L’un de vous m’ayant demandé hier de retirer deux de ses commentaires, j’avais intitulé mon billet qui en faisait part « La censure ». Un autre s’étant aussitôt indigné devant ce titre ironique, je l’avais rebaptisé « L'(auto-)censure ».
La raison pour laquelle je peux me permettre d’être ironique à ce sujet, c’est que personne, je dis bien personne, n’est interdit de séjour sur ce blog. Les commentaires sont jugés individuellement. Ont été bannis jusqu’ici :
1. Les menaces à mon égard
2. L’apologie du nazisme
3. Les commentaires contenant des insultes
4. Les commentaires expliquant un phénomène à partir d’un complot et affirmant que l’existence du complot est à ce point évidente qu’aucun autre argument n’est nécessaire
5. Les plaisanteries qui ne feraient pas sourire un enfant âgé de plus de cinq ans.
Bien sûr, la liste n’est pas close : un commentateur inventif pourrait me conduire à ajouter une catégorie, l’apologie de la guerre constituerait, par exemple, un excellent candidat.
Une réponse à “La censure”
[…] Je vois. […]