Vous êtes très présent sur ce blog. En volume, vous me suivez de très près. Peut-être même me précédez vous. Il y a quelques traits dominants à vos interventions :
1) Quel que soit l’endroit auquel vous pensez, l’argent et le pouvoir sont ailleurs.
2) Le système financier est immortel.
Je pourrais vous faire la liste des choses qui sont mortes ainsi que de celles qui sont bien là où on suppose qu’elles sont. Cela ne réfuterait pas vos thèses car leur message profond est celui-ci : « À quoi bon ? »
Je pourrais vous rétorquer : « Pour qui roulez-vous ? » ou vous opposer des propos admirables comme : « Il n’est pas nécessaire de réussir pour entreprendre, etc. » Je m’en garderai bien. Je vous propose autre chose à la place : « Je change le monde parce que c’est beau ».
106 réponses à “@ Nuage Blanc, Clown Blanc, Auguste et tutti quanti”
à Paul,
en référence au billet, à l’adresse du leucotrio-et-tutti-quanti
[[ leucotrio-et-tutti-quanti [A] s’interroge sur le sens manquant et [B] conteste formellement l’erreur grossière du prétendu « A quoi bon ? »]]
A1 / ?? Comme Rimbaud entre 16 et 19 ans : « Il est beau le texte bien écrit, le poème où les mots sonnent joliment »
Ensuite il sera trafiquant, marchand d’armes, …
A2/ ?? « Je suis beau quand je brandis mon panache qui va sauver (
changer) le monde »(à qui pourrait-on penser ? … don Quichotte ? … Gaston Trouvetou ?
dans le genre taiau-taiau !-taiau-taiau! littéraires ou psys vous n’auriez pas de meilleures illustrations ?
A3/ ?? » Il est beau d’être celle (celui) qui dit je change le monde »
le barde qui chante … quel est son nom déjà ? Assurancetourix ?
A4/ ?? …
A5/ …. …. …. …. … …
Question 1 Que faudrait-il écrire en A4 ou A5 ? Je n’ai pas compris le billet.
Et la logique du propos ? Absente.
Un bonhomme dont le tempérament serait dominé par absence de courage, absence de stratégie factible, brins de critique clownesque ou mordante, absence d’éthique et de responsabilité à
l’égard d’autrui (enfants, petits-enfants, ami(e)s, relations, liens de certaines à d’autres)
c’est-à-dire qui serait dominé par » A quoi bon ? » écrirait-il des dizaines et dizaines de pages
— dont certaines pédagogiques en dépit des apparences —
depuis le 8 février sur ce blog ?
Dommage qu’il n’y ait aucun Cartesio dans la salle.
Celui-ci ne manquerait pas de relever la contradiction.
à Tique, professeur (?) agrégé en philosophie (?)
Ce matin à 9:32, vous disiez
[[LeClownBlanc s’indigne]]
Question 2
« M’sieur !
S’il gribouille plus que le GrandMaître lui-même à son tableau, n’est-ce pas le preuve qu’il participe ?
Beau et Vérité
Est-ce vraiment un sujet qui réclamerait thèse, antithèse et synthèse ?
Question 3
La réponse n’est-elle pas en trois phrases ?
– La Beauté, subjective, est dans l’ordre de la sensation visuelle sur un « objet » naturel ou artificiel (imaginé)
– La Vérité en fausseScience humaine, subjective mais se prenant pour objective (car argumentée et non contredite ou mal), &,nsp;
est un discours construit, largement erroné, qui apparait fondé (crédible, plausible, convaincant)
– La Vérité en science expérimentale (biologie, physique, chimie,…) est un phénomène qui,
dans des conditions bien précises, est ré-observable dans plusieurs laboratoires différents, sans que l’on sache toujours très bien pourquoi.
Sujet : Bergson: « Pouvons-nous concevoir un rapport entre le beau et le vrai ? » Extrait du corrigé
Ligne 3 : Philipe Chimpanzé peut vibrer continuellement à l’unisson de la nature en étant étranger (fermé) à tout art pictural
Ligne 6 : Zapp Chimpanzé, extraverti(e), sans vie intérieure significative, peut entendre chanter au fond de son limbique (âme ?)
des musiques au kilomètre — quelquefois gaies, plus souvent plaintives, etc. —
sans disposer d’une composition pertinente de repères et marqueurs aptes à la (le guider dans une quelconque Représentation du Réel .
Ligne 9 : Qui peut démontrer qu’un voile s’interposerait entre la nature et les aires de décryptage dans les aires cérébrales ?
Depuis des millions d’années, botre oeil-cervelle ne sait-il pas distinguer un prédateur affamé s’apprêtant à sortir du feuillage ?
Ligne 10 : J’aimerais tant qu’une fée vienne broder une décoration sur la tunique d’Auguste
Ligne 11 / La vie exige t-elle qqchose ? Vos dynamiques mentales n’appartiennent-elles pas qu’à vous ?
Que pourraient-elles exiger aux propres dynamiques de mon cortex qui n’en font qu’à leur guise ?
Ah oui ! c’est vrai ! il commence à pleuvoir. Heureusement qu’on me le rappelle. J’ai oublié de rentrer le linge.
(…) c’est fait (…) y auriez-vous pensé ?
Ligne 12A : « Vivre consiste à donner des ordres et ne jamais agir soi-même »
N’est-ce pas la devise de la plupart de la plupart des chefs de la Civilisation_1909-2009 et leurs manipulateurs ou opportunistes associés.
