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37 réponses à “Ce soir (ou jamais !), France 3, le 4 juin à 23h10 (extraits)”
De rien.
Non ce n’est pas rien, c’est très bien, très sympa, très humain, très tout…
(c’est comme nos traducteurs, Igor et co … )
sur ce donc un grand merci à vous
(et puis aussi … sur cette mise en valeur … des quelques minutes de parole de Paul, ….
franchement c’est bien, l’art était difficile, ….. et très sérieusement, je ne retrouve rien à redire, je ne peux que féliciter Paul ….donc aussi un très grand merci et tous mes encouragements à Paul , …
chouette emission
Mr Paul Jorion
je vous ai découvert à travers la longue émission de 60 minutes « Parlons net » et je découvre, en réalité avec surprise, que les phrases dites sont les mêmes que dans « ce soir ou jamais ». Certain alors qu’il s’agit plus d’audimat web versus tv que d’un manque d’inspiration ou d’une pulsion sénile de rabâchage.
Je commencerai avec des compléments sur Obama qui n’est en somme qu’un acteur moderne et politiquement correcte d’une Amérique inchangé. Là ou Bush avait une violence et une impolitesse directe, Obama, fondamentalement, mène la même politique mais en dessous de table par le biais notamment des services secret, on pensera par exemple aux émeutes en Grèce visant à obliger les pays non américains à rapatrier leurs argents aux états Unis afin d’atténuer, dans une logique folle, la crise.
Selon moi, la crise actuelle n’est pas un argument de changement moral du monde, et en réalité elle n’est même pas une opportunité de changement. En effet, une allumette peut détruire en quelques heures des forêts immense là ou un arrosage boosté aux engrais mettrait des décennie à constituer une végétation victorieuse, ceci, pour expliquer que les puissant de ce monde vivent de la domination et que les contres pouvoir ont, nous voilà dans la guerre, des poignard et des crocs bien moins affuté.
Ainsi, tout commencerai par la création d’un idéal logique, compréhensible, populaire et triomphant. Si l’on compare la première roue de bois d’une charrue à la roue d’un vaisseau spatial de la NASA, on peut alors voir que l’humanité est capable de se dépasser afin d’atteindre, quasiment, des perfections, il ne s’agit pas là de miracle mais de conquête.
J’ai souvent entendus que le drainement par le bas n’existait pas, ou ne fonctionnait pas, en somme, que pour créer une pyramide il fallait tout au long du processus de construction avoir en tête la dernière pierre du sommet, sa hauteur, vertigineuse et désiré.
C’est pourquoi je pense que l’argent, sa stabilité ou même sa fonction est un sous débat et que l’homme, l’humain, est le seul or.
Ici car c’est déjà une opportunité, je parlerai du revenu Universelle qui selon moi serait une première phase importante de l’évolution de la condition humaine. L’humain est il une bête qui doit travailler dans la soumission jusqu’à sa mort ? Dans des logiques d’exploitation de l’homme par l’homme. La réponse est, selon moi, non, mais la réalité est autre.
C’est pourquoi je pense que les systèmes économique sont un sous problème et que le cœur du sujet se base dans la liberté, l’égalité et la fraternité et la sororité, le langage est sexiste.
On peut voir au fils du temps, que des améliorations se font, hier, remontant 10 générations en arrière, nous étions des esclaves dominé par des voraces violent, aujourd’hui, c’est a peut près pareil mais l’espoir est vendue, la fameuse carotte qui fait avancer l’âne. La répartition des richesses est d’une inégalité scandaleuse, il en va de même pour les systèmes injustes et pourtant dit normaux, sorte de règle du jeu du monde.
La moralité reine, l’affection induite et incontournable, sont, sinon les inévitables lumières de demain, les espoirs fondé d’hier et d’aujourd’hui, faut il de l’effort ou du conflit ?
Je pense qu’il ne faut pas prendre, mais qu’il faut refuser de donner, fondamentalement, la technique d’immobilité de Gandhi n’est elle pas victorieuse ?
Mais tout le travail réside justement dans l’élaboration de l’idéal.
Le paradis terrestre n’est pas une utopie naïve, un rêve inaccessible, car selon moi, la vie elle même, de part sa beauté et son miracle, sous-entend cette victoire, il est même étonnant que la nature n’ai pas programmé la naissance de la vie sur ce mode, ce qui m’envoie, inévitablement vers l’idée que dieu n’est pas le créateur de la vie mais que la vie elle même, en s’élaborant, atteindra le statut parfait, comme disait Nietzsche « pourquoi vénérer un dieu hypothétique dans des dogmes aveuglant ? La vénération devrait être orienté vers les bébés a venir, vers notre descendance, vers le surhumain, qui eux, existent et ont besoin de toutes notre affection et attention. »
Allez expliquer à une tribus dominante cannibale qu’il faut plutôt manger des corn flakes. De même, allez expliquer aux grandes fortunes de ce monde que la fraternité est plus importante que la domination, que l’égalité offre à l’âme une grandeur qui est de vénérer l’intégralité des être humain et donc la vie elle même.
« Chaque matin, pour gagner mon pain, je vais au marché ou l’on vend des mensonges et le cœur plein d’espoir je me range aux cotés des marchands », en effet, nos ancêtres ont connues la famine, le fouet, le froid, les crocs des animaux carnivores, ainsi, nous nous précipitons pour survivre comme une mère malade remplissant son frigo suite au traumatisme d’une jeunesse pleine de faim et de carence.
Je vous dit tout cela Mr Paul Jorion car nous tournons en rond, comme si, suite a l’explosion nucléaire d’une centrale, nous tentions chacun de colmater les murs de nos maisons là ou il faudrait s’attaquer à la source du problème.
Sous Genghis Khan and co, les soldats entraient dans les villes, tuaient tout les hommes en leur tranchant la tête et violaient toutes les femmes. Aujourd’hui la chose est elle encore possible ? Non. L’humanité progresse. Après tout, nos ancêtres immémoriaux ne sont ils pas les cousins des singes regardant un soleil rouge immense fracasser de beauté de vastes forêts peuplé d’oiseaux et de koalas ?
En réalité, les enjeux réels sont ailleurs que dans une économie stable, sociale et même humaniste. Les enjeux sont simples, et pour les atteindre il suffit d’aimer ce que nous somme a s’en faire exploser les veines du cœur, de s’aimer nous même ainsi que toutes formes de vie, similaire ou éloigné et ce jusqu’à ce que la mort n’ai pas de royaume. Dans l’excellent « blade runner », tiré du roman « Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques ? » , est dit ceci : « J’ai vu tant de choses, que vous, humains, ne pourriez pas croire… De grands navires en feu surgissant de l’épaule d’Orion, j’ai vu des rayons fabuleux, des rayons C, briller dans l’ombre de la Porte de Tannhaüser. Tous ces moments se perdront dans l’oubli, comme les larmes dans la pluie. Il est temps de mourir. » Ainsi, prenant comme exemple l’absolue beauté des femmes (je suis un homme), ou le miracle mignon des bambins, je ne peux qu’affirmer que le cosmos infinie n’est pas un grand vide mais qu’il est en réalité un grand hôte, un espace habitable, oui, déjà l’univers tout entier s’étonne de voir que l’humain, sublime, tenace, astucieux et optimiste, aimerai avoir des réflexe de virus galactique, que sa soif de vie et de propagation est immense, déjà infinie.
Hors, des Israéliens meurent sous des rockets que des russes vendent à des palestiniens qui meurent eux mêmes sous des bombes pendant que des enfants africains meurent de faim et de soif sous la domination de tyran placé au pouvoir par des multinationales qui exploitent leurs propres peuples en les transformant en des travailleurs usé, abêtit et soumis, pendant que moi, dans le désarroi le plus total et des larmes fréquentes, je suis incapable d’aimer et d’être aimer par une femme jolie que je voudrais pourtant transformer en amoureuse et en mère puis en grand mère puis en ancêtre insongé, épanouie et victorieuse.
Comme disait Antonin Artaud dans sa lettre à genika : je suis définitivement hors de la vie.
C’est pourquoi je vous dit que non, je n’ai pas envie que les banques aillent mieux, j’ai envie que les académies de médecines prennent la place primordiale qui leur est due, ainsi que les académies scolaire et scientifique. Qu’une naissance vaille mieux qu’une fortune. Que la fortune elle même ne soit pas une réussite mais un symptôme psychologique de boulimie.
L’argent aujourd’hui, concrètement, n’a qu’un but, assurer aux riches la chance, ou l’assurance, de pouvoir transmettre à leurs descendances un statut supérieure et privilégié. Ainsi et dans la même logique, il faut que l’argent aille à l’argent et il faut que les pauvres soit vidé en permanence, un peut comme les gentils bœufs que l’on met dans des enclos depuis des siècles avant de les mener à l’abattoir. Il ne s’agit pas d’une question d’argent, de billet, de chiffre dans un compte en banque ou de piécette, il s’agit de sang, de descendance, de lignée, de gènes et de chromosome.
Oh Mr Paul Jorion, je ne suis pas un gauchiste, je connais trop bien cette désillusion déjà exprimé par Jean Paul Sartre dans son fabuleux roman « les mains sales », la politique gauchiste c’est de la libido et de l’avarice qui s’élabore autour d’un verbiage hypocrite de tartufe impuissant, le seul homme qui peut gouter aux peuples tout entiers sans être passé par la fortune doit être nue comme un vers et vivre dans un champ de marguerite, sans quoi, c’est un menteur, un nouveau moine refoulé et un messie dégénéré et naïf.
Soit dit en passant, car je hais l’accablement, la dualité, la voracité et la cruauté, je ne suis surtout pas de droite et encore moins centriste, une lessive qui ne pollue pas les nappes phréatique n’est pas une lessive !
Ainsi, Mr Paul Jorion, qui suis je ? Et vous même Mr Paul Jorion, qui êtes vous ? Rimbaud disait : Nos cœurs c’est sur, ils sont des frères.
Dans le monde, un enfant meurent de faim toute les 5 secondes, une femme se fait violer toutes les secondes, une maladie pourtant guérissable tue un humain toutes les secondes.
Nous n’avons qu’une tache à accomplir, définissons l’idéal, le paradis terrestre à atteindre, qui lui même fera naitre un idéal que nous ne pourrions pas imaginer.
Créons un modèle, un système.
Et détruisons la structure actuelle, car finalement, n’est elle pas l’héritage mou des vive injustices d’hier ?
Les communistes d’hier auraient mis au sol les fortunés, thérapie ogresse en réalité !
Soignons les fortunés, boudons les, ils viendrons d’eux même, ils se soigneront d’eux même.
Ce qui m’a sauvé l’âme, c’est de tomber amoureux, il y a de cela une décennie, d’une très belle jeune femme prodigieusement bien éduqué, cultivé, saine et joyeuse. Ce qui sauvera les grandes familles fortuné de ce monde, c’est nous, car refusant d’être en bocal, nous serons d’admirable papillons inaccessible et exemplaire, voulant devenir de meilleurs humains, ils tendront vers nous leurs bras patauds.
Notez Mr Paul Jorion, il ne s’agit pas là d’un rêve mais d’une stratégie lucide et vérifié, douce et pacifiquement triomphante.
C’est fourbe de ma part Mr Paul Jorion, mais je conclurai, sans oublier de vous remercier pour vos efforts médiatiques, en récupérant le génie de Rimbaud afin de renforcer mon argumentaire approximatif :
Qu’est-ce pour nous, mon cœur, que les nappes de sang
Et de braise, et mille meurtres, et les longs cris
De rage, sanglots de tout enfer renversant
Tout ordre ; et l’Aquilon encor sur les débris
Et toute vengeance ? Rien !… – Mais si, toute encor,
Nous la voulons ! Industriels, princes, sénats,
Périssez ! puissance, justice, histoire, à bas !
Ça nous est dû. Le sang ! le sang ! la flamme d’or !
