Billet invité.
UNE QUESTION EN APPELLE UNE AUTRE
Il y a d’abord celle que l’on ne devrait plus avoir à se poser, à propos de la réalité des « jeunes pousses » de la relance, si fantasmée y compris dans les médias. Et pourtant ! elle reste accrochée sur le tapis, bien que sans points d’appuis. Paul Krugman y a à nouveau répondu, hier à Dublin : « Nous sommes passés de la panique à l’anxiété chronique » a-t-il assené, martelant à son auditoire pour être bien compris : « Les choses deviennent pire plus lentement (…) L’eurozone, comme les Etats-Unis, pourraient bien connaître une décade perdue ».
Mais il y a aussi les questions que l’on se pose toujours, et qui sont en suspens. Allons-nous connaître une rechute aigue, alors que nous sortons à peine d’une chute libre qui n’a été reconnue comme telle que lorsqu’elle a été difficilement stoppée?
Pour en connaître la réponse, nous restons suspendus, aux Etats-Unis, à l’observation de deux « marqueurs » annonciateurs. Une nouvelle crise des crédits hypothécaires, conséquence du prix de l’immobilier qui ne cesse de baisser, de modalités insoutenables de remboursement des prêts qui arrivent à échéance, et de baisse des revenus des ménages. Et, si cela n’était pas suffisant en soi, parallèlement, une hausse du taux de défaut sur les cartes de crédit, alors que les statistiques de l’emploi égrènent mois par mois la sinistre réalité de la destruction progressive de celui-ci, faisant basculer les « working poor » (les pauvres qui travaillent) dans la catégorie des pauvres tout court. A ce train-là, les Etats-Unis vont rejoindre dans les statistiques de la pauvreté les pays que l’on qualifie d’émergents.
Dans les deux cas, ce sont les banques américaines et les institutions financières qui sont en première ligne, sauvées pour le moment sur le papier, mais qui pourraient à nouveau dégringoler, sous le poids de nouvelles énormes pertes à constater. On ne fabrique pas impunément de telles quantités de dettes sans avoir à passer un jour ou l’autre à la caisse. D’autant que le grand nettoyage de printemps de leur bilan, sous les auspices du Trésor et de la FDIC, a déjà été repoussé à l’été et semble désormais mal parti.
Comment le système financier américain va-t-il pouvoir encaisser les deux nouveaux chocs qui s’annoncent, s’ils se confirment ? Voilà ce que nous avons devant nous.
Une toute autre question se pose en Europe, où nous savons maintenant que le vieux schéma simpliste selon lequel la crise en provenance des Etats-Unis nous en arrive avec retard mais se poursuit, alors que là-bas elle est déjà finie, ne fonctionne plus, comme tant d’autres choses d’ailleurs. La crise s’annonce prolongée aux Etats-Unis, l’Europe l’y rejoint progressivement, en ordre dispersé comme c’est désormais devenu l’habitude, à un rythme et suivant des modalités propres à chaque pays. Ayant commencé par les pays ayant le plus fauté en matière financière, c’est-à-dire ayant acheté aux Américains et même fabriqué pour leur propre compte des produits financiers issus de la titrisation de la dette, pour se poursuivre là où d’autres maux sévissent, tels de grands classiques : une énorme bulle immobilière en Espagne, une forte dépendance au commerce extérieur en République fédérale, etc.
L’interrogation est d’une autre nature en Europe : combien de temps le filet de protection social, si décrié et dorénavant si encensé, va-t-il tenir, si la crise est de longue durée comme probable ? Evoquant la situation mondiale, Juan Somavia, directeur général de l’Organisation internationale du travail (OIT), a adressé une mise en garde, mercredi à Genève à l’occasion de sa conférence annuelle : « le monde peut avoir devant lui une crise de l’emploi et de la protection sociale d’une durée de six ou huit ans ». Remarquant ensuite que « les leaders politiques n’ont pas prêté suffisamment d’attention aux implications humaines et sociales du décalage » (entre reprise économique et redémarrage de l’emploi). Il a rappelé enfin, bien incertain présage, que « le manque d’emplois et de protection sociale nourrit l’instabilité. Les ferments de la violence, de l’agitation sociale, de la tourmente politique prolifèrent ».
Mais il y a au moins une question qui ne se pose pas. Ce n’est en effet pas uniquement parce que la crise financière est pour l’instant contenue, mais non résolue, sans autre perspective que de gagner du temps, que la crise économique dans laquelle nous sommes plongés est de longue durée. Elle a aussi sa propre raison d’être. Rendue publique cette semaine, une étude d’Euler Hermes SFAC, leader mondial de l’assurance crédit et filiale d’AGF, livre à cet égard un éclairage très pertinent, dont voici le résumé : la dynamique mondiale était depuis une décennie portée par la demande des pays de l’OCDE, appuyée sur le crédit, « moteur extérieur » de la croissance des pays émergents, explique-t-elle. Mais ces derniers ne vont pas trouver de relais de croissance sur leurs marchés intérieurs, car trop faibles. Or l’emballement du crédit de ces dernières années a contribué à hauteur de 0,5 à 1 point de croissance annuel dans les pays développés, qui ne va pas être retrouvé. Il n’y aura pas, la crise terminée, de relance rapide du crédit. En conséquence, la croissance de l’activité, comme celle des échanges mondiaux, seront dans les années à venir « en deçà du rythme observé ces dernières années ».