Il est écrit « donner des ordres » pas « réfléchir »
Le philosophe préfère opposer la Réflexion et l’Action. Ce serait un meilleur sujet ! Non. Pas pour moi
Mais les réponses qui sont dans les manuels présentent-elles un intérêt quelconque ?
Ligne 12B : « Vivre, c’est n’accepter des objets que l’impression utile pour y répondre par des réactions appropriées »
Horrible !
appropriées ! mais jugées appropriées par qui ?
jugées appropriées par autrui ? au nom de quoi et au profit de qui ? en référence à quelle finalité ? définie par qui ? pourquoi ?
jugées appropriées par mon préfrontal ? … et qu’est-ce qu’il est allé s’imaginer celui-ci ? … a t-il demandé l’accord de mon limbique droit ? et/ou gauche ?
Ligne 15 : A t-on déjà vu des sens éclairer, de façon fondée (sans risque de biais, mauvaise interprétation, etc.) une conduite ?
Ligne 16A : Ce que je connais de moi-même, c’est ce qui affleure à la surface.
Rien n’est plus faux ! Ce que je connais de moi-même c’est ce que j’ai écris dans ma machine ou ce que me dis ma femme, …
[Pas ce que dit Paul, car il me décrit — exprès — à l’opposé de ce que je suis,
espérant sans doute ainsi … (je crois deviner, mais je peux me tromper ) ]
Ligne 16B : Ce que je connais de moi-même, c’est ce qui prend part à l’action
Rien n’est plus faux. Dans l’action, il est impossible de réfléchir à moins d’être avec un maître en étape d’apprentissage.
Peut-on alors véritablement parler d’action ?
Apprendre à cercler un tonneau pour la première fois, est-ce la même chose que
Réaliser son 7538-ième tonneau tout en bavardant avec la crémière ?
Mes sens ne me livrent aucune simplification pratique du réel décrypté nécessaire à ma condition de chimpanzhumain.
Où en est-on ?
Pour les deux définitions du Vrai citées plus haut,
aucune des deux n’a été abordée.
Ainsi, au terme de cette évaluation, il n’est apparu aucun commentaire sur le rapport — (quasi inexistant) — entre le Beau et le Vrai.
Le corrigé proposé par le website http://www.aide-en-philo.com ne serait-il pas un complet hors sujet fantaisiste ?
Plus sérieusement, à Paul et Tique
Question 4
Pourquoi Leucotrio donnerait-il l’impression de ne pas « »participer » » ?
Entre autres plans-budgets, programmer un mode de mobilisation réfléchi
— capable, dans le calme, de co-introduire – au moment optimum – les bons leviers de changement —
n’est pas rédiger une composition française.
Quant à Cartesio, en milieu opaque, ne serait-il pas incapable de nager entre-deux-eaux.
En surface, il lui manquerait un mufle, … la perception de la chair et la sueur, …
En outre, être dans le noir — sans le recours à If (…) then (…) — ne doit pas décourager.
En outre toutes les vérités sont-elles bonnes à dire ? .. n’y a t-il pas toujours des tranches ? des moments ?
Exemple : le GoldQuatuor qui domine la BRI ! J’en connais deux pas quatre. Je devine le 3e sans en être sûr.
Question 5
Vous ai-je dit « A quoi bon les chercher ? ». [Nota: Au passage, je suis seul à les chercher]
Quant à la part des mesures pratiques déjà préconisées,
100% rationnelles et opératoires,
j’en ferai un jour la liste.
Ces cinq questions ne cherchent-elles pas elles-mêmes à préparer les ingrédients de la mayonnaise,
tout en veillant à la progression des autres plats ?
@tartar
Thank you very much to give me this tip!
I think that if Japon will introduce a system with négave interest rates and will abolish currency like you imagine, this could stimulate in a very efficient way japaneese economy!
You make the point! Money must not be hoarded!
But there is a risk: the masses of Yen-currency are astronomics!
The Bank of Japon must then retire most of the currencies following a strict plan in order to avoid hyperinflaion.
If the BoJ gives out, this would, in my opinion, a better system and easier to apply, a new currency following Gesells idea, the hoarded money will no longer interfer in a negative way, immediately!
Following Gesellés idea, there is no emergency to retire the « old currency » immediately, because all new money emitted should be stamped!
This method has the advantage that the banks will automatically apply a negative interest rate to all money returning on the current accounts.
In ythe same time, this would not touch the borrowing and the saving! This would not apply a negative interest to this part of bank business. This would surely lower the interest rates of saving and borrowing, but tehy will not become negativ, only next zero.
Indeed, the citizen must have the possibility to save money, and this saving, even if it will no longer produce interest, must, at least, be guaranted for its principal amount!
This idea comes frome the fact that hoarding and saving are two things totally different in their economic effects.
Saving is not « toxic » for money circulation, but hoarding is the great problem!
Si nous pouvions avoir cet échange en français ou en allemand, je serais plus à l’aise!
En tout cas, merci pour cette précieuse information!
jf
@tartar:
vous pouvez aussi continuer à écrire en anglais, car, je le lis et le comprends suffisamment, mais si je pouvais répondre en français (ou en allemand) et si vous le lisez et le comprenez assez, nous pourrons continuer cet échange au mieux!
Sinon, je me forcerai à écrire en anglais- un excellent exercice pour moi!
jf
Allez allez, juste pour le plaisir d’essayer de parler plus concrètement, bien que parfaitement incompréhensibles ( ou presque ) pour qui n’a pas l’habitude, dans ces deux tableaux, qui pourrait me dire si il remarque des anomalies de croissance ou décroissance, ou rien du tout ?
