« Le Sens des Choses » de Stéphanie Bonvicini et Jacques Attali.
Le rôle des banques dans la crise : Patrick Combes et Paul Jorion
Podcast : ici.
*Godot est mort !*
« Le Sens des Choses » de Stéphanie Bonvicini et Jacques Attali.
Le rôle des banques dans la crise : Patrick Combes et Paul Jorion
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Bonsoir Arkao, il est vrai qu’au niveau géologie, nous n’avons peut-être pas tout découvert. Il y a peut-être des éléments…
« L’enfer est pavé de bonnes intentions..! » ‘ L’Europe’ tâche de règlementer une pyramide de Ponzi.. https://www.lesoir.be/644653/article/2024-12-25/trois-questions-pour-comprendre-le-nouveau-reglement-europeen-sur-les Jusqu’au « toBigtoFail »..? Bon Noël…
La géologie c’est fascinant. A regretter que notre temps de vie ici bas est bien insuffisant pour explorer tout ce…
Hé ! Hé ! Cher Paul, vous nous avez tous calés, vous avez gagné la première Manche !
Je dis au moment-même qu’il s’agit probablement de schiste, recherche faite, il s’agirait plutôt d’annite (une roche dont honnêtement j’ignorais…
La réponse est ici : entre Avranches et Granville.
De cinq à neuf. Il pourrait être laissé pensé que cet accrocheur titre, aspire à vous faire déambuler au gré…
Là vous parlez d’il y a 45 ans ! Beaucoup d’eau a passé sous les ponts … Non, c’est ailleurs…
A première vue des roches de schiste, ainsi que granitique, je dirais que nous sommes plutôt dans le Finistère. Constatant…
@Garorock « Et avant le Big Bang, y’avait quoi? » On peut imaginer que « le monde », l’univers visible et invisible(aux yeux et…
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51 réponses à “France Culture, le dimanche 2 août de 19h à 20h”
Moi aussi je suis perplexe devant les annonces de « crise en phase terminale », prétextant que le chômage a toujours un cran de retard.
C’est comme si la blogosphère se séparait en 2 : ceux qui pensent que la crise est terminée, et ceux qui pensent le contraire.
Nous serons fixé en octobre, puisque le 30 septembre marque la fin de l’année fiscale aux USA.
Pour ma part, je pense qu’il ont peut-être réussi à stabiliser l’économie mais que la moindre pécadille (comme une grippe mondiale par exemple) refera tomber cet édifice qui est devenu beaucoup trop fragile.
A Laurent
Enfin un « banquier » lucide !!!
Il est clair que le credit .. doit etre remis a sa place .. il suffit de voir le cout de celui ci 🙂
la disparition des interets doit etre mise en place ( taux ZERO et autres systemes )
c est tres simple techniquement ..
à laurent & félicitation
Mais y aura-t-il des prêteurs à ce taux zéro? Le taux d’intérêt (réel) n’est-il pas globalement le reflet du rapport de force capital / travail?
J’aurais tendance à dire que c’est ce rapport de force qu’il faut modifier. Et cela passe par des choses autrement plus « pragmatiques » de redistribution massive des richesses (genre réforme fiscale et détricotage des paradis fiscaux qui permettent de s’y soustraire, développement ou défense de l’état social actif dans les domaines de la santé, l’éducation, la culture, réforme monétaire, etc…). Le taux d’intérêt me semble être plus le symptôme que la cause du problème.
@ Laurent
« Dans un monde idéal (utopique ?), l’être humain – outre ses droits fondamentaux, devrait avoir gratuitement sa part de terre et de capital
De terre car il y vit tout simplement, et qu’il devrait avoir le droit de se nourrir comme tout un chacun en la cultivant
De capital car il devrait avoir la chance d’exploiter ses capacités et de réaliser ses aspirations dans son intérêt et pour le bien commun »
D’accord avec vous. Une question subsidiaire est: donnez-vous cela en « une fois » (par exemple à la majorité à 18 ans), ou versez-vous une rente (annuelle ou mensuelle). La première option ne me semble pas désirable (un mauvais investissement, et oupla, plus de capital et vous vous retrouvez à devoir vivre à crédit – alternativement, si tout le monde met ensemble son capital reçu à 18 ans pour diversifier le risque d’investissement, la rente de ce méga-fond devient essentiellement la seconde option). La seconde option est essentiellement « l’allocation universelle » défendue par Van Parijs, André Gorz (vers la fin de sa vie), etc…
@ Paul Jorion
Intéressant, mais dommage que vous ayez passé tant de temps à expliquer les mécanismes et si peu de temps à envisager les changements à apporter. C’est « La crise » d’Attali, mais j’aurais apprécié des avis contradictoires sur « Et après », d’Attila dont la vision « Nouvel Ordre Mondial » m’indispose (pour employer un doux euphémisme).
