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15 réponses à “Le temps qu’il fait, le 13 février 2009”
Le volume sonore de la vidéo est trop bas même en poussant au maximum les curseurs de mon PC et de la vidéo, dommage, ça baisse le niveau de l’écoute.
Cher Paul,
il ne faudrait pas non plus que ce blog devienne une tribune politique, ce qui est intéressant ici, c est la pensée denuée d’ idéologie.
Vociférer sur le Dos de Mme Aubry, par exemple, n’ apporterait rien a la comprehension de ce qu’ est la monnaie ou pour determiner la « juste quantité de spéculation permise ».
En gros, il n’ y a rien a attendre des politiques pour créer une constitution pour l’ économie, cela doit venir du debat entre les gens, et commencer par : « We, The People… »
Quand un peu partout, on commencera à opprimer « We The People », par la force ou par la ruse (paradoxe du menteur, « good cop-bad cop », prêche du faux pour avoir le vrai, sites attrape mouches etc…), alors il ne fera pas bon avoir collaboré avec les oppresseurs, car « We The People » n’ est pas peuplé que de demeurés, ou de lâches.
Intéressant. Vraiment. Votre parcours bien sûr. Mais en creux aussi l’histoire du métier d’ingénieur financier. Où comment on en arrive à inventer des « brouettes à réaction ». La question que je me pose: ces « inventions » étaient-elles brevetées?
je croyais que les insultes étaient filtrées; je n’ai pas voté pour Sarkozy, mais je n’apprécie pas du tout ce défoulement et cette négativité; bob ne fait qu’alimenter un égrégore au lieu bouger son … intelligemment, ce qu’il y a toujours moyen de faire quelles que soient les circonstances. et je sais personellepme,t de quoi je parle, moi qui ne suis pas fonctionnaire !!!
Rien de tel que les images , bonne vieille méthde pédagogique digne des chers instits de jules Ferry ! j’adore Spirou et les insectes
Bonsoir, et Bonjour (décalage horaire pour certains),
@Paul Jorion, vous nous expliquez le carburant de votre moteur personnel :l’attrait pour le phénomène de l’anomalie, si j’ai bien compris. Et Bob répond que l’anomalie Sarkozy est trop dangereuse pour qu’on s’amuse encore à l’observer, qu’il faut vider les éprouvettes et désinfecter le laboratoire.
J’avoue être en harmonie avec cette vision de l’urgence actuelle.
Une question me taraude, Est ce votre passion des anomalies qui vous pousse à voir des signes de normalisation dans les discours et les postures de notre Présidentissime? Pour pouvoir étudier le plus longtemps possible l’anomalie Sarkozy, en quelque sorte!!
En ce qui concerne le monde de la Banque, j’ai vécu cette évolution du monde de la banque que vous décrivez. En France, où les banquiers de « Papa », ont cédé la place à des personnes venant de tous les univers, surtout scientifiques. Il était même de bon ton de proclamer ne rien connaitre à la banque et à la finance pour y faire carrière.
Ce qui devait arriver, arriva, toutes ces personnes qui vinrent dans les années 80 prendre les renes des banques, n’y connaissant rien, et faute de s’y intéresser, (la banque de « Papa » c’était devenu vraiment trop ringard), on fait tout autre chose que le métier de banquier.
Pendant c’est deux décénnies voire trois, les anciens de la banque ont vu ces jeunots arriver en les sous estimant, et en leur fichant une paix totale, incapabes qu’ils étaient de comprendre leurs « modèles ». Puis les jeunots, devenus moins jeunes ont pris le pouvoir officiellement, et le piège s’est refermé. Comme personne n’y comprenait rien pendant toute cette période de mutation, on a laissé ces « jeunots » faire ce qu’ils voulaient, pire, on leur a laissé mettre en place leur propres organes de controlen (ou développer cette théorie que moins on comprenait plus c’était efficace).
Résutlat, la crise actuelle, et celles à venir.
Comme on a toujours pas vraiment identifier cette anomalie, on continue avec ceux la mêmes qui ont crée ce grand bazar, (dont personne ne comprend rien, y compris les jeunots de la deuxième génération), en espérant benoitement, et trés naivement qu’ils vont pouvoir réparer le machin….Là je vous rejoins, je crains qu’il n’y ait pas grand chose à réparer, et nous revoilà à la proposition de Bob; tout virer, et recommencer sur des bases solides.
Bonne soirée, et bonne matinée
« La finance, c’est une brouette avec un moteur à réaction »
Collector!!! 🙂
@Paul Jorion
Toujours agréable à écouter « le temps qu’il fait ».
Par contre il y a quelque chose où j’ai vraiment tiqué. Le moment où vous dites qu’il faut bien rebâtir la finance etc…
Nous savons bien que vous avez travaillé un bout de temps dans la finance, mais j’ai tendance à croire (peut-être à tort ?) qu’avec vos acquis de sociologie vous devriez avoir une vision élargie du problème. Et j’ai la désagréable impression que souvent vous réduisez la crise à un problème de régulation de la finance, des marchés, (compléter avec ce que vous voulez qui a un rapport avec l’économie).
Une approche dont vous ne parlez jamais (ou à demi-mot un peu de développement durable par ci par là) est l’approche physique. Est que l’économie avec une finance régulée ou pas est à même de régler nos problèmes ?