Voilà qui vient conforter, par un expert reconnu du marché du crédit, la prévision selon laquelle nous allons connaître, sauf accident de parcours toujours possible, une longue période de croissance atone et de crise rampante. Marquée sur le plan social par de fortes contradictions et des inégalités accrues, un accroissement de la précarité qui va concerner des secteurs qui, s’ils ne bénéficiaient plus de « l’ascenseur social », pouvaient se croire encore protégés.
La suite de cette histoire en cours n’est faite que d’inconnues. Comment va-t-il être possible de gérer la dette publique ? De la financer même, pour certains pays ? D’effectivement trouver auprès du FMI, de la Banque Mondiale, des grandes banques régionales et de développement, les relais de financement des mesures de sauvetage et de relance qui vont être encore nécessaires, car eux aussi doivent être financés au préalable ? Comment le marché obligataire public, mais aussi privé, va-t-il se comporter, étant autant sollicité ? Comment, aujourd’hui, apporter des réponses à ces interrogations de demain matin, alors que le contexte même dans lequel elles vont devoir être résolues n’est pas connu ? Si ce n’est par des actes de foi. Sans préjuger du fait qu’elles trouveront ou non une solution.
Quand on découvre un nouveau pan de l’activité financière, à la faveur de l’annonce par la BCE de son programme d’achat de 60 milliards d’euros d’ « obligations sécurisées », encore bien flou malgré quelques nouvelles précisions données suite à la dernière réunion du conseil des gouverneurs, on comprend qu’il s’agit d’apporter une nouvelle aide aux banques de la zone euro, en pesant à la baisse sur les cours de ces obligations grâce à ces achats, afin qu’elles puissent regarnir leurs coffres. En remarquant que le marché de ces obligations bénies a fait un gigantesque bond en avril, leur donnant enfin grâce à cet argent frais, l’oxygène dont elles avaient besoin, comme si les banques avaient réagi comme un seul homme, profité de la même opportunité, répondu à une même consigne. A ce petit détail près que ce n’est pas en augmentant leurs fonds propres qu’elles ont respiré, mais en tirant des traites sur l’avenir, sous l’ombrelle protectrice de la BCE. Les banques sont ainsi en concurrence, sur le marché obligataire, avec les Etats et les grandes entreprises. Cela risque de faire beaucoup, à force. Aux Etats-Unis, l’alarme a été sonnée après la hausse enregistrée du rendement des taux longs des obligations du Trésor. Le loyer de l’argent, en général, ce n’est pas une question, c’est la certitude qu’il va être une des grandes questions de l’actualité de demain.
Une autre question encore va apparaître, venant elle aussi des Etats-Unis. Celle de la régulation financière, qui y est ressentie comme d’autant plus importante, paradoxalement, qu’il est fondé les plus grands espoirs dans la résurrection du système bancaire. Et qu’il faut donc éviter les risques systémiques – c’est la philosophie américaine – tout en ne bridant qu’au minimum la « créativité financière ». En mettant plus l’accent sur la surveillance préventive que sur la réglementation. Sans entrer dans le détail complexe des mesures qui sont y préparées, et dont on ne connaît que les très grandes lignes, notamment à propos des produits dérivés, plusieurs constatations peuvent déjà être faites.
1/ Des batailles rangées y ont actuellement lieu à propos du dispositif qui sera chargé d’effectuer cette surveillance. Elles prennent l’aspect de batailles de chiffonniers très corporatistes, chaque administration ou agence cherchant à défendre son pré carré, mais elles ont un autre enjeu plus déterminant. Il est en effet question de concentrer dans les mains de la Fed le maximum de missions, au détriment d’organismes comme la SEC, au prétexte que cette dernière a failli, mais avec comme conséquence de donner aux banques privées, qui en sont les actionnaires indirectes, via les banques centrales régionales, un maximum de prérogatives et donc de pouvoir.
2/ Concernant les mesures elles-mêmes, les principales banques ont pris l’initiative de proposer à l’administration Obama un « package » de mesures, et elles développent à ce sujet un lobbying très intense, dont le Wall Street Journal a évoqué un aspect éloquent, à propos de la modification des normes comptables de valorisation des actifs. D’autres échos plus assourdis ont été rapportés, toujours par le Wall Street Journal, à propos de l’obligation pour les banques de conserver à leurs bilans les actifs titrisés (c’est le cas en Europe, mais pas aux Etats-Unis), une règle prudentielle dont elles voudraient s’absoudre, car elle devrait être appliquée début 2010 et représenterait, d’après JP Morgan, quelque 145 milliards de dollars à réintégrer dans les bilans. Une somme dont ne sait pas avec quelle méthode de valorisation des actifs elle a été calculée.
Ce qui est patent, toujours sur cette dernière question de la régularisation, c’est que le feu de paille allumé par les Européens à propos des paradis fiscaux a flambé. Sans autre effet que la signature, en cours, de nouvelles conventions fiscales bilatérales entre Etats, laissant d’énormes trous dans la couverture géographique, où vont se précipiter les pratiquants émérites de l’évasion fiscale. Ne touchant pas à l’essentiel, à côté de cet artisanat des riches, l’utilisation à très grande échelle par « l’industrie financière » et l’industrie tout court de ces havres défiscalisés, qui permettent également toutes les manipulations comptables souhaitées, le camouflage aussi bien des pertes que des bénéfices, suivant les besoins du moment.
