Le maire d’Auxerre est Guy Férez.
Compte rendu de ma communication aux Entretiens d’Auxerre par Benoit Ruelle sur rfi.fr
*Godot est mort !*
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46 réponses à “Le temps qu’il fait, le 8 novembre 2009”
Ma réponse à la réponse de Paul Jorion:
Cher Paul,
J’admets que la monnaie fondante agirait sur un « mode indirect », comme vous le dites!
Le « mode direct » serait sans doute une imposition convenable des plus fortunés, une imposition telle qu’elle serait réellement et rapidement redistributive.
Or, nous porrions proposer une telle chose seulement si nous nous attaquons d’abord à la fonction de thésaurisation de la monnaie, car le premier et le principal paradis fiscal est quand même le matelas!
Qui pourrait empêcher ceux qui redoutent le fisc de retirer simplement de la monnaie en grande quantité pour la retirer du circuit, pour soustraire ainsi des parts substantielles de leur fortune au fisc,organisant de ce fait une ambiance déflationniste telle que la planche à billets aurait du mal à suivre sans grands risques! Et la déflation serait alors extrêmement favorable aux riches (créanciers) et mortelle aux débiteurs!
Par ailleurs, la circulation monétaires stabilisée grâce à la monnaie fondante se révèlerait rapidement redistributive, car elle stimule les transactions.
Et, comme je vous ai signalé, cela se ferait en dehors de toute nécessité de croissance, car la monnaie fondante ferait disparaître la rente monétaire ou l’intérêt monétaire net et ferait disparaître la nécessité de crître pour simplement maintenir une paix sociale à court terme!
A ce moment-là, les grandes fortunes n’auraient tout simplement plus les moyens de grossir, car tous les placements qui devront se faire dès lors pousseraient tous les autres actifs à la hausse et finiraient par les rendre peu disponibles et peu « rentables » pour les investisseurs, moyennant quoi ils suivraient la courbe de la baisse des intérêts de la monnaie : tous les autres capitaux baisseraient dans leur rendement – au bénéfice exclusif des seuls revenus du travail! le foncier? Il est clair qu’un taxe foncière devra accompagner cela, mais elle est simple à êttre en place, car on sait toujours à qui appartien un bout de terre : le cadastre!
Autrement dit, le seul travail – et sans autre adjuvant réglementaire (telle est l’opinion de Gesell et je le suis sur ce point) – finirait par entamer définitivement la rente du capital, dès lors qu’il est libéré de l’intérêt de ce même capital. Je reconnais effectivement des accents « proudhoniens » dans ce raisonnement, mais en commençant par la monnaie fondante on fait quand même l’inverse de ce qui avait été préconisé par Proudhon!
Et cela marcherait sans doute possible!
Je dirai même que les banques centrales seront peut-être bientôt « contraintes » d’envisager une une telle solution, car on voit bien qu’elles n’ont tout simplement plus d’autre recours pour maintenir une circulation monétaire satisfaisante! La difficulté est avant tout dans la nouveauté culturelle d’une telle approche!
Vous suivez mieux que moi l’actualité pour constater que de grosses faillites bancaires sont en vue avnat fin 2009, et la crise systémique qui suivra va accéler la crise sociale qui sera de toute façon aigue dès début 2010 et les nouveaux budgets qui s’annoncent!
Bien à vous, jf