« Tout d’abord, la méthode du tableau [de Quesnay] permet une extraordinaire simplification. La vie économique d’une société non socialiste consiste effectivement en millions de relations ou de flux entre les entreprises et des ménages particuliers. Nous pouvons établir à leur sujet certains théorèmes, mais il nous est impossible de les observer dans leur totalité. Cependant, si nous remplaçons ces relations par des relations entre des classes, ou par des flux d’agrégats sociaux (ou autres), le nombre insaisissable de variables que présente le problème économique se réduit d’un seul coup à un petit nombre que l’on peut traiter et suivre facilement » (Joseph A. Schumpeter, Histoire de l’analyse économique, Tome I, [1954] 1983 : 339).
« L’enfer est pavé de bonnes intentions..! » ‘ L’Europe’ tâche de règlementer une pyramide de Ponzi.. https://www.lesoir.be/644653/article/2024-12-25/trois-questions-pour-comprendre-le-nouveau-reglement-europeen-sur-les Jusqu’au « toBigtoFail »..? Bon Noël…
97 réponses à “Le temps qu’il fait, le 17 juillet 2009”
alors, tout est « grotesquement » économique ?
ce temps qu’il fait c’est un peu comme un divan hebdomadaire, on devient psy à l’écoute bienveillante pour comprendre le grotesque de la situation ; Minc et Roubini devraient venir écouter de temps en temps. On a bien plus à apprendre avec Paul Jorion, vous êtes un super prof même si les fonds de pension ou autre répartition ne vous aident pas particulièrement.
La question que je me pose est de savoir quand et comment le système peut changer et évoluer étant donné qu’il a prouvé qu’il était voué à l’échec. Déclin de civilisation ?
Quand des décisions de sanctions, d’interdictions dans le domaine bancaire et financier vont-elles être mises en place ?
C’est ça l’oligarchie ? La toute puissance qui permet de museler les hommes politiques ?
« On ne nous dit pas tout ! » Et c’est là justement le problème … Nous sommes comme dans cette histoire de la grenouille qui cuit à feu doux et qui ne s’en rend pas compte car c’est insidieux …
Merci Paul pour tout ce travail de réflexions et d’analyses entrepris et de tous les posts pertinents qui alimentent un désir de compréhension. Cela nous sort des sentiers battus de la désinformation et de la manipulation médiatique.
Concernant cette oligarchie de wall street, Mr Francois Asselineau en parle très bien dans ses conférences car on y découvre que la creation de l’union européenne est issue de la volonté des banquiers de wall street.
Ce Francois Aselineau était l’ancien chef de cabinet de Pasqua, dominique de villepin puis inspecteur général des finances.
Il évoque clairement cette oligarchie dominante dont l’un des but est de créer une union européenne à l’image de l’ex URSS.
Pour ceux que ca intérésse, les conférences vidéos sont à visionner ici :
Qui gouverne la France ?
http://www.dailymotion.com/playlist/x10h38_Auzarmes_qui-gouverne-la-france-y
A part ça, tout va bien…
et
Pendant que Goldman Sachs annonce des bénéfices record et qu’on chuchote partout que l’économie mondiale est en train de repartir, une énorme vérité éclate au grand jour : celle de l’état de quasi-faillite d’un grand nombre d’Etats américains.
Désormais, c’est 48 des 50 Etats qui affichent des déficits qu’en principe la loi leur interdit. Si le total représente 166 milliards de dollars pour 2010, ces déficits représentent une moyenne de 24% des revenus des Etats, avec 32,2% pour l’Etat de New York, 33% pour l’Illinois, 37,8% pour le Nevada, 41,1% pour l’Arizona et même 58,2% pour la Californie qui se trouve en quasi-cessation de paiements depuis le 1 juillet.
à lire absolument, vraiment excellent…
le rayon de soleil qui manque tant à Paul dans sa chambre…
[http://www.objectifliberte.fr/2009/07/cabotinage-estival.html#comments]
j’adore paul jorion;
quand il s’adresse à nous, à moi, on a l’impression qu’il parle à un ami;
merci;
Merci Capone pour l’info. Trés intéressant.
@ DTX
très drôle et très vrai à la fois.