Les Européens, qui juraient de vouloir imposer aux Américains une régulation telle que cette crise serait « la der de der », air déjà connu, se sont pris les pieds dans leur propre tapis. Celui sur lequel ils ont construit un empilage de structures, élaboré par Jacques de Larosière dans son « Rapport de supervision financière en Europe ». Ce savant montage bute pour le moment sur un « No » britannique farouche et déterminé, puisqu’il risquerait de les placer sous la supervision de la BCE. Cette question semble accaparer toutes les discussions, au détriment de celles qui devraient porter sur les mesures elles-mêmes et reflète bien l’incapacité dans laquelle l’Europe se trouve de trouver des solutions communes. Plus que tout autre facteur, cette paralysie la rend plus vulnérable à la crise. Sauf lorsque les élaborations a minima de la Commission de Bruxelles à propos de la régulation « hedge funds » lui permettent de réagir (à l’exception notable et sans surprise des Britanniques).
54 réponses à “L’actualité de la crise : Une question en appelle une autre, par François Leclerc”
@Sylvie: « un groupe privé s’est doté, par divers moyens, d’une énorme quantité d’argent »
C’est de la Fed que vous parlez?
@Auguste
Innocemment je pensais qu’on pourrait tous retirer nos investissements en action avant de fermer les bourses
Or je viens de me rendre compte que les capitaux investis en bourses sont potentiellements nuls si il n’y a pas d’acheteur ou trop de vendeurs d’un coup c’est une réalité bien sur évidente mais on n’en a jamais suffisemment conscience.
Paul Jorion en remettant en question le coté indispensable de la bourse nous montre a quel point un certain dogmatisme
est ancré en nous , d’ailleur les journalistes de parlons net ont été un peu surpris.
Votre évocation de revenus sur les actions détenues me fait penser a des obligations mais les craks obligataires existent aussi.
En fait ca correspond a ce qu’on appelle des rentes non?! (Ca me rappelle Bel Ami qui s’achetait des rentes…)
Concernant les difficultés pour le créateur de rester indépendant et libre financièrement, je compatis
je sais que c’est presque mission impossible sauf si on a un atelier a soi une clientelle établie et un petit patrimoine financier pour les jours difficiles…
@wayside
« Aurons-nous le temps d »éduquer le monde sur un autre modèle de vie économique ? »
C’est une question majeure, vraie pour toutes les grandes crises globales de notre temps. L’accumulation de connaissances scientifiques parfaitement étayées et très inquiétantes sur les questions de climat et d’énergie n’entraîne une modification de nos comportements qu’à la marge. Tous les spécialistes de ces sujets (plus de 99%) nous alertent et font des propositions concrètes, mais rien ne se passe. Les actions ayant un effet global ne peut être que politiques. Tant que les citoyens ne forceront pas le changement, il ne se passera rien. De mon point de vue la prise de conscience ne peut venir que de l’éducation, ou de la nécessité mais ce sera alors trop tard pour réagir. Comme le dit Paul 47% des citoyens s’apprêtent à voter pour la majorité (UMP + PS), c’est le meilleur moyen pour que rien ne change. A propos de voter, l’idée reprise par Etienne Chouard de tirer nos députés au sort me semblait très intéressante. La aussi il faudra beaucoup d’éducation !
à Allfeel [7 juin 18:27]
ligne 6, vous dites :Votre écocation de « revenus sur les actions détenues » (…) etc. puis (ça me rappelle Bel Ami qui s’achetait des rentes)
Voyez-vous l’énormité de ce que vous dites ?
Dans un but peut-être un peu trop scolaire, ma contribution citait simplement un exemple de cas concret, bien réel.
Pour « fonctionner », ne faut-il pas un flux continu de débits sur le compte
impôts, EDF, GdfSuez, chauffage, nourriture, plombier, etc. hors achats pour avancer en innovation ?
Au cours de ces deux ans, sans parler de ces débits,
simplement du fait du plongeon de la Bourse
j’ai déjà perdu plus de la moitié de mes économies (à ce stade) et, en outre,
il me faut vendre chaque mois les titres eux-mêmes (c’est-à-dire le solde de l’épargne résiduelle) pour « fonctionner ».
@François Leclerc: « A ce train-là, les Etats-Unis vont rejoindre dans les statistiques de la pauvreté les pays que l’on qualifie d’émergents. Je crois que c’est là votre thème favori. Déja, dans Le pire est-il encore évitable ?, vous écriviez: « Le modèle de société dominant du monde de demain, au-delà des diversités nationales et culturelles sera, toutes proportions gardées, plus proche de celui des sociétés émergentes que de celui des sociétés occidentales tel que nous l’avons connu à l’apogée du capitalisme financier triomphant. C’est cela qui nous pend au bout du nez, en effet, l’Occident ne pourra pas éternellement maintenir ses structures à grand renfort de consommation. Sauf apparition miraculeuse d’une nouvelle source d’énergie, il devra se serrer la ceinture, et maintenir l’ordre social par le bâton.
