Blog de Paul Jorion

7 réponses à “Mensuel Capital – N° août, sortie demain”

1. 

   antoine

   22 juillet 2009 11h16

   Après leurs conneries sur les « pousses vertes »… et le redémarrage de l’éco américaine, j’espère que tu as eu l’occasion de remettre les choses au clair.

2. 

   vladimir

   22 juillet 2009 11h20

   L’argent circule toujours mais dans quelles proportions,une reponse dans l’article ?

   SURCHAUFFE A LA BOURSE DE SHANGAI :

   Mardi 21 juillet 2009

   Un spectre de crise asiatique plane sur les marchés

   L’indice de Shanghai a progressé de près de 80% cette année. Quels seraient les effets d’une brutale correction?

   Alors que les principaux indices occidentaux retrouvaient hier leur niveau de novembre dernier, le marché chinois peut se targuer d’avoir enregistré une croissance phénoménale de près de 80% cette année. Le rythme de progression continue même à s’accélérer, avec des entreprises affichant régulièrement des gains journaliers de 10%, soit la limite autorisée par les régulateurs. Cette euphorie, principalement conduite par les investisseurs locaux, fait craindre une sévère correction au cours des prochains mois.

   Le responsable des investissements pour Julius Baer, Venkatraman Anantha-Nageswaran, s’inquiète d’une telle tournure des événements. Dans un entretien avec L’Agefi, il estime que «les Chinois suivent l’évolution du marché sans se préoccuper des valeurs fondamentales». Le revirement pourrait dès lors se révéler brutal. Entre 25% et 30%, prédit le chief investment officer basé à Singapour.

   D’autres économistes, comme le réputé Frederic Neumann de HSBC, parlent de l’émergence d’une nouvelle bulle asiatique. Avec des banques centrales hésitant à remonter leur taux pour endiguer les risques inflationnistes à long terme et, surtout, freiner un tant soit peu l’explosion de la liquidité observée ces derniers mois. Les faits parlent pour se scénario catastrophe: les nouveaux octrois de crédit en Chine ont en effet triplé en un an.

   Un classement publié hier par Citywire confirme d’ailleurs ce scepticisme croissant envers l’Empire du Milieu. Sur les cinq gestionnaires ayant enregistré les meilleurs performances au cours des cinq dernières années sur les marchés actions émergents, quatre d’entre eux recommandent à leurs clients de sous-pondérer l’indice de Shanghai. Pour leur éviter de revivre le cauchemar de 2007-2008, qui avait vu la bourse plonger de plus de 70% en moins de douze mois.

   http://www.agefi.com/Quotidien_en_ligne/detailArticle.php?articleID=330288

   Haut les mains! Ceci est une demande de crédit…

   22/07/2009 –

   En Espagne, le braquage de banque est désormais classé, selon l’expression anglaise, dans la rubrique “occupationnal hazard”, – ce qui serait notre rubrique “accident de travail”? Le terme utilisé dans The Independent, ce 22 juillet 2009, est ainsi défini: «A working condition that can lead to illness or death. Often, people in jobs which pose a high level of risk are paid more than similar but less risky jobs to compensate for the danger involved.»….

   http://www.dedefensa.org/article-haut_les_mains_ceci_est_une_demande_de_credit__22_07_2009.html

   la relocalisation agricole en ville aux USA devient une pratique universitaire :

   City Farming Becomes a Social Cause

   While young farmers are not short on idealism, devoted as many are to organic and sustainable methods, they tend to be more entrepreneurial than their hippie forbears. « There’s this economic opportunity to be a farmer again, » Schahczenski said. « Whether they enter [the field] as a new kind of artisan butcher to supply fancy restaurants in New York or Seattle or back up and grow that food for those restaurants, they don’t want to go to the middle of Nebraska and farm. They want to go to some cool urban center and farm. » Part of farming’s new appeal stems from the emergence of food as a hot social cause. A generation of college students sometimes accused of being apathetic toward the wars in Iraq and Afghanistan seems to have found its movement, and it’s food. – Laura Vozzella

   by Laura Vozzella Common Dreams
   July 24, 2009

   One student butchered a sheep for her senior project. Another went on to study animal husbandry. Still more found work on vegetable farms. Professor Hugh Pocock taught them all, not at a land grant university but at Maryland Institute College of Art.

   Dane Nester, 28, a graduate of Maryland Institute College of Art who helped establish the community garden called Participation Park in East Baltimore, checks for bugs. He and two colleagues received an award for their living art installation. (Baltimore Sun photo by Tasha Treadwell / July 14, 2009)For reasons ranging from highbrow theories of art and social justice to booming farmers’ markets, young people with no background in agriculture are going into the field. And quite a few of them are artists….

   http://www.worldproutassembly.org/archives/2009/07/city_farming_be.html

3. 

   Karluss

   22 juillet 2009 15h23

   le Capital décapité…
   (nostalgie d’une révolution avortée)

4. 

   Clemence Daerdenne

   22 juillet 2009 16h14

   @Paul

   je prefere votre formulation du 19 juillet. je vous propose donc :

   Mensuel Capital – N° aout sortie demain : long entretien avec Paul Jorion
   je reponds aux excellentes questions de Frederic Beghin.

5. 

   ybabel

   22 juillet 2009 17h44

   Je savais pas ou le mettre :
   Paul cité sur le monde :
   http://www.lemonde.fr/la-crise-financiere/article/2009/07/22/les-banques-americaines-renouent-avec-la-folie-des-bonus_1221457_1101386.html

   Pour l’économiste Paul Jorion, les salaires et les bonus offerts par les banques américaines sont « de l’inconscience. Ils ne tiennent pas compte du poids que représente la garantie du gouvernement américain. C’est de la provocation pure et simple. Cela va mal finir. »

6. 

   ROBERT

   23 juillet 2009 17h53

   Félicitations, l’article est interessant, je ne lisais plus Capital depuis quelques temps, je l’ai racheté pour le coup …

   C’est chouette car ils se sont bien rendus compte que leurs commentateurs et économistes « habituels » s’étaient bien plantés ces dernières années, ils ont cherché sans doute à renouveler leurs sources et angles d’analyse.
   Pour le coup, l’article est très décalé par rapport à ce qu’ils font d’habitude, mais ils sont pragmatiques et ils ont de vrais journalistes dans cette revue, donc ils ont fini par réagir …

7. 

   Maître Dong

   24 juillet 2009 21h48

   Article intéressant en effet. Moi aussi je pensais à me désabonner de Capital, ainsi que de Courrier internationnal. Probablement par solidarité avec les oies que l’on gave …