Qui peux croire aujourd’hui mis à part les bobos que notre activités économiques puisse dérégler tout un univers dont nous ne sommes qu’une simple gouttelette ? Les changements de cycles ne sont pas spécifiques à notre époque, il en a été ainsi depuis la création de notre planète et même bien avant.
En revanche, ce qui devient dangereux, c’est le fait de culpabiliser les peuples en leur faisaint porter le fardeau de la pollution et du réchauffement climatique. Ceci étant également le prexter idéal pour leur imposer des taxes mais aussi commencer à mettre sur la table le problème de la surpopulation, c’est bien de cela dont il s’agit.
Attention aux envies d’eugenisme sous couvert de Green economy.
Le réchauffement climatique est aussi l’argument géostratégique empechant ainsi certains continents de se développer, puisqu’on le sait pour se développer il faut au préalable passer par une phase d’industrialisation qui est relativement polluante.
A mon avis ce sont les mêmes qui ont également intérets à ce que certains pays n’accèdent pas non plus au nucléaire civil afin de ne pas leur laisser trop d’indépendance énergétique, il vaut mieux importer cette dépendance énergétique bien sur…
Faudra que l’on m’explique comment de la remise en cause des thèses de la science économique de l’école autrichienne avec son corollaire (quel est l’intérêt de présenter les choses de cette façon ? à qui cela profite ?), peut-on passer à la remise en ? du changement climatique…
On s’en fout de la prose du blog de la pensée libérale, ce qui est en jeu ici est bien plus intéressant…
Alors, fin de la récré, c’est possible d’avoir des avis sur ce que Paul nous communique en cette fin de semaine ?
Je constate que la pollution n’est pas qu’une conséquence des activités industrielles, la file de ce billet en est la preuve !
@Capone13000 dit :
17 juillet 2009 à 12:48
Une vision intéressante des choses.
On peut penser aussi que la créature finira par échapper à son créateur.
Le despotisme anonyme d’une oligarchie est quelquefois aussi effroyable et plus difficile à renverser que le pouvoir personnel aux mains d’un bandit. [Arthur Arnould]
« Il n’est plus nécessaire d’aimer la lumière pour entreprendre le bien, seul la flatterie de nous tous nous suffit »
Si seulement le seul fait de tout parier pouvait suffire, à la seule réunion de pensée et d’action semblable à la notre.
Nous croyons toujours en nous nous sommes encore si riches, si puissants, c’est nous qui tirons encore les ficelles.
La preuve nous avons beaucoup d’automates éclairés chez nous aux mêmes lumières de fonctionnement du 19ème.
Seul d’ailleurs les personnalités les plus fortunés modernes plus mondaines peuvent éclairés les autres, des notres.
Par conséquent il n’est plus nécessaire d’avoir encore un esprit de pauvreté pour mieux entreprendre l’action humaine.
Nous avons une très grande expérience internationale la plupart de nos membres sont d’ailleurs des gens très en vus, fréquentant beaux salons, beaux hôtels de luxe, belles assemblées secrètes ou pas, des gens si importants si précieux.
La bêtise, l’orgueil, la vanité, la distinction de plus, L’avidité, la cupidité, l’empressement, la petitesse sans freins, sans limites, sans cesse, sans lois, sans foi, sans frontière, sans tradition, sans intégrité aucune les grands de ce monde.
Ils auront beau y faire les malins l’humanité va bientôt subir cruellement autre chose grâce à eux. Une fin heureuse pour tout le monde comme la plupart des films Américains qui passent encore si bien en boucle à la télévision.
C’est une dépression globale il n’y a aucune issue à suivre ces gens là.
« O pierre philosophale du marché humain, transforme de nouveau nos vices en une plus grosse ficelle de plus »
Le temps qu’il fait chez eux dans le luxe et l’opulence à des années lumière de vous n’est d’ailleurs pas du tout le même temps qui fait chez eux.
Merci encore Mr Jorion d’avoir su si bien préserver votre intégrité, votre humanité, votre liberté, quel courage, votre indépendance d’esprit, vous avez l’air si différent de ces gens là.