à : Lemar [18:43]
Vous rappelez le propos de Paul » 47% des citoyens s’apprêtent à voter pour la majorité (UMP + PS) »
Pourquoi ne pas considérer le réel comme il est
– 60% à 66% ont opté pour le vote blanc ou l’abstention
– Pour le solde — c’est-à-dire 33% à 40% —
une part (20% à 24% des français) a voté pour ce qui est habituellement considéré comme les seuls partis imaginables de gouvernement « UMP+Modem+PS »
et l’ultime dernière part (8% à 9%) s’est répartie entre une nuée de petits partis, le plus important atteignant de l’ordre de 3% des français.
Qui peut légitimement fanfaronner ?
Pas chat, chien ou rat
@ Crapaud Rouge
Il est de fait, vous avez raison, qu’après avoir vécu dans un pays « émergent » (le Brésil), vu le monde sous un autre angle, appris d’une société en réalité très méconnue, j’ai chaussé de nouvelles lunettes pour observer les pays « avancés ». J’y ai vu non pas tout ce qui les différencie les uns des autres, c’est facile à établir, mais ce qui tend à les faire se rapprocher, ce qui est de mon point de vue en cours. C’est un sujet qui mériterait d’être mieux explicité, j’en conviens.
Mais vous auriez tort, à mon avis, d’écrire trop rapidement la suite de l’histoire, sans la connaître. Nous ne sommes pas sortis de cette crise profonde du capitalisme. Nous ignorons ce qu’elle lui réserve ainsi que ce qu’elle nous promet. Des hypothèses sont possibles, leurs conclusions sont prématurées.
@Lemar
La seule manière, peut être, la voie autoritaire ou totalitaire pour faire bouger les choses.
On récolte ce qu on sème et on trichera, mentira jusqu au bout. Heureusement que ce blog et d autres existe pour essayer d’entrevoir une réalité.
Je dénote néanmoins qu’on a cerner les problèmes, mais qu’ aucune solution n’est avancée.
Voir les anomalies, c’est bien. Apporter des solutions c’est mieux.
….et rik, et raque…on va sketer l’baraque.
@ Crapaud Rouge
On peut se poser la question de l’énergie mais pour l’instant nous n’en manquons pas Seule la spéculation a été a l’origine de la flambée du prix de certaines énergies, meme si les ressources vont se restreindre a moyen long terme
La découverte d’une nouvelle source d’énergie propre et bon marché signerait l’arret de mort de tout un pan de l’economie.
La baisse progressive des ressources en pétrole et le développement des énergies alternatives sont plus la solution que le problème. Maintenant si dans une société de consommation , la consommation est en panne et que la manière la plus efficace pour gagner de l’argent c’est la spéculation sur toutes les denrées qui se raréfient, on peut clairement se poser la question de la répartition vu qu’elle et censée etre organisée par l’état qui lui meme est censé collecter un capital par les revenus fiscaux aupres du consommateur qui vient de perdre son emploi.Mais pourquoi payer un consommateur qui ne produit rien alors que le capital rapporte tant? Il semble y a avoir trop de capitaux en dehors du circuit consommateur-état pour que l’état puisse relancer la consomation et l’émission de monnaie risque de faire exploser le prix des matières premières sur lesquelles sont déja positionnés les spéculateurs ,certains ne perdent jamais….Maintenant il est évident que les pays émergents producteurs de matières première vont profter a un moment ou a un autre de la crise comme la russie a profité de l’envol du cours du gaz en meme temps que les spéculateurs provoquant un transfert de capitaux qui va réduire les investissements nécessaire
au rétablissement de l’économie. Meme si toute hausse des matières première a un impact positif sur les finances de l’état a court terme elle n’aurait d’interret que si c’était le consommateur qui bénéficiait des revenus de la spéculation.
Conclusion : pourquoi ne pas payer les spéculateurs en monnaie fondante?Ou plutot pourquoi ne pas fixer le cours de toute les matières premières en fonction des besoins des producteurs et des acheteurs chaque année ? Et faire intervenir un fond de compensation pour soutenir les producteurs en cas de problème? (ces procédés existent le hedging je crois) mais personne ne veux en entendre parler quand tout va bien.
Sur le beurre, mon père raconte que lorsque les allemands (qui avaient faim, … depuis le temps que la crise) sont arrivés le village voisin (de sa verte chartreuse), l’un d’entre eux a mangé une livre de beurre ( c’est que depuis le temps qu’il n’en avait pas vu, qu’il en rêvait ) et il en est mort (et ça a fait tout un pataquès … crime, meutre, attentat, terrorisme) …..
