Ce que j’ai oublié de dire – ça n’a pas grande importance – mais c’est ce que j’aurais voulu dire, c’est que c’était (Edmond-) Pierre Seeldrayers qui avait présenté le peintre Gustave Camus à mes parents.
Je vous ai lu ! Sur votre dernière question, qui rejoint mes « pourquoi » concernant l’inertie de la population française face…
101 réponses à “Le temps qu’il fait, le 10 juillet 2009”
Je pense que P Jorion dissèque l’actualité, l’analyse et nous donne son opinion en citant ses sources. C’est tout le contraire d’un conspirationniste qui expliquerait des évenements sans données vérifiables. En outre, en ce qui me concerne l’attrait de ce blog c’est justement son mélange d’opinion et de pédagogie, en plus du backgroung séduisant de l’auteur et de son indépendance. Pour ceux qui recherchent de la demi molle, lisez les dépêches de l’afp ou de reuters, inutile d’acheter des journaux ou de regarder la télé, ces derniers ne font que relayer les infos des agences de presse.
Je serais curieux de savoir ce que vous pensez de ceci:
http://appelpourlerevenudevie.org
et si vous seriez prêt à soutenir l’initiative.
??
mr JORION , vous ne parlez pas la langue de bois comme d’habitude et cela fait plaisir de vous entendre , mais n’avez vous pas peur qu’avec de telle discours , toute les portes professionnelle vous soit fermée ?
Enfin je ne suis plus seul à m’interroger contre l’école Autrichienne…
Comme il est bien difficile parfois d’échapper à l’influence de certains auteurs libéraux, Ludwig von Mises et compagnie hélas une autre forme de totalitarisme de la pensée, de l’esprit, des gens si froids si rationnels sans foi ni lois qu’on en finirait même par ne plus savoir comment penser s’exprimer ou vivre autrement en société, écrasant et dévastant tout sur leur passage.
Pour résumer leur pensée politique toujours et encore les gens de l’Etat responsable de tout et cela même en période de crise, de guerre, de désastre climatique rappelez vous c’était déjà la même chose avec les Rois à cause de la famine, de la faim, de la soif, de la sécheresse, des épidémies. Que diront-ils aussi la prochaine fois , Ce n’est bien sur jamais assez pour eux !
Citation wikipédia sur l’école autrichienne:
La théorie économique ayant pour but de décrire les effets des politiques et des institutions, les économistes autrichiens ont eu l’occasion de montrer que les interventions de l’Etat en économie n’ont que des effets destructeurs et le plus souvent contraires aux intentions de leurs auteurs. C’est ce qui a conduit la plupart des économistes de l’École autrichienne à soutenir le libéralisme dans le domaine économique. ( Et l’Amérique tout entière aussi dans l’admiration de l’école autrichienne )
L’École autrichienne d’économie, dite parfois École de Vienne, est une école de pensée économique hétérodoxe qui prend comme point de départ l’individualisme méthodologique; elle rejette l’application à l’économie des méthodes employées par les sciences naturelles et s’intéresse aux relations causales entre les événements, dont l’origine est l’action des individus, objet d’étude de la praxéologie. ( Si seulement c’était toujours bien le cas )
Hors l’individualisme méthodologique, l’école autrichienne développe une conception subjective de la valeur et l’importance du marché comme révélateur des préférences individuelles et régulateur de la société. Ses partisans défendent généralement des idées libérales en matière économique et plus généralement d’organisation de la société.
Bref une autre forme plus subtile de conditionnement des êtres et des rapports humains en société et pendant qu’on parle continuellement des travers des gens de l’Etat on en oublie aussi forcément de voir aussi autre chose dans le privé, de faire aussi son propre examen de conscience de son coté …
@ Serge Demoulin
Les économistes du FMI, comme la plupart de leurs collègues des autres institutions ou organismes privés ont monté en septembre 2008 un orchestre symphonique très particulier : il n’y a que des flutes, et ils jouent à l’unisson, sans divisi, ce qui donne de la force à la petite mélodie ressassée en boucle. C’est exactement ce que Paul dit dans cette vidéo.
Paul, d’ailleurs, je te trouve très remonté dans cette vidéo. Mais il suffit de se pencher sur la prose des jusnaturalistes rothbardiens ou des utilitaristes friedmaniens, qui sont les composantes naturelles de l’anarcho-capitalisme ou anarcapie pour les intimes, pour comprendre cette emportement bien légitime pour quiconque se revendique d’un certain Humanisme ou des Lumières (l’un, l’autre ou les 2 pour ceux qui pratiquent le grand écart pas trop souple).
