La France sortie de la récession ? Les primes à la casse. L’immobilier américain. Le chômage et l’économie.
(suite) (« À tout seigneur tout honneur ») PJ : « il n’est pas exclu du tout que je me retrouve dans la…
*Godot est mort !*
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72 réponses à “Le temps qu’il fait, le 14 août 2009”
77 en fait…
http://www.fdic.gov/bank/individual/failed/banklist.html
@ Jorion
Quand passez-vous sur BFM-Radio ?
BFM, USA Hebdo, le samedi 8 août de 7h à 8h
Tout semblait aller pour le mieux dans le meilleur des mondes matérialistes. Le patrimoine des Français doublait en trente ans, le confort se répandait, les avantages sociaux progressaient, la médecine avançait à pas de géant. Inaperçu était le déploiement de l’industrie asiatique, dont le travail allait peu à peu remplacer le nôtre. Inaperçu était l’allongement de la vie, qui allait alourdir les charges prestataires. Inaperçu était l’endettement général, qui allait déclencher la crise actuelle, le commerce de l’argent de compte (Rév d’Arès ii/10-19, xi/3-4, xxvi/2, etc.), argent emprunté facilement, mais qui n’existait pas en réalité.
Les avantages sociaux régresseront. L’argent, le vrai, sera moins facile à gagner et à emprunter. Le travail se fera plus rare: 80.000 chômeurs de plus en février en France et des précisions alarmantes: 50.000.000 de chômeurs prévus dans le monde industriel dans les deux ans qui viennent, ce qui est énorme!
Dans un pays où l’on fabrique de moins en moins de produits industriels, qui sont de plus en plus sous-traités dans des pays lointains, les grands patrons ne sont plus que des super-agents de relations publiques pour négocier avec Polonais, Tchèques, Roumains, Chinois, Indiens, Indonésiens, etc. La capacité en super-communication n’étant pas donnée à tout le monde, ces grands patrons se font payer très cher. La Bourse et les grands spéculateurs ont acquis un tel pouvoir qu’ils influencent tous les cours et le pétrole en quelques mois passe de 30 à150 Dollars/barril et redescend sans logique apparente de 150 à 50 Dollars. Plus rien n’a de valeur stable, la valeur n’étant plus la marchandise – l’honnête coût de l’exploitation et de la distribution – mais le maximum qu’on peut sans vergogne en tirer à un moment donné.
Certes, on peut quand même vivre dans l’appauvrissement et les problèmes, mais ceux-ci signalent actuellement le début d’une dégringolade aux conséquences tout à fait imprévisibles sur un humain qui a perdu toute philosophie face aux aléas de l’Histoire, parce qu’il ne voit plus depuis longtemps qu’il peut être plus fort que l’Histoire.
La population croit ne rien devoir craindre du gouvernement d’un pays démocratique sans voir que celui-ci légifère sans cesse et ainsi réduit chaque jour son intelligence, déjà devenue faible lumignon (Rév d’Arès 32/5) côté spirituel, et ses libertés, de sorte qu’elle devra un jour se rendre à nouveau absolument libre (Rév d’Arès 10/10).
Comment? C’est toute la question.
Pour l’heure, la population déçue s’est déjà créé et se créera de plus en plus ses propres rêves et folies. Elle en exigera, de plus en plus souvent et en pure perte, la réalisation dans des manifestations de toutes sortes, poussée par des machines à penser, politiques, médiatiques, etc., sur lesquelles elle n’a aucun contrôle.
La déception ne peut plus spontanément inspirer à une population désipritualisée les bonnes et justes intentions comme la pénitence, le pardon, l’amour, l’intelligence spirituelle, etc. Pour cela il faut un éveil provoqué de la conscience. C’est l’objet de notre mission.