Après, si l’on s’en rapporte à notre époque, la cuisine au saindoux, l’huile d’oeillette, l’huile de noix, (le sud est chanceux avec son huile d’olive) c’est plus une question, On nous vend depuis belle lurette des frites congelées, et moultes plats cuisinés à l’huile de palme (qu’avant cela ne servait qu’à faire du savon à se demander si que d’un bon investissement pour un recyclage labellisé commestible, on ne sentirait pas de passer à l’huile de moteur sans sourciller, pourvu que soit disant pas de cholestérol, soit disant vitaminé, …. )
à Allfeel
Le système ne sait aller que dans le renforcement de sa propre Loi, (celle de la concurrence, -dont seuls quelques uns jouissent, beaucoup en souffrent … -),
il ne peut que se recroqueviller sur lui même, (comme une coquille d’oeuf pourri qui sent la mort à plein nez ),
il faudrait le mettre en courant alternatif,
il conviendra donc ( aujourd’hui ou demain mais cela fatalement) d’une nouvelle donne … ( sachant que le temps c’est de l’argent et le temps perdu ne se rattrape pas)
Paul -par exemple- réfléchit,
(cependant que combien font semblant, combien jouent cartes sous table, combien ne voient pas plus loin que leur nombril merveilleux, combien se foutent en travers des rails, combien baillent aux corneilles dans leur spa d’ivoire, leur papa mobile aux dessus des nuées …. )
Merci François Leclerc et Paul Jorion pour vos analyses de la crise.
Voici le genre d’analyses que nous avons au Canada. C’est pitoyable.
http://www.cyberpresse.ca/opinions/chroniqueurs/alain-dubuc/200906/05/01-863250-apres-la-crise-la-crise.php
@Olivier Mauder
L’analyse est plutot bien structurée et aborde tous les aspects de la crise , ca n’est pas pitoyable
nous avons bien pire en france: des optimistes béats genre la crise est derrière nous …
Le journaliste décrit une situation inextricable en mettant en avant les solutions pourquoi pas…
@Auguste
Vous vous méprenez sur le sens de mon évocation de Bel Ami
La plupart des philosophes et des créateurs ont eu recours a des financements extérieurs qu’ils ne devaient pas a leur activité:
Rousseau était un homme entretenu, Voltaire spéculait sur l’esclavage, meme les philosophes grecques spéculaient sur les denrées alimentaires
Il faut croire que rien ne change libérer son esprit des contraintes matérielles pour se consacrer a son oeuvre est indispensable
tant la création est exigeante. Ne méprisez pas Bel Ami ,chercher a sortir de sa condition et s’élever que ce soit par la création ou le statut social est une chose a laquelle nous aspirons tous plus ou moins.Certains a défaut de pouvoir s’élever autrement ne font qu’élever leur capital, j’aurais pu évoquer l’avare aussi…Les créateurs ambitieux et visionnaires ne peuvent généralement que compter sur eux pour se financer c’est souvent plus facile pour un financier d’investir dans l’existant pour le produire en série que dans l’abstrait ou l’intuition pour la concrétiser. Mais placer ses économies en bourse pour financer ses recherches
c’est assez hasardeux vu la perte de temps et le stress que peuvent générer la bourse. la solidarité entre chercheurs mériterait d’etre mieux développée C’est surement la solution a votre problème en créant un groupe d’interret vous pourriez fixer vos propres règles de gestion cela dit des groupes de ce genre exitent déja.
A : Auguste et son trio
Pour répondre à votre question, le chiffre 133 me laisse perplexe.
Je n’ai pas forcément lu tous vos commentaires, vu la structure du blog, certaines de vos contributions m’ont forcément échappées. En revanche, elles m’intéressent grandement, même si elles sont écrites dans un style un peu particulier.
Donc, si je pouvais avoir une petite piqure de rappel sur ce mystérieux chiffre 133 🙂
Question subsidiaire : et ce bel ananas, il arrose quoi ? Ses belles écailles ?
2 eme couche avec BARCLAYS BANK ????
à Allfeel [08:15]
J’apprécie votre réponse
Sachez bien que je ne consacre pas 1 minute par an à regarder un quelconque cours de Bourse.
Pour moi c’est vraiment sans aucun intérêt, et ça ne m’a jamais intéressé.
Donc pour ce qui serait un « suivi de la Bourse » le stress est nul; je ne sais même pas ce qui se passe.
Quant au fait d’avoir perdu la moitié de mes économies, n’est-ce pas justement parce que ça ne m’intéressait pas du tout ?
Mes préoccupations étaient aux antipodes des subprimes quand Paul sortit son livre L’implosion
Sinon ?
Sinon n’aurais-je pas demandé un formulaire à la Caisse d’Epargne pour virer le total en « argent-au-jour-le-jour ».
Que xs’est-il passé ?
En novembre et décembre 2008 j’ai constaté que les journalistes économistes de la radio publique
commençaient à dépasser les bornes et à ne pas dire du tout ce qu’il fallait dire.
S’il en avait été autrement,
s’il en avait été autrement,
je ne serais pas ici,
en ce moment, à faire le clown, en espérant que les dires du leucotrio jouent un petit rôle
sur l’Arche-de-Noe
alors que le gouvernail n’est plus d’aucune utilité
vu la puissance et l’énormité des vagues dans les cyclones imprévisibles.
Exemple : mes travaux pour lutter contre cet effroyable prochain « Ambient Social Learning » sont en sommeil total.
Ai-je tort de me croire un peu utile sur ce forum-blog qui me mange un temps considérable ?
Pour la suite de votre propos vous avez pleinement raison.
Je connais trop les pratiques en vigueur … … (je préfère me taire)
pour savoir qu’il vaut mieux vivre de rêve et croire au « self-financing » microscopique, nano-étape par nano-étape.
Peut-on toujours rêver ? … … en partie, jusqu’au jour où on est à sec
Soit j’arrive au bout d’une part de mes peines, soit je serai mort avant.