Le lien systématiquement exposé entre propriété privée et liberté, composante essentielle de la réflexion de l’école autrichienne, est une fumisterie basée sur des affirmations péremptoires et dont la portée (et surtout la démonstration philosophique est nulle. Au nom de ce principe, toute emprise de l’Etat doit être purement et simplement rejetée, jusqu’à la notion d’Etat même.
Ce qui est drôle et confine même le raisonnement au ridicule, c’est que toute la théorie économique et surtout monétaire de Hayek a pour conséquence la concentration de la propriété privée dans un nombre de mains restreint, et donc la constitution de facto d’Etats privés, au service d’intérêts privés. On rejette un Etat (collectiviste) au profit d’un autre (privatif). Qui y gagne?
Quel est le ressort psychologique qui permet aux humains de marcher sur la tête en poursuivant depuis 100 ans ce dessein qui fait que la majorité (80% si ce n’est plus) subirait à terme le diktat d’une minorité? Le sentiment larvé que l’on peut/doit tous devenir riche. Cela me rappelle ce sondage américain publié il y a quelques années (dont j’ai du déjà parlé ailleurs sur le blog), où un nombre incroyable d’américains se définissaient comme « riches » ou « en voie de l’être dans les x prochaines années ». Pourquoi donc refuser les prérogatives du pouvoir privé dont on est ou pourra être investi d’ici peu, au nom du sacro-saint et tristement suranné « intérêt collectif ».
Ludwig von Mises (29 septembre 1881 – 10 octobre 1973) est un économiste autrichien puis américain qui a eu une influence importante sur le mouvement libéral et libertarien moderne. Il enseigne d’abord à Vienne puis à Genève jusqu’en 1940. Fils d’une famille juive de Galicie (Ukraine) et inscrit sur la liste noire des nazis, il fuit aux États-Unis où il enseigne à l’université de New York de 1945 à 1969. Naturalisé américain en 1946, il meurt à New York en 1973.
Auteur majeur de l’école autrichienne d’économie qui défend le capitalisme et le libéralisme classique, il est particulièrement connu pour son magnum opus, L’Action humaine, traité d’économie publié pour la première fois en anglais en 1949. Il y expose en particulier les positions épistémologiques et méthodologiques qui caractérisent l’école autrichienne : conception subjective de la valeur, individualisme méthodologique et praxéologie.
Son nom reste également attaché à la critique théorique du socialisme, que Mises considère voué irrémédiablement à l’échec en raison de l’absence des mécanismes de fixation des prix par le marché. Friedrich Hayek, Murray Rothbard et Israel Kirzner comptent parmi ses élèves les plus éminents.
Juste à titre d’exemple, pour illustrer mon propos (également péremptoire) sur la portée philosophique de l’école autrichienne, on trouve ce genre d’exposés normatifs à souhait :
L’auteur en est Hoppe, qui perpetue le leg autrichien dans l’enseignement universitaire américain (comme bien d’autres). On lui doit aussi des propositions philosophiques tout aussi révolutionnaires, comme
Je pense donc je possède… Excellent!
@ garcimore
non, les gens honnêtes, intègres, sont rares et précieux. L’ambition de Paul Jorion est d’être en phase avec ses dires, son « carriérisme » ne doit pas être lié à la soumission envers une quelconque autorité. Enfin, j’ai pas encore écouté, mais, je pense qu’il nous faut des intellos comme lui, un grand spécialiste sachant s’affirmer. Un homme libre d’aller sur son balcon !
La Boetie disait : « arrêtez de servir et vous serez plus libre » et aussi, « ils sont grands seulement parce que nous sommes à genoux ». (citations peut-être pas tout à fait exactes, mais l’idée est reproduite)
Bonjour Paul,
Ca fait plaisir de voir l’énergie que vous y mettez à ce retour des intellectuels.
Amicalement.
33.8 million participated in the Agriculture Department’s Supplemental Nutrition Assistance Program
c’est déprimant…
Quelques question pour approffondir le débat économico-démocratique: http://www.solution-simple.com/quelques_questions.html
Un poète, par exemple, peut expliquer qu’une chose peut apparaitre « vraie » ( ou assez vraie )
et son contraire également. Il est possible qu’un scientifique puisse également
— je n’ai pas d’exemple — formuler un constat similaire en quelques rares circonstances.