Désolé pour Paul, ça va lui faire du temps de filtrage, mais dans quelques pays et banques centrales où je vais fouiller dernièrement, les braves gens d’ici ( les tableaux ) sont toujours dans les petits papiers des relations privilégiés : Arabie-Saoudite, Inde, Brésil.
J’ai du mal à tirer quelques conclusions que ce soit, mais je n’ai rien à voir du côté pchiipchit de l’emplissage des alvéoles pulmonaires, avec l’oxygène qui se respire dans les milieux financiers
(
JP Morgan ) Sources
& Emplois de Fonds
( Consolidated balance sheets )
(
Million of Dollars )
2004
2005
2006
2007
2008
Assets
Cash and due from
banks
35,168
36,670
40,412
40,144
26,895
Deposits with banks
21,680
21,661
13,547
11,466
138,139
Federal funds sold
and securities purchased under resale agreements
(included $19,131 at fair value at December 31, 2007, $20,843
at fair value at December 31, 2008 )
101,354
133,981
140,524
170,897
203,115
Securities borrowed
(included $3,381 and zero at fair value at December 31, 2008 and 2007,
respectively)
47,428
74,604
73,688
84,184
124,000
Trading assets
(including assets pledged of $77,266 at December 31, 2004, and $81,312
at December 31, 2003)
(including assets pledged of $82,474 at December 31, 2006, and $79,657
at December 31, 2005
(included assets pledged of $79,229 at December 31, 2007)
(included assets pledged of $75,063 at December 31, 2008)
288,814
298,377
365,738
491,409
509,983
Securities
(included $85,406 and $91,917 at fair value at December 31, 2007 and
2006, respectively)
(included $205,909 at fair value at December 31, 2008 , and
assets
pledged of $25,942 and $3,958 at December 31, 2008 and 2007,
respectively)
91,917
85,450
205,943
Available-for-sale
(including assets pledged of $26,881 at December 31, 2004, and $31,639
at December 31, 2003)
(including assets pledged of $39,571 at December 31, 2006, and $17,614
at December 31, 2005) 91,917 47,523
94,402
47,523
Held-to-maturity
(fair value: $117 at December 31, 2004, and $186 at December 31, 2003)
(fair value: $60 at December 31, 2006, and $80 at
December 31, 2005)
110
77
58
Interests in
purchased receivables
31,722
29,740
-.
Loans
(included $8,739 at fair value at December 31, 2007)
(included $7,696 at fair value at December 31, 2008))
402,114
419,148
483,127
519,374
744,898
Allowance for loan
losses
(7,320)
(7,090)
(7,279)
(9,234)
(23,164)
Loans, net
of
394,794
412,058
475,848
510,140
721,734
Private equity
investments
7,735
6,374
6,359
Accrued interest and
accounts receivable
21,409
22,421
22,891
24,823
60,987
Premises and equipment
9,145
9,081
8,735
9,319
10,045
Goodwill
43,203
43,621
45,186
45,270
48,027
Other
intangible
assets:
Mortgage servicing
rights
5,080
6,452
7,546
8,632
9,403
Purchased credit card
relationships
3,878
3,275
2,935
2,303
1,649
All other intangibles
5,726
4,832
4,371
3,796
3,932
Other assets
(included $22,151 at fair value at December 31, 2007)
(included $29,199 at fair value at December 31, 2008 )
45,600
48,195
51,765
74,314
111,200
Total
assets
1,157,248
1,198,942
1,351,520
1,562,147
2,175,052
Liabilities
Deposits:
(included $5,605 and $6,389 at fair value at December 31, 2008 and
2007, respectively)
U.S. offices:
Noninterest-bearing
129,257
135,599
132,781
Interest-bearing
261,673
287,774
337,812
Non-U.S. offices:
Noninterest-bearing
6,931
7,476
7,662
Interest-bearing
123,595
124,142
160,533
Total deposits
521,456
554,991
638,788
740,728
1,009,277
Federal funds
purchased and securities sold under repurchase agreements
(included $2,993 and $5,768 at fair value at December 31, 2008 and
2007, respectively)
127,787
125,925
162,173
154,398
192,546
Commercial paper
12,605
13,863
18,849
49,596
37,845
Other borrowed funds
(included $14,713 and $10,777 at fair value at December 31, 2008 and
2007, respectively)
9,039
10,479
18,053
28,835
132,400
Trading liabilities
151,207
145,930
147,957
157,867
166,878
Accounts payable,
accrued expenses and
other liabilities
(including
the Allowance for lending-related
commitments of $492 at December 31, 2004, and $324 at December 31,
2003) (including the Allowance for lending-related commitments of $524
at December 31, 2006, and $400 at December 31, 2005) (including the
allowance for lending-related
commitments
of $659 and $850 at December 31, 2008 and 2007, respectively, and zero
and $25 at fair value at December 31, 2008 and 2007, respectively)
75,722
78,460
88,096
94,476
187,978
Beneficial interests
issued by consolidated variable interest entities
(included $1,735 and $3,004 at fair value at December 31, 2008 and
2007, respectively)
48,061
42,197
16,184
14,016
10,561
Long-term debt
(including structured notes accounted for at fair value of $25,370 at
December 31, 2006)
(included $58,214 and $70,456 at fair value at December 31, 2008 and
2007, respectively)
95,422
108,357
133,421
183,862
252,094
Junior subordinated
