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140 réponses à “Le temps qu’il fait, le 5 février 2010”
« Sovereign debt issues will make markets nervous …. »
Roubini sur Bloomberg (on sourit plus sur le plateau)
il rajoute le Japon a votre liste et n’oublie pas les USA bien sur
toujours pas d’émission FR3
non seulement vous avez le droit de traiter les misérables comptables pour ce qu’ils sont, boutiquiers gérant péniblement un budget, mais soyez assuré que vous en avez le devoir
contrairement à ce qui avait été dit par l’un d’entre nous, les mass merdia organisent des pugilats et non des confrontations d’idées
il faut être organisé pour placer ses uppercut
et prendre prétexte du moindre propos pour y raccrocher le droit, le gauche
bien entendu, on ne vous a pas laissé l’espace pour venir frapper avec le recul suffisant et donc la force qui aurait déstabilisé leur tranquillité repue de verbiage ligneux.
si dans l’arène, on vous cantonne dans un petit carré, il vous reste la possibilité d’employer le déploiement de votre adversaire, soulignant point par point son incohérence et son incapacité à prévoir.
je vous ai trouvé beau dans votre colère et très élégant
Félicitations Mr Jorion, vous êtes le meilleur. Il est quand même stupéfiant d’entendre un responsable de notre pays dire, en introduction au débat, que la situation économique et financière ne l’empêche pas de dormir, devant des invités médusés. Comme dit un intervenant, qu’avons nous donc fait de si mal pour mériter de tels gens au gouvernement et pour ne voir aucune alternative à cette clique de postulants à la gouvernance de la France. Cordialement, j’attends avec impatience toutes vos interventions. Gisèle
Une perle ?
» Il est quand même stupéfiant d’entendre un responsable de notre pays dire, en introduction au débat, que la situation économique et financière ne l’empêche pas de dormir, devant des invités médusés. »
OUI C’EST BIEN CA LE PROBLEME CELA NE LES EMPÊCHE PAS ENCORE DE DORMIR comment voulez vous alors …..
comme quoi je m’étais pas trop trompé au sujet de ces gens là.
Voici un graphique concernant le chômage aux Etats-Unis :
C’est le nombre de demandeurs d’emploi découragés qui sortent chaque mois des statistiques officielles :
Business.theatlantic
En septembre 2009, au total, 700 000 demandeurs d’emploi découragés sont sortis des statistiques officielles.
En janvier 2010, au total, 1,1 million de demandeurs d’emploi découragés sont sortis des statistiques officielles.
Merci Mr jorion pour votre blog, vos propos sont souvent visionnaires (merci aussi à Mr Leclerc), tout ce déroule comme prévu : on a renfloué les banques , les banques demandent aux états de faire des efforts qu’ils sont incapables de faire au vu des renflouements faits ! Demain peut être la fin du dollar, de l’euro donc de l’europe , enfin peut être !
Tout s’accélere et le tout peut ne ressembler à rien de connu ! A Bas le libéralisme et vive le progrès social !
Enfin bon, en ce moment, il vaut mieux se préparer à une décennie de régression sociale généralisée…
Paul,
Je n’arrive pas à voir le débat d’hier soir en entier (Bizarre non ??? On en viendrait presque à se poser des questions…), mais ce que j’ai pu voir de votre prestation sur youtube laisse à penser que c’était musclé ! C’est bien. « Dos Cojones, por favor ! ». « A quoi ça sert Monsieur ? », la question type qu’il faut poser à tous les Shadoks 🙂 ! Le plus drôle, c’est qu’il avait l’air d’en avoir conscience le ministre 🙂 : c’est bien de le lui avoir rappelé, s’il remet la main sur sa conscience il risque d’avoir quelques nuits d’insomnies…ou de démissionner et de suivre le parcours de mère Teresa !
De ce que j’ai pu voir de l’émission donc (je ne sais pas par exemple qui sont ces gens avec lesquels vous ne vouliez pas être discourtois…) : 19/20. Une pointe d’énervement certes, mais qui dans le ton traduisait la sincérité.
Bon, j’espère que Pierre-Yves D, que VOUS méritez bien appréciera mon introduction 🙂 !
Alors, aujourd’hui vous parlez de l’actualité, de l’IPEP et d’un cadre de réflexion plus général que celui de l’économie.
L’actualité laisse à penser que M. Woerth et consorts auront du mal à continuer de vous écarter d’une pichenette.