Ce serait d’ailleurs intéressant d’avoir de tels exemples [ Ici, Je m’adresse à tous ]
Mais, il est faux, que sur n’importe sujet en milieu monétaire et bancaire on puisse …
. . . se satisfaire d’oxymores mêlant une chose et son contraire,
. . . vaquer des semaines entières avec des incohérences, jeux-de-mots, oublis-contournements et déplacements des objets en débat.
J’accepte pleinement de reconnaitre si je me suis trompé sur le billet du xx
Par contre, je ne peux pas me trouver simultanément confronté à des propos contradictoires,
en deux lieux voisins du même blog-forum.
Maintenant, je m’adresse à Paul
Il n’y a pas de sortie latérale.
Les quatre phrases ci-après sont précises :
1 – Dans le billet du 29 juin intitulé « Schumpeter, et « les crédits qui créent les dépôts » , j’affirme — preuves à l’appui,
plusieurs fois et ce pour des motifs différents qui s’additionnent —
que les grandes banques commerciales créent ex-nihilo,
par exemple en un an,
des soldes bancaires et des flux financiers à partir de soldes qui étaient à un niveau inférieur en début d’année (1er janvier)
Une brève récapitaluation est faite le 7 juillet à 9:04
2 – A ce stade, pas une personne ne m’a démontré qu’il y avait une erreur marquante
dans mes contributions à ce document qui occupe, en cet instant, 241 commentaires.
3 – Vu les deux points 1 et 2 antérieurs, j’affirme que les banques commerciales créent ex-nihilo des $, €, €$, €€, €£, £, Y
qui ne proviennent pas d’une banque centrale — peu m’importe le mot que vous entendez donner à ces $, €, €$, €€, €£, £, Y
( Accrued Earnings, Actif, Argent, Avoir, CashFlow, Commission, Dépôt-en+, Dividende, Float, Honoraires (fees), Intérêts, Jours-de-Valeur, Marge, Monnaie, Nouveau Crédit, Placement en +, Produit financier, Provision,
Réserve, Spread, etc. et/ou un petit mix de tout ça)
4 – Sur la video du 10/7, sur ce point SEUL, très précis, vous (Paul) ne pouvez pas dire
5 – En outre, les banques centrales créent de l’argent à partir de rien. Je n’en ai pas tenu compte dans les points 1 et 3 ci-dessus
6 – En outre, les apatrides créent un argent fou sur les marchés a-nationaux que sont ceux du LIBOR (BBA, City-of-London).
Les banques actives au LIBOR disposent de créances très supérieures à celles des banques centrales. Elles alimentent, avec les transnationales de toutes les Branches (Armement, Grande Distribution, Pétrole-Gaz,
Produits agricoles, etc. etc.) ce marché a-national très actif de capitaux à court et à moyen terme qui échappe pour l’essentiel aux maigres restrictions et réglementations sur le crédit et les changes. Aujourd’hui,
la part des eurodollars reste majoritaire (environ les deux tiers du total) mais se restreint au profit, notamment, de l’euroeuro et de l’euroyen. eurodevises, ensemble des dépôts en monnaie convertible
effectués dans des banques localisées à l’extérieur de la zone de circulation légale de la monnaie considérée.
Une eurodevise se distingue d’une monnaie selon un critère de localisation géographique du crédit ou du dépôt effectué dans la devise considérée et non selon la nationalité de son détenteur.
Le développement du marché des eurodevises constitue l’un des faits les plus marquants des relations monétaires internationales de ces quarante dernières années.
En dépit de ce que l’expression laisse entendre, le marché des eurodevises dépasse le seul cadre des monnaies européennes, les deux tiers de ce marché étant constitués de dépôts en dollars : Eurodollar ou euro$.
A lui seul le marché des euro$ EST PLUS IMPORTANT QUE LE MARCHE MONETAIRE DOMESTIQUE AMERICAIN Eurodollar (Fr)
euromonnaie
Ce n’est qu’un argument de plus, un huitième … et de taille !
Ceci dit; c’est un point très précis, sur lequel il n’y a pas lieu, me semble t-il, de faire une grande affaire.