Tout à la guerre, à la vengeance, à la terreur,
Mon esprit ! Tournons dans la Morsure : Ah ! passez,
Républiques de ce monde ! Des empereurs,
Des régiments, des colons, des peuples, assez !
Qui remuerait les tourbillons de feu furieux,
Que nous et ceux que nous nous imaginons frères ?
À nous ! Romanesques amis : ça va nous plaire.
Jamais nous ne travaillerons, ô flots de feux !
Europe, Asie, Amérique, disparaissez.
Notre marche vengeresse a tout occupé,
Cités et campagnes ! – Nous serons écrasés !
Les volcans sauteront ! et l’océan frappé…
Oh ! mes amis ! – mon cœur, c’est sûr, ils sont des frères :
Noirs inconnus, si nous allions ! allons ! allons !
Ô malheur ! je me sens frémir, la vieille terre,
Sur moi de plus en plus à vous ! la terre fond,
Ce n’est rien ! j’y suis ! j’y suis toujours.
bon je n’arrive pas a poster un long message sur vos commentaire et aucune message ne m’indique la validation ou non
On peut voir au fils du temps, que des améliorations se font, hier, remontant 10 générations en arrière, nous étions des esclaves dominé par des voraces violent, aujourd’hui, c’est a peut près pareil mais l’espoir est vendue, la fameuse carotte qui fait avancer l’âne. La répartition des richesses est d’une inégalité scandaleuse, il en va de même pour les systèmes injustes et pourtant dit normaux, sorte de règle du jeu du monde.
La moralité reine, l’affection induite et incontournable, sont, sinon les inévitables lumières de demain, les espoirs fondé d’hier et d’aujourd’hui, faut il de l’effort ou du conflit ?
Bonjour je me permets de rappeler, l’intervention de paul de ce midi
http://zepload.com/images/1246778468_jorion a suivre franceculture.bmp
le lien n’a pas l’air de fonctionner
http://sites.radiofrance.fr/chaines/france-culture2/emissions/asuivre/fiche.php?diffusion_id=75225&pg=avenir
A déguster sans modération, cette longue et enrichissante analyse de Pascal Roussel (BEI). Les habitués de ce blog
n’auront pas besoin d’attacher leurs ceintures de sécurité. Les autres, si :
http://www.leseditionsromaines.com/?pg=economy&SID=1efac6c4f91051922768100fd cfa383a
En bouquet final, l’évocation de la thèse d’Igor Panarin, sur la dislocation possible des USA, dont la projection graphique donne :
http://forums.randi.org/showthread.php?t=131880
Si Paul pouvait nous donner son avis sur ce dernier point ?
est-il vrai, ou fausse rumeur, que cette bonne émission, « ce soir ou jamais », va disparaître et quitter le PAF ?
ce serait dommage, les émissions de valeur sont broyées par ceux siègeant en haut de la pyramide ; drainement par le haut, nivellement par le bas ; les pyramides marchent sur la tête !
@ laurent 347 dit :
5 juillet 2009 à 03:52
Tout le monde ne tombera pas amoureux pour le rester à vie. Plus généralement et fondamentalement, tout le monde n’a pas les mêmes aspirations. Même si théodore monod disait que l’utopie n’est pas l’irréalisable mais l’irréalisé, je ne crois pas du tout à votre vision du monde idéalisée car elle n’est pas une utopie, elle est une déformation du réel.
En ce bas monde il est toujours des gens assoiffés de pouvoirs pour constituer des armées et étendre leur domination au mépris du respect des vies civiles. Vous semblez dire à travers votre exemple de khan qu’il y a moins de barbarie ? Exploser des villages de civiles avec des bombes largués à 10000 mètres fait-il une grosse différence ?
Vous dites vous mêmes qu’il y a toujours des viols, des gens qui crèvent de faim et des cerfs malmenés. Les violences se déplacent, changent de formes et encore, pas tant que cela, mais dans 10 siècles il en sera encore comme il y a 10 siècles car certains hommes ont toujours les mêmes aspirations et cela on ne peut pas le changer. Certains se contentent de petits bonheurs en famille, là où d’autres en veulent toujours plus pour assouvir des rêves de grandeurs vaines.
Le jour où tous les êtres humains se satisferont de « peu », peut être aurons-nous alors une société apaisée mais je n’y crois pas du tout à moins de « lobotomiser » les gens d’une quelconque façon à la naissance.
et des serfs malmenés.
@Quidam
Ne désespérez pas car beaucoup de gens se contentent de plus en plus de peu (et par choix) même si ils ne le crient pas sur les toits. Et c’est aussi pour cela que l’économie n’est pas prête de redémarrer, et c’est tant mieux ! Nous allons assister à un retournement des mentalités. Même ceux qui ont dû -parce qu’ils n’avaient pas d’autr choix- se contenter de peu vont s’apercevoir qu’ils n’ont pas besoin de plus et que la simplicité les rend plus heureux… 🙂
En réalité je pense que vous avez raison lorsque vous mettez en abime mes arguments tentant vainement de démontrer que l’humanité progresse sur tout les fronts, le bombardement d’Hiroshima en est l’exemple. Notons ici que les USA auraient put viser deux zones désertiques du Japon afin de démontrer leur supériorité militaires, mais non, il n’a pas fallut de l’épouvante mais du massacre, les flammes n’ont pas suffit, il a fallut le sang des anges.
Parallèlement, si l’on compare les saignés du malade imaginaire de 1673 à la première transplantation cardiaque de 1967 réalisé par le professeur Christian Barnard, on peut voir qu’il y a un progrès phénoménale, et de 1967 à aujourd’hui (2009) il y a encore plus de progrès, l’accélération des connaissances est étourdissante, que dis je, émouvante !
Quidam, vous dites avec justesse : « tout le monde n’a pas les mêmes aspirations » et le problème est justement ici, l’idéal des religieux n’est pas l’idéal des laïcs, il y a même des oppositions, c’est pourquoi je pense que l’élaboration d’un texte, d’une philosophie, d’une moralité, juste et jolie, est l’œuvre à accomplir et qu’avant de soumettre les puissants de ce monde, il serait bon que cette œuvre aille à la conquête du cœur des humains. Pour exemple, en adorateur de la justice, la déclaration universelle des droits de l’homme n’est elle pas primordiale et pleine de perfection ?
Tout le problème est justement ici, le paradis des uns est l’enfer des autres. Ainsi qui peut définir l’idéal ? Des sur hommes auto-déclaré ?
Alain Badiou critique justement (je ne dis pas avec justesse), l’humanisme, car selon lui, qui peut définir l’homme parfait et cette tentative de définition n’est elle pas source de danger ? Pour donner un exemple historique dramatique, les blonds, sont ils les hommes parfait de demain ?
Néanmoins, je pense, têtu et jeune, que la conception théorique d’un idéal est un premier pas menant vers l’élaboration d’un paradis terrestre, cette planète planant dans le cosmos infini et la vie qui anime les êtres, ne méritent ils pas ce paradis ?
Je le répète, ce paradis terrestre est possible, ne serait ce que socialement.
Je vous remercie aussi pour vote citation : « l’utopie n’est pas l’irréalisable mais l’irréalisé ».
Par contre je ne comprends pas vos propos suivant : « je ne crois pas du tout à votre vision du monde idéalisée car elle n’est pas une utopie, elle est une déformation du réel ». Je crois que les notions temporelles du présent véritable et du futur désiré sont le cœur de l’incompréhension qui sépare nos croyances.
Également, lorsque vous dite : « En ce bas monde il est toujours des gens assoiffés de pouvoirs pour constituer des armées et étendre leur domination au mépris du respect des vies civiles. » vous prenez certes la défende des opprimés, de l’oiseau qui n’a qu’une aile, mais vous oubliez peut être le fameux potentiel qu’a l’humain à se dépasser, en somme, comme une logique cosmique, on se développe dans l’amour et l’on régresse dans la haine, ne faut il pas abandonner ses vices afin d’ériger le temple des vertus ? De plus la démocratie, certes incomplète, n’a t’elle pas écrasé les dictatures d’hier lors de la seconde guerre mondiale.
Ce que vous exprimez aussi est un axe stratégique auquel j’adhère, Israël que je défend, aveuglément, en est l’exemple, les armes a feu nous protègent des poignards, baissons la garde par pacifisme et nous seront égorgé.
Pour conclure, car j’appartiens ici déjà a un camp critiquable, je pense que la nature à accomplit tant de miracle, de beauté pour être plus précis, que la perfection n’est pas veine et qu’il faut tendre vers celle ci et pour être franc, car je ne suis pas un prédicateur de mort et de défaite, je pense, ici la certitude serait chérie, que de toute façon l’humanité élaboré tendra vers ce paradis terrestre, que ce chef d’œuvre est inéluctable, logique et évolutif.
Je sais que vous, certains d’entre vous, ne me croyez pas, ne voulez pas adhérer a cette prière laïc, mais je sais aussi que tous, sortit de la brume et de l’abîme, espérez la même chose, or, si avec nos pensés nous créons le monde, avec nos espoirs nous créons le paradis terrestre.
Les propos de Paul Jorion tendent vers un futur meilleur. L’élaboration n’est qu’amélioration et la gentillesse et l’intelligence sont, selon moi, les virus mentaux les plus contagieux, solides et épanouissant que je connaisse. Tout est question de proportion, les tyrans d’hier n’inspirent que quelques malades perdu, là ou les grands penseurs affectueux et amoureux de la vie ont l’adhésion éternelle des masses et le monopole du cœur, je pense à Jésus, Gandhi, Bouddha, John Coltrane, Martin Luther King, Rimbaud, Platon, Chaplin, Kubrick, kurosawa, qui dépassant la nature humaine, ou l’incarnant avec justesse, deviennent alors un modèle standard future, exemplaire et possible.
Je suis a la fois dans le sujet et hors du sujet, mais selon moi, l’élaboration de l’argent, est morale et fraternelle avant d’être mathématique. Car en effet l’équation est simplissime : Les Ressources Vitales divisé par Le Nombre D’Humain. Comme disait un ami nativiste, E=bébé (E=BB). La répartition n’est pas un régime universelle, mais une opulence universelle. Notez ici que je vante l’excès généralisé afin d’inverser la tendance et non pas par gourmandise maladive. Nous, humain, qui somme capable de mesurer avec exactitude la distance entre notre système solaire et l’étoile visible la plus lointaine, somme également capable de gérer mathématiquement la répartition des aliments nutritifs. Ma phrase est compliqué et maladroite, je la refais, aujourd’hui nous pouvons dans la facilité nourrir l’intégralité des humains de cette planète et éradiquer définitivement la famine. Il en va de même avec la médecine et les médicaments courant. Avec les droits fondamentaux, c’est un autre problème qui nécessite un assainissement interne et de l’exemplarité absolue offrant alors une légitimité, puis dans un second temps, une conquête mondiale pacifiste n’imposant pas le fruit de nos réflexions mais s’agglutinant aux merveilles des autres nations, un travail d’addition opposé a la logique de soustraction actuelle.
DB, je pense en effet que, par le bais du prodigieux outil médiatique (radio, télé, livre, journaux), la conscience collective s’améliore, jamais autant d’humain n’ont sut lire et écrire, voir même chanter et créer des œuvres picturales. Tout le monde est photographe, je parle de l’acte et non pas de la qualité, mais l’acte est source d’entrainement et donc de maîtrise potentielle, sinon d’épanouissement.