L’IPEP : en gros, « si l’on introduit une mesure du type IPEP, la finance tomberait alors de 70 à 80%, et cet argent récupéré sera disponible pour faire des choses socialement utiles… ». Afin d’anticiper une éventuelle réponse du système conservateur, afin de préparer le plus grand nombre à s’opposer à une éventuelle nouvelle tentative de sauver son cadre, vous serait-il possible, à des fins pédagogiques donc, de préciser : quelle somme cela représenterait-il pour la France, pour l’Europe ; quels exemples de choses socialement utiles ; ces choses socialement utiles pourraient-elles concerner les pays sous-développés et si oui comment ? ; l’équilibre social y survivrait-il ? (à savoir que la ponction énorme de la finance sur l’économie réelle a un « intérêt » politique en démocratie : elle garantit l’asservissement de la population au travail, ce qui est un facteur de paix sociale qu’il serait dangereux de négliger), etc. 🙂 (le sourire c’est pour le etc., pas pour les questions).
Envisagez-vous qu’un cadre de réflexion humaniste puisse englober le cadre des sciences humaines ? Dans ce cadre-là, la remise en état de l’économie peut certes apporter un mieux à l’homme mais elle ne peut ni changer le regard de l’homme sur sa vie, sur son humanité, ni le pousser à envisager son humanisme. A moins que les « choses socialement utiles » n’en tiennent compte et ne se réduisent pas à de simples aménagements dans l’équilibre social actuel.
Merci.
PS : malgré toutes les difficultés à convaincre qui semblent s’annoncer (un exemple : le « c..cc…c’est absurde » de F. de Closets en réponse à votre première intervention, qui a l’air comme un poisson dans l’eau dans ce système qu’il critique pour mieux en profiter !), je reste persuadé que la prise de conscience est là, juste derrière la porte. Le peuple, surtout des pays sous-développés ou émergents, ne réfléchit pas dans le cadre économique et (p)ressent l’absurdité du système économique prisonnier de son propre cadre, puisqu’il l’observe d’un cadre humain.
J’espère donc simplement (Pierre-Yves : j’espère, je ne dénigre pas 🙂 !) que mon rêve de vivre dans une société éveillée pourra se réaliser…ici, et qu’il ne sera pas repoussé de quelque dizaine, centaine ou millier d’années parce que l’homme aura cru s’être sauvé en sauvant son cadre économique.
Bon, ben il ne me reste qu’à appuyer Fab.
Il semble qu’on partage pas mal de points tous les 2.
Paul, si Fab est OK, moi je suis OK pour que vous lui communiquiez mon e-mail.
Fab,
merci de m’avoir relu, il fallait lire : » Paul qui le mérite bien » et non » Paul qui me mérite bien ». Bien entendu !
Je suis vraiment confus. 😉
A propos du cadre de réflexion humaniste, cela fait longtemps que je ne me pose plus la question concernant la démarche de Paul.
La modification du rapport de force au sein de la triade investisseurs-entrepreneurs-salariés n’est pas une fin en soi, mais une des conditions pour un changement de société, de civilisation. Paul évoque d’ailleurs bien d’autres sujets …. qui ont un lien plus direct avec l’humanisme, même si désirer plus de justice sociale m’apparaît déjà comme une démarche humaniste.
La question de savoir quelles résistances s’opposeraient au processus n’a pas de sens dans la mesure où accepter le maintien du cadre économico-financier existant est en soi une impasse financière, économique, sociale, écologique, humaine.
Selon moi la modification du rapport de forces est comme je l’ai déjà dit à plusieurs reprises sur ce blog tout à la fois un point d’aboutissement et un commencement. Si l’on veut bien admettre que les idées ont des conséquences. Si donc les mesures préconisées par Paul (dont un certain nombre sont aussi communes à celle proposées par d’autres personnalités) sont adoptées c’est qu’une partie de l »intelligentsia économique et politique aura fait sienne ces idées parce que les idées ont des conséquences et parce que la situation qui prévaut encore sera devenue intenable. Bref les mesures s’imposeront comme un fruit mûr qui tombe de son arbre, la pression populaire faisant également son oeuvre (voir billet : la prise de conscience).
Cela serait aussi un commencement parce que la substitution d’un cadre de pensée à un autre induite par les mesures qui seraient prises attesterait, provoquerait l’émergence d’une nouvelle représentation des relations entre les choses, qui elle-même favoriserait la une rupture historique, dont dimension économique ne serait qu’un aspect. L’histoire n’est pas linéaire. Elle est fait en quelques occasions de brusques accélérations, irréversibles. Cela a déjà été dit sur ce blog, mais souvenez vous par exemple qu’une mesure aussi simple que l’apparition des clôtures (enclosure en anglais) en lieu est place des terrains communaux à la fin du moyen age, à l’orée de la naissance du capitalisme, marqua la fin de la féodalité tandis que se mettait en place le cadre d’une société libérale, axée sur la propriété privée, universelle, et négociable.
En conclusion, je ne pense pas que le « système » soit susceptible d’être aménagé. Parce que dans de nombreux domaines on atteint des seuils au delà desquels le système déraille. Le système financier en l’état n’est plus tenable, car on prévoie de nouvelles crises dans la crise. Or d’autres cycles énergétiques, climatiques vont venir interférer avec la crise économico-financière, achevant le dérèglement du système.