C’est ainsi. C’est à analyser davantage, etc.
ça ne retire rien — rien du tout — à l’avancement du blog-forum
Bonne continuation
Un poète, par exemple, peut expliquer qu’une chose peut apparaitre « vraie » ( ou assez vraie )
et son contraire également. Il est possible qu’un scientifique puisse également
— je n’ai pas d’exemple — formuler un constat similaire en quelques rares circonstances.
Ce serait d’ailleurs intéressant d’avoir de tels exemples [ Ici, Je m’adresse à tous ]
Mais, il est faux, que sur n’importe sujet en milieu monétaire et bancaire on puisse …
. . . se satisfaire d’oxymores mêlant une chose et son contraire,
. . . vaquer des semaines entières avec des incohérences, jeux-de-mots, oublis-contournements et déplacements des objets en débat.
J’accepte pleinement de reconnaitre si je me suis trompé sur le billet du xx
Par contre, je ne peux pas me trouver simultanément confronté à des propos contradictoires,
en deux lieux voisins du même blog-forum.
Maintenant, je m’adresse à Paul
Il n’y a pas de sortie latérale.
Les quatre phrases ci-après sont précises :
1 – Dans le billet du 29 juin intitulé « Schumpeter, et « les crédits qui créent les dépôts« , j’affirme — preuves à l’appui,
plusieurs fois et ce pour des motifs différents qui s’additionnent —
que les grandes banques commerciales créent ex-nihilo,
par exemple en un an,
des soldes bancaires et des flux financiers à partir de soldes qui étaient à un niveau inférieur en début d’année (1er janvier)
Une brève récapitaluation est faite le 7 juillet à 9:04
2 – A ce stade, pas une personne ne m’a démontré qu’il y avait une erreur marquante
dans mes contributions à ce document qui occupe, en cet instant, 241 commentaires.
3 – Vu les deux points 1 et 2 antérieurs, j’affirme que les banques commerciales créent ex-nihilo des $, €, €$, €€, €£, £, Y
qui ne proviennent pas d’une banque centrale — peu m’importe le mot que vous entendez donner à ces $, €, €$, €€, €£, £, Y
( Accrued Earnings, Actif, Argent, Avoir, CashFlow, Commission, Dépôt-en+, Dividende, Float, Honoraires (fees), Intérêts, Jours-de-Valeur, Marge, Monnaie, Nouveau Crédit, Placement en +, Produit financier, Provision, Réserve, Spread, etc. et/ou un petit mix de tout ça)
4 – Sur la video du 10/7, sur ce point SEUL, très précis, vous (Paul) ne pouvez pas dire
5 – En outre, les banques centrales créent de l’argent à partir de rien. Je n’en ai pas tenu compte dans les points 1 et 3 ci-dessus
6 – En outre, les apatrides créent un argent fou sur les marchés a-nationaux que sont ceux du LIBOR (BBA, City-of-London).
Les banques actives au LIBOR disposent de créances très supérieures à celles des banques centrales. Elles alimentent, avec les transnationales de toutes les Branches (Armement, Grande Distribution, Pétrole-Gaz, Produits agricoles, etc. etc.) ce marché a-national très actif de capitaux à court et à moyen terme qui échappe pour l’essentiel aux maigres restrictions et réglementations sur le crédit et les changes. Aujourd’hui, la part des eurodollars reste majoritaire (environ les deux tiers du total) mais se restreint au profit, notamment, de l’euroeuro et de l’euroyen. eurodevises, ensemble des dépôts en monnaie convertible effectués dans des banques localisées à l’extérieur de la zone de circulation légale de la monnaie considérée.
Une eurodevise se distingue d’une monnaie selon un critère de localisation géographique du crédit ou du dépôt effectué dans la devise considérée et non selon la nationalité de son détenteur.
Le développement du marché des eurodevises constitue l’un des faits les plus marquants des relations monétaires internationales de ces quarante dernières années.
En dépit de ce que l’expression laisse entendre, le marché des eurodevises dépasse le seul cadre des monnaies européennes, les deux tiers de ce marché étant constitués de dépôts en dollars : Eurodollar ou euro$.
A lui seul le marché des euro$ EST PLUS IMPORTANT QUE LE MARCHE MONETAIRE DOMESTIQUE AMERICAIN Eurodollar (Fr)
euromonnaie
Ce n’est qu’un argument de plus, un huitième … et de taille !
