J’ai parlé hier de Loudon Wainwright, le qualifiant de grand baladin de la chanson américaine et cela m’a fait penser bien entendu à Tim Hardin. L’héroïne l’a tué quelques jours après qu’il fête ses trente-neuf ans. Je n’ai pas trouvé de vidéo de lui en live. Voilà d’abord sa voix seule.
Et puis j’ai trouvé, interprétant l’une de ses chansons les plus connues, une petite demoiselle sans prétention qui se fait appeler Lemonflower parce qu’elle n’aime pas son vrai nom, et que l’on trouve également sur Youtube chantant « Johnny Has Gone for a Soldier », et dont la voix se casse à cette évocation des soldats qui meurent à la guerre.
Bonus :
2 réponses à “Tim Hardin (1941 – 1980)”
Dommage que sa voix ne se casse pas aussi à l’évocation des civils tués par ces soldats.