deferrable interest debentures held by trusts that issued guaranteed
capital debt securities
10,296
11,529
12,209
15,148
18,589
Total
liabilities
1,051,595
1,091,731
1,235,730
1,438,926
2,008,168
Commitments and
contingencies
(see Note 25 of the Annual Report 2004)
(see Note 27 on pages 130.131 of the Annual Report 2006)
(see Note 29 on pages 167–168 of the Annual Report 2007)
Stockholders’
equity
Preferred stock
($1 par value; authorized 200,000,000 shares at December 31, 2006 and
2005;
issued 0 shares and 280,433 shares at December 31, 2006 and 2005,
respectively)
($1 par value; authorized 200,000,000 shares at December 31, 2007 and
2006;
issued 0 shares at December 31, 2007 and 2006)
($1 par value; authorized 200,000,000 shares at December 31, 2008 and
2007; issued
5,038,107 and 0 shares at December 31, 2008 and 2007, respectively)
339
139
–
31,939
Common stock
(authorized 9,000,000,000
shares and 4,500,000,000 shares at December 31, 2004 and 2003,
respectively; issued 3,584,747,502 shares and 2,044,436,509 shares at
December 31, 2004 and 2003)
($1 par value; authorized 9,000,000,000
shares at December 31, 2006 and 2005; issued 3,657,786,282 shares and
3,618,189,597 shares at December 31,
2006 and 2005, respectively)
($1 par value; authorized 9,000,000,000 shares at December 31, 2007 and
2006; issued 3,657,671,234 shares and 3,657,786,282 shares at December
31,
2007 and 2006, respectively)
($1 par value; authorized 9,000,000,000 shares at December 31, 2008 and
2007; issued 3,941,633,895 shares and 3,657,671,234 shares at December
31,
2008 and 2007, respectively)
3,585
3,618
3,658
3,658
3,942
Capital
surplus
72,801
74,994
77,807
78,597
92,143
Retained earnings
30,209
33,848
43,600
54,715
54,013
Accumulated other
comprehensive income (loss)
(208)
(626)
(1,557)
(917)
(5,687)
Shares held in RSU
Trust, at cost (4,794,723 shares at December 31, 2008)
Treasury stock, at
cost
(28,556,534 shares at December 31, 2004, and 1,816,495 shares at
December 31, 2003)
(196,102,381 shares and 131,500,350 shares at December 31, 2006 and
2005, respectively)
(290,288,540 shares and 196,102,381 shares at December 31, 2007 and
2006, respectively)
(208,833,260 shares and 290,288,540 shares at December 31, 2008 and
2007, respectively)
(1,073)
(4,762)
(7,718)
(12,832)
(9,249)
Total
stockholders’
equity
105,653
107,211
115,790
123,221
166,884
Total
liabilities and
stockholders’ equity
1,157,248
1,198,942
1,351,520
1,562,147
2,175,052
(
JPMorgan ) Sources
& Emplois de Fonds
( Consolidated statements of cash
flows )
(
Million of Dollars)
2004
2005
2006
2007
2008
Operating
activities
Net income
4,466
8,483
14,444
15,365
5,605
Adjustments to
reconcile net income to net cash provided by (used in) operating
activities:
Provision for credit
losses
2,544
3,483
3,270
6,864
20,979
Depreciation and
amortization
3,835
4318
3577
3821
4406
Deferred tax
(benefit) provision
(827)
(1,791)
(1,810)
1,307
(2,637)
Investment securities
(gains) losses
(338)
1,336
543
(164)
(1,560)
Private equity
unrealized (gains) losses
(766)
55
(404)
(1,540)
Gains on disposition
of businesses
(1,254)
(1,136)
–.
(199
Stock based
compensation
1,563
2,368
2,025
2,637
Originations and
purchases of loans held-for-sale
(108,611)
(178,355)
(116,471)
(34,902)
Proceeds from sales
and securitizations of loans held-for-sale
102,602
170,874
105,731
38,036
Net change in:
Trading assets
(48,703)
(3,845)
(61,664)
(121,240)
(12,787)
Securities borrowed
(4,816)
(27,290)
916
(10,496)
15,408
Accrued interest and
accounts receivable
(2,391)
(1,934)
1,170)
(1,932)
10,221
Other assets
(17,588)
(9)
(7,208)
(21,628)
(33,629)
Trading liabilities
29,764
(12,578)
(4,521)
12,681
24,061
Accounts payable,
accrued expenses and other liabilities
13,277
5,532
7,815
4,284
1,012
Other operating
adjustments
(262)
(296)
2,882
9,293
(12,013)
Net cash (used in)
provided by operating activities
(21,805)
(30,236)
(49,579)
(110,560)
23,098
Investing
activities
Net change in:
Deposits with banks
(4,196)
104
8,168
2,081
(118,929)
Federal funds sold
and securities purchased under resale agreements
(13,101)
(32,469)
(6,939)
(29,814)
(44,597)
Other change in loans
(136,851)
Held-to-maturity
securities:
Proceeds
66
33
19
14
10
Purchases
–
Available-for-sale
securities:
Proceeds from
maturities
45,197
31,053
24,909
31,143
44,414
Proceeds from sales
134,534
82,902
123,750
98,450
96,806
Purchases
(173,745)
(81,749)
(201,530)
(122,507)
(248,599)
Proceeds from sales
and securitizations of loans held-for-investment
23,861
20,809
34,925
27,531
Originations and
other changes in loans, net
(40,436)
(70,837)
(83,437)
(59,123)
Net cash received
(used) in business dispositions or acquisitions
(1,039)
185
(70)
2,128
Loans due to sales
and securitizations
108,637
Proceeds from assets
sale to the FRBNY
28,850
Net purchases of
asset-backed commercial paper guaranteed by the FRBB
(11,228)