Ceci dit; c’est un point très précis, sur lequel il n’y a pas lieu, me semble t-il, de faire une grande affaire.
C’est ainsi. C’est à analyser davantage, etc.
ça ne retire rien – rien du tout – à l’avancement du blog-forum
Bonne continuation.
Forcé de voir que le censure est de rigueur sur ce site.
Après deux tentatives pour poster mon message, je découvre qu’il à été censuré !
Je vous croyais libre et indépendant Mr Jorion, pourquoi avoir censuré mon message, qui n’avait aucun propos non conforme ?
Je donnais simplement mon point de vue sur « le complot », c’est pourtant l’objet de votre vidéo, je ne pense pas être hors sujet !
Je suis déçu…
@ LeClownBlanc+LeucoClio
J’ai parfois ( 😉 ) un peu de mal à vous suivre mais il me semble que quand vous parlez ici d’ex nihilo vous parlez de ce qu’on appelle généralement « comptabilité créative » mais pas du tout de la « création monétaire par les banques commerciales » où ces banques créeraient « par un simple jeu d’écritures » pour reprendre l’expression consacrée, des flux monétaires.
@ Patrick
Ces citations tronquées (voire fabriquées de toutes pièces) recopiées sur des sites américains d’extrême-droite ont déjà été longuement débattues – et rejetées – l’année dernière.
@ Paul Jorion
J’ai du mal a vous suivre Mr Jorion, vous admettez que des personnes, qui plus est, des personnes les plus puissantes du monde (hommes d’état, PDG de multinationales, banksters internationaux) puissent se reunir en secret, car leur reunion, notament le Bildeberg, sont secretes, par contre vous ne voyez pas en cela un complot ?
Croyez vous qu’il y aurait autant de secret, l’éviction de tous journalistes et presse, sauf ceux cordialement conviés, si ce n’était pas pour comploter ?
Les complots existent, regarder les rencontres entres entreprises pour se mettre d’accord sur la repartions d’un marché, ou les prix, ne peut on pas appeler ca un complot ?
Vous connaissait aussi bien que moi ceux qui tiennent réellement les rênes du pouvoir, et ceux ci ne sont ni à la maison blanche, ni dans les palais présidentiels.
Croyez vous que ces élites apatrides, auto proclamés propriétaires du monde, qu’on vous nous faire passer comme philanthropes parfois, agissent pour le bien de l’humanité ?
[….] (citations censurées)
Concernant Ron Paul, je regrette votre manque d’objectivité sur ce personnage, en lui collant immédiatement l’étiquette ‘extrême droite’, étiquette bien commode (”Attention, faut vérifier le contenu du flacon !”), pour éviter de s’y intéresser.
Un “extrémiste” avec pourtant des propos pleins de bon sens et de raison:
http://www.dailymotion.com/video/x9ds1x_avonsnous-perdu-la-raison-y-ron-pau_news
http://www.dailymotion.com/video/x9rxiz_extraits-de-la-campagne-presidentie_news
@ Patrick
L’objet de cette vidéo est la réhabilitation de la pensée intellectuelle. Les enjeux auxquels nous sommes confrontés aujourd’hui sont hautement idéologiques, à l’instar du combat du libéralisme contre le socialisme et le communisme. Sauf qu’aujourd’hui, si les rôles ne sont pas inversés, c’est tout de même la résilience du libéralisme qui est à l’épreuve. Et c’est le devoir des intellectuels que de participer à la réflexion sur ces enjeux. C’est autrement plus important que les lithanies sans fin sur les complots, qui puisent toutes leurs fondements dans une littérature politiquement bien marquée.
@ LeClownBlanc+LeucoClio
Je pense qu’il doit bien exister 300 à 400 pages de commentaires (dont une bonne partie sous ma plume) sur le blog qui réfutent votre argumentaire comptable, et encore quelque-uns qui posent bien le problème de la définition de richesses. Ce débat pour ce qui me concerne est clos. Place à la réflexion de fond?
Julien Alexandre,
J’aime quand vous parlez d’autre chose que de monnaie. Et ici vous êtes particulièrement remonté, ce qui ne gâche rien. Je ne connais pas les écoliers autrichiens dont il est question présentement mais néanmoins, à vous lire, je m’interroge : ne seriez-vous pas, vous même, en train de tirer sur le ressort que vous cherchez ? Ce sentiment larvé dont vous parlez n’a-t-il pas quelque ressemblance avec le sentiment que beaucoup ont d’une nécessité de réussir…disons sa vie ? Ou au moins ce que l’on entreprend.