L’approche physique répond clairement non. Une prolongation tendancielle de l’augmentation du PIB sur les 50 prochaines années (dans le meilleur des cas) est incompatible avec le stock de ressource encore disponible. Point d’idéologie la dedans : il suffit de savoir faire des additions, et comprendre la fonction exponentielle…
Est que l’économie avec une finance régulée ou pas est à même de régler nos problèmes ?
Avez-vous juste connaissance de ces approches physiques ?
Si, oui , pourquoi ne jamais en parler ? Ne serait-ce que pour les démonter, si vous êtes en désaccord…
Si, non, un bon rattrapage en 1h30 :
http://storage02.brainsonic.com/customers2/entrecom/20080227_Spie/session_1_fr_new/files/index.html
Il me semble encore prématurée de dire que l’on a fait le bon diagnostic tant que l’on ne s’est pas penché sérieusement sur ce que les physiciens, chimistes, géologues, climatologues, en gros les sciences « dures » ont à dire.
Et là vos connaissances en sociologie et en économie auront un rôle à jouer pour révéler certains mécanismes, rapport de forces qui iraient à contre sens des solutions intéressantes. D’ailleurs je suis étonné que vous n’en usiez pas plus…
@ Crystal
Je suis tout à fait d’accord avec vous. J’écris beaucoup de billets. Dans certains je descends davantage dans le détail, dans d’autres je résume. Il y a aussi différentes temporalités : stopper la crise, sortir de la crise, ce qu’il faudra mettre en place ensuite. Là je parlais de l’immédiat : stopper la crise.
@ Paul Jorion
J’apprends beaucoup en venant lire vos billets sur un domaine qui n’est pas le mien.
Avec le temps et la compréhension (certes très partielle) du fonctionnement de l’économie, je commence à éprouver un peu d’énervement. Je ressens une profonde inadéquation entre ce que j’apprends de ce système et d’autres connaissances en sciences dures que j’ai pu acquérir par ailleurs.
Autre inadéquation : la temporalité. Certes il faut sortir de la crise, dans le futur le plus immédiat.
Aujourd’hui nous avons les moyens de sauver les meubles. Les moyens matériels j’entends. Les esprits ne sont malheureusement pas prêts à mettre en œuvre de gros changements (en fait je devrais préciser surtout les 20% plus riches de la planète (par le PIB…) qui utilisent 80% de ces ressources).
Je ne souhaite pas que ce soit les pressions énergétiques et environnementales à venir qui préparent des changements profonds. Un contexte de pénurie rendrait possible tout un tas de choses que mon optimisme refuse d’imaginer.
Le temps… Est-ce qu’il faut toujours garder cette attitude réservée lorsqu’on en manque ? Oui probablement.
Ce serait certainement porter un coup d’arrêt à la qualité des débats dans le cas contraire.
Peut-être juste un petit coup de blues ce soir…
Excusez-moi de vous avoir un peu brusquer.
@ Crystal
Y a pas de mal : on cherche tous ensemble ! (D’autres pensent avoir déjà trouvé et ce qu’ils pensent avoir trouvé n’est pas très rassurant, c’est le moins qu’on puisse dire !)
@Crystal
C’est justement par une perception apportée par une pratique en science dure, que certains ont pu établir ce que d’autres appelleraient « intuition », sur la chute inéluctable du capitalisme, et ce, en commençant par le pays le plus en avancé dans la tentative de mise en place idéaliste ( mais finalement bien réussi ) de l’auto-contrôle du marché.
La physique est la science chargée de faire comprendre les échanges d’énergie. L’amplitude de ces explications permettra de précisément définir la fonction active de chaque maille dans la dentelle de la diversité. Par contre, à notre stade de développement de la complexité cérébrale, ayant suivi notre voie d’évolution phylogénétique, un unique individu n’a pas le pouvoir de relier tout ce qu’on préfère encore considérer comme des sciences séparées, à la science les englobant toutes. Y-a du boulot.
Quand le capitalisme pense aux gens en tant que masse exploitable à court terme, de la manière la plus flexible possible, il n’a toujours pas compris sur quel trésor il était assis, et surtout, le temps perdu, lorsqu’on ne met pas tout ce potentiel en exploitation, pour un profit toujours plus valorisable : « gnagnaméninger comment le machin marche ».
Mais après tout, comme aurait peut-être dit Fermi, on en est pas vraiment à 1 millions d’années près.
crystal écrit « je ne souhaite pas que ce soit les pressions énergétiques et environnementales à venir qui préparent des changements profonds. Un contexte de pénurie rendrait possible tout un tas de choses que mon optimisme refuse d’imaginer. »
Cela me paraît une bonne appréhensionde notre situation, aux deux sens du terme. Dans celle-ci, il y a sans doute à la fois inscrit les termes de plusieurs dépassements possibles. Mais les contraintes se resserrent.
\o/ Spirou et les plans du robot \o/
Après Robert Velter (Rob Vel) puis Joseph Gillain (Jijé), Franquin reprend Spirou dont la première aventure sous son trait est:
Le tank (1946)
Les plans du robot est la 9ème (1948)
les lecteurs de Spirou ne se plaindront pas, vive Franquin !
sinon, pour faire fructifier le pognon, on va chez Loïc 😉