La déception porte toujours une population déspiritualisée à de mauvaises tentations, certaines violentes comme la vengeance (Rév d’Arès 27/9) contre les présumés coupables, la révolution et la dictature idéologique, voire même la guerre, et d’autres individuelles et pacifiques, mais non moins pernicieuses, comme la tentation de se défausser de ses déceptions sur d’autres – en les critiquant et.ou les abandonnant –, sur ceux en qui on croit voir les fautifs du marasme ou de l’échec, les soi-disant indécrottables immobilistes, incapables, bornés ou petits chefs, une tentation qui parfois se voit jusque dans nos assemblées de Pèlerins d’Arès, dans notre génération de pénitents débutants qui présentent encore beaucoup des péchés de la population générale. Car la spiritualisation, dont la toujours difficile fraternisation est une clé, doit commencer par nous-mêmes.
L’homme a rejeté la vie spirituelle, considérée comme démythifiée par la science, les progrès sociaux, et ainsi prouvée incroyable. Or, l’incroyable va devoir devenir le nécessaire.
Je ne me réjouis pas du reflux économique. L’homme pouvait retrouver la vie spirituelle sans que sa vie matérielle confortable soit menacée, les deux étant légitimes. Mais, devenu incapable de développer l’une et l’autre en même temps, il est clair que c’est dans la vie spirituelle – que La Révélation d’Arès appelle la Vie tout court (24/3-5) – que l’homme trouvera les bases les plus sûres et les plus solides de bonheur.
L’homme ne croit plus au miracle socialo-communiste évaporé avec le « bloc de l’Est ». Maintenant il ne croit plus au miracle capitaliste ou libéral. Il comprend que ces deux miracles ont un seul et même prédateur, le système, qui officie à la tête de la chaîne financière comme il avait officié à la tête de la chaîne collectiviste. Ce qu’il faut remplacer, c’est bien le système, le système d’Adam (Rév d’Arès 2/1-5), et non le matérialisme puisque nous sommes nous-mêmes matière. Matière organique qu’il faut respiritualiser comme le Créateur spiritualisa un animal pensant – l’homme qui couchait sur l’ombre (Rév d’Arès vii/2) – pour en faire Adam en Éden (vii/5), l’Adam d’avant la chute (Rév d’Arès vii/7-11).
Nous devons étendre et affiner sans cesse notre mission de spiritualisation, parce que la religion ne le fera pas, puisque depuis des siècles elle ne l’a pas fait. Nous ne laisserons pas les hommes à jamais incapables de comprendre que les bases du bonheur sont ailleurs que dans le système et dans ses lois, de gauche ou de droite, et ailleurs que dans l’espérance passive et résignée de la Miséricorde (Rév d’Arès 16/15) et d’un paradis post mortem.
Faire prendre au vivant terrestre conscience de sa vocation spirituelle est très difficile. L’homme s’en est tellement éloigné que la seule hypothèse du spirituel n’effleure, pour l’heure, que quelques esprits ici et là. Aucun doute, la mission de spiritualisation est chiendent. On demande à des taupes de se changer en aigles (Rév d’Arès 23/2). Devenir des aigles? La taupe n’y voit même pas une utopie absolue, car penser à une utopie, c’est déjà penser. L’homme de la masse ne pense pas plus à devenir spirituel qu’a devenir végétal ou gaz.
C’est pourtant cette gageure que, par La Révélation d’Arès, le Créateur nous envoie accomplir.
Nous serons tous, si nous le voulons, créateurs d’un monde changé (Rév d’Arès 28/7). Les religions ont beau jeu de dire que c’est pure utopie et que le plus qu’un croyant puisse espérer est une mort et une éternité heureuses. La Révélation d’Arès nous rappelle que l’homme n’a pas été créé pour mourir, que la mort est une anomalie, due au péché cumulatif. L’homme a été créé pour être chair, esprit et âme (Rév d’Arès 17/7) inséparés sur la Terre. Il a été créé pour un bonheur terrestre que seule la Vie spirituelle (Rév d’Arès 24/3-5), produit de la pénitence, peut animer dans sa complexité vivante.
Que le monde change avant que survienne le péché des péchés (Rév d’Arès 38/2), le mal définitivement triomphant et que le monde ne s’autodétruise !
Anatine semble croire a l action, il s impatiente de l absence d’ initiative concrète.
Destin propose un changement individuel, qui n est pas une action, mais une forme d’ être ou façon d’ être individuelle, conforme à sa croyance.
Ainsi, certains n imaginent pas de changement sans action, d’ autres pas de changement sans croyance spirituelle.