Net cash received
(used) in business acquisitions
13,839
All other investing
activities, net
2,544
4,796
1,839
(3,903)
(3,609)
Net cash (used in)
provided by investing activities
(23,076)
(12,944)
(99,627)
(73,118)
(286,346)
Financing
Activities
Net change in:
Deposits
52,082
31,415
82,105
113,512
177,331
Federal funds
purchased and securities sold under repurchase agreements
7,065
(1,862)
36,248
(7,833)
15,250
Commercial paper and
other borrowed funds
(4,343)
2,618
12,657
41,412
9,186
Proceeds from the
issuance of long-term debt and capital debt securities
25,344
43,721
56,721
95,141
72,407
Repayments of
long-term debt and capital debt securities
(16,039)
(26,883)
(34,267)
(49,410)
(62,691)
Proceeds from
issuance of common stock
11,969
Proceeds from
issuance of preferred stock and warrant to the U.S. Treasury
25,000
Proceeds from
issuance of preferred stock
7,746
Net issuance of stock
and stock-based awards
848
682
1,659
1,467
Redemption of
preferred stock
(670)
(200)
(139)
—
Redemption of
preferred stock of subsidiary
–
–
302
365
148
Treasury stock
purchased
(738)
(3,412)
(3,938)
(8,178)
—
Cash dividends paid
(3,927)
(4,878)
(4,846)
(5,051)
(5,911)
All other financing
activities, net
(26)
3,868
6,247
1,561
71
Net cash provided by
(used in) financing activities
59,596
45,069
152,749
182,986
250,506
Effect of exchange
rate changes on cash and due from banks
185
(387)
199
424
(507)
Net increase
(decrease) in cash and due from banks
14,900
1,502
3,742
(268)
(13,249)
Cash and due from
banks at the beginning of the year
20,268
35,168
36,670
40,412
40,144
Cash and due from
banks at the end of the year
35,168
36,670
40,412
40,144
26,895
Cash interest paid
13,384
24,583
36,415
43,472
37,267
Cash income taxes paid
1,477
4,758
5,563
7,472
2,280
Note: In 2008,
the fair values of noncash assets acquired and liabilities assumed in
the merger with Bear Stearns were $288.2 billion and $287.7 billion,
respectively; approximately 26 million
shares of common stock,
valued at approximately $1.2 billion, were issued in connection with
the Bear Stearns merger. Also, in 2008 the fair values of noncash
assets acquired and
liabilities assumed in the Washington Mutual
transaction were $260.0 billion and $259.8 billion, respectively. In
2006, the Firm exchanged selected corporate trust businesses for The
Bank
of New York’s consumer, business banking and middle-market banking
businesses. The fair values of the noncash assets exchanged were $2.15
billion.
Ce filtre est nul !
Il ne modère pas un commentaire pareil qui est un code HTML
Dans la série « Plus ça change, plus c’est la même chose », une petite devinette pour « détendre » un peu l’atmosphère terriblement pessimiste de ce blog (mais, comme l’a écrit l’aphoriste espagnol R.Panizo, « le pessimisme n’existe pas, puisque tout pessimiste est optimiste sur l’avenir de son pessimisme »): qui a écrit ces lignes trouvées par hasard dans un livre acheté (50 centimes!!) aux Puces de Montreuil ce matin :
« Aujourd’hui il n’y a pas un homme d’Etat, pas un parti, il n’y a guère de penseur politique qui se sente suffisamment sûr pour dire la vérité. Ils mentent tous, ils chantent tous à l’unisson avec la foule gâtée et ignorante, qui voudrait toujours que le lendemain soit aussi bon et même meilleur que le passé, bien que les hommes d’Etat et les dirigeants de la vie économique dussent mieux connaître la terrible vérité. Mais quels chefs avons-nous aujourd’hui ! Ce lâche et malhonnête optimisme annonce tous les mois le retour de la conjoncture favorable et de la prospérité, aussitôt que quelques petits hommes d’affaires parviennent à hausser le cours [sic – de la Bourse?] pour une brève durée […] et surtout le succès enfin consommé de « l’entente » entre les peuples […] Et dans toutes les assemblées, et tous les journaux retentit le mot « crise » dans le sens d’une interruption passagère du bien-être; on se berne avec ce mot pour ne pas voir la vérité: à savoir qu’il s’agit d’une catastrophe dont on en peut prévoir les effets et qui est la forme normale de l’accomplissement des grands tournants de l’histoire. »
Réponse: l’auteur de ces lignes, écrites en Allemagne à la fin de 1932 (ce qui fait froid dans le dos), est O.Spengler. Elles se trouvent dans son livre « Années décisives. L’Allemagne et le développement historique du monde » (Mercure de France, 7e édition, 1943, pp. 29-30).
Question logicielle : WordPress accepte t-il un banal tableau, quel qu’il soit ?
JPMorgan Sources & Emplois de Fonds ( Consolidated)
Million of Dollars2004
2005
2006
2007
2008
Operating activities – Net income4,466 8,483 14,444 15,365 5,605
A supprimer après visionnage
Paul est le messie de notre Sainte Crise, il nous guide vers le surhumain. Oui mes frères, le Grand Midi arrive enfin, le vieux monde se putréfie. Ne sentez-vous pas le renouveau poindre ?