@Paul Jorion
Vous colportez un préjugé tenace (comme beaucoup d’autre): qu’il y aurait d’une part « la raison », et d’autre part « l’émotion ».
Ainsi lorsque vous dites en parlant de l’homo économicus: « qu’on s’aperçoit qu’il n’agit pas toujours selon la raison mais bien souvent selon l’émotion » (en paraphrasant) comme si y aurait une opposition entre l’un et l’autre ou qu’il y aurait une dichotomie, ou que les deux seraient presque de nature différente et indépendante.
Une fois que vous enlever cette dichotomie fausse, on a:
Ce qu’on fait à un moment donné est toujours raisonable pour soi à l’instant où on le fait
Ce n’est pas un principe. C’est un simple énoncé tautologique
Ne vous fâchez pas, ghost dog. Ce que dit implicitement Paul, c’est que l’économie n’est pas une science. Les théories économiques reposent sur des préjugés ; elles ont pour effet (et peut-être pour objet, dans certains cas) de légitimer les comportements dominants, avec plus ou moins de rigueur intellectuelle. En ce sens, la défunte appellation d’« économie politique » était plus appropriée – et plus honnête dans l’humilité de ses ambitions.
Le parallèle avec le réchauffement climatique coule de source : la mobilisation contre « le changement climatique provoqué par l’Homme » repose sur une théorisation foireuse du fonctionnement du climat, sur le bidouillage des statistiques et le recours à des « groupes d’experts » (tels le GIEC) aussi experts en climatologie que vous l’êtes sans doute en droit canon – cela dit sans vouloir offenser l’étendue de votre culture. Et au cas d’espèce, les préjugés véhiculés ont vraiment pour objet de susciter des actions politiques déterminées, comme le souligne capone13000 avec pertinence. En somme, le même processus qui conduit à des « politiques économiques » orientées vers des intérêts de classe.
@ Marquis de Laplace
« Ce qu’on fait à un moment donné est toujours raisonable pour soi à l’instant où on le fait »
On ne vous accordera ni un comté ni une principauté pour de telles allégations -:)
@ Marquis de Laplace
J’ai travaillé autrefois en Intelligence Artificielle dans le cadre d’un laboratoire des British Telecom. J’ai mis au point un logiciel appelé ANELLA (Associative Network with Emergent Logical and Learning Abilities). L’originalité de ce projet était que le « raisonnement » produit par la machine était généré entièrement par l’association à un réseau de mots d’une dynamique qui mimait une logique d’affect.
Cette idée m’était venue de ma familiarité avec la psychanalyse et je persiste à croire que c’est à partir de ce type d’hypothèses que l’on pourra un jour réellement générer l’intelligence artificielle. Donc en réponse à votre commentaire, pour moi, la raison, c’est ce que produit une dynamique d’affect associée à un réseau de mots.
Ceci dit, quand je parle des « sentiments » qui se trouvent au sein de la science économique, il ne s’agit pas de l’affect, il s’agit, comme je le dis, du sentiment, tel qu’il appartient à ce que j’appelle une « psychologie de bazar », une psychologie « populaire » faite de notions intuitives et inanalysées.
J’ai expliqué tout cela dans mon livre intitulé « Principes des systèmes intelligents » (Masson 1990).
Bonjour à tous,
Paul, tout à fait d’accord sur la pertinence de la représentation des interactions économiques entre classes sociales. Malheureusement, la majorité des « économistes » ont enterrés cette représentation sous les ruines du mur de Berlin. Mais je pense qu’il faudrait ajouter une dimension géographique à ces interactions. Selon que vous êtes à l’intérieur ou à l’extérieur des frontières mondiales du développement, l’interaction n’est pas la même. Par exemple, au Brésil, on retrouve la structure de classes mais elle est subordonnée aux intérêts « occidentaux ». La classe pauvre, très majoritaire, sert de main d’œuvre à bas prix voire d’esclave dans certains coins de l’amazonie. La classe moyenne, qui s’est élargie quelque peu durant la dernière décennie, est censée représenter le marché intérieur pour dynamiser la consommation, mais elle est en situation précaire, et peu retomber très vite du côté « pauvre » (cf Argentine 2001), ce qui la rend bien servile. Quand à la classe dominante, elle fait tout son possible pour rendre l’investissement occidental attractif et rentable, en retirant sa part de bénéfice du pillage de leur propre pays et en maintenant la paix sociale, par la violence s’il le faut. C’est une structure sociale totalement orientée vers les capitaux étrangers.