Pour vous répondre, et je ferais vite car je dois me déplacer, je pense que votre commentaire m’inspire du ying et du yang, en effet, la justesse des besoins est utile là ou la surconsommation était néfaste, mais j’y vois aussi, pardonnez mon indélicatesse ou incompréhension, un réflexe d’ex opprimé attaché au régime et aux carences, dans le sens ou je pense qu’il faut exiger plus. Pour vous donner un exemple, la grève générale dans les Dom Tom s’est contenté de la sucrette là ou elle aurait dut exiger la terre donnant naissance à la canne a sucre, de grâce je ne parle pas de nationalisme et de décolonisation. Nous ne devons pas être humble mais exigent. En somme, pour l’intégralité des humains, plus de macarons aux pistaches, plus de glaces hagen daz (ici personne ne me contredira), plus de nougat, plus d’ipod, de rolex, d’ordinateur surpuissant, d’avion privé. En terme de production il ne s’agit pas d’un problème de pollution mais d’un problème de recyclage. Dans cet ultime argument je pense avoir été possédé par quelques dieux néfastes, mais si je vois de la justesse dans la soif équilibré des besoins, je vois aussi un manque d’exigence et de revendication.
Et pour conclure, car vous parlez d’essentialisme plus que de docilité, j’utiliserai encore ce stratagème d’accaparation malhonnête en citant cette fois ci Robert Wyatt, citant lui même Elvis Costello auteur de « Shipbuilding » (que les non anglophone me pardonnent, ou s’activent) :
Is it worth it
A new winter coat and shoes for the wife
And a bicycle on the boy’s birthday
It’s just a rumour that was spread around town
By the women and children
Soon we’ll be shipbuilding
Well i ask you
The boy said ‘dad they’re going to take me to task
But i’ll be back by christmas’
It’s just a rumour that was spread around town
Somebody said that someone got filled in
For saying that people get killed in
The result of this shipbuilding
With all the will in the world
Diving for dear life
When we could be diving for pearls
It’s just a rumour that was spread around town
A telegram or a picture postcard
Within weeks they’ll be re-opening the shipyards
And notifying the next of kin
Once again
It’s all we’re skilled in
We will be shipbuilding
With all the will in the world
Diving for dear life
When we could be diving for pearls
@simplesanstete je vous remercie pour votre commentaire qui rend mon cœur moins solitaire et compris.
Le « On » me donne un doute.
Le travail commence à midi ?
@ laurent 347
Juste un extrait d’un texte de HF Tiefaine qui ne peut que convenir a un Rimbaldien tel que vous :
« Toi qui voulais baiser la terre dans son guéto tu en reviens meurtri, vidé par sa violence, et tu fui ce vieux monstre, a l’écaille indigo, comme on fui les cauchemars souterrains de l’enfance. » (…) « voilà fille oceane, des vagues providentielles, qui t’appelle dans le vert des cathédrales marines. C’est une fille albatros, ta petite soeur jumelle qui t’appelle et te veux dans son reve androgyne. » Syndrome Albatros de HF Thiefaine.
Helas la vrai question qu’il faut resoudre (ou pas) n’est elle pas plutot beaudelairienne : l’ennui et la peur de la mort? Au long de l’histoire de l’humanite, nombre d’utopie comme celle que vous envisagez se sont realisees au sein de divers groupe sociaux reduits et isoles malgre l’absence de medecine et de technologie et pourtant elles ont disparues, brisee par la demographie galopante d’un voisinage de violeur ou bien par les aleas climatiques ou encore les querelles intestines. Vous dites hair la dualite mais l’univers entier repose sur la dualite : action/reaction, bien/mal etc. Je pense pour ma part (avec le secret espoir de me tromper) que l’etre humain n’a pas la capacite d’etre entier, tout au plus equilibré car l’existence d’une face implique l’existence de l’autre. Le seul veritable progres qui puisse s’entendre pour l’humanite c’est l’equilibre et il est hors de l’euphorie ou de la depression ou plutot il reside juste au centre avec la paix et l’ennui, le terrible ennui de celui qui n’est pas amoureux, celui qui conduit a Orginet/Porginet et au succedane de passion violente du meilleur des mondes… Je me souviens du sujets de philo que j’ai eu au bac : En quoi les passions éloignent t elles de la realite? A l’epoque je n’aurais jamais imaginé y reflechir encore 15 ans aprés, lol!
Merci encore pour votre post car quoi qu’il en soit : « On a beau faire, on a beau dire, ca fait du bien d’etre amoureux » J.Brel
PS : En tant que fan de Coltrane je vous renvoie a ses fils spirituels nombreux et en particulier a Magma, plus exactement au concert at Bobino de mai 81.
cher dup, voici mon message définitif, j’avais fait une erreur en postant juste avant.
Votre commentaire est une antithèse totalement nécessaire et dans laquelle je peux discerner des similitudes d’idées. Il en va de même pour vos références et votre démarche rhétorique. Avant de vous répondre, je suis allé me jeter dans l’eau de la méditerranée, 3 minutes, car j’ai peur des méduses.
Avant tout, afin de concrétiser une amitié certaine et peut être éphémère je vous donne les 3 urls de mes playlists Deezer, certain que vous y trouverai au moins 1 beautée, cela sera fait.
http://www-v3.deezer.com/fr/#music/playlist/cool-is-1060311
http://www-v3.deezer.com/fr/#music/playlist/musique-generaliste-206010
http://www-v3.deezer.com/fr/#music/playlist/neosankillkill-513417
Vous dites « Hélas la vrai question qu’il faut résoudre (ou pas) n’est elle pas plutôt Beaudelairienne : l’ennui et la peur de la mort? « , en parlant de l’ennui du fameux “avertissement aux lecteurs”, introduisant le recueil : “les fleurs du mal” ou l’on peut trouver le chef d’œuvre suivant : “l’ennui, l’œil chargé d’un pleur involontaire”.
Je pense pour vous répondre que l’ennui est beaucoup moins grave que la tragédie, l’injustice et la tristesse absolue, celle par exemple que l’on éprouve en comprenant, qu’au moment ou je vous écris, un enfant meurt de faim, tandis que cela est évitable sans trop de difficulté et qu’en réalité, cet enfant a tout simplement besoin de nous. Alors le luxe du venin n’est selon moi pas primordiale.
Je ne pourrais ici que citer Primo Levy dans son propre avertissement au lecteur introduisant le livre « si c’est un homme » :
Vous qui vivez en toute quiétude
Bien au chaud dans vos maisons,
Vous qui trouvez le soir en rentrant
La table mise et des visages amis,
Considérez si c’est un homme
Que celui qui peine dans la boue,
Qui ne connaît pas de repos,
Qui se bat pour un quignon de pain,
Qui meurt pour un oui pour un non.
Considérez si c’est une femme
Que celle qui a perdu son nom et ses cheveux
Et jusqu’à la force de se souvenir,
Les yeux vides et le sein froid
Comme une grenouille en hiver.
N’oubliez pas que cela fut,
Non, ne l’oubliez pas :
Gravez ces mots dans votre cœur,
Pensez-y chez vous, dans la rue,
En vous couchant, en vous levant ;
Répétez-les à vos enfants,
Ou que votre maison s’écroule,
Que la maladie vous accable,
Que vos enfants se détournent de vous.
Si j’essaye d’orienter mes proches vers l’élaboration d’un paradis terrestre, c’est peut être en fait parce que cela est possible et qu’il s’agirait alors du décors banale du monde, mais également parce que l’on ne peut se contenter et accepter l’insupportable.
La science fiction et le cinéma de fiction savent nous mettre en garde contre le totalitarisme de ces sociétés soit disant paradisiaque, on songera par exemple au film (moyen soit dit en passant) « La machine a remonter le temps » ou des surfeurs et des belles en mini jupe mangent des fruits immense en dansant la lambada dans un décors de club de vacance Ushuaïa, avant, soit dit en passant, de se faire dévorer par des Chubakas stressant.
Le paradis est un “Las vegas Parano” pour ceux qui aiment la consommation de stupéfiant et la beat génération, un “scarface” pour des amateurs d’arme a feu et de fortune anarchiste, une “petite maison dans la prairie” pour les catholiques américains, ou un ”chat noir chat blanc » pour les festifs bohèmes. Si le cinéma n’ose pas élaborer un paradis terrestre, malgré la force de sa fiction, comment la société pourrait réaliser une telle élaboration ?
Mais faut il également nous satisfaire du monde dans lequel nous vivons, faut il abandonner le désir de perfection et l’amélioration ultime ? Je vous le dis, si dans 200 ou 2 000 ou 20 000 générations, la paix mondiale existe, la famine est éradiqué, la mort repoussé, la maladie impuissante, alors j’en serais heureux, sans parler de notre descendance, épanouie et victorieuse. J’aime d’ailleurs cette phrase : « réveillez moi, quand l’étoile du soir, tel un joyaux, ornera le calme sein du ciel ».
Je pense même que les beautés que nous vivons tout les jours sont les efforts et les rêves sacré et inaccessible de nos ancêtres. Que penserait l’inventeur du piano en écoutant, des siècles plus tard Mozart, Chopin, Michel Petrucciani ? Que penseraient les frères Lumière en voyant « soudain le vide » de Gaspar Noé ?
Ainsi, en première réponse, « la vrai question » que je souhaite résoudre est, comment définir l’essentiel et l’inacceptable, en ce sens, encore une fois, l’application mondiale de la déclaration universelle des droits de l’homme est le meilleur travail réalisé a ce jour et un excellent mode d’emploi, dépassant de loin l’idéal dogmatique des bibles et autres subterfuges religieux. Et « l’ennui et la peur de la mort » viennent après. Pour donner un exemple, suite a un accident de voiture, on sauve le corps des malades, en chirurgie, on soigne la chair, et puis plus tard, on soigne l’âme chez un psychologue, ou avec des amis réconfortant et attentif.
Vous dites également ceci : « Au long de l’histoire de l’humanité, nombre d’utopie comme celle que vous envisagez se sont réalisées au sein de divers groupe sociaux réduits et isoles malgré l’absence de médecine et de technologie et pourtant elles ont disparues, brisée par la démographie galopante d’un voisinage de violeur ou bien par les aléas climatiques ou encore les querelles intestines. »
Je commenterai en disant tout d’abord que je trouve la phrase excellente, aussi bien moralement que techniquement et également pour l’information qu’elle contient.
De quel société parlez vous ? Je vous pose ici non pas une question de rhétoricien, il s’agit d’un réel besoin d’information et de connaissance historique. J’ai immédiatement en tête la scène ou Dustin Hoffman, s’efforce de féconder, toute une nuit durant, les 7 sœurs magnifiques de sa femme magnifique, dans le fabuleux film « Little Big Man », ou encore quelques tribus pacifiste, affectueuse et vivant en harmonie avec la nature. Mais j’ai peut d’exemples.
Selon moi, ce que vous dite est primordiale, faute de nous décourager, cette information doit nous émouvoir le cœur et nous rendre plein d’espoir, car en effet, l’humain est donc capable d’harmonie, l’idéal de demain a déjà existé et donc sera. Dis je, optimiste et têtu, voir borné.
Vous dites aussi (pardonnez le vouvoiement) : « Vous dites haïr la dualité mais l’univers entier repose sur la dualité ».
Je ne pourrais que vous donner l’exemple de la naissance d’un bébé. On prend un homme, une femme, ils s’aiment, un bébé vient au monde. Dieu merci je n’ai pas à expliquer à chacun d’entre nous le concept de la graine, il existe sur internet de nombreux sites totalement démonstratif. On voit ici que pour créer la vie, le mal (l’obscure et non pas le mâle) n’a pas eut à intervenir. Ce que je veux dire, mais j’ai beaucoup de mal à trouver l’axe, c’est que la politique, l’économie, la société, l’administration, la police, les médias peuvent, ou doivent, être amélioré jusqu’à atteindre le statut de perfection, de chef d’œuvre ultime. Qu’il ne s’agit pas d’un luxe mais d’une évidence et d’une tendance logique. D’ailleurs, que j’argumente et prenne position ou non pour cette tendance, elle est déjà en marche, comme un karma collectif inévitable. Hourra ! Que cela est réconfortant et émouvant d’espoirs triomphant.