Existe-t-il des sociétés comparables en nombre à la notre qui fonctionnent sans diktat d’une minorité ? Pensez-vous sérieusement qu’une société identique à la notre en nombre puisse fonctionner autrement qu’avec le diktat d’une minorité, disons entre 0,0 et 20%..?
Un exemple pour illustrer mes propos ! Vous citez un certain Hoppe :
« … toute philosophie politique qui n’est pas construite comme une théorie des droits de propriété passe complètement à côté de son objet et doit par conséquent être rejetée d’emblée comme un verbiage dépourvu de sens pour une théorie de l’action »
Peu importe qu’il ait raison ou pas, ce qui me préoccupe c’est de savoir quel est le ressort psychologique en jeu qui fait que certains s’en préoccupent ! Et je pense que l’on peut ici aussi parler d’une minorité…Minorité qui se divise en deux parties : les pour et les contre, des moitiés de minorité en somme. Vous voyez le ressort psychologique se pointer à l’horizon ?
Ne sont-ce pas les mêmes ces deux minorités (« la votre » et « la mienne ») ? Le lien n’est-il pas le même ?
Et la liste est longue si l’on prend le temps d’observer : une entreprise, un club ou une fédération de foot…tout dépend de l’échelle, du nombre d’individus formant ces sous-sociétés. Tiens…et que penser des économistes ? Pensez-vous possible qu’une minorité de personnes se consacrant à l’analyse de l’économie puisse aujourd’hui revêtir la robe du diktat ? Et si oui, comment pensez vous qu’ils s’y prendraient pour imposer -de nouveau- l’idée que l’on vit tous pour et par l’économie ?
à Paul
Oui-oui presque (ou tout à fait) … disons « création opérationnelle »
pour une part concomittante avec le « Flow of Funds from Operations »
… eurodevises, marchés domestiques, countertrade, offset, etc.
Le mot « créatif » — c’est mon côté ingénieur — je préfère le réserver aux inventeurs avec brevets déposés à l’INPI
(Institut national pour la Propriété Industrielle) ou à l’Office Européen des brevets à Genève.
Il y a perpétuellement énormément d’argent en plus ne venant pas des banques centrales
dont les moyens financiers sont d’ailleurs souvent très limités. Base de capitale sans aucun rapport avec les enjeux
(je pense aux marchés LIBOR, monstrueux, biaisés, incontrôlés et incontrôlables)
Comme vous le dites, pour les « banques commerciales » ce n’est pas une « création par un simple jeu d’écritures «
Julien Alexandre
Votre propos est expéditif et infiniment sympathique
Je n’ai pas le souvenir que vous ayez — adressé à moi un commentaire — portant objection
à l’une quelconque de mes contributions dans ce billet 3506
Schumpeter, les crédits créent les dépôts.
VOTRE NOM N’EST PAS MEME PRESENT UNE SEULE FOIS !
Vous êtes sacrément gonflé !
@ Fab
Très brièvement, la différence entre la minorité dont vous parlez et celle associée au fonctionnement normal d’un pays démocratique, c’est que la minorité libérale-libertaire défend son intérêt particulier (en professant depuis 50 ans que cet intérêt particulier produit de l’intérêt collectif : billevesée!) là ou l’Etat (ou autre chose qui reste à créer) défend l’intérêt collectif, même si par essence, son assemblée constituante est une minorité. Une des avancées majeures de la démocratie, c’est d’avoir rendu « représentative » cette assemblée par le biais des élections : la minorité est démocratiquement élue, là où chez les libéraux-libertaires, le système économique concentre le pouvoir entre les mains de ceux qui l’ont déjà par accumulation en usant du droit de propriété. Il n’est pas étonnant à ce propos de constater que les libéraux-libertaires préfèrent la restauration de la monarchie à la démocratie, non?
Vous évoquez la volonté qui anime les gens de « réussir leur vie » pour justifier (me semble-t-il) une réalité que je trouve insupportable : réussir sa vie, c’est gagner beaucoup d’argent ou aspirer à le faire. N’y-a-t-il pas d’autres façons de réussir sa vie?