Les deux croient en leur « religion » (celle ci de l action, celle là plus spirituelle, révélée).
Il est probable que vont fleurir partout des prophètes de ces religions, comment s y retrouver, comment viser juste et ne pas être emmené sur de faux chemins, ceux ou la contradiction interne apparaît trop tard ? Ceux qui semblent viser juste, pour seulement mieux vous perdre ?
Comment être perspicace dans ce monde où le mensonge s insinue dans la moindre tentative d’ approche du vrai, afin de toujours dévier le trait de sa cible véritable ?
Il faut commencer par soi même et ses propres contradictions, avec une autre logique que vrai ou faux, reconnaitre la parcelle de vérité qui existe dans un autre point de vue, a l intérieur de son cadre.
La cible est cette parcelle de vérité.
@Tique
Pas d’impatience réellement 🙂 Il y a plus de 10 ans que je conduis un projet et je sais que nombreux sont
ceux qui font de même (les créatifs culturels : cf Wikipedia). J’ai un adage : « Donner du sens à votre projet
est essentiel car c’est lui qui vous transforme », la lien entre action et transformation personnelle.
Pour réagir à la suite de votre propos, l’arrivée de ces nouveaux prophetes n’est pas probable mais certaine.
Je vous rejoins sur la vérité et je suis sensible à une démarche personnelle qu’exprime si bien le bouddhiste…
A cette phase de notre histoire, il y a nécessité a agir. Il n’y a pour moi aucun doute sur l’effondrement de notre
civilisation, cela prend simplement plus de temps que ne peut l’imaginer l’esprit. Il n’y a aucun interet à agir
sur la present pour toutes les raisons dont certaines sont decrites avec justesse dans ce blog. Il faut preparer
l’apres. Concretement, cela signifie batir un projet en parallele de notre societe, avec le soucis de la
coexistence mais pas du compromis.
Est –ce que le développement et la pratique d’une logique comme celle de Lupasco peuvent nous aider à cette fin ?
(Pour cette théorie, « si l’on multiplie à l’infini les valeurs intermédiaires entre deux contraires, ou encore les degrés de vérité, on peut remplacer cette infinité par un vecteur qui signifie le passage d’un contraire à l’autre. La manifestation progressive d’un contraire sera dite actualisation. Mais on peut aussi bien envisager cet événement comme la dynamique de l’autre contraire c’est-à-dire comme une désactualisation de celui-ci. Lupasco propose d’envisager que la désactualisation soit définie de façon positive. Le postulat qui fonde la logique du contradictoire (le principe d’antagonisme) énonce que toute actualisation est conjointe à une potentialisation antagoniste. Chaque état intermédiaire sera donc constitué d’une dynamique s’actualisant conjointe à sa dynamique antagoniste se potentialisant. Les valeurs peuvent ainsi être ramenées à différents moments de cette actualisation-potentialisation, et il paraît cette fois que chacune est constituée par un degré d’antagonisme entre deux non-contradictions opposées (actualisation et potentialisation). Chaque degré sera défini par trois paramètres : par l’actualisation et la potentialisation de chacun des contraires, et par son quantum d’antagonisme, alors que, dans la logique classique, il ne peut être défini que par son degré de vérité c’est-à-dire de sa non-contradiction. Le quantum d’antagonisme, c’est le contradictoire exclu des logiques traditionnelles, ainsi ré-introduit au coeur de toute expression logique.
Est exclue dans cette logique du contradictoire, l’actualisation absolue de la non-contradiction, car l’actualisation absolue d’une dynamique interdirait toute conjonction antagoniste. Ce postulat est conforté par les relations d’indétermination de Heisenberg qui montrent comment toute actualisation tend asymptotiquement vers la non-contradiction absolue mais sans jamais l’atteindre.»
cf : http://dominique.temple.perso.libertysurf.fr/lupasco.html#ancre245545)
Tigue
Comment être perspicace dans ce monde où le mensonge s insinue dans la moindre tentative d’ approche du vrai, afin de toujours dévier le trait de sa cible véritable ?
Il faut commencer par soi même et ses propres contradictions, avec une autre logique que vrai ou faux, reconnaitre la parcelle de vérité qui existe dans un autre point de vue, a l intérieur de son cadre.