Quand à la tendance inévitable du bien et du mal, présent dans la physique et le cosmos, je ne pourrais que citer, encore une fois, le talentueux Nietzsche lors ce qu’il dit : « Il y eut une fois, dans un recoin éloigné de l’univers répandu en d’innombrables systèmes solaires scintillants, un astre sur lequel des animaux intelligents inventèrent la connaissance. Ce fut la plus orgueilleuse et la plus mensongère minute de l’histoire universelle. Une seule minute, en effet. La nature respira encore un peu et puis l’astre se figea dans la glace, les animaux intelligents durent mourir. Une fable de ce genre, quelqu’un pourrait l’inventer, mais cette illustration resterait bien au-dessous du fantôme misérable, éphémère, insensé et fortuit que constitue l’intellectuel humain au sein de la nature. Des éternités durant il n’a pas existé ; et lorsque c’en sera fini de lui, il ne se sera rien passé de plus. Car ce fameux intellect ne remplit aucune mission au-delà de l’humaine vie. Il n’est qu’humain, et seul son possesseur et producteur le considère avec pathos, comme s’il renfermait le pivot du monde. Or, si nous pouvions comprendre la mouche, nous saurions qu’elle aussi nage à travers l’air avec ce pathos et ressent en soi le centre volant de ce monde. Il n’y a rien de si abject et de si minuscule dans la nature qu’une légère bouffée de cette force du connaître ne puisse aussitôt gonfler comme une outre ; et de même que tout portefaix aspire à son admirateur, de même l’homme le plus fier, le philosophe, croit-il avoir de tous côtés les yeux de l’univers braqués comme des télescopes sur son action et sa pensée. Il est remarquable que cet état de fait soit l’œuvre de l’intellect, lui qui ne sert justement aux êtres les plus malchanceux, les plus délicats et les plus éphémères qu’à se maintenir une minute dans l’existence, cette existence qu’ils auraient toutes les raisons de fuir aussi vite que le fils de Lessing sans le secours d’un pareil expédient. L’espèce d’orgueil lié au connaître et au sentir, et qui amasse d’aveuglantes nuées sur les yeux et les sens des hommes, les illusionne quant à la valeur de l’existence parce qu’il véhicule la plus flatteuse évaluation du connaître. Son effet général est l’illusion mais ce caractère se retrouve aussi dans ses effets les plus particuliers… »
Ici Nietzsche nous demande juste d’avoir la capacité de savoir nous arrêter pour contempler notre propre abîme, d’être humble face a nos certitudes. Ainsi la dynamique ying yang du monde n’est peut être pas une vérité absolue. Einstein dit, le fait est étonnant, que si l’on se rapproche du centre de la terre, du magma, on peut alors avec stupeur constater que l’espace devient infinis, je refais la phrase, que ce que l’on croit être le centre, c’est a dire un point minuscule et en fait une étendue infinie.
Je dois vous avouer de suite qu’ici, mon argumentation est totalement malhonnête, en effet pourquoi, soudain, évoquer le manque de connaissance là ou, des simples améliorations sociales réalisable sont un effort logique, morale et simple, d’amélioration des aspects positifs de la vie. Mon erreur est donc de remettre en question la dualité là ou je devrais isoler et identifier. Un paradis terrestre n’est pas une vie parfaite, loin de là, c’est juste un univers, un décors, un mode de vie servant de support à une existence compliqué. On ne pourra ici que citer Bouddha et ses réflexions. Et même s’il dit que « la dualité n’existe pas » on pourra voir, et il y a peut être incompréhension de ma part ou une véritable contradiction, que le « grand véhicule » est l’immersion de l’Éveillé dans le monde complexe et imparfait des hommes non éveillé.
A ce stade, si vous souhaitez vomir ou exiger de ma part des phrases plus simple et moins confuse, je comprendrai tout à fait.
Là ou je vous rejoins c’est lorsque que vous dite : « Le seul véritable progrès qui puisse s’étendre pour l’humanité c’est l’équilibre » et je vous rejoins juste parce qu’il s’agit là d’une sagesse de psychanalyste ou de psychologue, faisant en sorte que les humains s’accepte dans toute leurs complexités et contradictions, mais je pense, que l’humanité ne peut pas et ne doit pas, tolérer la guerre, l’exploitation de l’humain par l’humain et la famine et que quelques soit les dynamiques cosmiques ou physiques, ce progrès d’égalité, de liberté et de fraternité, est tant souhaité et joli qu’il en devient possible.
Vous dite aussi : « le terrible ennui de celui qui n’est pas amoureux » et je confirme, étant moi même, dramatiquement, l’exemple vivant de cette phrase. J’ajouterai au mot « ennui », désarrois, solitude et tristesse absolue.
Vous dite aussi, et je ne comprends pas : « Orginet/Porginet et au succedane de passion violente du meilleur des mondes ». Mais l’exemple du roman et film « le meilleur des mondes » prouve en effet que dans un enfer il est impossible de détruire totalement l’amour, la différence et la liberté. Et donc hélas pour moi, qu’inversement, il est impossible de faire disparaitre dans un contexte de paradis terrestre, la haine, la guerre, l’égoïsme et la violence.
Ainsi, le paradis terrestre n’est pas un bien absolue mais une proportion supra majoritaire de bien. Je vous rejoins donc, finalement, dans votre argumentation de mal inévitable mais j’ajoute que ce mal est isolable et qu’il est possible de le diminuer afin de le rendre infime.
A la question du bac : « En quoi les passions éloignent t elles de la réalité ? » j’ai eut zéro car je regardais sous la jupe de la surveillante. C’est une blague.
Vous citez aussi Jacques Brel : “On a beau faire, on a beau dire, ca fait du bien d’etre amoureux” et de mémoire je continuerai avec je crois : « Je sais je sais, que ce prochain amour, sera pour moi la prochaine des guerres, je sais déjà, à l’entrée de la fête, la feuille morte que sera le petit jours. Je sais déjà, sans savoir son prénom…. » et après je ne me souviens plus mais cette chanson, que mon courage, ma force et ma passion, n’ont jamais appliqué est excellente et a élaboré mon adolescence.
Vous finissez par MAGMA que je j’écouterai sur ce lien http://www-v3.deezer.com/fr/#music/magma/magma-bobino-1981-44076 et que j’apprécie également.
Et comme j’ai pour l’instant toujours conclu par des citations, j’oserai cette fois ci le hors sujet totale, certain par contre de trouver des âmes réjouie, il s’agit de « l’idiot » de Dostoïevski qui montre que même dans un paradis terrestre la vie restera, en terme d’amour, d’une complexité absolue :
« Il paraissait vouloir déchiffrer quelque trait mystérieux qui, dans ce visage, l’avait frappé tout à l’heure. Sa première impression ne lui était pas sortie de la mémoire et maintenant il avait hâte de la soumettre à une contre-épreuve. Alors il eut la sensation encore plus intense que ce visage exprimait, outre la beauté, quelque chose d’exceptionnel. Il crut y lire un orgueil démesuré et un mépris voisin de la haine, contrastant avec une certaine disposition à la confiance et à une étonnante naïveté ; cette opposition dans une même physionomie éveillait un sentiment de compassion. La beauté éblouissante de la jeune femme devenait même insupportable sur ce visage blême, aux joues presque creuses et aux yeux brulants ; beauté anormale en vérité. Le prince contempla le portrait pendant une minute puis, se ressaisissant et jetant un regard autour de lui, il le porta à ses lèvres et l’embrassa. Lorsqu’une minute plus tard il entra dans le salon, son visage était parfaitement calme. »
@ laurent 347
Un grand merci pour les playlist, vu l’heure je ne peux pas vraiment repondre a ce post correctement mais toujours est il que « désarrois, et tristesse absolue. » ne sont pas des corrolaires de l’ennui mais seulement du desir. Tuez le et il vous restera l’ennui : paisible, palichon comme l’aube, ecrasant comme la chaleur, mais en aucun cas douloureux. Quant a la solitude, elle est avant tout un mirroir et il n’est somme toute, pas vraiment difficile de s’accepter soi meme au dehors des imperatifs que nous impose la societe. C’est plus le calque que l’on nous impose qui est difficile que d’accepter l’original. Mais attention, si vous assumez l’original la societe vous rejettera, il faut s’accepter secretement de nos jours, car J’affirme qu’aucun etre humain n’est politiquement correct autrement qu’en se rendant a l’evidence. je m’explique : tout le monde se rend a l’evidence pour dire qu’il faut respecter la limitation de vitesse par exemple mais tout le monde connait le plaisir de l’exces (auquel s’ajoute le bris de l’interdit) ; donc tout le monde est hypocrite ou se resigne a ne plus se faire plaisir. A quoi sert un paradis si pour l’obtenir il faut renoncer a en profiter comme des barbares (ou plus exactement des enfants que nous sommes reste quoi qu’on en dise) ? si c’est pour au final s’y ennuyer parfaitement comme des adultes? Le seul moyen d’obtenir un vrai paradis sur cette planete est de ne pas depasser 1 million d’individus: l’enfer pour ceux qui entendent procreer durant les 3 prochaines generations. L’anarchie actuelle reste le seul modele (car au fond c’en est une) qui permette a chacun de jouir de sa condition animale c’est a dire de ceder au pulsion ( ressentir du plaisir) que sont la nourriture, la reproduction et la conquete de territoire. Pour le refonder il faudrait remettre en cause le moteur biologique de l’individu qui est la recompense par le plaisr d’un comportement favorable a l’expansion de l’individu et de l’espece. Je ne sais pas si cela sera possible par la culture mais quoi qu’il en soit nous y perdrons qqchose. Par ce qu’au fond, je l’aime bien moi, mon cerveau reptilien. Je vis dans un pays latin (d’ou mon probleme avec les accents typographiquement parlant), ce que la France n’est decidement plus (si elle l’a ete un jour) et meme ici, l’europe devore le latinisme a coup de politiquement correct et/ou de raison pure. Pour finir par une citation aproximative Brel disait qu’on « ne s’asagit pas en vieillissant, que pour cela il faudrait etres assexue et surtout n’avoir aucun pressentiment » Le discour general de Brel tout au long de sa vie resume beaucoup mieux que je ne saurais le faire le sens que je voudrais donner a ce post. « A 17 ans un homme a deja tout revé, il peut mourrir et il passera le restant de ses jours a essayer de realiser ces reves ou a les remettre a plus tard » Tout cela peut sembler egoiste mais c’est le tenant d’une societe basee sur l’individu et toute alternative nous menera a une termitisation plus ou moins totalitaire. Sur ce, bonne nuit cher Laurent et encore merci.