Mais les mouvements de contestation sont légions même si peu relayé par les médias. Pour en revenir au précédent post de Ghost Dog, le dernier forum social au Brésil a connu un large succès. Et différents mouvements au sein des grandes agglomérations luttent pour l’accès aux besoins de base (électricité et eau courante dans les favelas). Bref, je pense que nous devons faire cette différenciation pour mieux appréhender ces structures dans l’économie-monde. Et surtout nous pencher sur les différents mouvements sociaux émergents dans les « économies périphériques ». La lucha sigue 😉
Paz
ps : j’espère que mon commentaire n’est pas trop brouillon…
Il y a aussi les cas où l’on soupçonne d’avoir fait une grosse connerie mais on se rassure bien vite en donnant à cet acte une explication raisonnable, voire rationnelle.
Les cognitivistes appellent ça la dissonance cognitive.
@Paul Jorion
« la raison, c’est ce que produit une dynamique d’affect associée à un réseau de mots. »
On est sur une longueur d’onde similaire.
« Ceci dit, quand je parle des « sentiments » qui se trouvent au sein de la science économique, il ne s’agit pas de l’affect, il s’agit, comme je le dis, du sentiment, tel qu’il appartient à ce que j’appelle une « psychologie de bazar », une psychologie « populaire » faite de notions intuitives et inanalysées. »
Ok. Mais pour un souci de plus grande précision, ne pourrait-on pas ajouter quelque chose comme:
« Différent acteurs influent sur les cours de la bourse. Pour certains, qu’on appelle communémment « investisseurs », la bourse représente le prix de biens sous-jacents qu’on peut se procurer avec moins de coût/effort lorsque le prix est bas (et ainsi réponde à un besoin animal d’acquisition à moindre effort pour mieux survivre); pour d’autres, de par une éducation et des intérêts différents, qu’on pourrait appeler « spéculateurs » ou « en besoin d’excitation » la bourse représente une source de changement qui met en mouvement un instinct profond de suivre les autres, lequel besoin origine vraisemblablement d’une expérience animale similaire au mouton où le fait de suivre le troupeau a comme effet bénéfique de diminuer la probabilité d’être mangé par le loup ambiant qui ne mangera qu’un seul mouton pour assouvir sa faim(une forme d’assurance pour le mouton). Ainsi si la bourse décuple, le spéculateur dans le troupeau ne risque pas d’avoir à compétitionner avec des personnes 10x plus riches pour l’acquisition de biens dans le futur, alors que ce pourrait être le cas en restant à côté. Dans les deux cas, il s’agit donc pour chaque intervenant d’un acte rationnel dans sa logique/connaissance à lui »
Les spéculateurs ne sont pas tous moutonniers, loin de là, Il y en a qui spéculent contre la tendance et il y en a qui s’en foutent complètement de la tendance et ne font jamais de paris directionnels. D’autre part, les investisseurs sont aussi des spéculateurs (dans une certaine mesure) car ils spéculent sur les bénéfices à venir des entreprises.
@ton vieux copain Michel
Parfaitement correct.
Et tous agissent de façon rationelle dans leur logique/connaissance à eux.
L’homo oeconomicus est bien vivant et en santé!
Mouais… Il a quand même pris un sérieux coup dans l’aile, l’homo oeconomicus. Il suffit de lire la liste des biais cognitifs dont il est affligé, ça ressemble à un gruyère.
http://en.wikipedia.org/wiki/List_of_cognitive_biases
Et attention, ça c’est ce que les cognitivistes ont trouvé. On ne parle même pas de la psychanalyse.
@Paul Jorion
Finalement, ne serait-ce pas quand on a plus rien à perdre que l’on peut prendre du recul en toute objectivité et approcher la vérité et le bonheur (Certains philosophes grecs demandaient d’ailleurs à leurs disciples de se défaire de leurs biens matériels et de leurs liens avec la société pour être heureux).