@ Patrick
Ron Paul dans Wikipedia :
“ One scoring method published in the American Journal of Political Science found Paul the most conservative of all 3,320 members of Congress from 1937 to 2002.
He supports tighter border security and ending welfare benefits for illegal aliens, and opposes birthright citizenship and amnesty.
He supports eliminating most federal government agencies, calling them unnecessary bureaucracies.
He says his years as an obstetrician led him to believe life begins at conception; his pro-life legislation, like the Sanctity of Life Act, is intended to negate Roe v. Wade and to get « the federal government completely out of the business of regulating state matters.
As a free-market environmentalist, he asserts private property rights in relation to environmental protection and pollution prevention.”
Il est également en faveur de l’autorisation du port d’armes… dans les écoles.
“Paul adheres deeply to Austrian school economics; he has authored six books on the subject, and displays pictures of Austrian school economists Friedrich Hayek, Murray Rothbard, and Ludwig von Mises (as well as of Grover Cleveland) on his office wall.”
Je viens me corriger en partie sur mon commentaire de 17:35
où j’ai sorti d’un chapeau cette expression « création opérationnelle ».
En effet,
1/ Elle est adapté aux produits financiers (intérêts bancaires fondés sur un risque, commissions compréhensibles au sens « motivées », marges couvrant les charges, marges de profit pour autant qu’elles soient en cohérence avec le coût de l’argent sur la période considérée)
2/ Elle est inadaptée au 6.6% du taux-de-bancaire qui est pur arnaque, justifié par rien
cette portion du taux est incluse dans le taux global qui comprend une part parfaitement compréhensible
(il faut bien payer les salaires par exemple et les machines)
En ce cas, écriture ou pas, j’ai écrit PUR EX-NIHILO … on pourrait appeler cela autrement … (…) … je ne sais pas
Quand HSBC France déclare (déclare !) 7 milliards € de gain à partir de 5 milliards € de fonds propres
— soit un rendement de 140 % — il est sûr que les règles du jeu ne sont pas au point !
A qui n’est-ce pas évident ?
Je pose la question à tous
Merci de répondre
En fait, la seule différence majeure entre Ron Paul et Hayek/Rothbard tient à l’avortement, lequel est reconnu par ces deux là comme un droit puisque chacun a la propriété privée de son corps (ceci prend vie dans leur corpus idéologique de la même manière que la transgression des lois pour ce qui concerne la prostitution, l’usage des drogues, des armes à feu, le travail des enfants si ceux-ci le souhaitent, etc.). Alors que Ron Paul appartient effectivement aux Pro-Life.
Tout ce que propose Ron Paul a été expérimente grandeur nature en Islande, avec les résultats que l’on connait.
à Paul 18:09
– – – – – – – – – –
Je ne connais pas ce Monsieur Ron Paul, parce que ce n’est pas mon métier de le connaitre
Apparement si j’en crois les citations il serait pour la suppression du FED_System parce que ce serait (c’est bien cela ?) une bureaucracie de l’Etat américain.
Personnelement, sauf erreur de ma part (je fais ce que je peux),
je suis EGALEMENT fermement décidé à la SUPPRESSION du FED_SYSTEM y compris par les Européens, Africains, Asiatiques, Américains normaux (99.99%)
mais POUR UNE RAISON DIAMETRALEMENT OPPOSEE
Merci de vos critiques.
Dit autrement :
Le contrôle des marchés LIBOR (démentiels !) et des flux BRI+FMI
peut-il être confié à des orgas privées dont les avoirs offshore incontrôlables sont su^périeurs à leurs fonds propres domestiques. J’inclus la BRI où les seuls actionnaires solvables (non endettés jusqu’à la gueule) sont des banquiers privés protégés par le TRAITE Invraisemblable de 1930 (suite à 1913) ET par le SECRET BANCAIRE SUISSE.
ça fait beaucoup !
CLAIR-CLAIR !
Le Discours prochain du 27/7/2007 à Bâle c’est
– NO ! NIET ! NON ! NEIN ! definitively NOT ………….. bien sûr pour 99.99%
il reste 0.01% qui ne seront pas d’accord avec moi,
dont Julien Alexandre peut-être. Qui est-ce à propos ?
Julien Alexandre,
Désolé, mais j’ai bien peur de ne pas m’être bien fait comprendre. Je me rends compte avec le temps que ce doit finalement être de ma faute. Ce n’est pas faute d’essayer de choisir les bons mots et de les utiliser à bon escient…
Enfin, j’essaye encore.