Ne serais ce pas le plaisir qui nous fait juger de la beauté , le plaisir d’une rencontre qu’elle soit intellectuel , sensuelle ou visuelle avec ce en quoi nous aspirons ?Freud disait que nous n’avions rien de mieux a faire que d’etre en accord avec nous meme .
Et si nous ne trouvions beau que ce qui nous mene vers cet accord?
Le beauté s’apprend-elle ? Est-ce une connaissance comme une autre ? Si oui, certains pourraient devenir expert en beauté. Si non, qu’est-ce ? Une sensation, comme le toucher ou la vue ? En ce cas où sont les récepteurs et les organes de transmission ?
A l’évidence, quelque chose en nous reconnait le beau mais sans pouvoir l’expliquer, car de belles choses ne sont pas valables pour tous. Peut-être qu’une entité propre à chacun vibre à ce qu’il reconnait comme beau. Une vibration à l’unisson comme une amplification de fréquences. Comme si le beau préexistait avant même sa perception. Une sorte d’écho ou de miroir à quelque chose de beau en nous.
à Pablo75 (16:59)
Actuellement que font les « optimistes », les bienpensants, les « actifs » à certaines des manettes ?
Quels sont leurs leurs actes conscients ou non ?
Etre dans le déni et/ou maquiller, mettre la tête dans le sable, noyer autrui en espérant ainsi gagner la berge, amoindrir [prétendument pour ne pas effrayer, pour rassurer les ‘marchés’, « pour que ‘ça’ (la confiance) remonte plus vite »], tromper, ne pas aborder sérieusement les vraies questions de fond (faire semblant), dire ‘Nous allons faire ceci ou cela’ alors qu’on en a nullement l’intention; parler d’autre chose; blablater pour rien; occuper le terrain; cacher, courir de tous les côtés, induire en erreur,…
se faire construire un Airbus A330 pour imiter le roi d’Arabie, le président américain, le Premier du Japon.
A Bâle, la France — devant ce même roi et jpMorgan et DubaiCiticorp — se trouve aussi démunie que dans cette même ville en 1930, dix ans après la Première Guerre Mondiale et dix ans avant 40-45 !
J’ai cru que c’était une blague
Lire Magazine Capital n°213 juin 2009 page 86
Observer et décrire les orgas anatiofurtives (EuroclearVersantOffshore, commissions pakistanaises converties en retrocommissions, maîtres du Libor en symbiose avec les bqes centrales, …), leurs flux en dizaines de milliards,
quelques faits marquants insoutenables tels qu’ils sont (cf. supra), les principes socio-économiques indéfendables
bâtir des scénarios de long terme à comparer, présenter de nouvelles voies en cohérence les unes avec les autres, etc.
serait-ce être pessimiste ?
Evidemment non ! Un pessimiste ne prendrait pas cette peine.
C’est être proactif, en parfaite santé, non pollué par la propagande insupportable.
Une fois que les rideaux de fumée, rideaux de théâtre, voiles (pas même translucides) auront été un tant soit peu écartés
un % suffisant (0.01%) de lamas, moutons et pigeons adoptera rapidement les dynamiques actuellement manquantes :
– fermer la télévision
– coder ‘SPAM’ (pourriel) des websites de la clique PsModemUmp et leurs alliés (nombreux – commencer à les lister)
– orienter la réflexion sur les morceaux déjà découverts de la réalité à peu près correctement dégagée
– couper les ficelles qui retiennent les masques et subordinations (PsModemUmp, Trichet <-> GoldQuatuor)
– mettre en quarantaine les faux blogs alter de diversion, mensonge ou manipulation (faisant comme si …)
– détourner l’oreille ou le regard des journalistes aveugles ou pourris ou idiots ou jesaistout ou perroquets-de-la-fausseté ou ne faissant aucun effort (s’intéressant aux garages à vélos)
– etc.
à Paul : Il y avait 5 questions. Toutes sans intérêt ?
La beaute s est perdu, elle s est transformée, en de l apparence.
L apparence est l ombre d une dure réalité.
Cette même realité qui nous tombe dessus.
Aziz de la Fourniaire
On essaie de cacher un apparent de plus en plus visible : la paupérisation rampante et lancinante.
Même les vérités qui réapparaisse ne choque plus personne, aseptisée.
On essaie de sauver les meubles dans un navire qui sombre.
Je ne retiendrais de tout ça, qu un seule chiffre : 1 000 000 000 d humains crèvent la dalle.
Et moi et moi et moi
@LeClownBlanc
Je faisais allusion à la période récente où la presse écrite a des problèmes financiers.
Arrêter de faire le caniche et avoir une vision critique et pertinente feront qu’a
petit soucis , je finis :
Arrêter de faire le caniche et avoir une vision critique et pertinente feront qu’avant de prendre le train ou l’avion, je me redirige acheter un journal (autre que l’équipe).
Se faire rembourser + 100/120 millions de $ par an par un journal est une prouesse. Mais que voulait il faire de plus un demi milliards de $ ? acheter des imprimantes ou fontaines d’eau ?
à wayside & Aziz de la Fourniaire en fournaise [18:54]
Ne serait-ce pas plutôt ?