PS : pour les societe humaines heureuses, il n’ont pas beaucoup laissés de trace d’ou le peu d’exemples. Si j’etais au paradis avec une creature reve je ne passerai pas mon temps a ecrire des post et si je faisais de la musique ou de la peinture cela serait en toute improvisation, sans carquans d’aucune sorte, sans volonte de perenite pour mes oeuvres et encore moins de lucre (par exemple les indiens d’ameriques ont commence a laisser des traces quand on les a peu a peu extermines)… La technologie, la hierarchie, l’administration, et meme sous un certain sens la medecine, la science en general et la culture sont les fruits du malheurs ou « les fleurs du mal ». Le sapiens a environ 50000 ans (je crois?) est l’ecriture 5 a 10000, ca laisse donc environ 40000 ans de paradis (sans internet, sans automobile et pire, sans anesthesie generale, ni dentiste….) Au final, le paradis c’est peut etre seulement une notion temporelle, et ca se passe avant 20 ans! Et si une dimension spirituelle doit lui etre atribue pourquoi pas l’insouciance?
il ne faut pas croire que les très longs textes constituent une obstruction du forum;
il suffit de les passer;
@auspitz
L’art parfois, de la vie, se résume a être totalement gentil avec les autres
la clémence, la curiosité, l’affection, sont de jolies concepts
pour vous répondre je dirais, en évitant toute forme de dualité
que l’art du Haïku est fantastique :
Sur la branche ancestrale
j’approche ma main d’une fleur qui s’épanouit
trop tard, le papillon c’est envolé
C’est également étonnant de voir qu’un enfant de 6eme a compris le paradoxe dans le haïku suivant
C’est un ours
Qui marche lentement
Comme un tremblement de terre
via : http://www.webzinemaker.com/admi/m1/page.php3?num_web=40964&rubr=2&id=292331
En cette magnifique journée il est fantastique de fraterniser avec tant de gens épanouis afin d’activer les forces affectives de ce monde
@dup
je prendrai le temps de vous répondre prochainement
mon entourage biologique me sollicite
@ laurent
pour que la transplantation cardiaque soit un immense progrès pour l’humanité, il faudrait que la personne qui a reçu ce coeur, ait elle même apporté, suite à cela, un grand progrès pour l’humanité, sinon, ça n’a pas plus de prix qu’une vie sauvée ou prolongée par n’importe quel geste humain comme ……
consoler une personne désespérée
éviter un avortement
poser une barrière de sécurité près d’un puits
rendre la liberté à un esclave
offrir un salaire décent à un ouvrier qui peut nourrir sa famille…etc…
Il faudrait donc parfois comparer les coûts de ces soit disant » grands pas de l’humanité »
en quoi une transplantation à plus de raison de se faire que 1000 guérisons de la lèpre ou l’achat de terres fertiles pour tout un village ……
@simple sans tete
je ne comprend pas trop votre message, il est sur une fréquence qui m’échappe, sorte d’improvisation sympathique. Vous parlez de la multiplicité des vouloir et des paradoxes qui animent les humains. En effet pourquoi vouloir créer un paradis terrestre tandis que la chanson « avec le temps de léo férré » se termine par « on aime plus ». Si il y a en nous de la haine et de l’affection, comment la société peut elle même ne contenir que de l’amour, dans la mesure ou la société est une somme d’individu complexe. Nous somme donc fasse à une équation simple, des humain complexe, une civilisation complexe et donc, une idéal idéologie complexe ? Et bien justement, non. La politique, la civilisation, la société doivent être des valeurs juste absolue. Elles s’inspirent des meilleurs idées, sont alimenté par les plus justes et les plus cléments, sans jamais laisser de coté les affaiblis et même les égarés. Le contre exemple le plus frappant est la prison, qui faute de s’inspirer de l’hôpital, plonge des égarés plus bas là ou elle devrait les soigner, elle punit avec sévérité là ou elle devrait isoler et soigner. Nous somme là en plein Orobos, c’est a dire le serpent qui se mort la queue et se contamine de son propre venin. La psychologie, la philosophie, les arts devrait être des académies sur représenté dans les prisons, afin que les criminels d’hier redeviennent des être sensibles, intelligents, et moraux. N’ont ils pas le droit a se salut ? La sévérité la plus totale n’est pas une thérapie, c’est une punition. Et la punition elle même, voulant auto-discipliner les êtres égaré ne porte aucun fruit, c’est un processus de vengeance, pourtant déjà condamner par l’exemplaire Jésus Christ.
De plus dire que l’humain doit faire avec ses paradoxes sans s’élever au statut de surhumain est selon moi une erreur. Au début de la création de la vie, ou même pendant le big bang, qu’étaient les éléments ancestraux dont nous somme la descendance ? Nous étions de la protéine, des organismes mono cellulaire et aujourd’hui, regardez la beauté de Mia Farrow ou d’une autre belle femme contemporaine. S’il y a eut une fabuleuse progression de l’organisme, pourquoi alors, ne pas espérer et œuvrer pour une progression morale et mentale ? Pourquoi se satisfaire ? Je répondrais en disant, pourquoi ne pas se satisfaire de nos défauts ? Les idiots d’hier deviendrais des génies, les affamés d’hier deviendraient des êtres en bonne santé, plein de robustesse, les assassins d’hier deviendraient des soignants de demain. Pour faire simple et pour conclure, ne faut il pas, mais je l’ai déjà dit plus haut, abandonner ses vices afin d’ériger le temple de nos vertus ? Pourquoi condamner l’humain dans un statut d’être imparfait là ou sont dépassement semble possible et déjà presque palpable ?
@babiole
Pour commencer, non ! Tout les être humain doivent avoir la même égalité face au soin, on ne doit pas mériter la vie, mais l’exiger, ainsi, un assassin, un dictateur, un saint, un génie, un juste et un mauvais, tous, ont droit aux soins et à la vie, tous ont droit au progrès sans contrepartie. Justement parce que la lumière éclaire l’obscurité, que la lumière du soleil plonge dans le jour tout les être sans distinction afin, peut être, qu’ils puissent avoir l’opportunité, au fil du temps de devenir meilleur et plus lucide.
Je note néanmoins dans vos exemples quelques chose de magnanime, une sorte de sensibilité juste et donc, puisse celle ci ce généraliser. Et pour conclure, je pense qu’il faut avancer sur tout les fronts justes.
@Dup
Je prend enfin le temps de vous répondre.
Lorsque vous dite : « A quoi sert un paradis si pour l’obtenir il faut renoncer a en profiter comme des barbares (ou plus exactement des enfants que nous sommes reste quoi qu’on en dise) ? si c’est pour au final s’y ennuyer parfaitement comme des adultes? »
Je pense que nous nous comprenons mal. Vous êtes un être bon, je pense, ainsi mon exemple sera temporairement déplacé. Voulez vous, tuer, voler et violer ? Voulez vous gagner de l’argent en spéculant sur le prix du blé même si cela affame des pays entiers ? Voulez vous mettre des puces dans le cerveau des gens pour les contrôler et en faire des esclaves ? Voulez vous tuer des gens aléatoirement dans la rue afin de vous divertir ?
Non.
Un paradis terrestre est avant tout la fin d’un enfer.
A un instant de ma jeunesse, je me disais que l’age adulte était à éviter. Je me disais : « être un homme c’est faire les courses » et aujourd’hui je prend du plaisir à acheter tel ou tel légume ou fruit vitaminé. Je me disais « être adulte c’est payer un loyer » et aujourd’hui je prend du plaisir a fumer une clope magique tout nu en chantant Franck Sinatra dans mon appartement.
En ce sens, le paradis terrestre n’est pas un univers mormon ou tout le monde rie naïvement comme Charles Ingals dans des beaux habits blancs en allant à l’église sur la bande originale de Alice au pays de merveille. Selon moi un paradis terrestre est un lieu ou les bontés évidentes triomphes et ou les injustices les plus frappante n’existent plus. Ce qui laisse beaucoup de marge. Aujourd’hui, si l’on additionne l’arsenal nucléaire militaire nous pouvons détruire la planète une bonne quarantaine de fois. Diable que cela est inutile dans absolument tout les sens du terme. Aujourd’hui les super marché et producteur détruisent leurs surplus de nourriture tandis que des enfants meurent de faim un peut plus loin, à 2 ou 4 heures d’avion de nous. C’est abominable ! Ici aussi, l’œil est chargé de larme et d’incompréhension.
Techniquement, est il possible de charger de la nourriture dans des charters et d’aller illico presto apporter de la nourriture et des médicaments a ces enfants ?
Pour clore je pense que ce n’est pas la valeur de l’argent qu’il faut, avec cette crise financière, définir. Je pense que le grave problème est la définition de la valeur de la vie humaine qu’il faut définir, rien n’est plus chère et chérissable que la vie. Si un seul et unique humain, meurt de faim parce qu’il est pauvre, alors l’argent du monde entier perd de son sens et de sa valeur. Ici, c’est mon radicalisme.
@Dup
Je ne pense pas que le problème soit lié a la surpopulation mais au sur-égoïsme et a la sous logistique. Mais je pense en effet que la planète terre a un potentiel limité qui est à vue de nez de 10 à 20 milliards d’humains, chiffre pouvant être augmenté en fonction des améliorations technologique.
Ma santé mentale du jour est au plus bas, ainsi je n’argumenterai pas. Je sais aussi que je trouverai des contres avis mais j’aurais donné, avec peut de force, mon avis sur la question.
Vous parlez aussi d’anarchie. J’ai longtemps étudié ce sujet, au point de vivre dans des communautés anarchistes, c’est a dire, de boire, de fumer, de respirer, de manger, de dormir, de rire, de faire la fête, pendant 5 ans avec des anarchistes. Mon domicile était anarchiste, mes amis étaient anarchistes, je pissais anarchiste, j’ai baigné dans ce monde.
Selon moi, cette immersion me donne de la légitimité me permettant de donner un avis basé sur l’expérience. Voilà cet avis : l’anarchie n’a que deux grands point fort, un saint refus des instincts d’autorité et le fait de s’élever dans de l’auto discipline, se responsabiliser. Tout cela ne suffit pas, c’est une réponse à un problème, mais pas un univers total et finie.
Le monde actuel, sorte de camp de civilisation, forme les individus à devenir des travailleurs exploité chérissant le sucre maigre de la survie et des consommations de jouet pour adulte. Les ouvriers qui travaillent sur le chantier de construction a coté de moi auront ils un appartement dans l’immeuble qu’ils construisent ? Leurs enfants auront ils un patrimoines ? Non. Pourtant sans leurs mains l’immeuble a venir ne serait pas.
Qui aujourd’hui ignore le fait qu’un de nos anciens présidents de la république était cocaïnomane. Ce même président à t’il eut des scrupules en prenant une ligne de coke sur la table d’une préfecture, imaginant dans les prisons des dealeurs incarcéré et privé de leurs libertés ?
Encore une fois, la déclaration universelle des droit de l’homme n’est elle pas parfaite ?
Par contre il y a des lois injuste, et c’est une erreur grave. Il y a des peines injustes. Ainsi l’anarchie devrait s’attaquer a ces erreurs plutôt que de s’attaquer à la loi et a la justice elle même.
Sa légitimité résulte dans le fait que la justice crée de l’injustice, mais un contre courant n’est pas un courant autonome. Ainsi, l’anarchie peut fonctionner sur des ilots, des périmètres encerclé mais ne peut pas se globaliser.
J’ai eut 2 maîtres spirituel dans ma vie, Simon Koskas, homme d’art et de culture libertin et bourgeois et Michael Jarry, artiste anarchiste punk toxicomane. La différence entre ses deux être est impressionnante. Je parle d’eux car, étant sinon mes modèles, des être qui m’ont éveillé sur certains points, leurs différences montrent qu’il n’y a pas qu’un modèle, mais leurs points commun était l’intelligence extrême dans l’affection et l’amour. Des amoureux d’élite, de la vie, des femmes et des êtres.
En ce sens, peut être que l’anarchie a ce pêché d’orgueil, croire totalement à l’humain, l’animal humain. L’anarchie ne fonctionne que par opposition, pensant que les lois, sont des ordres qu’une classe dominante anarchiste impose a des classes exploité et éduqué. Or, je pense que les lois peuvent être bonne, surtout les lois fondamentales modernes et humanistes. Que les tyrans d’hier possédant le peuple seront remplacé par des guides spirituel juste et admirable. Sous les dictatures les résistants sont des anarchistes. Ont peut donc voir que l’anarchie est un levier mais pas un modèle. L’humain peut il se passer de modèle, d’idéal ? Oui si ces modèles sont des tyrans, et ses idéaux sont des absurdité. Mais l’humanité est elle incapable de se structuré avec intelligence ? N’y a t’il pas des êtres admirable et exemplaire forçant le respect et pouvant être considéré comme des guides ? Par exemple Alexandre Legrand des Don quichotte ne serait il pas un excellent ministre du logement ? Le professeur Jaquard serait il un meilleur ministre de l’économie que Strauss Kahn, offrant l’argent aux hommes plutôt que les hommes à l’argent. L’absence de modèle est selon moi une erreur, là ou il faudrait des modèles justes. Ainsi selon moi, l’anarchie a raison en combattant le passé et le présent mais ne forge pas le future.