Ma mère me disait « Si ça continue … je serai morte avant que tu aies diffusé quoi que ce soit »
@Allfeel
« meme les philosophes grecques spéculaient sur les denrées alimentaires » : ah les coquines !
Vous parlez des philosophes « grecs », je suppose…SOURCE concernant les manipulations financières de Socrate, Platon, Aristote, des pré-socratiques, des épicuriens, stoïciens, cyniques…? MERCI beaucoup.
« Ne méprisez pas Bel Ami », « j’aurais pu évoquer l’avare aussi » :
le programme de français de collège m’intéresse beaucoup moi aussi, mais si vous voulez ressentir intensément ce tiraillement expérimenté par les créateurs, ou aspirants-créateurs face au profit et à la compromission qu’il entraîne, je vous conseille vivement de lire (ou relire) Illusions perdues, de Balzac.
Littérairement parlant, si vous avez accroché, (re)lisez sa suite, Splendeurs et Misères des courtisanes.
« C’est surement la solution a votre problème en créant un groupe d’interret vous pourriez fixer vos propres règles de gestion cela dit des groupes de ce genre exitent déja. »
Des noms SVP ? On parle de chercheurs en quoi d’ailleurs ?
@Allfeel
Certes mais ici, on vient à peine de nous annoncer que l’on est en crise mais que c’est déjà fini.
C’est également très difficile d’avoir l’heure juste, notamment en ce qui concerne le marché immobilier.
On risque d’apprendre dans 6 mois que finalement, ça ne va pas bien.
à Florence [le 8 juin à 09:11]
Vos questions en m’aidant simplifieront aussi la vie d’autres personnes.
En effet, sans « feedback » il est impossible au contributeur d’apprécier l’opportunité d’agir :
… reculer pour ajuster-amender-éclairer ? … attendre ? … continuer à avancer ? … combler un manque ?
H I S T O I R E & M E D I A S P U B L I C S
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J’ai d’autant plus de plaisir à répondre que votre prénom m’évoque
à la fois un univers (…) et mystérieux et
– la femme aux fleurs de printemps, peinte par Botticelli en 1485-87
– Cecilia Gallerani, la femme à l’hermine, l’une des maîtresses de Ludovic Sforza, peinte par Leonardo da Vinci en 1485-90
– Anne, grand-mère maternelle de Jésus, imaginée et dessinée par le même Leonardo.
Jusqu’à ce jour j’ignorais cette filiation tout comme son mec (euhm! mari) … un dénommé Joachim, apparemment fortuné (pour l’époque). Que sait-on vraiment ?
– Galatée, peinte en fresque par Raphael en 1511
– au petit chien de Vénus d’Urbin, peinte par Titien en 1538
En hommage à la fois à votre prénom et à ce blog-forum qui commence à s’intéresser à l’oligarchie financière et au népotisme,
je vous recommande de lire « Le complot Pazzi« écrit par l’historien Claude Mossé.
A partir de Florence et du Vatican, la puissance des Medicis sur l’Europe et nations plus lointaines fut acquise dans les drames, les amours insolites, les intrigues, les conjurations, les complots, souvent les calculs aveugles.
Les princes cupides et les banquiers âpres au gain s’intéressaient-ils à la misère du peuple ?
à la condition féminine ?
Le népotisme régnait à Florence; il atteignit Rome et au delà.
Q1 : Le népotisme fonctionne t-il comme une maladie contagieuse ou virus ?
En 1478, il y a 531 ans, le complot Pazzi ébranla la fortune des Médicis !
Q2 : Si les héros vivaient de nos jours, n’y aurait-il que les noms à changer ?
A nos yeux, la Renaissance ne nous apparait-elle pas surtout superbe ?
… Florence … La Toscane …
Ecrivains, musiciens, peintres, couples amoureux sont venus y chercher le bonheur dans l’ombre des génies toscans.
Q3 : Depuis cinq siècles, connaitriez-vous un autre Temps-Espace — époque et province — qui aurait suscité autant de rêves !
La PreRenaissance fut une période de grande agitation comme le sera 2008-2018.
L’examen de son extrême fragilité est riche d’enseignements.
Q4 : Depuis six mois, le Navire France Culture aurait-il pu faire un effort dans le choix des historien(ne)s et juristes invité(e)s en studio ?
J’avais proposé des pistes-thèmes, dont
– l’histoire haute-finance des corsaires anglais et des Trusts, depuis le XVI-XVIIe siècle,
– l’histoire haute-finance de l’empire britannique
Rien de plus facile que de sélectionner un sujet dont les linéaments enserrent encore nos règles de droit :
– la vie bancaire de John Pierpont Morgan à la veille de 14-18 ou de la crise de 1929, à Bâle en 1930,
– l’histoire du premier eurodollar en 1957 entre Russes et Anglais,
– l’histoire d’Euroclear et de ses activités bien au delà de City-of-London et Brussels,
– les banquiers anglo-saxons en Europe entre 1930 et 1945
– etc. etc. sur six mois il n’y a pas l’embarras du choix.
Pas une ligne de réponse
Je ne me pose pas de questions.