La puissante Octop’Occultation Dotée (pieuvre GoldQuatuor)
qui exige des BrochettesFormatées (PsModemUmp en France et autres plus loin) ce qui suit :
1/ Feindre l’optimisme
2/ Concocter, avec les banques centrales du G20, le meilleur « Cumulative Discout CashFlow »
(le meilleur « retour » pour l’octopus, inflation par les taux d’intérêt comprise)
à l’échelle des cinq continents pour les 10 ans qui viennent. Inflation BRI > Inflation BCE et autres BqCentrales Serviles + Inflation LIBOR par jpMorganChase+DubaiCitigroup+HSBC+X
Trois beautés à différencier ;
A/ La Beauté de la Pieuvre : beau succès ! il faut bien le reconnaitre ! quel travail !
B/ La Beauté de la Propagande de LaBrochette : beau succès ! Quelle organisation ! Quel travail !
Tant de personnes embrigadées ! Le bel ouvrage, il faut le reconnaitre !
Et cette constance même dans cette peste mêlée de choléra ! Bravo !
C/ La Beauté des possibles petits-coups-de-morphing (133) qu’il faudrait commencer à envisager avant l’hiver.
Je ne me souviens plus si je vous l’ai déjà dit,
L’ouverture de l’ANANAS aux écailles protectrices « Droite-Gauche »
ne sera pas précédée que de danses, rires, bombances, airs de Jo Pipo et autres festivités
133 Rubans de Choux-fleurs à curseurs variables auront été placés sur les Marchés-aux-Flux
(Sources et Emplois de Fonds)
Ces choux-fleurs sont issus de gènes aux propriétés récursives étonnantes
Cela fera plaisir à Tigue (supra 14:12)
figures fractales (obtenues par itération d’ un algorithme simple) ont elles l’ air si belles/vraies ?
fr.wikipedia.org/wiki/Ensemble_de_Julia
Bonsoir,
Réponse à Tigue :
Le beau est la splendeur de l’ordre. Un beau désordre est un effet de l’art.
à Samuel [19:29]
– – – – – – – – – – – –
En France, 99.99% des gens ne connaissent que le journal TheWashingtonPost
Ce dernier n’est que l’une des filiales de la holding aux multiples ramifications
– Education
– Cable Television Operations
– Newspaper publishing
– Television Broadcasting
– Magazine Publishing
– Other Activities
Vous trouvez tout cela décrit dans l’URL que je vous avais donné
Les 20 premières pages du FORM 10-K déposé à la SEC (Securities & Exch. Commission)
Part I
library.corporate-ir.net/library/62/624/62487/items/329272/…
Bonne soirée
Déchiffrer, défricher, dessiner
De nouveaux jardins
« à quoi bon » y jeter des pierres ?
Révéler le système
et révéler « ces hommes »
Ce soir dans ma rue des dizaines (centaines?) d’hommes en bleu dans leurs exo-squelettes en kevlar attendent les danseurs
Un hélicoptère dans le ciel
Mon fils aura mon âge en 2048
1 milliards de crèves la faim. Si quelqu un voit du beau, c est qu il est aveugle.
Qu est ce le beau pour un affamé ?
Faut il être comble pour etre con ?
à Eleazar [19:55]
Un beau désordre est l’une des formes de chaos.
Certaines formes de chaos – odieuses – sont esthétiquement belles, perverses et mortifères,
insupportables pour moi
Se reporter à ce blog le 9 février 2009 : Chaos de Lorentz ! l’absence d’alternative !
Chaos_L … – Chaos_F1 = Chaos Frustré … – Chaos_FF ) Chaos Flip-Flop … etc.
Leuco n’est pas plus pessimiste qu’optimiste
Une trouvaille de sa part … pour votre route :
« Le bonheur est à la frontière du chaos_B … Je peux me tromper » ( leucotrio )
Je viens de vous lire.
Quel dé…luge !
Tiens à propos de déni ,serait-ce à rapprocher de celui de certaines donneuses de « vie »-mort ?
Peut-être : parce qu’en effet ces potentats ont ,de fait ,comme avant 1789 (pour les Français) pouvoir de vie et de mort sur nous , qui sommes leurs « gueux » …à leurs yeux aveugles.
tigue dit :
20 juin 2009 à 14:12
Ensembles de Julia. Très beau! On dirait que certaines figures sont de la même « inspiration » que les cercles de cultures (crops-circles) quel que soit leur origine.
Bien entendu que le phénomène oligarchique existe. Mais dire d’une part que l’oligarchie est omnipotente, insaisissable, et de l’autre laisser entendre que l’on voudrait s’y attaquer, manque de cohérence. Comment décrire, et surtout défaire, ce qui est furtif — insaisissable — par principe ?
Ce type d’attitude, pour polymorphique, cerveau-gauche-cerveau-droit tout un, qu’il soit, n’offre aucune prise réelle sur laquelle on puisse fonder une action individuelle et-ou collective, car il y manque une analyse à même de rendre compte des mécanismes sociaux-économiques qui mènent précisément à la constitution des oligarchies. Et à propos, que pense le Leuco trio de la théorie socio-économique qui fait reposer l’analyse du capitalisme sur les rapports de forces entre entrepreneurs, investisseurs et salariés ? Serait-elle nulle et non avenue ? Si oui, quels arguments pour la réfuter ? Et si non, si elle a sa pertinence, pourquoi systématiquement l’ignorer ?
Une autre possibilité serait que le leuco trio estime que face à la « furtivité » qui caractérise les forces adverses — les « top riches, les top banquiers, top financiers — il n’est d’autre attitude possible que de répondre à la furtivité par une attitude, une stratégie, elles-mêmes furtives. Mais alors, si c’est bien le cas, quid de la politique, de l’éthique, et du degré de transparence — le cartésio évoqué par François Leclec — requis pour dialoguer, réfuter les discours adverses au sein l’agora, ce qu’implique la démocratie en son principe ?