@ Laurent
« Sa légitimité résulte dans le fait que la justice crée de l’injustice, mais un contre courant n’est pas un courant autonome. Ainsi, l’anarchie peut fonctionner sur des ilots, des périmètres encerclé mais ne peut pas se globaliser. »
L’Anarchie ne « fonctionne » pas, c’est un état, pas un système. Quand au fait qu’elle ne puisse se globaliser, si le système financier international explose, je suis prêt a prendre les paris. Et nous serons loin de la fiesta des bons vieux anarbabas mais plutot en plein Mad Max. Certes, je me contredis vu que j’ai dit précédemment que le modèle actuel au fond est une anarchie mais je faisais allusion aux finalites des individus et a l’infinité de moyens déployés pour y parvenir plutot qu’a un système politique.
« Vous êtes un être bon, je pense, ainsi mon exemple sera temporairement déplacé. Voulez vous, tuer, voler et violer ? Voulez vous gagner de l’argent en spéculant sur le prix du blé même si cela affame des pays entiers ? Voulez vous mettre des puces dans le cerveau des gens pour les contrôler et en faire des esclaves ? Voulez vous tuer des gens aléatoirement dans la rue afin de vous divertir ? »
Votre question n’en est pas une, vous mettez une reponse dans ma bouche!!!! Ce type de construction sémantique coupe cours a tout débat du fait que l’interlocuteur se retrouve acculé a une position moralement insoutenable s’il s’opose et même pire s’il n’adhère pas entièrement. C’est du totalitarisme par la morale (judeo chrétienne soit dit en passant). La politique d’aujourd’hui est construite la dessus, d’ou l’écroulement de l’opposition et le consensus tous les jours plus ecoeurant. C’est du politiquement correct et face a ce type d’argument je prefere encore rester cynique et répondre OUI que de me rendre a l’évidence morale!!!! Vous n’avez décidément rien entendu a mon post! Il me suffit de laisser parler mon cerveau reptilien, d’assumer mon animalité pour répondre OUI et il me suffit de faire appel a la votre pour vous dire hypocrite. Tant que l’humain restera a nier la moitié de lui même, tant qu’il gardera le singe enfermé dans sa cage, il ne pourra progresser. Je passerai sur le discour clasicobaba ya pas de bien ni de mal etc. car le mal existe tout comme le bien et les deux cohabitent en nous ; je ne suis pas un etre bon (et vous non plus!) mais je peux faire preuve de bonté ou de cruauté (tout comme vous!). Est il nécessaire de rappeler que « dieu créa l’homme a son image ». Pour moi le paradis réside seulement dans le fait d’être soi-même pleinement dans l’instant et de pouvoir l’assumer. Je préfère avoir affaire a un cruel qui sait et assume sa cruauté qu’a un bon qui me torture pour mon bien (pensez aux inquisiteurs par exemple)! C’est dans l’aliénation que réside l’enfer.
Pardonnez mes propos quelque peu agressifs mais le politiquement correct et le consensus me font bondir, ce sont les premiers pas vers la termitisation, l’ablation de l’individualité (quel mot magnifique : la dualité indivisible !!), en d’autre mots : l’autocensure. Comme vous le voyez pas besoin de puces dans le cerveau, une donnée fortement chargée d’affect introduite via la sémantique suffit a faire boucler l’algorithme intellectuel de la façon désirée. Voir les ecrits de Paul sur l’IA : Le résultat d’un cheminement de pensé (ici introduit par Laurent) alimente la mise en place d’un nouveau cheminement dont resulte la reponse de Dup ; et dans ce cas, votre affirmation m’oblige a repondre -non- pour ne pas aller au contre du courant de la morale (composante tres importante pour l’affect). C’est en quelque sorte équivalent a de l’hypnose ou de la PNL ; ou encore a du Sarkosisme : » il ya trop de mort sur les routes » -oui (affect=compassion)- « ça ne peut plus durer! » – non (affect=colère) – « il faut sevir » – oui- (affect trés fort: sanction=morale)- « nous allons installer 500000000 radars et vous niquer 1 point et 135€ pour 1km/h »- heu….trop tard pour dire non, ce serait remettre en cause un principe moral!-
Enfin, pour un disciple Punk vous me semblez avoir passé un détail : NO FUTURE!
Sans rancune, Cordialement.
@dup
ce matin en vous écrivant, quand je dis ce matin c’était en fait l’après midi, car chez moi le travail commence à midi, j’étais en forme moyenne, pour faire plus simple j’avais envie de mourir, chose de plus en plus courante, que cette faiblesse ne soit pas un premier argument entrainant la pitié, ni même l’indulgence mais plutôt qu’on puisse y voir une certaine faiblesse temporaire faisant en sorte que le fil de ma pensé errait dans des endroits terne.
Contrairement à vous (le vous est insupportable), je ne pense pas que les humains puissent se satisfaire de leurs défauts et qu’ils peuvent penser ces défauts éternelles, tout simplement parce que les humains les plus nobles existent et que l’amélioration humaine est une donné presque palpable, une sorte d’intuition aspirant aux rêves les plus beaux et les plus serein, en écrivant cela, je les imagine déjà acquiescer d’un regard clément.
J’ai toujours considéré l’anarchie comme un mouvement contre politique et donc assimilable a une politique.
Lorsque vous dite que le meurtre, le vol et le viol sont les fardeaux désigné par la judeo chrétienneté totalitaire, vous faite erreur, ont retrouve cette condamnation dans de nombreuse société structuré comme chez les indiens d’Amazonie, les tribus africaines, les bouddhistes, les lapons et leur sénat igloo et l’on peut noter que ces évidences sont présente chez toutes les sociétés dignes.
En effet ne pas tuer, ne pas voler et ne pas violer, n’est pas, comme vous le dite, du politiquement correct, c’est juste une évidence morale basique et logique et condamner ces sottises, ces erreurs, ces pêchés et ces lésines n’est pas un effort surhumain.
Ma question, contrairement a ce que vous croyez en était justement une, car a cette question certains répondent oui et certains, tuent, volent et violent, ils y trouvent du plaisir et ils pensent que le monde est ainsi fait. Dans certains pays par exemple, si une femme se fait violer, elle peut être jugé coupable d’adultère et être lapidé sur la place publique. Et croyez moi, il y a plus d’une main pour lancer les pierres assassines. Ce scénario ressemble à de la science fiction tellement il est incohérent et barbare, et pourtant, il existe.
Je pense que votre réaction a deux origines : la fausse morale imposé contre laquelle nous nous somme battu pendant des siècle, comme le fait par exemple d’être torturé par des inquisiteurs refusant de vous laisser dire que la terre est ronde, et la résignation, peut être lucide, visant à voir l’humain tel qu’il est, c’est a dire comme un animale bipède souvent carnivore. Mais une fois encore n’oublions pas que la terre n’était qu’une masse boueuse constitué d’organisme cellulaire simple ou résidaient déjà nos ancêtres commun. Ainsi je ne peux voir qu’une progression, rapide ou lente, de la vie, des formes de vie. C’est pourquoi en réalité je parle de paradis terrestre possible, certainement aussi parce que je parle d’un fait potentiel ou inévitable à très long terme. Il est bon d’ailleurs d’imaginer que cette élaboration du paradis terrestre ait lieu tôt. Les enfants petits êtres mignons et parfois cruels ont souvent des réponses incroyablement juste lorsqu’ils commentent la folie des adultes, en ce sens, peut être ai je refusé de devenir un adulte fou, préférant devenir un non être. Je parle d’eux car cela montre le potentiel de pacifisme de l’espèce humaine. Certes, ils sont incapable d’élaborer une bombe nucléaire mais ils sont aussi incapable d’avoir la volonté de tuer des millions d’habitant d’Hiroshima.
De plus quand vous dite que je ne suis pas, non plus, un être bon, mon cerveau bug car en effet, en réalité, je n’ai pas fait de mal a qui que se soit depuis bien des années, je ne suis pas parfait, mais je me suis bonifié et chaque jours en réalité, je rencontre des gens bons, ils sont en fait monnaie courante. Par contre, non, je ne suis pas un génie, je ne suis pas exemplaire, je ne suis pas une grande âme de ce siècle, je suis juste gentil et cela fait de moi un être serein. Peut être aussi qu’étant d’une famille bouddhiste j’ai ce soucis permanent de justesse. Par exemple, et ce fait étonne beaucoup d’occidentaux, si un moustique se pose sur mon bras, parfois je le laisse me piquer, car il en a besoin pour sa survie, survie qui vaut plus que le désagrément d’un bouton qui gratte. Et si je tue un insecte c’est toujours par inadvertance et jamais volontairement. 20% des bouddhistes à travers le monde sont ainsi. En réalité, je les laisse de moins en moins me piquer mais je ne les tue pas, je les sort pacifiquement à l’extérieur a l’aide d’un verre et d’une feuille cartonné. Par contre, je mange de la viande et je le fais, sinon avec plaisir, dans une désagréable sensation de culpabilité et la bouche salivante. Mais fondamentalement, je trouve cela mal et si je pouvais apprendre à me nourrir comme un végétarien, je le ferais, après tout, la grande majorité des indiens d’Inde sont végétarien et ils survivent aussi bien que nous.
A ce stade, notamment avec l’histoire du moustique, vous vous dite : « ah ok, en fait il est fou ! Et dans son pseudo paradis terrestre ont bouffera des pistache avec des boutons plein les bras afin de finir, dans 10 siècles dévoré comme des escargots par des fourmis même pas rouge ! »
J’ai en fait du mal a vous répondre, et a trouver l’accroche, primo parce que nous somme, d’un commun accord, dans un mode d’opposition fraternelle et argumenté et ensuite parce que je ne sais plus trop ou est le sujet (paul jorion doit lui même chercher le rapport avec l’émission « ce soir ou jamais »).
Peut être qu’au lieu d’argumenter des le début j’aurais dut demander ceci : selon vous, a quoi pourrait ressembler un paradis terrestre ? Si vous aviez à élaborer un paradis terrestre, que serait le bien et que serait le mal ? Et sachant que les idées de bien et de mal divergent, comment pourrions nous définir les victorieux et les perdants ? Démocratiquement ? Par la force ? Avec l’éducation et le temps ?
Prenons des exemples, la peine de mort (je suis contre), l’avortement (je suis pour), la spéculation boursière (je suis contre), l’exploitation de l’homme par l’homme (je suis contre), Celine Dion en triple cd à la fnac (je suis contre), le téléchargement illégale d’art (je suis pour), la drogue (je suis pour), la prostitution (je suis contre, tout contre), en réalité, justement, il y a non seulement des désaccords entre les êtres mais également des incapacités personnelle a juger du bien et du mal, en effet je ne pourrais pas dire si je suis pour ou contre la prostitution, je suis évidement contre le proxénétisme et contre la vente de chair humaine forcé, mais fondamentalement si je pouvais vendre mon corps a toutes les femmes de la planète je le ferais sans trouver cela mal, criminel ou immorale.
Ce qui m’étonne donc, c’est l’incapacité qu’a l’humanité à définir le bien et le mal.
C’est troublant quand même, non ?
Dans la mesure ou je n’ai aucun amour propre, je ne peux pas avoir de rancœur, donc oui, sans rancune.
Amicalement.
Laurent.
« Contrairement à vous (le vous est insupportable), je ne pense pas que les humains puissent se satisfaire de leurs défauts et qu’ils peuvent penser ces défauts éternelles, tout simplement parce que les humains les plus nobles existent et que l’amélioration humaine est une donné presque palpable, une sorte d’intuition aspirant aux rêves les plus beaux et les plus serein, en écrivant cela, je les imagine déjà acquiescer d’un regard clément. »
Les qualités n’existent que par antagonisme des défauts de même que le bien n’existe que par antagonisme du mal. En aucun cas il s’agit de se satisfaire de ses défauts mais d’assumer notre imperfection.