Le constat : Ce qui pourrait être utile à notre compréhension de la pieuvre titanesque,
sans aucun mouvement,
est délicatement étouffé sous un énorme édredon
dans le silence de 300 hectares en Beauce,
lors d’une minute d’éclipse en hiver,
le blé déjà ensilé depuis des mois.
S’il n’y a pas de question à se poser, une anticipation est toutefois inévitable :
Ce gourbis sera à nettoyer au second semestre 2012.
… nullement par anti-étatisme … simplement parce que le pont-amiral de cette orga subventionnée feint d’être au service des français(e)s.
Cette hypocrisie est insupportable, et ce
d’autant plus que des personnes de très grande qualité sont en ses murs.
Q5 : Ici, AllFeel (hier 18:27 et ce jour 08:15) ou une) autre amateur ne pourrait-il pas établir une « correspondance » avec Bel Ami pour illustrer le propos ?
D E V E L O P P E M E N T H U M A I N (IDH) et P R O D U I T I N T E R I E U R B R U T (PIB)
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La qualité de la vie peut être abordée par l’indice de développement humain (IDH). Le PIB par habitant sert d’indicateur du niveau de vie; en effet, il donne une valeur indicative du pouvoir d’achat.
Le produit intérieur brut est critiqué comme mesure de la richesse par les défenseurs de l’environnement et du développement durable, dans la mesure où une part de la croissance économique détruit le stock de ressources naturelles. Les facteurs de
production, classiquement pris en compte dans les modèles économiques très primaires [capital et travail] excluent la terre (les ressources naturelles).
Certains experts proposent un indicateur tenant compte des effets sur l’environnement, le PIB vert.
Des effets de la « croissance économique » sur l’environnement sont cités dans l’article
Effets des croissances démographique et économique
sur l’environnement. Il faudrait aborder différemment l’évaluation des risques et le progrès technique
Le produit intérieur brut (PIB) est la valeur totale de la production interne de biens et services au cours d’une annéepar les agents résidant à l’intérieur du territoire national. Pour d’éviter que la même production entre plus d’une fois dans le calcul, les biens intermédiaires de production sont exclus. Par exemple, le blé pour le pain est exclu, alors que le pain (produit final) est inclus. Les catégories d’agents économiques (ménages, entreprises, administrations publiques). sont différenciées.
Relations entre ANANAS TITANESQUE
et IDH, d’une part, PIB, d’autre part
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L’Ananas titanesque je ne l’ai pas encore peint (j’adore peindre, mais n’ai pas le temps).
Toutefois, je sens que ça pourrait ne plus tarder.
Depuis des années, ma soeur me dit que je ferais mieux de penser et peindre des tableaux plutôt que de faire ce que je fais.
Q6: Ce tableau pourrait-il être aussi intemporel qu’un autre qui réconcilie le désir avec le monde, vu son ouverture sereine ?
Sûrement pas ! Il lui serait diamètralement opposé.
Q7 : La question subsidiaire de Florence ?
ça arrose, ça arrose … [cf. contribution n°3 ci-dessus le 7 juin à 09:16 ] … ça ne cesse d’arroser
Eh oui ! les coupantes écailles de protection du coeur juteux : majorités parlementaires – Oppositions marquantes
– lobbies – Agences de notation – websites faussement « alter » – orgas de pseudocontrôle
Q8 : Ecailles coupantes contrôlant quoi ?
En France, 133 programmes dominent ce qui suit :
– l’intégralité des activités du pays et de leurs relations avec les autres peuples de la Terre.
– l’intégralité des plans-budgets et organes régaliens (Etat Central, Collectivités Territoriales, Régions)
1 3 3 P E T I T S C O U P S de M O R P H I N G
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Florence,
les 133 programmes qui gouvernent votre situation en France et dans le monde,
ceux qui conditionnent, pour le meilleur et pour le pire,
les perspectives, à 50 ans et 20 ans la vie des personnes qui vous sont chères,
sont à la page 2 du document ci-après
http://www.performance-publique.gouv.fr/fileadmin/medias/documents/ressources/LFI2009/missions_programme_2009.pdf
En colonne 1 : les 34 « Missions » qui regroupent ces 133 « programmes »
BercyBudget 2010
Début juin, Bercy avait déjà entamé la préparation du budget 2010 : les réunions avec les ministères « dépensiers » en étaient au stade technique;
elles portaient surtout sur la « simplification » de la nomenclature LOLF. Il est dit
Q9 : Comment le compactage des « missions » et « programmes » va t-il conduire à la réduction des crédits ?
Q10 : Quels périmètres ministériels seront ceci ou cela ?
opacifiés ? sanctuarisés ? pilotés autrement ? contrôlés autrement ? etc. A voir.
133 avait été le choix de la LOLF
Minefi.gouv.fr : Une meilleure gestion de l’Etat au bénéfice de tous
Un vrai slogan d’affichette électorale de type … Tous ensemble – Tous ensemble …
Pas tout à fait « Tous Ensemble »
INSEE — secteur public
Le secteur public représente près de 6 millions de personnes. Sans les entreprises publiques c’est quelques centaines de milliers en moins. Il faudrait regarder précisément.
Début 2005, l’INSEE affirmait : 72,3% des personnes en âge de travailler avaient un emploi ou en recherchaient un.