Il me semble que c’est vous qui parliez de la minorité libérale-libertaire ! Je vous parle d’une minorité qui est persuadée que le jeu économique est indispensable au bon fonctionnement d’une société. Et vous l’aurez bien compris, je n’en fais pas partie. Certains ont parlé de crise de civilisation concernant la période trouble que nous traversons. Qu’entendaient-ils par là, je ne le sais malheureusement pas. Pour moi, cette crise de civilisation est la mise en doute (consciente ou pas) de notre société du tout-économique. Autrement dit (vous noterez à quel point je fais des efforts), de plus en plus d’individus se demandent si le fait de consacrer leur vie à l’économie est une chose si sensée que ça…Et il existe pourtant une minorité (une des miennes si vous voulez) qui risque bien de nous faire rater notre sortie de crise de civilisation !!! Cette minorité, ce sont les analystes économiques dont je parlais plus tôt, qu’ils soient libéraux-libertaires ou le contraire.
C’est davantage sous cet angle que j’envisage un débat de fond.
Quant à votre remarque qui vous fait assimiler à ma place « réussir sa vie » et « gagner beaucoup d’argent ou aspirer à le faire », j’espère que ce message vous aura permis de rectifier par vous-même.
@ Fab
Oui, sortie de piste. A force de rebondir sur des rebondissements, on rate le trampoline et on dit que « les gens » l’ont déplacé à l’insu de votre plein gré. Torts partagés?
Hop (je remonte sur le trampoline…) : si l’on est d’accord sur le fait que l’économie n’existe pas en tant que science, mais uniquement en tant que composante politique, alors nous regardons dans la même direction ==> réhabiliter le politique et in fine les idées
Maintenant, il y a un autre point qui me gêne fortement
Dans le billet précédent — à la fin — François Leclerc écrit
Les 99.99% non_anatiofurtifs de chacun des peuples du G192 sont tous là
DEVANT une PROBLEMATIQUE et un PROJET de DECISION d’importance STRATEGIQUE.
Pas cette décision elle-même, car on peut laisser ce M. Ron Paul faire son cinéma.
Ce qui est stratégique c’est l’alternative qui n’est pas même évoquée,
celle qui est — par cette occupation du terrian (ou par cette farce) escamotée.
Revenons au compte-rendu que vient d’effectuer François Leclerc. Précieux !
Bon. Dont acte. Je ne suis pas allé vérifier le fait. Je le prends tel quel,
comme un fait qui est rapporté.
La perception de ce fait n’est pas pour autant résolue, acquise. Il reste un décryptage incontournable.
Q1 : Ce Monsieur parle t-il en toute bonne foi ? Est-ce que c’est sa conviction réelle ? ou sa croyance profonde, fondée ou non ?
ou bien, au contraire,
Q2 : Ce Monsieur est il un menteur, un manipulateur, un occupeur de terrain jouant double jeu ?
Je ne sais pas répondre OUI à Q1 ou Q2
Par contre, ce que je sais (ou crois comprendre), à ce jour
c’est que le FED SYSTEM ne défend QU’EN PARTIE les intérêts du peuple américain
Il défend d’abord les siens : topCréanciers et topActionnaires (intérêts planétaires jpMorgan & Rockfeller,…)
Il n’y a aucune théorie du complot là-dedans. Les états financiers sont publiés. Ce qui est accessible peut être lu.
Dans ce qui est 100% neutre et factuel, il n’y a aucune hypothèse à avancer.
Et là aussi, j’attends que quelqu’un me prouve le contraire.
Au cas où je me serais trompé, je suis prêt à faire amende honorable et reconnaitre mon erreur.
voilà un « temps qu’il fait » qui met de bonne humeur pour tout le week-end!
et comme programme de travail pour intellectuels, ben ça va pas être du gâteau, parce qu’il me semble qu’il y a déjà pas mal de travail qui a été effectué pour démonter les inanités du « néolibéralisme »
je ne voudrais surtout pas dire que ça ne sert à rien de s’y mettre
mais comment est-il possible d’affronter l’état actuel du programme politique des anarcho-capitalistes? avec des universités privatisées ou en voie de l’être? avec des conglomérats d’armements propriétaires de médias?
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