La cible est cette parcelle de vérité. »
Je suis bien d’accord….
Je ne crois ABSOLUMENT pas en la religion qui n’est que politique (cf l’histoire), ni d’ailleurs en aucune gnose, gnome, philosophie qui limitent beaucoup trop la créativité de l’homme.
la respiritualisation de l’homme me paraît essentielle mais c’est dans la Liberté, le libre arbitre, il n’est pas question de religions la conscience individuelle qui doit impérativement évoluer vers une conscience collective…pour le Bien car nous vivons dans le monde « d’Adame » en ce moment où le mal se traduit par mille facettes, la susconsommation, une télé qui ne veut plus rien dire, des media muselés, etc.
L’embourgeoisement ne résulte pas d’un complot social, il n’est ni une philosophie matérialiste ni un vice. C’est un tissu autogénéré de peurs spécifiques: peur de manquer, peur d’être méjugé, peur de sortir du moule social, etc. C’est par ces peurs-là que la politique, les mass-media et la religion nous dominent. Riches ou pauvres, nous sommes presque tous embourgeoisés.
L’embourgeoisement s’encoconnait dans le fil de la religion et de sa sœur la politique. Il s’encoconne maintenant dans le fil de l’industrie et de sa sœur la banque. Ce cocon s’enroule déjà autour des Asiatiques, qui s’imaginent y rester bien au chaud. Les peurs qui tissent l’embourgeoisement s’universalisent: Notamment, la peur de perdre l’énergie et les gâteries dont la modicité dépendait jusqu’à présent de la misère des producteurs qui, par effet d’imitation, s’embourgeoisent à leur tour. Mais plus encore la peur que « l’Ordre » disparaisse et avec lui le bon rapport de l’argent, la sécurité sociale, la retraite, qui passent pour des « acquis » de la lutte sociale ou de la civilisation – les Égyptiens, Grecs et Romains antiques eurent leurs propres acquis, depuis longtemps évanouis –, mais qui ne sont qu’aubaines menacées d’extinction par l’instabilité du matérialisme, par nature grossier, instable et volcanique, que personne dans l’Histoire n’a jamais pu maîtriser.
Après les rivalités religieuses et politiques, voilà celles qu’organise le monde industriel et bancaire à son tour. Leur enjeu est tout autant incertain: Il n’y a jamais la bonne voiture, jamais le bon avion, jamais la bonne machine, jamais la bonne politique, jamais la bonne loi, jamais le bon taux de change, jamais le bon stock-exchange ; il faut toujours et toujours créer du nouveau, supposé meilleur, et qui naturellement coûte encore plus cher et ne satisfait personne.
L’impossible ne devenant jamais réalité, c’est l’impossible qui gouverne le monde. Alors, il n’y a pas d’avenir, les chevaux du « progrès » galopent vers rien. Seule la vie spirituelle peut raffiner, renforcer, stabiliser la vie, mais de vie spirituelle il n’y a que quelques frémissements dans la société, très dispersés ou même inaperçus
Certes, au milieu de ce monde embourgeoisé, des religieux prient et prêchent, des humanistes philosophent, des écologistes manifestent, mais leur défaite est déjà évidente, parce que l’idéal ne suffit pas, il faut aussi une force matérielle, concrète, pour combattre le matérialisme bourgeois, dont le réalisme submerge tout – À quoi rêvent même les « travailleurs », les classes populaires et plus encore le misérable tiers monde, sinon d’avoir des privilèges bourgeois bien concrets?
Concrètement, le seul moyen de vaincre l’embourgeoisement, c’est que chaque homme change sa vie objectivement, dans les faits, de sorte qu’il découvre dans l’amour, le pardon, la paix, la liberté et l’intelligence spirituelles, les plus hautes causes de joie et de fête , de bonheur et même d’intérêt matériel. Le changement personnel effectif, réel, des pénitents (= tout bonnement ceux qui changent en bien) engrènera le changement du monde ce que des technologies, des discours, des lois, des traités, des accords, n’ont jamais pu faire..
notre embourgeoisement –, peut-être la forme la plus pernicieuse du mal déguisé en bien et en raison avant qu’il ne survienne sous une autre forme: le péché des péchés. Comme un coin dans une souche pourrissante, nous devons par notre changement pénétrer cette récente, mais déjà trop vieille culture industrielle, qui, bien que répétitivement désillusionnée comme l’avaient été de précédentes civilisations, s’accrochera longtemps à la terre, parce que rien de bien convaincant ne vient l’en arracher.