Petite leçon d’économie avec le dalaï lama à Francfort
Patrick Combes semble insister sur le fait que les actifs toxiques reprendraient de la valeur à la fin d’un cycle de 5 à 10 ans, certes… l’idée est généreuse, mais il faudrait l’étayer, n’est-il pas ?
vous sembliez accorder du crédit à l’ingénierie financière pour créer de nouveaux « concepts » et sauver la finance, ce serait super de développer, non ?
enfin, si votre activité de « jeune » papa vous en laisse le temps
à bientôt
@felicitation
Les banques pratiquent le taux zéro … pour les dépôts à vue!
Ce n’est pas en prêtant gratuitement à des personnes sans revenus suffisants qu’on va résoudre quoi que ce soit, que du contraire. Pour mémoire, c’est exactement ce qui c’est passé depuis des décénies aux USA … jusqu’à l’éclatement de la bulle de crédit.
Encore une fois, à l’exception de Paul, nos gentils protagonistes restent la tête baissée sur le guidon de la finance, de la banque et des formules économiques qui siéent à leurs spécialistes. Le contexte humain et bassement matériel passe à la trappe de « l’économie qui explique tout ». Pas un mot sur l’énergie, pas une allusion aux ressources naturelles et fossiles grâce auxquelles depuis deux siècles a pu se bâtir la société industrielle. Ces dernières viendraient un jour à manquer et dans un premier temps ne pourraient être produite au delà d’un certain seuil (maximum de production ou « pic » de production) ? Pas un mot ! Nada ! Nitchevo ! Nichts.
La croissance, la croissance ! le mot n’est pas souvent prononcé, mais on devine chez ces même individus l’espoir en son retour, tel le messie salvateur et rédempteur… Paul laisse entendre qu’il pourrait-être judicieux d’écouter ceux qui ont aussi des choses à dire sur la crise, mais qui par malheur médiatique ne sont pas des spécialistes de la finance, voire des penseurs officiels tels que les médias français les adorent (ça c’est ma version). Mais cela ne semble pas émouvoir le responsable de l’émission.
A propos de croissance, je rappelle une réalité bêtement mathématique : prenez un m3 d’eau (1000 l) consommez en un litre par jour, en 1000 jours (un peu moins de trois ans) la citerne est vide, logique. Prenez cette même citerne en Chine ! pourquoi la Chine ? Parce que ce pays nous éblouis de ses 10% de croissance… La croissance, la croissance, hurlent tels les cabris chers à De Gaulle à propos de l’Europe, nos zéconomistes zofficiels !
Alors ? on sort sa calculette… et petit calcul bébête… en combien de temps elle est vide notre citerne ?
Hum ?
Alors ?
Au bout de 7 jours vous consommez 2 litres/jour, au bout de deux semaines… 4 litres, trois semaines ? 8 litres, quatre semaines ? 16 litres, etc. A ce rythme en moins de trois mois (septante deux jours à la louche) la citerne est siphonnée ! Basta !
Tant que nos Attali de service et autres n’auront pas intégré, 1° la finitude de notre planète, 2° la réalité physique de la notion de croissance, nous ne seront pas sortis de l’auberge. Accessoirement on pourrait soulever le problème humain (chômeur à 50 ballais chez Caterpillar par exemple) ou environnemental (GES, océans, pollutions…), mais pour ces gens là c’est de la grossièreté !
Exellente émission, où l’on y apprend au final que cette crise est due à une perte de « bon sens ».
Les responsables insensés ? une vulguaire association de haut-dirigeants des principaux établissements de crédit américains, qui ont réussi à faire en sorte que cette politique de l’endettement des ménages à risques continue de plus belle.
Ca leur a coûté la bagatelle de 500 millions de dollars (dixit Paul) en lobbying certes, mais quel spectacle merveilleux il nous ont offert en retour. Une crise systémique rafinée de l’ordre de dizaines de trillions de dollars, doublée d’un quasi-hold up planétaire. Des bonus de milliards de dollars, pour couronner le tout, à ces braves gens, puisés dans les poches des contribuables venus les secourir.
Joli travail.
@Paul
félicitations
Banques: le triomphe des coupables par Jacques Attali
En 1929 une réglementation très stricte avait été imposée aux banques responsables de la crise, ce n’est même plus le cas.
parfait pour le lien
J.Attali en appelle à une « Révolution politique »…..
