grande condition humaine, afin de mieux montrer par là qu’il n’en sera pas toujours ainsi dans l’histoire des êtres, moi j’y crois les marchands de la terre n’auront pas toujours le dessus.
Si ça se trouve l’homme moderne aussi marchand soit-il ne se montrera jamais le meilleur représentant spirituel de l’espèce humaine dans tout l’histoire, à quoi ressembleront les
gens du lointain futur ? Et les autres plans de l’existence et de la vie dans d’autres mondes ?