« En effet ne pas tuer, ne pas voler et ne pas violer, n’est pas, comme vous le dite, du politiquement correct, c’est juste une évidence morale basique et logique » / « Dans certains pays par exemple, si une femme se fait violer, elle peut être jugé coupable d’adultère et être lapidé sur la place publique. Et croyez moi, il y a plus d’une main pour lancer les pierres assassines. Ce scénario ressemble à de la science fiction tellement il est incohérent et barbare, et pourtant, il existe. »
No comment…
« De plus quand vous dite que je ne suis pas, non plus, un être bon, mon cerveau bug car en effet, en réalité, je n’ai pas fait de mal a qui que se soit depuis bien des années, je ne suis pas parfait, mais je me suis bonifié et chaque jours en réalité, je rencontre des gens bons, ils sont en fait monnaie courante. »
Vous confondez semble t il bon et généreux.
« Je pense que votre réaction a deux origines : la fausse morale imposé contre laquelle nous nous somme battu pendant des siècle, comme le fait par exemple d’être torturé par des inquisiteurs refusant de vous laisser dire que la terre est ronde, et la résignation, peut être lucide, visant à voir l’humain tel qu’il est, c’est a dire comme un animale bipède souvent carnivore. »
Je citerai encore Brel : « si d’une manière ou d’ une autre on est un tant soit peu généreux on passe forcément par des moments de colère » ; vivre sa colère, ne pas la refouler au point de desirer ne plus exister, utiliser cette energie au mieux, ce n’est pas du tout en contradiction avec le boudhisme me semble til.
Ecrase moi donc ce moustique, il est la pour cela, il n’est pas individuel, il est comme un cellule, une pièce de puzzle, il n’a aucun sens par lui même il n’a même pas de cerveau (tout juste de ganglions nerveux). Si le vous t)es insupportqble et bien tutoie sans plus te poser de questions. Assume ta nourriture carnivore, apprend a connaitre l’animal au lieu de le refouler, et ensuite seulement dompte le et utilse sa force pour te realiser. Encore Brel : « Le desir incroyable de se vouloir construire (..) en se preferant faible plutot qu’orgueilleux, en se préférant lache plutot que montrueux » ; l’éceuil étant de devenir monstrueusement lache et/ou orgueilleusement faible.
« selon vous, a quoi pourrait ressembler un paradis terrestre ? »
J’ai déja répondu, c’est un temps : avant 20 ans ou règne l’insouciance.
La peine de mort je suis contre aussi par son aspect institutionnel, cependant rien contre l’assassinat
L’avortement : seule les femmes peuvent émettre une opinion c’est de leur corps qu’il s’agit
L’exploitation, la speculation, Celine Dion, et Hadopi, je suis patient, tout a une fin (Celine Dion c’est insuportable mais imagine qu’elle ait fait de la politique par exemple! au final c’est pas plus mal qu’elle chante non? On a deja notre compte avec Segolène!).
La dope … lisez Henri Michaud
La prostitution : aucune experience me permettant de me faire un avis mais aucun apriori
La definition du bien et du mal : une question d’axe, de referentiel, un concept relativiste et/ou quantique, les deux concept s’entre definissent pas exclusion des ensembles (le bien = ce qui n’est pas le mal et vice versa). C’est comme Dieu on peut seulement les sentir et non pas les definir, comme en physique quantique le fait de mesurer interfère avec la realité et la corrompt.
Enfin, si tu n’a aucun amour propre he bien lave le ! La colère est saine, elle est le dernier bastion de la dignité face aux vicissitudes de ce monde qui te meurtrisent tant. Et pour finir je te renvoi a une chanson de Brel : Vivre debout
« Serait il impossible de vivre Debout! ». Haut les coeurs moussaillons! Osons etre nous même, c’est la moindre des choses!
Amitiés.
Dup:
PS : « dans un mode d’opposition fraternelle et argumenté » ça c’est fort joliment tourné, félicitations. A titre d’anecdote un jour en discutant avec un Español assez agé (70ans) j’en suis venu a soutenir la thèse que nous avions a ce jour en main tous les outils pour créer un paradis terrestre et qu’il ne devait pas etre possible qu’il existe des etres humains qui se lèvent en se disant : aujourd’hui je vais etre un salop. Il m’a répondu : et Franco alors ! Je suis resté cloué, et puis je suis allé au bar et je suis tombé sur la corrida a la télé… J’ai voyagé aussi en inde et la bas fini le bien et le mal il ne reste plus que le pur et l’impur…
@dup
Vous citez souvent Jacques Brel, le modeste père absent adulant les feux de la rampe et je l’empreinterai aussi pour vous expliquer ma démarche, afin que l’on se comprenne, car compte tenu de votre niveau intellectuel je pense qu’il s’agit plus d’une incompréhension qu’une divergence d’idée, aussi peut être me suis je mal exprimé.
On découvre souvent ce chanteur pendant l’enfance à travers sa chanson la plus célèbre « ne me quitte pas », qui soit dit en passant est dramatique car on sait des le début que la femme le quittera quoi qu’il advienne.
Dans cette chanson, Jacques Brel dit : « je t’inventerai un monde ou l’amour sera roi ». Votre démarche consiste à écrire ceci : « je t’inventerai un monde ou l’amour et la haine seront rois car il faut accepter notre complexité et nos paradoxes ». Je serai votre Jacques Verges quelques secondes en disant que si Brel chantait votre version, la femme ne le quitterai alors peut être pas, mais la chanson bas de gamme du rappeur bas de gamme, Orsan, « t’est qu’une pute » et qui fait polémique, montre que l’absolutisme affectif est, sinon efficace, beaucoup plus noble et poétique.
Vous pouvez donc, peut être, déjà admettre, que la création d’un idéal FUTURE est une bonne démarche. Ainsi votre démarche n’est pas opposé mais complémentaire, ce que vous dites, je crois, c’est qu’il faut de la lucidité dans l’appréciation de l’humain, en somme qu’il ne faut pas culpabiliser d’être des humains complexe, que nous somme ainsi. Mais là ou nous somme en désaccord, c’est quand vous dite que cet état est complet, fini et éternel , là ou je parle de dépassement logique, saint et inévitable, a travers l’évolution et la volonté.
Je parlerai aussi de son texte : « La quête » qui là, va totalement dans mon sens.
« Rêver un impossible rêve » là ou vous dite « Accepter un possible cauchemar car c’est ainsi que nous somme fait ».
« partir ou personne ne part », là ou vous dite « rester là ou nous somme ».
« Tel est ma quête, suivre l’étoile », là ou vous dite « une quête de perfection est impossible pour la nature humaine, restons dans la boue ».
« peut m’importe mes chances peut m’importe le temps », là ou vous dite « c’est perdus d’avance, c’est ainsi pour l’éternité et il faut l’accepter, aujourd’hui comme demain »
« Et puis lutter toujours, sans question ni remord » là ou vous dite « La lutte est inutile, la question est tranché et les remord n’ont pas lieu d’être car la nature de l’humain est ainsi ».
« je ne sait si je serait ce héros, mais mon cœur serait tranquille » là ou vous dite « nous somme de part nos qualité et nos défaut (vous ne dite pas faiblesse) déjà, sinon héroïque, juste et fini et nos cœurs doivent se complaire de cette imperfection ».
« Aimer jusqu’à la déchirure, Aimer, même trop, même mal, » là ou vous dite « aimer et haïr sans se dépasser, dans la justesse de la complaisance et l’acceptation du mal ».
« Et les villes s’éclabousseraient de bleu » là ou vous dite « les villes sont grise et il faut un peut de bleu et un peut de noir, c’est ainsi ».
Ainsi pour être honnête, je sortirai de l’argumentation, tentant de m’élever plus haut en transformant la dualité en deux justesses complémentaires.
Car vous allez me dire, c’est des chansons, c’est une idéal idéologie, c’est une utopie, ainsi, la poésie règle telle des problème concret de ce monde.
Et bien selon moi, oui.
Selon moi, vous faite un CONSTAT DU PRÉSENT et moi je fais une PROJECTION DU FUTURE, ne pas comprendre cela, c’est tourner éternellement autour du pot. Nous somme alors, selon moi, enfin d’accord, non ? Oui ? Qu’en pensez vous ?
En consultant Google Actualité aujourd’hui j’ai lu ceci : « G8 – 20 milliards de dollars pour la faim » et demain déjà les journaux titrerons « Enfin, la famine n’existe plus ».
A présent je commenterai vos réponses :
Vous dites : « En aucun cas il s’agit de se satisfaire de ses défauts mais d’assumer notre imperfection », alors assumer nos imperfections dans quel but ?
Ok nous assumons, ok nous somme imparfait, et ensuite ? C’est tout ? Bon, l’humanité assume. L’humanité imparfaite. Mais ensuite, il y a quoi ? Les mots solution, dépassement, évolution, regarder vers le future en s’améliorant, lutter contre nos instincts primaire afin de créer une perfection future, tant utile, n’a selon vous aucun sens ?
Pour faire simple, quel sont vos rêves réalisables pour demain ?
Vous dites également : « Vous confondez semble t il bon et généreux. »
Non, les deux adjectifs qualificatifs sont à peut près égaux sur l’échelle karmique et je sais faire la distinction entre bon/généreux et héroïque/parfait/exemplaire/génialissime.
Ensuite vous dite :
« Je citerai encore Brel : “si d’une manière ou d’ une autre on est un tant soit peu généreux on passe forcément par des moments de colère” ; vivre sa colère, ne pas la refouler au point de desirer ne plus exister, utiliser cette energie au mieux, ce n’est pas du tout en contradiction avec le boudhisme me semble til. »
Et je répondrais, que l’on éprouve des moment de colère a TORD, cette notion est incluse dans la phrase de Brel et que la colère n’est pas la solution la plus seine, qu’il s’agit d’un defaut. Et je ne suis pas en accord avec lui lors ce qu’il dit : « on passe forcément par », car il existe bien d’autre alternative et celle ci ne sont pas surhumaine.
De plus, si, la colère est absolument anté-bouddhiste. Les 3 règles fondamentale du judaïsme sont : ne pas tuer, ne pas commettre l’adultère, ne pas idolâtrer. ET les 3 règles fondamentale du bouddhisme sont : Lutter contre la colère, l’avidité, et l’inculture.
Vous dite aussi : « J’ai déja répondu, c’est un temps : avant 20 ans ou règne l’insouciance. » en parlant du paradis terrestre.
Entre 0 et 20 ans, honnêtement, votre vie était paradisiaque ? Et cela peut il se généraliser à l’ensemble des humains comme pour citer des exemples célèbres le populaire Michael Jackson ou encore la magnifique Nikki de saint Phalle ? Ou encore et là l’exemple est encore plus frappant, le prince Bouddha jouant avec des légo d’or dans son palais rose ou des éléphants tournoient avec des jolies biches sur la tête ?
Ainsi, je reposerai ma question avec plus de précision : même si cela était irréalisable pourriez vous imaginer des conditions, sociales, juridique, politiques, économiques, parfaites ?
Et cet élan imaginatif influencerait il de manière positive le future ?
Sachant, qu’il resterai alors des problème affectif, psychologique, écologique, de taille, ce future socio-economico-etc.. ne rendrait il pas le monde plus logique, plus cohérent ?
@dup
Parce que les commentaires long compliquent la gestion du blog, je continue, en deux temps ma réponse.
Je vois que dans votre liste du bien et du mal, nous avons beaucoup de similitude. Notez de suite que si nous ne somme pas marginaux et avant-gardiste nous ne somme peut être pas non plus majoritaire. Et cela est effrayant.
vous dites : « La peine de mort je suis contre aussi par son aspect institutionnel, » et là je suis totalement en accord avec vous.
Mais vous dite aussi : » cependant rien contre l’assassinat »
Et je suis en opposition totale. Le seul meurtre possible est la légitime défense selon moi et cela reste un drame évitable en désarment et en immobilisant son adversaire.