Même si le prochain président des USA est Barrack Obama, qui ne sait que, malgré ses qualités, il ne sera jamais qu’un politicien et un bourgeois de plus, c’est-à-dire un espoir de moins pour le monde? Provisoirement c’est bien, mais idéalement c’est faire du surplace. Aucun espoir de justice, d’égalité, de richesse et de santé pour tout le monde sur terre, tant qu’une minorité prospère vivra sur une majorité sacrifiée. Aucun idéal général n’est réalisable par la politique, laquelle est toujours partisane. L’idéal général sera réalisé par l’homme de bien, croyant ou non, toutes races confondues, toutes frontières effacées, tous préjugés oubliés.
Le commentaire suivant vient d’être fait sur le blog en anglais. Il vous intéressera aussi si vous comprenez cette langue.
@Maitre Dong
« En France, quand j’achète un local commercial à crédit, je n’ai pas besoin de le « refinancer » au bout de quelques années. »
Il me semble qu’aux USA quand les banques accordent des crédits aux particuliers ou aux entreprises elles les financent à 90% grâce au marché financier (titrisations par exemple). Or il se trouve que ces financements n’ont pas en général les mêmes échéances que les crédits accordés aux clients des banques. On dit que les banques utilisent le canal des taux d’intérêt pour financer leurs crédits.
Pour plus de détail il faudrait que Paul nous fasse un billet spécial car pour ma part je ne sais pas aller plus loin.
Merci Christophe ! Je crois que Paul est effectivement en train de préparer une explication de cette technique financière peu pratiquée en France.
Non, ce ne sont pas des financements ésotériques. Je pense qu’il ‘agit du portage des spéculateurs, ou des promoteurs eux-mêmes, qui sont financés sur la période courant depuis le début de l’opération jusquà l’achèvement des travaux. Les uns et les autres doivent avoir trouvé les acheteurs finaux pour cette échéance. Sinon, ils sont dans la m…
« BNP Paribas: 49,9 millions d’euros à ses 10 salariés les mieux payés en 2008, selon Le Monde »
Mais c’est au titre de 2007, année « hors crise » donc ça va…
http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5h5MeVlp8slNoE2rD9ZNOlKUX44Fw
Une moyenne de seulement 5 millions par tête de pipe en période « normale » ? C’est de l’esclavagisme ! Suis bien content de ne pas être employé par cette banque 🙂
Voyons, et la solidarité, alors ?
@Noé 1408 10:34
Je vois pas naître un mouvement pour lutter contre le status quo, pas France ni en Allemagne. Les allemands voteront bientôt et ils voteront pour Merkel – c’est d’ores et déjà une chose acquise – qui reconte aux gens qu’il faut accepter la mondialisation économique et le capitalisme avec ses inégalités en terme de chances, que l’on ne peut y échapper, on ne peut rien y faire. Ce sera un choix quasi néo-libéral. Je pense plutôt à une mobilisation des mécanismes de défense (au sens psychanalytique du terme) chez la classe possédante, à une forte ségrégation sociale dans l’avenir proche et encore davantage de cloisonnements.