Concernant les pays sous-développés, ils se trouveront dans une nouvelle configuration. La mise en application des nouvelles règles, signera ipso facto l’arrêt de mort de la logique prédatrice globale, celle qui met le principe de concurrence généralisée avant celui de la complémentarité, de la contribution, de la coopération. La concurrence, les rapports de force ne disparaîtront pas complètement si c’est à cela qui vous pensez. Une violence globalisée pourrait se reporter sur des espaces plus restreints, c’est une possibilité, mais rien n’indique qu’elle soit plus probable qu’une autre. Ne brûlons pas les étapes. A chaque phase de la crise suffit sa pensée pragmatique du changement vers un meilleur. Rien n’interdit d’anticiper comme vous le faites, mais pourquoi faudrait-il que l’avenir soit déjà écrit ?
Vincent WALLON,
🙂
Paul, no souci pour donner mon e-mail à VW…bien que des échanges visibles me semblent plus profitables.
Merci
Pierre-Yves,
Je vous ai compris. Je ne suis pas sûr que le contraire soit vrai. Etes-vous d’accord, oui ou non, avec cette idée, j’allais dire cette vérité, que le système tel qu’il fonctionne aujourd’hui garantit sa sécurité par l’asservissement du plus grand nombre au/par le travail [un exemple (que j’ai déjà exposé) : la finance ponctionne une partie de la richesse produite obligeant ceux qui l’ont produite à travailler encore et encore. Remplacez finance par dette, ça marche aussi.] ? Etes-vous d’accord donc avec cette idée que le système nous occupe, le corps et l’esprit, par le travail et qu’il garantit ainsi sa propre sécurité ?
Dans l’attente votre réponse, que de tout coeur j’espère positive,
Veuillez croire, etc 🙂 !
Bon. Imaginons que votre réponse soit positive. Qui est ce système ? D’où vient-il ?…
Dans l’attente votre réponse…
Il ne semble pas déraisonnable de penser qu’un système puisse être l’émanation de ce que ressent une population à un moment donné, et que donc, par nécessité, pour sa survie et pour se rassurer, elle perpétue. Il ne semble pas non plus déraisonnable d’imaginer qu’avec le temps cette conviction puisse perdre de sa force : appelons ce phénomène une crise de civilisation.
Nous, occidentaux, avons remisé la spiritualité – la spiritualité n’est pas nécessairement liée à la religion – derrière cette conviction que nous avons eue un jour que la vie était synonyme de travail, donc de consommation, donc…vous connaissez la suite, nous l’avons sous les yeux. Et aujourd’hui nous nous en mordons les dents !
Or, la crainte que je tente (vainement ?) d’exprimer ici, est de voir cette prise de conscience disparaître de nouveau pour quelque temps derrière les solutions que l’on apportera à la crise économique. Certes ces solutions apporteront du mieux à l’économie, et donc à l’homme je vous l’accorde*, mais après ? Il y a des millions d’individus qui occupent des emplois dénués de sens moral, l’économie pourra « repartir » sur de meilleurs rails, de nouvelles productions pourront-être mises en place, d’autres devront l’être…mais, où seront alors les voix de ceux qui, de plus en plus nombreux, ressentent le besoin intérieur, individuel, d’un autre système ? Ces emplois dénués de sens n’y survivraient pas, or les solutions économiques proposées aujourd’hui ne tiennent à aucun moment compte de cette disparition. Et c’est ce qui m’inquiète : parce que la prise de conscience peut disparaître (être de nouveau cachée, à nouveau enfouie pour un temps) ET parce qu’elle peut malgré tout percer sans que nous ne nous y soyons préparés. Des deux alternatives je ne sais laquelle est préférable : entre la peste et le choléra…
Pour finir, je ne vois pas en quoi le fait que l’avenir soit écrit ou pas change quoique ce soit à cette réflexion : j’aurais pu vous faire la même remarque.
Dans l’attente etc.,
Bien à vous.
* « Je dois reconnaître qu’entre l’économie et l’éthique je ne trace aucune frontière précise, si tant est que je fasse la distinction. » Gandhi
Fab
j’ai bien saisi votre propos qui consiste à dire qu’une fois l’économie remise d’aplomb ou du moins sur la bonne voie, les gens se contenant du mieux qui est advenu par rapport à la situation antérieure, risquent d’oublier toutes les critiques que l’on peut faire du système en termes de conditions de travail, de contenu du travail et des buts du travail.
Notre divergence n’est pas sur ce point précis, car bien entendu je ne me satisferais pas que l’économie soit seulement remise sur les rails.
Mon point de désaccord avec vous c’est l’idée qu’une remise sur pied de l’économie n’aurait pas d’implications autres que celles, purement économiques, relatives au fonctionnement global du système.