J’ai assisté à l’avant première du film de Tarantino « inglorius Bastard » pendant le festival de Canne ou j’étais en mission pour L’unesco. Dans ce film, Brad Pit tue Hitler, et j’avoue avoir éprouvé du plaisir en voyant ce meurtre. Je ne pourrais pas vraiment dire si le mot « Plaisir » est déplacé ou trop fort. Mais par déclinaisons et adoucissement j’ai également eut du plaisir en voyant le film blade runner, lors ce que le soit disant méchant dit : « je ne suis pas le méchant et tu n’est pas le gentil, les scénaristes m’ont créé méchant et me créer ainsi était un acte méchant, le cinéma de combat américain est méchant, Rambo qui tue 24 000 personnes par film est méchant, légitimé la violence est un acte méchant, d’ailleurs Ridley scott ne va pas me faire mourir, mais utiliser la magie du cinéma pour me transformer en colombe ». C’est une parenthèse mais l’idée du réalisateur, de transposer les androïdes du roman avec les comédiens (intermittent du spectacle) du film, est génialissime, c’est d’ailleurs le code de ce film, on ne voit pas de personnage ou des héros, on voit des comédiens qui joue un rôle de comédien, ce qui explique sont choix final imposé par les producteurs.
Et je continuerai par le roman de jean paul Sartre : « les mains sales » ou l’on voit qu’un jeune homme gâche sa vie, et notamment son histoire d’amour en s’impliquant dans la politique et notamment dans un meurtre. Ici l’avertissement de Sartre est : Seul votre histoire d’amour et l’être aimé vaut la peine, est une cause, est la chose supérieur de votre vie et ne laissez rien vous voler cela.
Vous dite aussi : « L’avortement : seule les femmes peuvent émettre une opinion c’est de leur corps qu’il s’agit »
et je suis absolument d’accord avec vous, j’ajouterai le mot « chaque », c’est a dire « chaque femme individuellement ».
Vous dite aussi : « L’exploitation, la speculation, Celine Dion, et Hadopi, je suis patient, tout a une fin (Celine Dion c’est insuportable mais imagine qu’elle ait fait de la politique par exemple! au final c’est pas plus mal qu’elle chante non? On a deja notre compte avec Segolène!). »
Et votre réponse n’est pas assez complète pour que je puisse confronter mes opinions.
Peut être juste que la diabolisation de Mme Ségolène royale est un peut facile.
Vous dite aussi « Enfin, si tu n’a aucun amour propre he bien lave le ! La colère est saine, elle est le dernier bastion de la dignité face aux vicissitudes de ce monde qui te meurtrissent tant. »
Cela me fait penser, aussi bien au niveau du rythme que du sens à la chanson de Trust, « Antisocial, tu perds ton sang-froid. Repense à toutes ces années de service. »
Ensuite tu parle de Franco et justement, nous l’avons vaincus, nous avons vaincus bon nombre de dictateurs et plus le temps passera plus les dictateurs seront impuissant. L’humanité future (l’intégralité des humains) sera tellement élaboré, pacifiste et intelligente que les dictateurs n’existeront même pas. On sera tout au temps heureux et malheureux qu’aujourd’hui mais on ne sera plus scandalisé par des injustices barbares.
En réalité, cette vision du monde future est effrayante car on entrevoit la lobotomie totalitaire de demain là ou il faudrait en fait voir la progression cérébrale de la magnifique espèce animale que nous somme.
Au fait, a tu trouvé dans mes playlists des chouettes titres ?
Certain qu’au moins un titre t’a fait bondir avec un « j’avais oublié cette chanson » ou « je ne connaissais pas ce génie ».
T’es décidement vraiment un Jeanjean (=trop gentil dans l’argot de mon bled originel gascon) de première (ça doit etre pour ça que je continu a écrire sur ce post) au point qu’on finit par s’attacher, ça me rappelle un film (« L’emmerdeur » bien évidement)
1 Brel :
Ne me quitte pas : ce qui est dramatique c’est uniquement qu’il s’abaisse a supplier, Brel était un champion du second degré et il disait que le premier se devait d’être suffisamment beau pour satisfaire celui qui s’y arrêterait. Et je mettrais dans la balance la premiere chanson de son premier album (a rapprocher de ton rappeur que je ne connais pas) le titre est « La haine » et on peut y entendre : « l’amour est mort vive la haine, et toi materiel déclassé vas t en donc accrocher ta peine au musée des amour ratées » (il parle a une hypothétique compagne qu’il abandonne vraisemblablement pour une autre et sans aucune pitié).
La quête : J’enrage, s’il te plait ne me fais pas dire des chose et encore moins retoucher les paroles de Brel surtout que la t’es vraiment a cote de la plaque. Brel y décrit la lutte pour l’amour et la dignité : « bruler d’une impossible fièvre » / « aimer même trop même mal » « et puis lutter toujours » / » se damnner pour l’or d’un mot d’amour » / « Par ce qu’un malheureux, brule encore, bien qu’ayant tout brulé, brule encore même trop, même mal » C’est vraiment trés loin de la voie du milieu et c’est vraiment le propre de l’humain : se perdre sur mille chemins faits de mille exces « pour atteindre l’inaccessible étoile ». Il s’agit bien d’une chanson réaliste (sic). Ou est ce que tu m’a lu a propos de complaisance et d’acceptation du mal. Si ce que je te répète depuis le début c’est qu’il s’agit d’ integrer notre nature profonde autant en bien qu’en mal, de vivre entièrement nos deux facettes. Assumer est trés différent d’accepter ou de se résigner, assumer c’est porter le poids et non pas ceder sous la charge.
Je ne fais pas un constat du présent mais de l’être!! La poesie ne règle pas des problèmes concrets de ce monde, Elle REGLE TOUS LES PROBLEMES concrets ou non, de ce monde et des autres, elle est notre dimension divine. Tu ne fais pas une projection future, tu essaie d’imaginer un etre supra humain dans un monde meilleur qui aurait chassé de lui même tout les penchants que tu n’assume pas dans ton propre être.
« j’AI JAMAIS TUE DE CHATS, … OU ALORS YA LONGTEMPS, … OU ILS SENTAIENT PAS BON… »
Mon Brel a moi il chante : « Grand Jacques », « Les moutons », « l’age idiot », « ces gens la » ou encore « Fernand », Sans oublier « j’arrive », « le dernier repas » et bien evidemment « les bourgeois » et « les bonbons67 » ou « comment tuer l’amant de sa femme »
A la limite j’aurais pu passer que tu m’avais cite Brel citant lui même Cervantes pretant ses mot a l’immense Don Quijote : « la folie suprème n’est elle pas de voir les choses telles qu’elles sont et non telles qu’elle devraient être »
Pour le G8 si j’ai bien compris ce blog, dans 6 mois, 20 milliard de dollards ça ne vaudra plus rien donc autant faire des chèques en blanc et un bon coup de pub.
Quand a la suite:
— « Ok nous assumons, ok nous somme imparfait, et ensuite ? C’est tout ? Bon, l’humanité assume. L’humanité imparfaite. » —-
Depuis quand???!!! Tu assume toi ? les enfants qui crevent de faim? ou bien tu te morfond avec le moral a zero un jour sur deux en culpabilisant de ton petit confort???!!! Moi, j’ai du mal, mais je sais que si j’avais faim moi aussi, je leur boufferai leur dernier grain de riz aux petits biafré sans défense et sans aucun remord qui plus est et je sais que toi et tout les autres aussi. Je connait cette partie de mon être, je ne la nie pas, et je l’utilise tous les jours pour survivre. C’est le moteur de l’évolution que tu loue tant ; sans lui, il ne nous resterai plus que la solution de Mallarmé pour rester en état de poesie pure : s’allonger par terre en regardant le ciel et se laisser mourrir de faim.
Mon rêve REALISABLE pour demain : Voir l’aube d’aprés demain…avec le ventre plein.
Oui tu confonds bon et généreux : etre bon est un etat permanent et génereux un etat transitoire. A rapprocher de Ser/Estar les deux verbes être que possède l’Español.
Pour enfoncer le clou : Brel ajoute a sa phrase sur la colère » Je n’aime pas l’humilité qui consiste a voir des choses laides en se disant moi ça ne me touche pas. » C’est cela que tu fais avec ton refus de la colère. Je n’ai rien contre le boudhisme et je le connait peu, mais la façon dont tu en parle me parait trés dogmatique (je ne crois pas que l’on puisse le réduire a 3 règles fondamentale de même pour le judaisme ; je suis chrétiens catholique de formatage je tiens a préciser). Dans la recherche de l’éveil n’est il pas conseillé de s’abandonner au flux des pensées pour atteindre le calme plat? N’est il pas expliqué que plus tu lutte contre le flux de pensées plus il est puissant? (il me semble avoir lu cela quelque part, peut etre dans Osho qui n’était peut etre pas vraiment boudhiste cependant ; le tantrisme est ce un courant du boudhisme ou de l’hindouisme? je dois dire que la je sèche.) En Inde (il ya plus de 10 ans ) je n’ai pas passé mon temps dans les ashrams, je n’ai pas vu le Taj ni Hampi ni Goa, mais j’ai parcouru 2500 km en train et autre bus, rikchow, petits bateaux etc. et j’ai vu le Gange et l’Himalaya et rencontré des gens de toute classes et castes (pour la plupart hindouiste ou muslims mais trés peu de boudhistes) et ça m’a suffit.
Pour les vingt ans Je citerai Brassens pour changer un peu : » si je connus un temps de chien certes, c’est bien celui de mes vingt ans et cependant je le regrettes le joli temps de mes vingt ans »
Enfin pour répondre a ta conclusion, je ne sais pas si je pourrais imaginer un paradis mais j’en connait un qui l’a fait : Karl Marx. Les influences sur l’avenir sont elles positives? je ne sais pas (tu vois la je ne te fait pas répondre par force pour te faire adhérer a une position quelconque, je donne ma réponse c’es tout) et dans le doute je m’abstiens de créer de l’utopie et pour être de bonne foie je suis trop faineant : encore l’animal (mais la je doit dire que je me complet plus que je n’assume, ceci dit j’ai quand même passé prés de 60 heures au boulot cette semaine ; pour l’anecdote mon job c’est de faire des Chateaux en Espagne dans le monde réel (sic)!!! alors refaire le monde… trop costaud pour moi).
Fin de la réponse a ton premier post ; t’inquiète pour la gestion du blog (si il ya a un problème il nous le ferons savoir), ya plus personne collé sur ce topic depuis longtemps et il est fait a l’origine pour présenter des links videos deja un peu tièdes vu l’activité médiatique éffreinée de Paul Jorion. Voila un mec qui en a des choses a proposer, voila un mec qui utilise bien sa colère face au sytème et qui propose des choses pour l’avenir de l’humanité, prend en de la graine et potasse le forum. Comme dit Kundera : « beaucoup de cervelles pour bien peu d’idées dans ce monde » alors pour une fois qu’on en tiens quelques unes, un grand merci a Jorion et tous les autres.
Milan Kundera !! mais bien sur, quel génie ce gars la !!! le voila le sens de ma réponse a ton paradis : « l’insoutenable légèreté de l’être » a lire absoluement si ce n’est déja fait (ainsi que « l’immortalité » qui est lui aussi un chef d’oeuvre).
« Comme l’écrit Jan Rubès dans le Dictionnaire des auteurs européens « Kundera, dans son oeuvre fait part de deux expériences fondamentales de notre temps : celle de la vie dans un système totalitaire et dans la société libérale. Mais au delà des faits sociaux qui constituent le cadre de ses écrits, c’est l’individu qui intéresse Kundera romancier , et le destin de la culture européenne , notamment du roman et de la musique, quand il se fait essayiste. » »
Rappelons nous toujours de la leçon du professeur Avenarius a propos de la lutte contre Diabolum (c’est valable aussi pour Paul Jorion d’ailleurs mais quelque chose me dit qu’il la connait déja).