Pour ma part, toute ma vie, j’ai cherché à être indépendant, aussi bien au niveau intellectuel que professionnel.
Bien qu’ayant entre autres une formation en économie, ce n’est qu’avec la chute des bourses que j’ai réellement commencé à m’intéresser aux différents systèmes économique et aux manipulations propres à chacun et votre site m’y aide beaucoup. Ce n’est pas très plaisant de comprendre que l’on est manipulé et impuissant à changer les choses, mais ça ne doit pas nous empêcher de vivre. Je suis très content d’avoir trouvé quelqu’un comme vous, indépendant et objectif : je me sens moins seul !?…
Je serais absent une bonne semaine, pendant laquelle j’ai bien l’intention de faire un peu le vide !
@Ton vieux copain Michel qui aurait du avoir un nom de plume plus court !
« sérieux coup dans l’aile, l’homo oeconomicus »
Tsssst tsssst, on retombe encore dans l’erreur initiale.
L’homo oeconomicus agit en fonction de sa logique/connaissance/biologie À LUI
Ce que vous décrivez (liste de biais cognitif) est une logique/connaissance/biologie de d’AUTRES personnes (qui peuvent avoir d’ailleurs tort ou non d’après le premier).
De plus, lorsque notre gentil homo oeconomicus apprendra ces soi-disant « connaissances » des autres, il pourra s’il le désire (selon sa logique/connaissance/biologie/makeup psychanalytique) les intégrer ou non.
Il reste toujours rationelle selon SA logique/connaissance/biologie/neurones/etc à quelques moment précis que ce soit.
Comme je l’ai dit l’homo oeconomicus rationel est une tautologie
Dans le modèle de l’homo oeconomicus, on DEFINIT le mot « rationel » de la forme suivante: est rationel POUR UNE PERSONNE ELLE-MEME tout ce qu’elle fait a un moment donné. C’est une définition, une tautologie, ce n’est PAS un principe ou une observation empirique.
@ Marquis de Laplace
Parfaitement, et c’est pourquoi l’interdiction du comportement est dans certains cas la seule option possible.
impossible de lire la vidéo jusqu’au bout ????
@Ton vieux copain Michel
« Don’t eat the Marshmallow … yet » par Joachim de Posada
http://www.youtube.com/watch?v=ykLUZO_-QZk
@Jorion
« Parfaitement, et c’est pourquoi l’interdiction du comportement est dans certains cas la seule option possible. »
L’un voudra interdire, l’autre ne voudra pas.
« seule option possible »
Dans votre logique/connaissance/makeup psychanalytique/etc peut-être.
Dans la mienne, certainnement pas: on peut concevoir de changer la logique/connaissance/makeup psychanalytique/etc des intervenants. C’est souvent plus simple et BEAUCOUP plus EFFICACE que d’interdire (ce qui à cause du make psychanalytique de certains produira exactement l’effet contraire ….!)
D’ailleurs n’est-ce pas le but de votre blog?
Certes si on l’interroge, il dira probablement que son action est rationnelle à ses yeux mais la théorie dite de l’agent rationnel, la SEM (pour Standard Economic Model) va plus loin que cette tautologie. Elle dit que le comportement de l’agent est rationnel pour un observateur ou un tiers dans la mesure où l’agent maximise son utilité. Et même si cela n’est pas vrai, car les tenants du modèle savent bien qu’il s’agit d’une fiction utile qui ne colle pas toujours à la réalité, il faut faire comme si c’était vrai.
Je ne sais pas si c’est rationnel ou si c’est un affect ,mais je trouve assez logique que vanham , s’inquiétant de la « chute des bourses « ait commencé à s’intéresser » aux manipulations propres à chacun » .
Par ailleurs ,pour tenter de décourager Paul , pour autant qu’on puisse assimiler » la vie économique d’une société non socialiste » à des flux de circulation , je lui signale qu’aucun logiciel n’est venu à bout d’un problème qui se résout pourtant chaque jour dans toutes les grandes mégalopoles : comment faire circuler des millions de piétons sur des espaces finalement assez restreints sans se rentrer dedans .