Autrement dit, ce qui constituent les oligarchies ne sont-ce pas — aussi — des discours, une idéologie ? N’est-ce pas supposer inutile et perdue d’avance les combats de la démocratie si l’on n’analyse pas les discours et théories permettant la domination des uns sur les autres ? L’exploitation des uns par les autres ?
Je note ainsi que revient souvent cette idée sous la plume du leuco trio que tous les concepts en isme ne sont d’aucune utilité.
Je pense bien entendu à ceux de capitalisme, socialisme, libéralisme, et autres. Mais alors en ce cas pourquoi faire du phénomène oligarchique l’explication centrale du mal qui rongerait nos sociétés ? L’explication par l’oligarchie ne s’avère-t-elle en fin de compte un isme qui s’ignore ?
Leuco trio et tutti quanti dit : « Quant à Cartesio, en milieu opaque, ne serait-il pas incapable de nager entre-deux-eaux.
En surface, il lui manquerait un mufle, … la perception de la chair et la sueur, … »
Il y a là l’idée sous-jacente que le discours articulé et rationnel serait impuissant à appréhender la réalité car cette dernière serait toujours supérieure à la somme des parties du discours rationnel.
Cela semble avéré en maintes circonstances où la pratique défait la théorie. Mais est-ce à cause du trop de théorie ou l’inverse ?
Il me semble plutôt que c’est lorsque la théorie s’absente que le réel a le plus de chances de se dérober sous nos pieds. Que domination et aliénation apparaissent.
Peut-être cette réticence par rapport au rationnel quand il s’agit de l’expérience vient-il d’une opposition factice. IL me semble ainsi qu’on oppose à tord approche intuitive et rationnelle dans l’appréhension des choses du réel.
L’approche corporelle, intuitive, n’est jamais que du théorique-pratique incorporé. Tchouang T’sseu, penseur taoiste de l’antiquité chinoise, a écrit cette histoire célèbre du boucher qui découpe sans même toucher l’animal — un boeuf — qu’il a sous la main. Il découpe tellement bien qu’il le fait avec l’esprit et non plus avec ses mains est-il précisé. Mais ce n’est pas qu’il ait une approche plus de son rapport à la découpe, mais parce une pratique assidue de la découpe et une connaissance approfondie de la structure anatomique lui ont permis d’arriver au résultat qui est décrit : à savoir passer son couteau entre les interstices de l’animal si bien qu’il n’en touche plus rien, évoluant avec son couteau dans les interstices du cartilage avec une facilité déconcertante.
Pourquoi un discours clair, cohérent, articulé serait-il incapable de penser le vide, les interstices, les zones opaques ?
Le summum de l’intelligibilité des choses n’est-il pas de rendre limpide ce qui de prime abord apparaît comme opaque ? De même pourquoi faudrait-il opposer rationalité et monde de l’expérience concrète des choses ? Le monde sensible, de chair et de sang n’est-il pas tout entier dans le Capital de Marx ? Le monde sensible de chair et de sang n’est-il pas tout entier dans la prose classique de Freud ? Les humains n’écrivent jamais qu’avec leurs tripes pour dire ce qu’ils ressentent aussi raisonnés puissent paraître leurs mots.
La commedia dell’arte se met à la Top-Finance avec de nouveaux personnages masqués .Leucotrio, Cardio-testeur, Barbe toute Bleue dans le role de Matamore, Goldquatuor dans le role du banquier, JP Morgan dans le role de Mascarille, Trichet dans le role de Scaramouche .Les nouveaux zannis sont : la clique PsModemUmp, les maitres du Libor et les anatio-furtifs. Je n’ai pas identifié Bale (peut-etre à rattacher à Treponem ) ni Dubaiciticorp (peut-etre un roi-mage).Ou sont passés Pantalon, le docteur et le Capitan ? Un misérable lama-mouton-pigeon prie l’honnorable Auguste de lui épargner la lecture de ses Top-listings JP Morgan mais sera ravi de lire ses questionnaires bien ordonnancés.
@Pierre-Yves D
« Le summum de l’intelligibilité des choses n’est-il pas de rendre limpide ce qui de prime abord apparaît comme opaque »
Je pense qu’un type qui est prêt à accorder un prêt de plus d’un demi milliard de $ pour un client dont son employeur fait partie du cœur du système occidental (pas loin de l’imprimante toute chaude de la FED) doit fermer sa geu**** :
Rien qu’un demi pour cent de commission représente 3 millions de dollars. Je n’écrirais pas dans un blog si on m’avait autoriser à remplir mon sac de billets de banques comme des braqueurs.
Ou on est face à d’un loser (dans le jargon du monde d’où il vient) ou l’excès de cocaine et de call girl lui ont fait perdre la raison.
Quelque soit l’historique , en tant qu’ancien employeur, je ferais en sorte par contrat qu’il garde son secret professionnel.
Il semblerait que le trio et toute la troupe « sait » des choses importantes et aurait même ,avoue-t-il, apparemment participé jadis à ces choses.
Et puis a quitté ces choses ou a été quitté par ces choses.
Un Denis Robert de l’intérieur.
Mais ces choses ne peuvent être changées que par les Peuples.
Quand ils comprennent.
Trop tard.
C’est ainsi que le beau est menteur.
Que les lendemains ne chantent pas toujours.
Et que
Le vrai s’il n’est pas beau, est honnête et unique…et émouvant.