Intéressant mais on sent une certaine réticence à évoquer certains faits qui peuvent sembler crus mais n’en demeurent pas moins vrais. A 500 millions d dollars, on parle de lobbying, en français ça signifie corruption à outrance et achat de politiciens. Un exemple parmi d’autres qui lève le voile du décor et des coulisses : on y trouvent les multinationales qui tirent par les ficelles les « politiques » et ces 2 compères tirent les ficelles des médias, notre Pravda capitaliste. Le pauvre salarié qui aurait envie de tirer la sonnette d’alarme, encore faudrait-il qu’il puisse se faire entendre dans les médias verrouillés, sera prier de se taire contre éventuellement récompense ou se verra éjecté vers la sortie. Un phénomène actuel nous échappe encore, s’agissant de l’attachement des patrons, je veux dire managers, à l’égard de leur entreprise. Nous ne sommes plus au temps du Comité des Forges, la vision de l’entreprise est la vache à lait, tant que ça coule c’est bon : bonus, stocks, salaires, parachutes et tutti quanti ; ce qui compte c’est le court terme peu importe l’avenir, on se tire avec la caisse car on ne croit plus soi-même au système. La vache à lait s’est transformée en poule aux oeufs d’or pour connaître le sort de la fable.
En parlant de Jacques Attali mentionné en début d’article, je vous suggère de lire cet article si vous ne le connaissez pas déjà :
http://www.slate.fr/story/8747/banques-le-triomphe-des-coupables-par-jacques-attali
intitulé :
Banques: le triomphe des coupables par Jacques Attali
En 1929 une réglementation très stricte avait été imposée aux banques responsables de la crise, ce n’est même plus le cas.
qui se conclut par ces mots :
Ces lobbys sont si puissants qu’on n’en sortira que par une révolution politique. Une révolution, vous dis je.
Attali qui parle de révolution …
je sais pas vous, mais moi, ca me rassure pas !
Je me décide à intervenir dans le débat car certains posts sont pour moi difficilement supportables dans la mesure où ils relèvent du « tous pourris ».
Dans les commentaires qui suivent les deux émissions de France culture auxquelles a participé Paul Jorion, certaines réflexions visant Olivier Pastré, Jacques Attali ou Patrick Combes sont pour moi totalement injustifiées.
Je réside en Chine depuis quinze ans et je reste très au fait de l’actualité française grâce à Internet et surtout, maintenant, grâce au podcasting. L’économie s’est imposée dans notre quotidien et « L’économie en question » est sans contestation la meilleure émission sur le sujet, je n’en rate aucune.
Olivier Pastré et Jacques Attali ont à mes yeux le très grand mérite d’avoir donné à Paul Jorion l’occasion de s’exprimer très longuement et en toute liberté, ces deux émissions sont de loin les meilleures que j’ai écoutées depuis plus d’un an, elles furent pour moi une grande et heureuse découverte, celle de Paul Jorion.
A chaque intervention, il s’est montré posé, didactique et totalement subversif, dans la mesure où paisiblement, sans passion (apparente) il a démonté méticuleusement les mécanismes implacables qui nous conduisent irrémédiablement à l’abîme. Son constat est froid, lucide et factuel, pas de place à l’émotionnel ou au jugement rapide. Sur le plan de la subversion, c’est pire que tout, car cela ne laisse aucune place à la polémique stérile.
Pour les commentaires sur Patrick Combes, je suis également en désaccord, j’ai trouvé remarquable son absence totale de langue de bois tout au long du débat, non, de l’émission car à aucun moment il n’y a eu de contradiction ou d’opposition. Comme Paul Jorion, il a exposé paisiblement toute la froideur cynique du système. Il a parlé en technicien et dit des choses terribles, comme par exemple le fait que le véritable problème est que les banques aient conservé dans leurs comptes les actifs pourris et n’aient pas pu les transférer totalement aux petits investisseurs, ce qui selon son commentaire, aurait été « désagréable » pour eux.
Il a totalement raison lorsqu’il explique que dans le système actuel l’activité industrielle et commerciale n’est pas en mesure de créer suffisamment de « richesse » et que l’activité financière remplie cette fonction, à ce stade le problème n’est pas de savoir qui en profite plus ou moins, la question est de savoir s’il est possible de s’en dispenser.
En fait, le modèle du saut de bulle en bulle me semble trop limité et peu productif. Les chiffres donnés par Patrick Combes nous donnent plutôt le modèle d’une multitude de microbulles, ce qu’en physique on nomme émulsion, la nuance est importante, car la structure d’une bulle interdit de supporter tout effort autre que celui de se maintenir, alors qu’une émulsion présente une réelle consistance. Quelle est la taille de cette émulsion ? un calcul rapide, certainement trop simpliste, nous donne 80 trillions moins 4 trillions (on peut se permettre d’arrondir) nous donne 76 trillions, c’est la valeur crée artificiellement, « la mousse », cela représente aussi la surexploitation de tous les acteurs économiques. Il est tout de même notable que rapporté aux 6,7 milliards d’humains cela représente une valeur de 11,3 milliards par tête de pipe. Qui est en mesure de rééquilibrer un tel système, sur combien de millénaires ?