Or comme j’avais essayé de vous le dire précédemment, la remise sur pied de l’économie impliquerait une mutation du système actuel telle que les conséquences ne pourraient pas être seulement économiques au sens où vous l’entendez au sens où vous entendez le mot économie, dans son acception étroite.
Aujourd’hui c’est le court-termisme qui prévaut. Or sortir du noeux des contradictions inhérentes au fonctionnement terminal du système actuel imposera une économie portée sur une nouvelle temporalité. Les conséquences seront immenses. Le rôle dévolu à la coopération, la mutualisation, la contribution prendront une plus grande dimension. Dans quelle proportion il est difficile de le prévoir,
cela parce que le monde qui viendra est conditionné par la façon dont on aura remis l’économie en place.
Je ne dis pas qu’il faut réfléchir dès aujourd’hui à la meilleure façon d’envisager la mutation, mais il me semble faux d’affirmer que les rapports sociaux aliénants seront reproduits dans le système nouveau. De nouveaux problèmes se poseront certainement, mais au moins de nouveaux espaces sociaux se dégageront pour l’initiative des acteurs sociaux, et cette fois plus seulement pour une minorité.
C’est du moins ce que je souhaite et qui me semble de l’ordre du possible si la transition ne se passe pas trop mal.
Rien n’interdit d’anticiper comme vous le faites, mais pourquoi faudrait-il que l’avenir soit déjà écrit ?
L’avenir des marchands de la terre avait été déjà bien prédit et écrit à l’avance, oui pourquoi il ne serait pas toujours bon pour l’homme que l’histoire soit toujours funeste et semblable à ces gens là, à de mêmes écritures économiques entre le choléra et la peste ? Si ça se trouve certaines choses ont été écrites autrefois afin de pouvoir mieux remonter le moral spirituel des troupes, croyants ou pas peu importe et cela à certains moments comme certaines époques, même si parfois de nos jours un très grand nombre de gens en finissent peu à peu par perdre l’espoir et la foi de croire qu’il soit possible dans l’histoire de l’homme, des hommes les plus avisés que cela ne soit pas toujours le cas.
Les marchands de la terre ne pourront pas toujours être en mesure de sauver leur vaine civilisation commerciale de la ruine !
Car sinon ce serait toujours la même histoire vu et entendu à l’antenne, plus de surprises, plus d’espoir, plus de joie.
On ne peut pas parler de « remise en état de l’économie » au sens où tout le monde l’entend aujourd’hui
Il faut tendre vers une réorientation
Je reviens ce soir après 22h
Concernant la perception que certains d’entre vous ont eu de la phrase de Paul Jorion où il a affirmé sa clairvoyance haut et fort, je dois dire à l’inverse de vous que son affirmation m’a simplement ravi. Il suffit, il faut maintenant prendre la parole et la légitimité selon les faits et non selon l’habitude. Il me semble que nous tous ici, et en dehors autour de nous, devons dire maintenant NON devant ce genre d’individu en place. Nous ne sommes pas des enfants qui attendent le droit de parler et qui sont intimidés par des « adultes » qui eux sauraient. Ils ne savent pas plus que nous et souvent ils savent moins engoncés qu’ils sont dans leurs salades permanentes, sans direction, sans pensée, sans horizon. Alors oui, il faut affirmer que nous savons, ce n’est pas de la prétention, ni du messianisme, nous savons et eux sont au pire des menteurs cupides ou mieux des crétins ignorants dangereux.
Il faut prendre la place, leur place, occuper l’espace, leur espace, devant eux, derrière eux, autour d’eux et finir en les délogeants à grands coups de pieds intellectuels et à la force de notre conviction en les renvoyant dans les cordes. Oui nous savons et il est donc légitime de leur fermer le clapet et le caquet à partir d’argument d’autorité. Ce n’est pas de la prétention, c’est du combat lorsque l’opposant est soit totalement idiot soit totalement hypocrite et pervers (souvent les deux en même temps en général) et qu’il y a le feu au lac !
Quand on explique que la politique libérale menée engendre le saccage du système social et qu’on vous rétorque d’un côté que vous n’êtes pas fier de ce système pour le critiquer ainsi et qu’en outre en arrière fond un vieux débris sénile qui jacasse sur tout comme un âne vous dit que « c’est absurde » de parler d’ultralibéralisme en France,
On lui,leur dit simple : LA FERME ! (Ce qui reste d’une courtoisie extraordinaire selon moi…)
Un autre article invraisemblable: NYT Seeking a Safer Way to Securitization
merci
je parcours le site à grande vitesse, (je n’étais pas chez moi, pas d’ordi, d’internet … )
merci à Paul, un grand merci
NB d’autant plus que ma soeur vit en Grèce, mon frère à Tahiti ….