La France métropolitaine aurait compté alors 28,2 millions d’actifs, dont 24,9 millions de personnes ayant un emploi et 3,3 millions de « chômeurs déclarés ».
Remplacez 3,3 mio de déclarés par 8 mio de RSA il vous reste 20,2 mio de personnes valablement actives.
Or de l’ordre de 5,5 millions (administrations publiques) ne reçoivent leurs rétributions que parce qu’il existe des activités non subventionnées.
L’effectif pour ces dernières : 20,2 moins environ 5,5 soit environ 14.7 millions > Rapport 1 à 3.
http://www.performance-publique.gouv.fr
La performance ! parlons-en : en cinq mois 80 milliards de dette additionnelle OAT et BTAN
de l’ordre de 4.000 euros par personne active. Le ratio par rapport aux actifs non subventionnés par l’Etat ?
Environ un tiers en plus : grosso modo : 5.440 euros de dette additionnelle pour ces 5 derniers mois
Et en ajoutant ce qui était avant ?
1300 milliards € divisé par le nombre d’actifs des Branches non protégées ?
1300 milliards € divisé par 14.7 millions environ. Résultat : de l’ordre de 88.500 euros par personne active hors Etat.
133 compta budgétaire de l’Etat
E N A D E Q U A T I O N A LA G U E R R E F I N A N C I E R E
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En cherchant le nombre d’actifs dans le secteur privé, je suis tombé sur un sacré loustic
Pourquoi il ne faut pas de régulation financière internationale
Q11 : En connaissez-vous d’autres des comme ça. Merci de les transmettre.
Un wiki serait-il (ou non) idéal pour constituer cette liste et la maintenir publiée à un URL fixe ?
eclaireco.org ne nie pas l’existence du chômage
eclaireco.org/Chomage
Q12 : Au niveau des titans transocéaniques comment se présente la guerre financière ?
– Les topTitans (à langue première anglo-arabe, anglo-chinoise, anglo-européenne) arrivent-ils à former un Front Uni ?
– Pour le topDuTop :
Q13 : Quelles sont les menaces entre mâles des titans ?
Q14 : Des fesses-pestes seraient-elles à les exciter ?
cf. Le Complot Pazzi Medusa par Le Caravage (Carvaggio)
Toujours pour le topDuTop :
Q15: Y aurait-il un réel puissant réseau de « minorités actives anti-titans », au sein des « sociétés civiles » capable de présenter un danger ?
Q16: Quels réseaux de « libéraux » (catégorie Z opposée à A), au contraire, manipulés ou non, sont d’une manière ou d’une autre à notre service, nous les titans ?
Q17: Quels groupes pourraient devenir capables de faire pression sur certaines orgas réputées au service des actionnaires de n-ième rang (minoritaires, dispersés, dilués, etc.) ?
Q18: Quels groupes pourraient devenir capables de faire pression sur les déposants-épargnants de n-ième rang peu désireux de voir fondre leurs économies et retraites dans l’inflation ?
Q19: Quels groupes de citoyens pourraient devenir capables de faire pression sur les « majorités parlementaires » ? <br
Q20: Quels groupes (…) … ?
n’hésitez pas ci-après sur le blog !
Ecrivez vos faits prouvés ou intuitions, quant aux désirs éventuels de vos contemporains
@Coucou
Je n’ai pas pas beaucoup le temps a consacrer a la lecture vous avez remarqué que mes références datent un peu
j’aimerais pouvoir releve des références nouvelles pour faire joli dans mes interventions
mais n’ai pas besoin de me plonger dans de nouveaux ouvrages pour me faire une idée de ce qu’est la difficulté de créer
l’ayant expérimenté moi meme pendant plus de huit an a mon compte en essayant modestement de créer des modèle de meubles conformes a mes aspirations esthétiques et en phase avec le marché dérivés du Louis 15 activité que certain appellent rapidement de la copie mais les problèmes liés a la création sont les memes.
POur ce qui est de savoir de quelle recherche il s’agit demandez a Auguste
Il est a priori artiste ou chercheur profond comme il se qualifie lui meme et apparemment tres succeptible.
Il a investi massivement son capital en actions dans le but de financer son quotidien et se voit actuellement contraint de vendre des actions dévaluées pour payer ses frais courrants apres avoir perdu la moitié d son capital (edf , nourriture etc)
Je n’ai pas tres bien compris ce qu’il aurais aimé comme arrangement financier mais il me semble qu’il aurait aimé pouvoir
présever ses actions en attendant qu’elles remontent. Un peut comme les banques US , vu ce qui leur a été accordé ses aspirations paraissent légitimes mais ne risquent pas d’étre satisfaites.
J’aurais une remarque sur les références et leurs sources : Quand quelqu’un se targue d’avoir du temps pour lire , noter des référence et leurs sources c’est a lui de chercher l’origine des propos des autres, la culture , le temps et l’argent qu’on peut y consacrer sont des privilèges et une responsabilité pas des raisons de se moquer de la faiblesse des références des autres.
@un administrateur
Merci de supprimer mes post précédents sur ce sujet
On a vite fait de s’embarquer dans des discussion stériles. Les scories si fatiguante…
J’essaierai a l’avenir de me concentrer sur l’essentiel désolé et de me relire plus sérieusement
Commentaire temporaire a supprimer svp
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