Dans un de ses ouvrages (je pense que c’est la réalité de la réalité, mais je n’ai pas le temps de vérifier), l’immense Paul Watzlawick cite l’exemple de cette peuplade primitive qui utilise des pierres comme monnaie d’échange et dont la plus haute valeur est représentée par une sorte d’énorme meule en pierre. Au cours d’un échange, une de ces meules se retrouve accidentellement au fond d’une rivière et n’est plus récupérable. D’un commun accord, tous les protagonistes ont continué à s’en transférer la propriété comme si elle était toujours tangible.
Depuis combien de temps utilisons nous les 76 trillions comme si de rien n’était ? Ce que Patrick Combes nous a dit froidement et sans détour, comme Paul Jorion, c’est que le système est impossible à réformer et que la fuite en avant était la réponse la plus logique.
Je n’espère qu’une chose, c’est que d’autres donnent maintenant à Paul Jorion l’occasion de s’exprimer le plus souvent possible sur le plus de media possible.
Cher Monsieur Jorion,
La prochaine fois que vous irez dans les locaux de France Culture, faites leur savoir qu’il serait bienvenu de leur part de ne pas utiliser un format propriétaire comme Real Player pour leur podcasts.
Real Player, je croyais que cette saleté avait disparu en 1998.
Je suis sous Linux, et impossible de trouver un lecteur pour ce dernier format [.ivr]
C’est vraiment trop dommage de rater vos émissions, si quelqu’un part hasard était assez gentil pour transformer ce podcast en mp3, je suis plus que preneur.
@folklo-rioter,
Il existe une version de realplayer pour linux ici:
http://www.real.com/linux
Ou Helixplayer ici:
https://player.helixcommunity.org/2005/downloads/
Tu trouveras également des versions antérieures sur le site rpmfind par exemple: (la 8 chez moi fonctionnait mieux que la gold actuelle)
http://www.rpmfind.net/linux/RPM/freshrpms/redhat/misc/add-ons/real-player/RealPlayer-8.0-1.i386.html
Kafeine arrive aussi à lire les fichiers ram pour peu que les bons codecs soient installés.
Les deux solutions cela dit ont chacune leur défaut mineur que je te laisse découvrir:
———————————-
Quant à enregistrer le streaming real en fichier mp3 ou oggvorbis en live, il m’est arrivé à une époque d’utiliser vsound (petit bijou que je te laisse trouver toi-même), bladeenc ou oggenc à l’aide des commandes suivantes:
# de streaming vers wav
vsound -v -d -t –file=sortie.wav realplay entree.ram
# de wav vers mp3
bladeenc entree.wav sortie.mp3
# de wav vers ogg
oggenc ./entree.wav -t « TITRE » -a « ARTISTE » -o sortie.ogg
Mplayer peut remplacer realplayer si nécessaire mais avec des commandes un peu différentes.
@folklo-rioter,
J’avais lu trop vite ton post mais du coup je ne comprends plus quel est ton problème.
Pour les podcasts, as-tu essayé Amarok ?
Je n’ai pas l’habitude de podcaster mais cela semble fonctionner impeccablement. Je vois directement des fichiers mp3 en passant par leur site et aucun de ces fichiers [.rvi] qui semblent t’ennuyer ?!
De là, pas de souci pour enregistrer et bien plus facile et direct encore que mes manips, effectivement.
@Ken Avo
Merci de ton aide.
Je vais essayer ces programmes, mais j’avais lu que ce nouveau format de RealPlayer, .rvi, n’était pas compatible sur Linux et Mac.
@folklo-rioter,
Avec Mplayer, tu peux faire les manipis suivantes pour enregister un flux real sur ton disque: (mais Mplayer ne te permet pas d’écouter en même temps)
# Pour enregistrer un flux ram avec mplayer:
mplayer rtsp://…entree.rm -dumpstream -dumpfile sortie.rm
# Pour convertir un flux ram en wav avec mplayer puis le convertir en mp3 avec lame:
mplayer entree.rm -ao pcm:file=tmp.wav -vc dummy -vo null && lame -quiet -h -b 128 tmp.wav sortie.mp3 && rm tmp.wav
# Pour enregistrer un flux ram directement en wav avec mplayer:
mplayer -ao pcm:file=sortie.wav -playlist http://…entree.ram
# Pour enregistrer un flux ram directement en wav avec mplayer:
mplayer -ao pcm:file=sortie.wav rtsp://…entree.rm
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Pour les podcasts, tu as Icepodder qui te permet de rappatrier les fichiers sur ton disque contrairement à Amarok (sauf erreur)
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Quant aux [.rvi] en effet je n’ai pas trouvé ! Même le realplayer sous linux ne les lit pas.
Quant à audacity doté d’une interface graphique, il te permet les conversions facilement également, ainsi que du bidouillage élémentaire dans les fichiers son. Couper des morceaux, en rajouter etc etc. A la portée du premier venu.