On March 23, 2009, the United States Federal Deposit Insurance Corporation
(FDIC), the Federal Reserve, and the United States Treasury Department announced the Public-Private Investment Program for Legacy Assets. The program is designed to provide liquidity for so-called « toxic assets » on the balance sheets of financial institutions. This program is one of the initiatives coming out of the implementation of the Troubled Asset Relief Program (TARP) as implemented by the U.S. Treasury under Secretary Timothy Geithner. The major stock market indexes in the United States rallied on the day of the announcement rising by over six percent with the shares of bank stocks leading the way. [1] As of early June 2009, the program has not been implemented yet and is considered delayed.[2]
Economist and Nobel Prize winner Paul Krugman has been very critical of this program arguing the non-recourse loans lead to a hidden subsidy that will be split by asset managers, banks’ shareholders and creditors. [4]
Banking analyst Meridith Whitney argues that banks will not sell bad assets at fair market values because they are reluctant to take asset write downs.[5] Removing toxic assets would also reduce the volatility of banks’ stock prices. Because stock is a call option on a firm’s assets, this lost volatility will hurt the stock price of distressed banks.Therefore, such banks will only sell toxic assets at above market prices. [6] The program has been hampered by the announcement by Standard & Poor’s that many eligible assets would be downgraded by the rating agency,
making them ineligible for the program. Federal Reserve of New York president William Dudley stated on June 4 that « there’s a huge administrative hurdle » to implementing the program.
1. « U.S. Expands Plan to Buy Banks’ Troubled Assets ». New York Times. March 24, 2009. http://www.nytimes.com/2009/03/24/business/economy/24bailout.html. Retrieved on February 12, 2009.
2. a b Shenn, Jody (2009-06-04). « Dudley’s TALF Comments Add Signs of a PPIP Stall ». http://www.bloomberg.com/apps/news?pid=newsarchive&sid=a2Wl7tAD6rEA. Retrieved on 2009-06-09.
3. « FACT SHEET PUBLIC-PRIVATE INVESTMENT PROGRAM ». U.S. Treasury. March 23, 2009. http://www.treas.gov/press/releases/reports/ppip_fact_sheet.pdf. Retrieved on March 26, 2009.
4. Paul Krugman (March 23, 2009). « Geithner plan arithmetic ». New York Times. http://krugman.blogs.nytimes.com/2009/03/23/geithner-plan-arithmetic/. Retrieved on March 27, 2009.
5. « Meredith Whitney: A Bad Bank Won’t Save Banks ». businessinsider.com. January 29, 2009. http://www.businessinsider.com/2009/1/meredith-whitney-a-bad-bank-wont-save-us. Retrieved on March 27, 2009.
6. « The Put Problem with Buying Toxic Assets ». SSRN.com. February 14, 2009. http://papers.ssrn.com/sol3/papers.cfm?abstract_id=1343625. Retrieved on February 15, 2009.
@ germanicus :
Je vous rejoins sur le point évoqué » je pense à une forte mobilisation chez classe possédante, à une forte ségrégation sociale et encore davatage de cloisonnements ».
J’ajouterai que les Plans de cette classe possédante sont déjà établis, que ce soit au niveau stratégique ( à 100 %) , tactiquement et opérationnellement ( de façon partielle pour ces 2 derniers ).
Et cette classe possédante se sert de tous ces appuis .
Je ne prendrai qu’un exemple : Le secteur de l’ASSURANCE . Les assureurs sont les futurs Appuis de choix pour la mise en oeuvre des Plans de la classe possédante .
Les liens entre ce secteur et la classe possédante vont se renforcer, surtout durant les vagues de dépressions, crise et instabilités qui s’annoncent … Et ils seront prêts à lancer leurs grandes offensives …. Une main mise totalitaire sur le politique, le religieux reconnu, l’economie, le financier, le scientifique, etc …..
ps : Dans un avenir plus ou moins proche, celui qui aura pour Appuis les Assureurs, contrôlera tout, selon sa propre vision, et pour satisfaire ses propres objectifs, son ego , etc….
Ils définiront les normes, les règlements, lois, qui régissent la vie du vivant et du non vivant !
A ce titre, les classes possédantes ( ceux qui sont les « véritables puissants » d’aujourd’hui…) ont plusieurs longueurs d’avance….
Alors que le Japon renoue avec la croissance au deuxième trimestre, le Nikkei perd quasiment 3%.
Etrange…
Une explication : « Le dollar est passé lundi largement sous le seuil crucial des 95 yens, sur lequel se sont basés la plupart des grands groupes japonais pour calculer leurs estimations de résultats annuels. Un billet vert sous les 95 yens signifie donc que ces résultats risquent d’être plus mauvais que prévu. »
http://www.romandie.com/ats/news/090817054238.kwl6gnml.asp